922 resultados para GOAL-DIRECTED MOVEMENTS
Resumo:
This study examined the perceptual attunement of relatively skilled individuals to physical properties of striking implements in the sport of cricket. We also sought to assess whether utilising bats of different physical properties influenced performance of a specific striking action: the front foot straight drive. Eleven, skilled male cricketers (mean age = 16.6 ± 0.3 years) from an elite school cricket development programme consented to participate in the study. Whist blindfolded, participants wielded six bats exhibiting different mass and moment of inertia (MOI) characteristics and were asked to identify their three most preferred bats for hitting a ball to a maximum distance by performing a front foot straight drive (a common shot in cricket). Next, participants actually attempted to hit balls projected from a ball machine using each of the six bat configurations to enable kinematic analysis of front foot straight drive performance with each implement. Results revealed that, on first choice, the two bats with the smallest mass and MOI values (1 and 2) were most preferred by almost two-thirds (63.7%) of the participants. Kinematic analysis of movement patterns revealed that bat velocity, step length and bat-ball contact position measures significantly differed between bats. Data revealed how skilled youth cricketers were attuned to the different bat characteristics and harnessed movement system degeneracy to perform this complex interceptive action.
Resumo:
Dans les situations du quotidien, nous manipulons fréquemment des objets sans les regarder. Pour effectuer des mouvements vers une cible précise avec un objet à la main, il est nécessaire de percevoir les propriétés spatiales de l’objet. Plusieurs études ont démontré que les sujets peuvent discriminer entre des longueurs d'objet différentes sans l’aide des informations visuelles et peuvent adapter leurs mouvements aux nouvelles caractéristiques inertielles produites lors de la manipulation d’un objet. Dans cette étude, nous avons conduit deux expérimentations afin d’évaluer la capacité des sujets à adapter leurs mouvements d’atteinte à la longueur et à la forme perçues des objets manipulés sur la base unique des sensations non visuelles (sensations haptiques). Dans l'expérience 1, dix sujets devaient exécuter des mouvements d’atteintes vers 4 cibles tridimensionnelles (3D) avec un objet à la main. Trois objets de longueur différente ont été utilisés (pointeurs: 12.5, 17.5, 22.5 cm). Aucune connaissance de la position de la main et de l’objet par rapport à la cible n’était disponible pendant et après les mouvements vers les cibles 3D. Ainsi, lorsque comparé avec les erreurs spatiales commises lors des atteintes manuelles sans pointeur, l’erreur spatiale de chacun des mouvements avec pointeur reflète la précision de l’estimation de la longueur des pointeurs. Nos résultats indiquent que les sujets ont augmenté leurs erreurs spatiales lors des mouvements d’atteinte avec un objet en comparaison avec la condition sans pointeur. Cependant, de façon intéressante, ils ont maintenu le même niveau de précision à travers les trois conditions avec des objets de différentes longueurs malgré une différence de 10 cm entre l’objet le plus court et le plus long. Dans l'expérience 2, neuf sujets différents ont effectué des mouvements d’atteinte vers les mêmes cibles utilisant cette fois-ci deux objets en forme de L (objet no.1 : longueur de 17,5 cm et déviation à droite de 12,5 cm – objet no.2 : longueur de 17,5 cm et déviation à droite de 17,5 cm). Comme c’était le cas lors de l'expérience 1, les sujets ont augmenté leurs erreurs spatiales lors des mouvements d’atteinte avec les objets et cette augmentation était similaire entre les deux conditions avec les objets en forme de L. Une observation frappante de l’expérience 2 est que les erreurs de direction n’ont pas augmenté de façon significative entre les conditions avec objet en forme de L et la condition contrôle sans objet. Ceci démontre que les participants ont perçu de façon précise la déviation latérale des objets sans jamais avoir eu de connaissances visuelles de la configuration des objets. Les résultats suggèrent que l’adaptation à la longueur et à la forme des objets des mouvements d’atteinte est principalement basée sur l’intégration des sensations haptiques. À notre connaissance, cette étude est la première à fournir des données quantitatives sur la précision avec laquelle le système haptique peut permettre la perception de la longueur et de la forme d’un objet tenu dans la main afin d’effectuer un mouvement précis en direction d’une cible.
