964 resultados para Episodic like-memory
Resumo:
Hoerl claims that episodic memory is necessary for a concept of the past, and that we should consider some severely amnesic patients as lacking such a concept. I question whether this description of such patients is plausible, and whether it helps us understand lack of insight in amnesia. I finish by arguing that Hoerl's analysis of what constitutes a concept of the past raises interesting developmental issues.
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This study explored the pattern of memory functioning in 58 patients with chronic schizophrenia and compared their performance with 53 normal controls. Multiple domains of memory were assessed, including verbal and nonverbal memory span, verbal and non-verbal paired associate learning, verbal and visual long-term memory, spatial and non-spatial conditional associative learning, recognition memory and memory for temporal order. Consistent with previous studies, substantial deficits in long-term memory were observed, with relative preservation of memory span. Memory for temporal order and recognition memory was intact, although significant deficits were observed on the conditional associative learning tasks. There was no evidence of lateralized memory impairment. In these respects, the pattern of memory impairment in schizophrenia is more similar in nature to that found in patients with memory dysfunction following mesiotemporal lobe lesions, rather than that associated with focal frontal lobe damage. (C) 1999 Elsevier Science B.V. All rights reserved.
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La schizophrénie est une psychopathologie largement hétérogène caractérisée entre autres par d’importantes défaillances dans le fonctionnement cognitif et émotionnel. En effet, par rapport à la population générale, forte proportion de ces individus présentent une mémoire déficitaire pour les événements émotionnels. À ce jour, le peu d’études qui se sont penchées sur la mémoire émotionnelle épisodique dans la schizophrénie, ont uniquement mis l’emphase sur l'effet de la valence des stimuli (c’est-à-dire le caractère agréable ou désagréable du stimulus). Toutefois, aucune n’a investigué spécifiquement l’intensité de la réaction aux stimuli (c’est-à-dire une faible par rapport à une forte réaction) malgré quantité de preuves faisant montre, dans la population générale, de différents processus de mémoire émotionnelle pour des stimuli suscitant une forte réaction par rapport à ceux évoquant une faible réponse. Ce manque est d’autant plus flagrant étant donné le nombre d’études ayant rapporté un traitement et un encodage atypiques des émotions spécifiquement au niveau de l’intensité de la réponse subjective chez des patients atteints de schizophrénie. Autre fait important, il est étonnant de constater l’absence de recherches sur les différences de sexe dans la mémoire émotionnelle étant donné l’ensemble des divergences entre hommes et femmes atteints de schizophrénie au niveau de la prévalence, de l’âge de diagnostic, de la manifestation clinique, de l’évolution de la maladie, de la réponse au traitement et des structures cérébrales. Pour pallier à ces lacunes, ce mémoire a évalué : (1) l’effet de la valence des stimuli et de l'intensité de la réaction émotionnelle au niveau des fonctions cérébrales correspondant à la mémoire émotionnelle chez des patients atteints de schizophrénie comparativement à des participants sains; et (2) les possibles différences de sexe dans les processus cérébraux impliqués dans la mémoire émotionnelle chez des patients atteints de schizophrénie par rapport à des volontaires sains. Ainsi, la première étude a comparé les activations cérébrales de patients atteints de schizophrénie par rapport à des participants sains au cours d’une tâche de mémoire émotionnelle dont les stimuli variaient à la fois au niveau de la valence et de l'intensité de la réaction subjective. 37 patients atteints de schizophrénie ainsi que 37 participants en bonne santé ont effectué cette tâche de mémoire émotionnelle lors d’une session d’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf). Pour toutes les conditions étudiées (images négatives, positives, de faible et de forte intensité), le groupe atteint de schizophrénie a performé significativement moins bien que les volontaires sains. Comparativement aux sujets sains, ils ont montré moins d’activations cérébrales dans les régions limbiques et préfrontales lors de la reconnaissance des images négatives, mais ont présenté un patron d'activations similaire à celui des participants sains lors de la reconnaissance des images chargées positivement (activations observées dans le cervelet, le cortex temporal et préfrontal). Enfin, indépendamment de la valence des stimuli, les deux groupes ont démontré une augmentation des activations cérébrales pour les images de forte intensité par rapport à celles de plus faible intensité. La seconde étude a quant à elle exploré les différences de sexe potentielles au niveau des activations cérébrales associées à la mémoire émotionnelle dans la schizophrénie et dans la population en général. Nous avons comparé 41 patients atteints de schizophrénie (20 femmes) à 41 participants en bonne santé (19 femmes) alors qu’ils effectuaient la même tâche de mémoire émotionnelle mentionnée plus haut. Or, pour cette étude, nous nous sommes concentrés sur