954 resultados para Equivalent Effective Temperature
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The emission from young stellar objects (YSOs) in the mid-infrared (mid-IR) is dominated by the inner rim of their circumstellar disks. We present IR data from the Young Stellar Object VARiability (YSOVAR) survey of ~800 objects in the direction of the Lynds 1688 (L1688) star-forming region over four visibility windows spanning 1.6 yr using the Spitzer Space Telescope in its warm mission phase. Among all light curves, 57 sources are cluster members identified based on their spectral energy distribution and X-ray emission. Almost all cluster members show significant variability. The amplitude of the variability is larger in more embedded YSOs. Ten out of 57 cluster members have periodic variations in the light curves with periods typically between three and seven days, but even for those sources, significant variability in addition to the periodic signal can be seen. No period is stable over 1.6 yr. Nonperiodic light curves often still show a preferred timescale of variability that is longer for more embedded sources. About half of all sources exhibit redder colors in a fainter state. This is compatible with time-variable absorption toward the YSO. The other half becomes bluer when fainter. These colors can only be explained with significant changes in the structure of the inner disk. No relation between mid-IR variability and stellar effective temperature or X-ray spectrum is found.
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De nouveaux modèles d'atmosphère sont présentés, incluant les profils de raie d'hélium neutre améliorés de Beauchamp (1995) et le formalisme de probabilité d'occupation pour ce même atome. Ces modèles sont utilisés pour calculer une grille de spectres synthétiques correspondant à des atmosphères riches en hélium et contenant des traces d'hydrogène. Cette grille est utilisée pour déterminer les paramètres atmosphériques principaux des étoiles de notre échantillon, soient la température effective, la gravité de surface et l'abondance d'hydrogène. Notre échantillon contient des spectres visibles de haut rapport signal-sur-bruit pour 102 naines blanches riches en hélium, dont 29 ont été observés au cours de ce projet, ce qui en fait le plus grand échantillon de spectres de qualité de naines blanches riches en hélium. Des spectres synthétiques ont été calculés en utilisant différentes valeurs du paramètre α de la théorie de la longueur de mélange dans le but de calibrer empiriquement la valeur de ce paramètre pour les DB. Afin d'améliorer la précision sur les paramètres atmosphériques de quelques étoiles, nous avons utilisé des spectres couvrant la raie Hα pour mieux déterminer l'abondance d'hydrogène. Finalement, nous avons calculé la distribution de masse de notre échantillon et la fonction de luminosité des DB. La distribution de masse montre une coupure à 0.5 fois la masse solaire qui est prédite par les modèles d'évolution stellaire et dévoile une masse moyenne significativement plus élevée pour les étoiles de type DBA. La masse moyenne de l'ensemble des DB et DBA est très proche de celle des DA. La fonction de luminosité nous permet de calculer que le rapport du nombre de DB sur le nombre de DA vaut environ 25%.
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Nous présentons nos grilles de modèles d'atmosphères pour les étoiles sous-naines chaudes de type O (sdO) soit : des modèles classiques hors-ETL H, He, des modèles hors-ETL avec, en plus, du C, N, O et finalement des modèles incluant C, N, O, Fe. En utilisant les raies de Balmer et d'hélium dans le domaine du visible, nous avons fait des comparaisons entre les spectres théoriques de nos différentes grilles afin de caractériser les effets des métaux. On trouve que ces effets dépendent à la fois de la température et de la gravité. De plus, l'abondance d'hélium a une influence importante sur les effets des métaux; une abondance d'hélium faible (log N(He)/N(H) < -1,5) occasionne des effets assez importants alors qu'une abondance plus élevée tend à réduire ces mêmes effets. Nous avons aussi trouvé que l'ajout du fer (en abondance solaire) ne cause que des changements relativement faibles à la structure en température et, par le fait même, aux profils des raies d'hydrogène et d'hélium, par rapport aux changements déjà produits par le C, N, O (en abondance solaire). Nous avons utilisé nos grilles pour faire une analyse spectroscopique du spectre à haut signal sur bruit (180) et basse résolution (9 Å) de SDSS J160043.6+074802.9 obtenu au télescope Bok. Notre meilleure ajustement a été obtenu avec notre grille de spectres synthétiques incluant C, N, O et Fe en quantité solaire, menant aux paramètres suivants : Teff = 68 500 ± 1770 K, log g = 6,09 ± 0,07, and log N(He)/N(H) = -0,64 ± 0,05, où les incertitudes proviennent uniquement de la procédure d'ajustement. Ces paramètres atmosphériques, particulièrement la valeur de l'abondance d'hélium, placent notre étoile dans une région où les effets des métaux ne sont pas très marqués.