Resumo:
Le contrôle des mouvements du bras fait intervenir plusieurs voies provenant du cerveau. Cette thèse, composée principalement de deux études, tente d’éclaircir les contributions des voies tirant leur origine du système vestibulaire et du cortex moteur. Dans la première étude (Raptis et al 2007), impliquant des mouvements d’atteinte, nous avons cerné l’importance des voies descendantes partant du système vestibulaire pour l’équivalence motrice, i.e. la capacité du système moteur à atteindre un but moteur donné lorsque le nombre de degrés de liberté articulaires varie. L’hypothèse émise était que le système vestibulaire joue un rôle essentiel dans l’équivalence motrice. Nous avons comparé la capacité d’équivalence motrice de sujets sains et de patients vestibulodéficients chroniques lors de mouvements nécessitant un contrôle des positions du bras et du tronc. Pendant que leur vision était temporairement bloquée, les sujets devaient soit maintenir une position de l’index pendant une flexion du tronc, soit atteindre une cible dans l’espace péri-personnel en combinant le mouvement du bras avec une flexion du tronc. Lors d’essais déterminés aléatoirement et imprévus par les participants, leur tronc était retenu par un mécanisme électromagnétique s’activant en même temps que le signal de départ. Les sujets sains ont pu préserver la position ou la trajectoire de l’index dans les deux conditions du tronc (libre, bloqué) en adaptant avec une courte latence (60-180 ms) les mouvements articulaires au niveau du coude et de l’épaule. En comparaison, six des sept patients vestibulodéficients chroniques ont présenté des déficits au plan des adaptations angulaires compensatoires. Pour ces patients, entre 30 % et 100 % du mouvement du tronc n’a pas été compensé et a été transmis à la position ou trajectoire de l’index. Ces résultats indiqueraient que les influences vestibulaires évoquées par le mouvement de la tête pendant la flexion du tronc jouent un rôle majeur pour garantir l’équivalence motrice dans ces tâches d’atteinte lorsque le nombre de degrés de liberté articulaires varie. Également, ils démontrent que la plasticité de long terme survenant spontanément après une lésion vestibulaire unilatérale complète ne serait pas suffisante pour permettre au SNC de retrouver un niveau d’équivalence motrice normal dans les actions combinant un déplacement du bras et du tronc. Ces tâches de coordination bras-tronc constituent ainsi une approche inédite et sensible pour l’évaluation clinique des déficits vestibulaires. Elles permettent de sonder une dimension fonctionnelle des influences vestibulaires qui n’était pas prise en compte dans les tests cliniques usuels, dont la sensibilité relativement limitée empêche souvent la détection d’insuffisances vestibulaires six mois après une lésion de ces voies. Avec cette première étude, nous avons donc exploré comment le cerveau et les voies descendantes intègrent des degrés de liberté articulaires supplémentaires dans le contrôle du bras. Dans la seconde étude (Raptis et al 2010), notre but était de clarifier la nature des variables spécifiées par les voies descendantes pour le contrôle d’actions motrices réalisées avec ce membre. Nous avons testé l’hypothèse selon laquelle les voies corticospinales contrôlent la position et les mouvements des bras en modulant la position-seuil (position de référence à partir de laquelle les muscles commencent à être activés en réponse à une déviation de cette référence). Selon ce principe, les voies corticospinales ne spécifieraient pas directement les patrons d’activité EMG, ce qui se refléterait par une dissociation entre l’EMG et l’excitabilité corticospinale pour des positions-seuils différentes. Dans un manipulandum, des participants (n=16) ont modifié leur angle du poignet, d’une position de flexion (45°) à une position d’extension (-25°), et vice-versa. Les forces élastiques passives des muscles ont été compensées avec un moteur couple afin que les sujets puissent égaliser leur activité EMG de base dans les deux positions. L’excitabilité motoneuronale dans ces positions a été comparée à travers l’analyse des réponses EMG évoquées à la suite d’étirements brefs. Dans les deux positions, le niveau d’EMG et l’excitabilité motoneuronale étaient semblables. De plus, ces tests ont permis de montrer que le repositionnement du poignet était associé à une translation de la position-seuil. Par contre, malgré la similitude de l’excitabilité motoneuronale dans ces positions, l’excitabilité corticospinale des muscles du poignet était significativement différente : les impulsions de stimulation magnétique transcrânienne (TMS; à 1.2 MT, sur l’aire du poignet de M1) ont provoqué des potentiels moteurs évoqués (MEP) de plus grande amplitude en flexion pour les fléchisseurs comparativement