991 resultados para Febvre, Frédéric (1833-1916) -- Correspondance


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The Welland Power and Supply Canal Company Limited, established in 1893 and incorporated in 1894 with a capital stock of $500,000. The aim of the company was to harness the natural water supply of the Niagara and Welland Rivers. In 1898 the Canadian Electrical News published a report by Henry Symons, QC outlining the main project of the company. This project involves the construction of a canal from the Welland River to the brow of the mountain at Thorold, a distance of 8 miles; the construction at Thorold of a power house, and from Thorold to Lake Ontario, a raceway by which to carry water into the lake. The estimate for the machinery to generate 100,000 horse power is £125,000; for transmission line to Toronto at a voltage of 10,000….The total estimate therefore amounts to £2,452,162, or roughly speaking, $12,000,000. Source: Canadian Electrical News, August 1898, p. 172. In 1899 the company officers petitioned the federal government desiring a name change to the Niagara-Welland Power Company Limited. Officers of the company were Harry Symons, President; Charles A. Hesson, Vice-President; and M.R. O’Loughlin, James B. Sheehan, James S. Haydon, Frederick K. Foster, directors; John S. Campbell, secretary-treasurer. The company’s head offices were located in St. Catharines, with a New York (City) office on Broad Street. In 1905 and 1909 the company petitioned the federal government for additional time to construct its works, which was granted. The company had until May 16, 1915 to complete construction. John S. Campbell (1860-1950) was a graduate of the University of Toronto and Osgoode Hall. During his university years John began his military career first in "K" Company, Queens Own rifles and then later as Commanding Officer of the 19th Lincoln Regiment, from 1906 to 1910. Upon his return to St. Catharines John Campbell served as secretary in the St. Catharines Garrison Club, a social club for military men begun in 1899. After being called to the Bar, he became a partner in the firm of Campbell and McCarron and was appointed to the bench in 1916, serving until retirement in 1934. Judge Campbell served as an alderman for several terms and was the mayor of St. Catharines in 1908 and 1909. He also served as the first chairman of the St. Catharines Public Utilities in 1914. John S. Campbell was married to Elizabeth Oille, daughter of Jerome B. and Charlotte (St. John) Oille. The family home "Cruachan" was located at 32 Church St.

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Depuis les Lettres de Madame de Sévigné à sa fille, la pratique épistolaire permet à la mère et à la fille d’entretenir un lien à distance. Outre la valeur communicative à l’origine de ce lien, l’espace de la lettre fait intervenir le moi de l’épistolière dans le mouvement de l’écriture. Cette particularité est propice à l’élaboration d’une image propre aux buts recherchés de la correspondance en adoptant une rhétorique qui crée un effet sur la destinataire incitée à répondre, à prendre position, à construire une image de soi par le biais de l’échange épistolaire. Une forme de littérarité se manifeste dans ce genre de lettres comme nous le démontrons à propos des Lettres à sa fille (1916-1953) de Colette. L’étape de la maternité constitue une fatalité redoutée ou refusée pour certaines femmes qui connaissent un amour tardivement, voire jamais. Colette s’inscrit dans cette lignée de mères atypiques en refusant le rôle maternel pour consacrer sa vie à sa carrière d’écrivaine. Elle entretient néanmoins pendant trente-sept ans une correspondance avec sa fille, Colette de Jouvenel, afin de satisfaire à la représentation sociale voulant que la mère soit religieusement dévouée à son enfant. Mère physiquement absente la plupart du temps, Colette construit un éthos épistolaire qui oscille entre garder sa fille près d’elle grâce aux mots tout en maintenant la distance physique et sentimentale avec celle qui doit trouver sa place dans la correspondance. Colette se défile, mais s’impose aussi par son omniprésence dans l’univers de son enfant en témoignant d’une sévérité propre à sa posture d’auteure. Le déploiement de cette facette de l’écrivaine dans l’échange épistolaire à priori privé est rendu possible en raison du statut générique de la lettre : de fait, l’écriture épistolaire favorise, non seulement un rapport de soi à l’autre, mais également de soi à soi à travers divers effets spéculaires. L’étude de l’éthos maternel nous amène à nous interroger finalement sur l’éthos de la jeune fille contrainte de se construire dans une relation de dépendance avec l’image de la sur-mère.

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Edited from the originals preserved in the Musée Plantin-Moretus at Antwerp: v. 1-3, by Max Rooses; v. 4-8/9, by J. Denucé.

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Vols. 16-25 are numbered also "serie nuova," v. 1-10.

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"Accompagné de l'origne du peuple savoisien, de celle des ses souverains, et de l'histoire des Êtats-généraux de Savoie; suivi de considérations sur la position militaire de ce duché, sur la nécessité de porter les frontières de la France au Mont-Cénis et au Petit-Saint-Bernard, les seules limites naturelles entre cette puissance et l'Italie."