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Le but de cette thèse est de raffiner et de mieux comprendre l'utilisation de la méthode spectroscopique, qui compare des spectres visibles de naines blanches à atmosphère riche en hydrogène (DA) à des spectres synthétiques pour en déterminer les paramètres atmosphériques (température effective et gravité de surface). Notre approche repose principalement sur le développement de modèles de spectres améliorés, qui proviennent eux-mêmes de modèles d'atmosphère de naines blanches de type DA. Nous présentons une nouvelle grille de spectres synthétiques de DA avec la première implémentation cohérente de la théorie du gaz non-idéal de Hummer & Mihalas et de la théorie unifiée de l'élargissement Stark de Vidal, Cooper & Smith. Cela permet un traitement adéquat du chevauchement des raies de la série de Balmer, sans la nécessité d'un paramètre libre. Nous montrons que ces spectres améliorés prédisent des gravités de surface qui sont plus stables en fonction de la température effective. Nous étudions ensuite le problème de longue date des gravités élevées pour les DA froides. L'hypothèse de Bergeron et al., selon laquelle les atmosphères sont contaminées par de l'hélium, est confrontée aux observations. À l'aide de spectres haute résolution récoltés au télescope Keck à Hawaii, nous trouvons des limites supérieures sur la quantité d'hélium dans les atmosphères de près de 10 fois moindres que celles requises par le scénario de Bergeron et al. La grille de spectres conçue dans ces travaux est ensuite appliquée à une nouvelle analyse spectroscopique de l'échantillon de DA du SDSS. Notre approche minutieuse permet de définir un échantillon plus propre et d'identifier un nombre important de naines blanches binaires. Nous déterminons qu'une coupure à un rapport signal-sur-bruit S/N > 15 optimise la grandeur et la qualité de l'échantillon pour calculer la masse moyenne, pour laquelle nous trouvons une valeur de 0.613 masse solaire. Finalement, huit nouveaux modèles 3D de naines blanches utilisant un traitement d'hydrodynamique radiative de la convection sont présentés. Nous avons également calculé des modèles avec la même physique, mais avec une traitement standard 1D de la convection avec la théorie de la longueur de mélange. Un analyse différentielle entre ces deux séries de modèles montre que les modèles 3D prédisent des gravités considérablement plus basses. Nous concluons que le problème des gravités élevées dans les naines blanches DA froides est fort probablement causé par une faiblesse dans la théorie de la longueur de mélange.
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Suite à la découverte d’environ 2000 naines brunes au cours des deux dernières décennies, on commence à bien comprendre la physique de ces objets de masse intermédiaire entre les étoiles et les planètes. Malgré tout, les modèles d’atmosphère et d’évolution de ces objets peu massifs peinent toujours à reproduire fidèlement leurs caractéristiques pour les âges les plus jeunes. Ce travail propose la caractérisation de quatre compagnons de masse sous-stellaire (8-30 MJup) en orbite à grande séparation (300-900 UA) autour d'étoiles jeunes (5 Ma) de la région de formation Upper Scorpius. De nouveaux spectres (0,9-2,5 um) et de nouvelles mesures photométriques (YJHKsL') sont présentés et analysés, dans le but de déterminer la masse, température effective, luminosité et gravité de surface de ces compagnons, tout en évaluant la fidélité avec laquelle les spectres synthétiques tirés de deux modèles d’atmosphère récents reproduisent les spectres observés.