à la position d’extension et vice-versa pour les extenseurs (p<0.005 pour le groupe). Lorsque les mêmes positions étaient établies après une relaxation profonde, les réponses réflexes et les amplitudes des MEPs ont drastiquement diminué. La relation caractéristique observée entre position physique et amplitude des MEPs dans le positionnement actif s’est aussi estompée lorsque les muscles étaient relâchés. Cette étude suggère que la voie corticospinale, en association avec les autres voies descendantes, participerait au contrôle de la position-seuil, un processus qui prédéterminerait le référentiel spatial dans lequel l’activité EMG émerge. Ce contrôle de la « référence » constituerait un principe commun s’appliquant à la fois au contrôle de la force musculaire, de la position, du mouvement et de la relaxation. Nous avons aussi mis en évidence qu’il est nécessaire, dans les prochaines recherches ou applications utilisant la TMS, de prendre en compte la configuration-seuil des articulations, afin de bien interpréter les réponses musculaires (ou leurs changements) évoquées par cette technique; en effet, la configuration-seuil influencerait de manière notable l’excitabilité corticomotrice, qui peut être considérée comme un indicateur non seulement lors d’activités musculaires, mais aussi cognitives, après apprentissages moteurs ou lésions neurologiques causant des déficits moteurs (ex. spasticité, faiblesse). Considérées dans leur ensemble, ces deux études apportent un éclairage inédit sur des principes fondamentaux du contrôle moteur : nous y illustrons de manière plus large le rôle du système vestibulaire dans les tâches d’atteinte exigeant une coordination entre le bras et son « support » (le tronc) et clarifions l’implication des voies corticomotrices dans la spécification de paramètres élémentaires du contrôle moteur du bras. De plus amples recherches sont cependant nécessaires afin de mieux comprendre comment les systèmes sensoriels et descendants (e.g. vestibulo-, réticulo-, rubro-, propriospinal) participent et interagissent avec les signaux corticofugaux afin de spécifier les seuils neuromusculaires dans le contrôle de la posture et du mouvement.
Resumo:
This study compared intermanual performance asymmetry between adults and children of different ages in timing components of an aiming task. Participants manipulated a computer mouse with either hand, aiming to rapidly reach targets of different widths with a pointer on a monitor. Results showed longer deceleration movements with the left hand in children, leading to increased intermanual performance asymmetry when aiming at narrower targets. Increased intermanual performance asymmetry in children is conceptualized to derive from planning to minimize trajectory variability when controlling the nondominant hand.
Resumo:
Zielgerichtete Orientierung ermöglicht es Lebewesen, überlebenswichtige Aufgaben, wie die Suche nach Ressourcen, Fortpflanzungspartnern und sicheren Plätzen zu bewältigen. Dafür ist es essentiell, die Umgebung sensorisch wahrzunehmen, frühere Erfahrungen zu speichern und wiederabzurufen und diese Informationen zu integrieren und in motorische Aktionen umzusetzen.rnWelche Neuronengruppen vermitteln zielgerichtete Orientierung im Gehirn einer Fliege? Welche sensorischen Informationen sind in einem gegebenen Kontext relevant und wie werden diese Informationen sowie gespeichertes Vorwissen in motorische Aktionen übersetzt? Wo findet im Gehirn der Übergang von der sensorischen Verarbeitung zur motorischen Kontrolle statt? rnDer Zentralkomplex, ein Verbund von vier Neuropilen des Zentralhirns von Drosophila melanogaster, fungiert als Übergang zwischen in den optischen Loben vorverarbeiteten visuellen Informationen und prämotorischem Ausgang. Die Neuropile sind die Protocerebralbrücke, der Fächerförmige Körper, der Ellipsoidkörper und die Noduli. rnIn der vorliegenden Arbeit konnte gezeigt werden, dass Fruchtfliegen ein räumliches Arbeitsgedächtnis besitzen. Dieses Gedächtnis kann aktuelle visuelle Information ersetzen, wenn die Sicht auf das Zielobjekt verloren geht. Dies erfordert die sensorische Wahrnehmung von Zielobjekten, die Speicherung der Position, die kontinuierliche Integration von Eigen-und Objektposition, sowie die Umsetzung der sensorischen Information in zielgerichtete Bewegung. Durch konditionale Expression von Tetanus Toxin mittels des GAL4/UAS/GAL80ts Systems konnte gezeigt werden, dass die Ringneurone, welche in den Ellipsoidkörper projizieren, für das Orientierungsgedächtnis notwendig sind. Außerdem konnte gezeigt werden, dass Fliegen, denen die ribosomale Serinkinase S6KII fehlt, die Richtung verlieren, sobald keine Objekte mehr sichtbar sind und, dass die partielle Rettung dieser Kinase ausschließlich in den Ringneuronenklassen R3 und R4d hinreichend