les conditions suivantes : la reconnaissance d’images positives, négatives et neutres. Nous n'avons pas observé de différences entre les hommes et les femmes au niveau des performances à la tâche de mémoire pour aucune des conditions. En ce qui a trait aux données de neuroimagerie, comparativement aux femmes en bonne santé, celles atteintes de schizophrénie ont montré une diminution des activations cérébrales dans les régions corticales du système limbique (p. ex. cortex cingulaire moyen) et dans les régions sous-corticales (p. ex. amygdale) lors de la reconnaissance d'images négatives. Pour ce qui est de la condition positive, elles ont présenté, comparativement au groupe de femmes saines, des diminutions d’activations spécifiquement dans le cervelet ainsi que dans le gyrus frontal inférieur et moyen. Les hommes atteints de schizophrénie, eux, ont montré une augmentation d’activations par rapport aux hommes sains dans le gyrus préfrontal médian lors de la reconnaissance des stimuli négatifs ; ainsi que dans les régions pariétales, temporales et limbiques lors de la reconnaissance des stimuli positifs. Dans un autre ordre d’idées, notre analyse corrélationnelle a mis en évidence, chez les femmes, un lien significatif entre l’activité cérébrale et les symptômes au cours de la mémoire des stimuli positifs, alors que chez les hommes atteints schizophrénie, ce lien a été observé au cours de la mémoire des stimuli négatifs. Bref, l’ensemble de nos résultats suggère, chez les patients atteints de schizophrénie, un fonctionnement cérébral atypique spécifiquement lors de la reconnaissance d’images négatives, mais un fonctionnement intact lors de la reconnaissance de stimuli positifs. De plus, nous avons mis en évidence la présence de différences de sexe dans les activations cérébrales associées à la mémoire épisodique émotionnelle soulignant ainsi l'importance d’étudier séparément les hommes et les femmes atteints de schizophrénie dans le cadre de recherches sur les plans cognitif et émotionnel.
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In 1972, episodic and semantic memories were considered to reflect different types of knowledge (Tulving, 1972). However, these early definitions encountered many difficulties. Now, Episodic and semantic memories are discussed in terms of awareness associated with retrieval (Wheeler, Stuss, & Tulving, 1997): Autonoetic consciousness (i.e., feeling of remembering) is considered associated with retrieval from the episodic memory system, while noetic consciousness (i.e., feeling of knowing) is considered characterized by retrieval from the semantic memory system. The present article investigated determinants of autonoetic consciousness in order to clarify characteristics of perceptual knowledge that is being recalled, the more strongly the individual feels autonoetic consciousness during retrieval, and that autonoetic consciousness is based on rich sensory-perceptual knowledge. Furthermore, we suggested that the parietal and frontal lobes mediate the process of generating autonoetic consciousness. This suggested that sensory-perceptual knowledge, the parietal lobe and the frontal lobe are important factors for discriminating episodic memory afrom semantic memory.
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The encoding of verbal stimuli elicits left-lateralized activation patterns within the medial temporal lobes in healthy adults. In our study, patients with left- and right-sided temporal lobe epilepsy (LTLE, RTLE) were investigated during the encoding and retrieval of word-pair associates using functional magnetic resonance imaging. Functional asymmetry of activation patterns in hippocampal, inferior frontal, and temporolateral neocortical areas associated with language functions was analyzed. Hippocampal activation patterns in patients with LTLE were more right-lateralized than those in patients with RTLE (P<0.05). There were no group differences with respect to lateralization in frontal or temporolateral regions of interest (ROIs). For both groups, frontal cortical activation patterns were significantly more left-lateralized than hippocampal patterns (P<0.05). For patients with LTLE, there was a strong trend toward a difference in functional asymmetry between the temporolateral and hippocampal ROIs (P=0.059). A graded effect of epileptic activity on laterality of the different regional activation patterns is discussed.
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Using functional magnetic resonance imaging during a verbal memory task, we investigated correlations of signal fluctuations within the hippocampus and ipsilateral frontal as well as temporal areas in temporal lobe epilepsy patients. Declarative memory abilities were additionally examined before and after temporal lobe epilepsy surgery. A significant difference exists in functional connectivity between patients whose mnemonic functions deteriorated and those who remained stable or improved. Univariate analyses showed significantly higher preoperative coupling between the hippocampus and Brodmann area 22 for the group that decreased in verbal learning. We suggest greater coupling to reflect higher functional network integrity. Postoperatively reduced learning ability in patients with higher preoperative coupling underlines the importance of hippocampal interaction with cortical areas for successful memory formation.