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Avec la mise en place dans les dernières années d'une grappe d'ordinateurs (CALYS) dédiés aux calculs de modèles stellaires pour notre groupe de recherche, il nous est désormais possible d'exploiter à leur plein potentiel les modèles d'atmosphères hors équilibre thermodynamique local (HETL) en y incluant des éléments métalliques. Ce type de modèles, plutôt exigeant en temps de calcul, est toutefois essentiel pour analyser correctement les spectres d'étoiles chaudes comme les sous-naines de type O (sdO). Les travaux effectués dans le cadre de cette thèse ont comme point commun l'utilisation de tels modèles d'atmosphères pour faire l'analyse spectroscopique d'étoiles sous-naines chaudes dans des contextes variés. Le coeur de cette thèse porte sur Bd+28 4211, une étoile standard de type sdO très chaude, dans laquelle le problème des raies de Balmer, qui empêche de reproduire ces dernières avec une unique, et réaliste, combinaison de paramètres atmosphériques, est bien présent. Dans un premier temps nous présentons une analyse approfondie de son spectre ultraviolet (UV). Cela nous permet de déterminer les abondances de métaux dans l'atmosphère de l'étoile et de contraindre sa température effective et sa gravité de surface. Par la suite, ces résultats servent de point de départ à l'analyse du spectre optique de l'étoile, dans lequel le problème des raies de Balmer se fait sentir. Cette analyse nous permet de conclure que l'inclusion des abondances métalliques propres à l'étoile dans les modèles d'atmosphères HETL n'est pas suffisant pour surmonter le problème des raies de Balmer. Toutefois, en y incluant des abondances dix fois solaires, nous arrivons à reproduire correctement les raies de Balmer et d'hélium présentes dans les spectres visibles lors d'un ajustement de paramètres. De plus, les paramètres résultants concordent avec ceux indiqués par le spectre UV. Nous concluons que des sources d'opacité encore inconnues ou mal modélisées sont à la source de ce problème endémique aux étoiles chaudes. Par la suite nous faisons une étude spectroscopique de Feige 48, une étoile de type sdB pulsante particulièrement importante. Nous arrivons à reproduire très bien le spectre visible de cette étoile, incluant les nombreuses raies métalliques qui s'y trouvent. Les paramètres fondamentaux obtenus pour Feige 48 corroborent ceux déjà présents dans la littérature, qui ont été obtenus avec des types de modèles d'atmosphères moins sophistiqués, ce qui implique que les effets HETL couplés à la présence de métaux ne sont pas importants dans l'atmosphère de cette étoile particulière. Nous pouvons donc affirmer que les paramètres de cette étoile sont fiables et peuvent servir de base à une future étude astérosismologique quantitative. Finalement, 38 étoiles sous-naines chaudes appartenant à l'amas globulaire omega Centauri ont été analysées afin de déterminer, outre leur température et gravité de surface, leurs abondances d'hélium et de carbone. Nous montrons qu'il existe une corrélation entre les abondances photosphériques de ces deux éléments. Nous trouvons aussi des différences entre les étoiles riches en hélium de l'amas du celles du champ. Dans leur ensemble, nos résultats remettent en question notre compréhension du mécanisme de formation des sous-naines riches en hélium.
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L'outil développé dans le cadre de cette thèse est disponible à l'adresse suivante: www.astro.umontreal.ca/~malo/banyan.php
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Les étoiles naines blanches représentent la fin de l’évolution de 97% des étoiles de notre galaxie, dont notre Soleil. L’étude des propriétés globales de ces étoiles (distribution en température, distribution de masse, fonction de luminosité, etc.) requiert l’élaboration d’ensembles statistiquement complets et bien définis. Bien que plusieurs relevés d’étoiles naines blanches existent dans la littérature, la plupart de ceux-ci souffrent de biais statistiques importants pour ce genre d’analyse. L’échantillon le plus représentatif de la population d’étoiles naines blanches demeure à ce jour celui défini dans un volume complet, restreint à l’environnement immédiat du Soleil, soit à une distance de 20 pc (∼ 65 années-lumière) de celui-ci. Malheureusement, comme les naines blanches sont des étoiles intrinsèquement peu lumineuses, cet échantillon ne contient que ∼ 130 objets, compromettant ainsi toute étude statistique significative. Le but de notre étude est de recenser la population d’étoiles naines blanches dans le voisinage solaire a une distance de 40 pc, soit un volume huit fois plus grand. Nous avons ainsi entrepris de répertorier toutes les étoiles naines blanches à moins de 40 pc du Soleil à partir de SUPERBLINK, un vaste catalogue contenant le mouvement propre et les données photométriques de plus de 2 millions d’étoiles. Notre approche est basée sur la méthode des mouvements propres réduits qui permet d’isoler les étoiles naines blanches des autres populations stellaires. Les distances de toutes les candidates naines blanches sont estimées à l’aide de relations couleur-magnitude théoriques afin d’identifier