ist, um das Gedächtnis wieder herzustellen. Bei dieser Gedächtnisleistung scheint es sich um eine idiothetische Form der Orientierung zu handeln. rn Während das räumliche Arbeitsgedächtnis nach Verschwinden von Objekten relevant ist, wurde in der vorliegende Arbeit auch die Vermittlung zielgerichteter Bewegung auf sichtbare Objekte untersucht. Dabei wurde die zentrale Frage bearbeitet, welche Neuronengruppen visuelle Orientierung vermitteln. Anhand von Gehirnstrukturmutanten konnte gezeigt werden, dass eine intakte Protocerebralbrücke notwendig ist, um Laufgeschwindigkeit, Laufaktivität und Zielgenauigkeit bei der Ansteuerung visueller Stimuli korrekt zu vermitteln. Dabei scheint das Horizontale Fasersystem, welches von der Protocerebralbrücke über den Fächerförmigen Körper auf den Zentralkomplex assoziierte Neuropile, die Ventralkörper, projiziert, notwendig für die lokomotorische Kontrolle und die zielgenaue Bewegung zu sein. Letzeres konnte zum einen durch Blockade der synaptischen Transmission anhand konditionaler Tetanus Toxin Expression mittels des GAL4/UAS/GAL80ts Systems im Horizontalen Fasersystem gezeigt werden;. zum anderen auch durch partielle Rettung der in den Strukturmutanten betroffenen Gene. rn Den aktuellen Ergebnissen und früheren Studien folgend, ergibt sich dabei ein Modell, wie zielgerichtete Bewegung auf visuelle Stimuli neuronal vermittelt werden könnte. Nach diesem Modell bildet die Protocerebralbrücke die Azimuthpositionen von Objekten ab und das Horizontale Fasersystem vermittelt die entsprechende lokomotorische Wo-Information für zielgerichtete Bewegungen. Die Eigenposition in Relation zum Zielobjekt wird über die Ringneurone und den Ellipsoidkörper vermittelt. Wenn das Objekt aus der Sicht verschwindet, kann die Relativposition ideothetisch ermittelt werden und integriert werden mit Vorinformation über das Zielobjekt, die im Fächerförmigen Körper abgelegt ist (Was-Information). Die resultierenden Informationen könnten dann über das Horizontale Fasersystem in den Ventralkörpern auf absteigende Neurone gelangen und in den Thorax zu den motorischen Zentren weitergeleitet werden.rn
Resumo:
Consistent with action-based theories of attention, the presence of a nontarget stimulus in the environment has been shown to alter the characteristics of goal-directed movements. Specifically, it has been reported that movement trajectories veer away from (Howard & Tipper, 1997) or towards (Welsh, Elliott, & Weeks, 1999) the location of a nontarget stimulus. The purpose of the experiments reported in this paper was to test a response activation model of selective reaching conceived to account for these variable results. In agreement with the model, the trajectory changes in the movements appear to be determined by the activation levels of each competing response at the moment of response initiation. The results of the present work, as well as those of previous studies, are discussed within the framework of the model of response activation.
Resumo:
Given that the auditory system is rather well developed at the end of the third trimester of pregnancy, it is likely that couplings between acoustics and motor activity can be integrated as early as at the beginning of postnatal life. The aim of the present mini-review was to summarize and discuss studies on early auditory-motor integration, focusing particularly on upper-limb movements (one of the most crucial means to interact with the environment) in association with auditory stimuli, to develop further understanding of their significance with regard to early infant development. Many studies have investigated the relationship between various infant behaviors (e.g., sucking, visual fixation, head turning) and auditory stimuli, and established that human infants can be observed displaying couplings between action and environmental sensory stimulation already from just after birth, clearly indicating a propensity for intentional behavior. Surprisingly few studies, however, have investigated the associations between upper-limb movements and different auditory stimuli in newborns and young infants, infants born at risk for developmental disorders/delays in particular. Findings from studies of early auditory-motor interaction support that the developing integration of sensory and motor systems is a fundamental part of the process guiding the development of goal-directed action in infancy, of great importance for continued motor, perceptual, and cognitive development. At-risk infants (e.g., those born preterm) may display increasing central auditory processing disorders, negatively affecting early sensorymotor integration, and resulting in long-term consequences on gesturing, language development, and social communication. Consequently, there is a need for more studies on such implications.
