999 resultados para Filologia italiana
Resumo:
Este trabajo representa una prueba piloto de una parte del futuro trabajo de investigación al que me dedicaré durante el doctorado.Se trata concretamente de poner a prueba ciertas estructuras lingüísticas escogidaspara el análisis de artículos periodísticos, a través de un análisis de una muestrareducida de 20 artículos del periódico El País.El análisis de prensa tiene como objetivo, dentro del marco más amplio de la futuratesis doctoral, identificar la construcción lingüística de la identidad nacional italianadentro de la prensa española, describirla e identificar las estrategias discursivas que la rigen.Esta prueba piloto ha demostrado que las estructuras lingüísticas escogidas eranapropiadas (temas, predicación del sujeto, adjetivación, adverbios, colecciones desentidos, figuras del discurso y posición del enunciante con respecto al discurso), pero también ha sacado a luz la necesidad de una metodología de análisis constantementeredefinida según los textos que constituyen el corpus, una redefinición in itinereconstante.También se ha podido describir los elementos que componen el concepto de la identidad nacional italiana tal y como se representa en la prensa española (aunque hay que recordar que la muestra es demasiado pequeña para ser considerada representativa).Finalmente, se ha identificado una coherencia global en los artículos de la muestra en servir una macro-estrategia de transformación de la identidad nacional italiana que hemos definido como metamorfosis a peor, desde un pasado glorioso hacia un presente y futuro próximo de decadencia.
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El presente estudio versa sobre las problemáticas derivadas de la traducción, al castellano y al catalán, del divertido pastiche lingüístico del escritor siciliano Andrea Camilleri. Para indagar el problema, hemos escogido las novelas Il birraio di Preston (1995) e Il cane di terracotta (1995), como muestra significativa de los dos géneros cultivados por nuestro autor, respectivamente la novela policial y la novela histórica. Se trata de textos que ponen al traductor frente a la empresa seductora y, a la vez, titánica de encontrar en su lengua una forma de devolver acertadamente la “sicilianidad” y el mosaico de dialectos italianos: para los teóricos y los traductores el lenguaje no estándar representa un reto que pone frente a problemáticas todavía no resueltas. Con este estudio descriptivo nos proponemos arrojar luz sobre este complejo asunto y tratar de indicar unas posibles pautas a seguir para el que quiera continuar con esta dialéctica.
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La cantata da camera italiana va tenir el seu màxim esplendor durant el segle XVII i principis del XVIII. A partir de l’anàlisi d’obres de quatre compositors (Albinoni, Scarlatti, Caldara i Vivaldi) s’estudia l’evolució d’aquesta forma, els seus orígens i la seva interpretació, fent especial atenció al text i a l’ornamentació.
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Numérisation partielle de reliure
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Se analizan las referencias bibliográficas incluidas en un conjunto de obras de referencia y actas de congresos sobre filología española. A partir de este análisis, se determina el peso de diferentes tipologías documentalesmonografías, publicaciones periódicas y actas de congresos como canal de comunicación en esta disciplina. Asimismo se establecen los rankings de editoriales y revistas más citadas. A continuación, se realiza un estudio exhaustivo de citas a revistas, a partir del análisis de las referencias presentes en el núcleo de revistas más citadas establecido en la etapa anterior. Los resultados obtenidos muestran un uso considerable de formas de comunicación alternativas a los artículos en revistas académicas, como los libros o la prensa. Los rankings de títulos más citados obtenidos en las dos fases del estudio son similares entre sí, coinciden con los identificados en otros estudios previos e incluyen la mayoría de títulos vaciados en el Arts and Humanities Citation Index, lo que demuestra su validez.
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Ce travail de recherche a visé deux aspects: celui d'identification et d'analyse des textes et celui de parution des deux premières traductions en langue anglaise et italienne des contes. La recherche s'est développée essentiellement tenant compte de trois notions importantes: dialogue, intertextualité et intercultureLa première étape a donc été de repérer la première traduction en langue italienne et anglaise des contes pour une évaluation du texte qui puisse ainsi permettre de commencer le parcours d'analyse comparée. En ce qui concerne celle anglaise il y avait déjà une date certaine, 1729, et le nom du traducteur: Robert Samber; La version anglaise, ayant paru en 1960 dans une édition partielle sous la direction de Jacques Barchilon et Henry Pettit, était plus facile à repérer; en outre la British Library avait dans son catalogue celle originelle et complète de 1729. Repérer la version italienne a pris plus de temps et a été complexe car on ne connaissait que certaines dates, 1754 et 1752, et aucune autre indication. La première des deux s'avérait inexacte, tandis que la deuxième était celle d'une réédition mais ce n'était pas la date de la première traduction italienne. Traduction que l'on estimait ne plus exister, ou bien perdue. Toutefois, au cours des recherches préliminaires j'ai finalement trouvé une édition en italien des contes de 1727: c'est la plus ancienne connue et, peut-être, c'est bien la première traduction italienne et, de toute façon, à considérer comme la première dans une langue européenne. Les chapitres initiaux se développent autour de l'aspect qui concerne le complexe dialogue interculturel qui a eu lieu et qui a mené, à travers une compliquée mosaïque d'intrigues, au changement de perspective d'un genre dans les différentes cultures: de cunto à conte de fées d'un côté et de conte de fée à fiaba et à fairy taie de l'autre. Les chapitres successifs sont consacrés à la présentation du texte des deux traductions et à l'analyse de celui-ci selon la méthode de la comparaison différentielle. La partie qui concerne plus précisément l'analyse du texte des deux traductions vise à mettre en exergue tous les points de divergence de celui français de l'édition Barbin de 1697, qui est repris ici pour les deux traductions comme le texte fondamental de départ, et a représenté d'un côté l'élément pour une évaluation de l'oeuvre du traducteur et de l'autre a fourni les éléments pour comprendre quel a été l'accueil du texte lui-même dans le nouveau contexte culturel cible. Les points de vue littéraire et linguistique ont été privilégiés dans la recherche, par rapport à celui folkloriste et anthropologique.Avec cette étude on a démontré que, dans les contextes linguistiques et culturels anglais et italien visés, il y a une présence des contes de Perrault. Que cette présence se réalise par l'intermédiaire du travail de traduction qui en a modifié et, parfois, changé la perspective et le plan énonciatif du message selon la nécessité dans laquelle se trouvait le traducteur. Et enfin que chacune des deux traductions peut être considérée comme une ré-énonciation sui generts.Etant donné que les textes des deux traductions ne sont pas faciles à repérer, celui italien de 1727 est à considérer comme une véritable découverte éditoriale, leur parution intégrale constitue non seulement un complément indispensable à la recherche mais aussi une contribution pour leur connaissance et leur étude et approfondissement supplémentaires.