les objets se situant à moins de 40 pc du Soleil, dans l’hémisphère nord. La confirmation spectroscopique du statut de naine blanche de nos ∼ 1100 candidates a ensuite requis 15 missions d’observations astronomiques sur trois grands télescopes à Kitt Peak en Arizona, ainsi qu’une soixantaine d’heures allouées sur les télescopes de 8 m des observatoires Gemini Nord et Sud. Nous avons ainsi découvert 322 nouvelles étoiles naines blanches de plusieurs types spectraux différents, dont 173 sont à moins de 40 pc, soit une augmentation de 40% du nombre de naines blanches connues à l’intérieur de ce volume. Parmi ces nouvelles naines blanches, 4 se trouvent probablement à moins de 20 pc du Soleil. De plus, nous démontrons que notre technique est très efficace pour identifier les étoiles naines blanches dans la région peuplée du plan de la Galaxie. Nous présentons ensuite une analyse spectroscopique et photométrique détaillée de notre échantillon à l’aide de modèles d’atmosphère afin de déterminer les propriétés physiques de ces étoiles, notamment la température, la gravité de surface et la composition chimique. Notre analyse statistique de ces propriétés, basée sur un échantillon presque trois fois plus grand que celui à 20 pc, révèle que nous avons identifié avec succès les étoiles les plus massives, et donc les moins lumineuses, de cette population qui sont souvent absentes de la plupart des relevés publiés. Nous avons également identifié plusieurs naines blanches très froides, et donc potentiellement très vieilles, qui nous permettent de mieux définir le côté froid de la fonction de luminosité, et éventuellement l’âge du disque de la Galaxie. Finalement, nous avons aussi découvert plusieurs objets d’intérêt astrophysique, dont deux nouvelles étoiles naines blanches variables de type ZZ Ceti, plusieurs naines blanches magnétiques, ainsi que de nombreux systèmes binaires non résolus.
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Understanding of the Atmospheric Boundary Layer (ABL) is imperative in the arena of the monsoon field. Here, the features of the ABL are studied employing Conserved Variable Analysis (CVA) using equivalent potential temperature and humidity. In addition, virtual potential temperature and wind are used during active and weak phases of monsoon. The analysis is carried out utilising the radiosonde observations during the monsoon months for two stations situated in the west coast of India. All these parameters show considerable variations during active and weak monsoon phases in both the stations. The core speed and core height vary with these epochs. The core speed is found to be more than 38 knots in the active monsoon phase around 1.2 km over Trivandrum and around 2 km over Mangalore. But during weak monsoon phase the core wind speed is decreased and core height is elevated over both stations. The wind direction shows an additional along shore component during weak monsoon period. The Convective Boundary Layer (CBL) height shows increase during weak monsoon phase over both stations due to less cloudiness and subsequent insolation. The CBL height during the southwest monsoon is more over Mangalore and is attributed by the orographic lifting in the windward side of the Western Ghats while the influence of the Ghats is less over Trivandrum.
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Composites of wind speeds, equivalent potential temperature, mean sea level pressure, vertical velocity, and relative humidity have been produced for the 100 most intense extratropical cyclones in the Northern Hemisphere winter for the 40-yr ECMWF Re-Analysis (ERA-40) and the high resolution global environment model (HiGEM). Features of conceptual models of cyclone structure—the warm conveyor belt, cold conveyor belt, and dry intrusion—have been identified in the composites from ERA-40 and compared to HiGEM. Such features can be identified in the composite fields despite the smoothing that occurs in the compositing process. The surface features and the three-dimensional structure of the cyclones in HiGEM compare very well with those from ERA-40. The warm conveyor belt is identified in the temperature and wind fields as a mass of warm air undergoing moist isentropic uplift and is very similar in ERA-40 and HiGEM. The rate of ascent is lower in HiGEM, associated with a shallower slope of the moist isentropes in the warm sector. There are also differences in the relative humidity fields in the warm conveyor belt. In ERA-40, the high values of relative humidity are strongly associated with the moist isentropic uplift, whereas in HiGEM these are not so strongly associated. The cold conveyor belt is identified as rearward flowing air that undercuts the warm conveyor belt and produces a low-level jet, and is very similar in HiGEM and ERA-40. The dry intrusion is identified in the 500-hPa vertical velocity and relative humidity. The structure of the dry intrusion compares well between HiGEM and ERA-40 but the descent is weaker in HiGEM because of weaker along-isentrope flow behind the composite cyclone. HiGEM’s ability to represent the key features of extratropical cyclone structure can give confidence in future predictions from this model.