Resumo:
The value of information technology (IT) is often realized when continuously being used after users’ initial acceptance. However, previous research on continuing IT usage is limited for dismissing the importance of mental goals in directing users’ behaviors and for inadequately accommodating the group context of users. This in-progress paper offers a synthesis of several literature to conceptualize continuing IT usage as multilevel constructs and to view IT usage behavior as directed and energized by a set of mental goals. Drawing from the self-regulation theory in the social psychology, this paper proposes a process model, positioning continuing IT usage as multiple-goal pursuit. An agent-based modeling approach is suggested to further explore causal and analytical implications of the proposed process model.
Resumo:
This paper presents a symbolic navigation system that uses spatial language descriptions to inform goal-directed exploration in unfamiliar office environments. An abstract map is created from a collection of natural language phrases describing the spatial layout of the environment. The spatial representation in the abstract map is controlled by a constraint based interpretation of each natural language phrase. In goal-directed exploration of an unseen office environment, the robot links the information in the abstract map to observed symbolic information and its grounded world representation. This paper demonstrates the ability of the system, in both simulated and real-world trials, to efficiently find target rooms in environments that it has never been to previously. In three unexplored environments, it is shown that on average the system travels only 8.42% further than the optimal path when using only natural language phrases to complete navigation tasks.
Resumo:
This article describes two neural network modules that form part of an emerging theory of how adaptive control of goal-directed sensory-motor skills is achieved by humans and other animals. The Vector-Integration-To-Endpoint (VITE) model suggests how synchronous multi-joint trajectories are generated and performed at variable speeds. The Factorization-of-LEngth-and-TEnsion (FLETE) model suggests how outflow movement commands from a VITE model may be performed at variable force levels without a loss of positional accuracy. The invariance of positional control under speed and force rescaling sheds new light upon a familiar strategy of motor skill development: Skill learning begins with performance at low speed and low limb compliance and proceeds to higher speeds and compliances. The VITE model helps to explain many neural and behavioral data about trajectory formation, including data about neural coding within the posterior parietal cortex, motor cortex, and globus pallidus, and behavioral properties such as Woodworth's Law, Fitts Law, peak acceleration as a function of movement amplitude and duration, isotonic arm movement properties before and after arm-deafferentation, central error correction properties of isometric contractions, motor priming without overt action, velocity amplification during target switching, velocity profile invariance across different movement distances, changes in velocity profile asymmetry across different movement durations, staggered onset times for controlling linear trajectories with synchronous offset times, changes in the ratio of maximum to average velocity during discrete versus serial movements, and shared properties of arm and speech articulator movements. The FLETE model provides new insights into how spina-muscular circuits process variable forces without a loss of positional control. These results explicate the size principle of motor neuron recruitment, descending co-contractive compliance signals, Renshaw cells, Ia interneurons, fast automatic reactive control by ascending feedback from muscle spindles, slow adaptive predictive control via cerebellar learning using muscle spindle error signals to train adaptive movement gains, fractured somatotopy in the opponent organization of cerebellar learning, adaptive compensation for variable moment-arms, and force feedback from Golgi tendon organs. More generally, the models provide a computational rationale for the use of nonspecific control signals in volitional control, or "acts of will", and of efference copies and opponent processing in both reactive and adaptive motor control tasks.
Resumo:
Goal-directed, coordinated movements in humans emerge from a variety of constraints that range from 'high-level' cognitive strategies based oil perception of the task to 'low-level' neuromuscular-skeletal factors such as differential contributions to coordination from flexor and extensor muscles. There has been a tendency in the literature to dichotomize these sources of constraint, favouring one or the other rather than recognizing and understanding their mutual interplay. In this experiment, subjects were required to coordinate rhythmic flexion and extension movements with an auditory metronome, the rate of which was systematically increased. When subjects started in extension on the beat of the metronome, there was a small tendency to switch to flexion at higher rates, but not vice versa. When subjects: were asked to contact a physical stop, the location of which was either coincident with or counterphase to the auditor) stimulus, two effects occurred. When haptic contact was coincident with sound, coordination was stabilized for both flexion and extension. When haptic contact was counterphase to the metronome, coordination was actually destabilized, with transitions occurring from both extension to flexion on the beat and from flexion to extension on the beat. These results reveal the complementary nature of strategic and neuromuscular factors in sensorimotor coordination. They also suggest the presence of a multimodal neural integration process-which is parametrizable by rate and context - in which intentional movement, touch and sound are bound into a single, coherent unit.