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Colloidal indigo is reduced to an aqueous solution of leuco-indigo in a mediated two-electron process converting the water-insoluble dye into the water-soluble leuco form. The colloidal dye does not interact directly with the electrode surface, and to employ an electrochemical process for this reduction, the redox mediator 1,8-dihydroxyanthraquinone (1,8-DHAQ) is used to transfer electrons from the electrode to the dye. The mediated reduction process is investigated at a (500-kHz ultrasound-assisted) rotating disc electrode, and the quantitative analysis of voltammetric data is attempted employing the Digisim numerical simulation software package. At the most effective temperature, 353 K, the diffusion coefficient for 1,8-DHAQ is (0.84 +/- 0.08)x10(-9) m(2) s(-1), and it is shown that an apparently kinetically controlled reaction between the reduced form of the mediator and the colloidal indigo occurs within the diffusion layer at the electrode surface. The apparent bimolecular rate constant k (app)=3 mol m(-3) s(-1) for the rate law d[leuco-indigo]/dt = k(app) x [mediator] x [indigo] is determined and attributed to a mediator diffusion controlled dissolution of the colloid particles. The average particle size and the number of molecules per particles are estimated from the apparent bimolecular rate constant and confirmed by scanning electron microscopy.
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Geophysical time series sometimes exhibit serial correlations that are stronger than can be captured by the commonly used first‐order autoregressive model. In this study we demonstrate that a power law statistical model serves as a useful upper bound for the persistence of total ozone anomalies on monthly to interannual timescales. Such a model is usually characterized by the Hurst exponent. We show that the estimation of the Hurst exponent in time series of total ozone is sensitive to various choices made in the statistical analysis, especially whether and how the deterministic (including periodic) signals are filtered from the time series, and the frequency range over which the estimation is made. In particular, care must be taken to ensure that the estimate of the Hurst exponent accurately represents the low‐frequency limit of the spectrum, which is the part that is relevant to long‐term correlations and the uncertainty of estimated trends. Otherwise, spurious results can be obtained. Based on this analysis, and using an updated equivalent effective stratospheric chlorine (EESC) function, we predict that an increase in total ozone attributable to EESC should be detectable at the 95% confidence level by 2015 at the latest in southern midlatitudes, and by 2020–2025 at the latest over 30°–45°N, with the time to detection increasing rapidly with latitude north of this range.
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A continuous tropospheric and stratospheric vertically resolved ozone time series, from 1850 to 2099, has been generated to be used as forcing in global climate models that do not include interactive chemistry. A multiple linear regression analysis of SAGE I+II satellite observations and polar ozonesonde measurements is used for the stratospheric zonal mean dataset during the well-observed period from 1979 to 2009. In addition to terms describing the mean annual cycle, the regression includes terms representing equivalent effective stratospheric chlorine (EESC) and the 11-yr solar cycle variability. The EESC regression fit coefficients, together with pre-1979 EESC values, are used to extrapolate the stratospheric ozone time series backward to 1850. While a similar procedure could be used to extrapolate into the future, coupled chemistry climate model (CCM) simulations indicate that future stratospheric ozone abundances are likely to be significantly affected by climate change, and capturing such effects through a regression model approach is not feasible. Therefore, the stratospheric ozone dataset is extended into the future (merged in 2009) with multimodel mean projections from 13 CCMs that performed a simulation until 2099 under the SRES (Special Report on Emission Scenarios) A1B greenhouse gas scenario and the A1 adjusted halogen scenario in the second round of the Chemistry-Climate Model Validation (CCMVal-2) Activity. The stratospheric zonal mean ozone time series is merged with a three-dimensional tropospheric data set extracted from simulations of the past by two CCMs (CAM3.5 and GISSPUCCINI)and of the future by one CCM (CAM3.5). The future tropospheric ozone time series continues the historical CAM3.5 simulation until 2099 following the four different Representative Concentration Pathways (RCPs). Generally good agreement is found between the historical segment of the ozone database and satellite observations, although it should be noted that total column ozone is overestimated in the southern polar latitudes during