Resumo:
The aim of this study was to determine the role of head, eye and arm movements during the execution of a table tennis forehand stroke. Three-dimensional kinematic analysis of line-of-gaze, arm and ball was used to describe visual and motor behaviour. Skilled and less skilled participants returned the ball to cued right or left target areas under three levels of temporal constraint: pre-, early- and late-cue conditions. In the pre- and early-cue conditions, both high and low skill participants tracked the ball early in flight and kept gaze stable on a location in advance of the ball before ball-bat contact. Skilled participants demonstrated an earlier onset of ball tracking and recorded higher performance accuracy than less skilled counterparts. The manipulation of cue condition showed the limits of adaptation to maintain accuracy on the target. Participants were able to accommodate the constraints imposed by the early-cue condition by using a shorter quiet eye duration, earlier quiet eye offset and reduced arm velocity at contact. In the late-cue condition, modifications to gaze, head and arm movements were not sufficient to preserve accuracy. The findings highlight the functional coupling between perception and action during time-constrained, goal-directed actions.
Resumo:
We usually perform actions in a dynamic environment and changes in the location of a target for an upcoming action require both covert shifts of attention and motor planning update. In this study we tested whether, similarly to oculomotor areas that provide signals for overt and covert attention shifts, covert attention shifts modulate activity in cortical area V6A, which provides a bridge between visual signals and arm-motor control. We performed single cell recordings in monkeys trained to fixate straight-ahead while shifting attention outward to a peripheral cue and inward again to the fixation point. We found that neurons in V6A are influenced by spatial attention demonstrating that visual, motor, and attentional responses can occur in combination in single neurons of V6A. This modulation in an area primarily involved in visuo-motor transformation for reaching suggests that also reach-related regions could directly contribute in the shifts of spatial attention necessary to plan and control goal-directed arm movements. Moreover, to test whether V6A is causally involved in these processes, we have performed a human study using on-line repetitive transcranial magnetic stimulation over the putative human V6A (pV6A) during an attention and a reaching task requiring covert shifts of attention and reaching movements towards cued targets in space. We demonstrate that the pV6A is causally involved in attention reorienting to target detection and that this process interferes with the execution of reaching movements towards unattended targets. The current findings suggest the direct involvement of the action-related dorso-medial visual stream in attentional processes, and a more specific role of V6A in attention reorienting. Therefore, we propose that attention signals are used by the V6A to rapidly update the current motor plan or the ongoing action when a behaviorally relevant object unexpectedly appears at an unattended location.
Resumo:
Slope of terrain is an important orienting gradient affecting the goal-directed locomotion of animals. Its significance was assessed in experiment 1 by training rats to find in darkness a feeder on the top of a low cone (80-cm base, 0- to 4-cm high). A computerized infrared tracking system monitoring the rat's position in darkness showed that the path length on the cone surface was inversely proportional to cone height. A device allowing continuous generation of slope-guided locomotion was used in experiment 2. This device consists of a 1-m arena, the floor of which can be supported at a point corresponding to the position of one of three equidistant feeders located 17 cm from its center. The arena is inclined by the locomotion of the rat to a plane passing through the elevated (2- or 4-cm) feeder, the rat's center of gravity, and a point at the edge of the arena resting on the floor. The multitude of such planes generated by the rat's locomotion forms the surface of a virtual cone, the top of which is formed by the feeder. Additional path (difference between distance traveled and shortest distance of the animal from the goal at the onset of inclination) is inversely related to the incline of the arena and is a sensitive measure of performance in this type of vestibular navigation.
Resumo:
In recent treatments of habitual social behaviour, habits are conceptualized as a form of goal-directed automatic behaviour that are mentally represented as goal-action links. Three experiments tested this conceptualization in the context of students' drinking (alcohol consumption)habits. Participants were randomly assigned to conditions where either a goal related to drinking behaviour (socializing) was activated, or an unrelated goal was activated. In addition, participants' drinking habits were measured. The dependent variable in Experiments 1 and 2 was readiness to drink, operationalized by speed of responding to the action concept 'drinking' in a verb verification task. Experiment 3 used the uptake of a voucher to measure drinking behaviour. Findings supported the view that when habits are established, simply activating a goal related to the focal behaviour automatically elicits that behaviour. These findings are consistent with a goal-dependent conception of habit. Possibilities for interventions designed to attenuate undesirable habitual behaviours are considered.