spring and tropospheric column ozone is slightly underestimated. Vertical profiles of tropospheric ozone are broadly consistent with ozonesondes and in-situ measurements, with some deviations in regions of biomass burning. The tropospheric ozone radiative forcing (RF) from the 1850s to the 2000s is 0.23Wm−2, lower than previous results. The lower value is mainly due to (i) a smaller increase in biomass burning emissions; (ii) a larger influence of stratospheric ozone depletion on upper tropospheric ozone at high southern latitudes; and possibly (iii) a larger influence of clouds (which act to reduce the net forcing) compared to previous radiative forcing calculations. Over the same period, decreases in stratospheric ozone, mainly at high latitudes, produce a RF of −0.08Wm−2, which is more negative than the central Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) Fourth Assessment Report (AR4) value of −0.05Wm−2, but which is within the stated range of −0.15 to +0.05Wm−2. The more negative value is explained by the fact that the regression model simulates significant ozone depletion prior to 1979, in line with the increase in EESC and as confirmed by CCMs, while the AR4 assumed no change in stratospheric RF prior to 1979. A negative RF of similar magnitude persists into the future, although its location shifts from high latitudes to the tropics. This shift is due to increases in polar stratospheric ozone, but decreases in tropical lower stratospheric ozone, related to a strengthening of the Brewer-Dobson circulation, particularly through the latter half of the 21st century. Differences in trends in tropospheric ozone among the four RCPs are mainly driven by different methane concentrations, resulting in a range of tropospheric ozone RFs between 0.4 and 0.1Wm−2 by 2100. The ozone dataset described here has been released for the Coupled Model Intercomparison Project (CMIP5) model simulations in netCDF Climate and Forecast (CF) Metadata Convention at the PCMDI website (http://cmip-pcmdi.llnl.gov/).
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The occurrence of extreme cyclones is analysed in terms of their relationship to the NAO phase and the dominating environmental variables controlling their intensification. These are latent energy (equivalent potential temperature 850 hPa is used as an indicator), upper-air baroclinicity, horizontal divergence and jet stream strength. Cyclones over the North Atlantic are identified and tracked using a numerical algorithm, permitting a detailed analysis of their life cycles. Extreme cyclones are selected as the 10% most severe in terms of intensity. Investigations focus on the main strengthening phase of each cyclone. The environmental factors are related to the NAO, which affects the location and orientation of the cyclone tracks, thus explaining why extreme cyclones occur more (less) frequently during strong positive (negative) NAO phases. The enhanced number of extreme cyclones in positive NAO phases can be explained by the larger area with suitable growth conditions, which is better aligned with the cyclone tracks and is associated with increased cyclone life time and intensity. Moreover, strong intensification of cyclones is frequently linked to the occurrence of extreme values of growth factors in the immediate vicinity of the cyclone centre. Similar results are found for ECHAM5/OM1 for present day conditions, demonstrating that relationships between the environment factors and cyclones are also valid in the GCM. For future climate conditions (following the SRES A1B scenario), the results are similar, but a small increase of the frequency of extreme values is detected near the cyclone cores. On the other hand, total cyclone numbers decrease by 10% over the North Atlantic. An exception is the region near the British Isles, which features increased track density and intensity of extreme cyclones irrespective of the NAO phase. These changes are associated with an intensified jet stream close to Europe. Moreover, an enhanced frequency of explosive developments over the British Isles is found, leading to more frequent windstorms affecting Europe.
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In this work the results of a spectroscopic study of the southern field narrow-line Be star HD 171054 are presented. High dispersion and signal-to-noise ratio spectra allowed the estimation of the fundamental photospheric parameters such as the projected rotational velocity, effective temperature and superficial gravity from non-LTE stellar atmosphere models. From these parameters and microturbulence, the abundances of He, C, N, O, Mg, Al and Si for this object are estimated. Results show that C is depleted whereas N is overabundant compared with the sun and OB stars in the solar vicinity. Oxygen and helium are close to the solar value. Magnesium is down by 0.43 dex and aluminium and silicon are overabundant. (C) 2010 Elsevier B.V. All rights reserved.