53 resultados para Dynastie davidico-salomonienne


Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Contient : « Remarques sur le chameau à deux bosses, » et autres extraits « de l'Histoire naturelle ou herbier de la Chine » ; Lettres autogr. de Le Poivre au P. Coeurdoux (Pondichéry, 1747) ; Lettre autogr. du P. J. Bouvet à l'abbé Bignon (Pékin, 15 sept. 1704) sur la religion et l'histoire des Chinois ; Observations météorologiques faites à Pékin en 1690-1691 ; Lettre autogr. du P. J. Bouvet au P. de La Chaize (s. d.) ; Copie d'une « lettre du P. Parennin... à M. de Mairan, de l'Accadémie royale, Péking, 30 sept. 1735 » ; Copie d'une « lettre du R. P. Bouvet, de la Compagnie de Jésus, à Monsieur Leibniz, Pékin, 4 nov. 1701 » ; Lettre du P. Chalier sur les pendules de la Chine (16 oct. 1736) ; « Version littérale du commencement de l'histoire chinoise, depuis Fou-hy jusques à Yao, » par le P. « Dominique Parennin, Pékim, 12 aoust 1730 » ; Copie d'une « lettre du frère Attiret, peintre, missionnaire de la Compagnie de Jésus, au sr Dassaut, de Dole, à Pékin, le 1er nov. 1743. » — Lettre autogr. du P. Symon Wynants, au P. Jean Braze, provincial des Jésuites de la province de Flandres-Belgique (Santa-Fé de Bogota, 18 sept. 1715) ; Lettre autogr. du P. Charles Poncet au P. de La Chaise (Zulpha, Éthiopie, 6 juin 1707) ; Copie d'une « lettre du P. Parennin à M. de Mairan, de l'Académie, à Péking, le 19 nov. 1739 » ; « Reflexions sur le Thé et sur les Pastilles de la Chine (Acta phisico medica de l'Académie des Curiosa naturæ, ... janvier 1729, p. 157) » ; « Dissertationes et notæ criticæ in primam partem commentarii Y-King, » « par J.-B. Regis, 1720 » ; « Extraits d'une compilation faite sous la dynastie Ming ;... l'autheur est... Tang King Tchuen » ; Note sur le projet de Cassini, agréé par Colbert, pour l'envoi de Jésuites mathématiciens en Chine ; Lettres autogr. des P. de Brévedent (Le Kaire,19 févr. 1698), — Bouvet (Péking, 27 oct. 1704), etc ; « De numeratione Sinica » ; « Plan du Ti-vang-miao, ou sale de cérémonie, où l'on rend des honneurs solennels aux roys et empereurs... » ; « Plan du temple dédié au souverain seigneur du ciel, ou à Chang-ti » ; « Plan du Ge-tan, ou temple dédié à l'Intelligence qui conduit le Soleil » ; « Plan du Ti-tan, ou temple où l'Empereur sacrifie à Changti sous le titre de souverain seigneur de la terre » ; « Plan du Sien-num-tan, ou du temple dédié au génie de l'Agriculture... » ; « Plan du Koue-tse-kien-ven-miao, ou de la sale de cérémonie où l'on rend à Confucius... des honneurs solennels... »

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Contient : période antérieure aux Qin, livres 1 à 8 ; dynastie des Qin, livre 9 ; dynastie des Han, livres 10 à 20 ; période des Trois Royaumes, livres 21 et 22 ; dynastie des Jin, livres 23 et 24 ; dynastie des Song, livre 25 ; dynasties des Qi, Liang, Chen, livre 26 ; dynastie des Wei septentrionaux, livre 27 ; dynasties des Qi septentrionaux, Zhou septentrionaux, Sui, livre 28 ; dynastie des Tang, livres 29 à 40 ; période des Cinq Dynasties, livre 41 ; dynastie des Song, livres 42 à 64

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Cat. imp., liv. 103, f. 17.Par Sun Si miao, de Hua yuan (581 ? -689) ; revu et publié par Zhou Liang jie Sheng zhi (dynastie régnante). Introduction non datée par Qi Yi jing, de Bei hai. Texte avec figures. Édition gravée à la salle Lao hui xian.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Contient : I, livre 1太上感應經Tai shang gan ying jing.Le Tai shang gan ying pian ; II, livre 1感應經解Gan ying jing jie.Le Tai shang gan ying pian, texte et commentaires ; III, livre 1玄天上帝金科玉律Xuan tian shang di jin ke yu lü.Lois de l'Empereur céleste ; IV, livre 1明袁了凡先生力行功過格Ming yuan liao fan xian sheng li xing gong ge ge.Échelle des mérites et des péchés, de Yuan Liao fan, de la dynastie des Ming ; V, livre 1明袁了凡先生四訓 。立命之學Ming yuan liao fan xian sheng si xun. Li ming zhi xue ; VI, livre 1積善之方Ji shan zhi fang ; VII, livre 1改過之法Gai ge zhi fa ; VIII, livre 1謙德之效Qian de zhi xiao ; IX, livre 1準提王菩薩神咒Zhun ti wang pu sa shen zhou.Invocation du bodhisattva roi Caṇḍī ; X, livre 1千手千眼觀世音菩薩廣大圓滿無礙大悲神咒Qian shou qian yan guan shi yin pu sa guang da yuan man Wu ai da bei shen zhou.Sahasrabāhu saharākṣa avalokiteēvara bodhisattva mahāpūrṇāpratihata mahākāruṇikahṛdaya dhāraṇī sūtra ; XI, livre 1拔一切業障根本得生淨土陀羅尼Ba yi qie ye zhang gen ben de sheng jing tu tuo luo ni. Autre titre : 往生咒Wang sheng zhou.Dhāraṇī de la renaissance en Sukhāvatī ; XII, livre 1摩訶般若波羅蜜多心經Mo he ban ruo bai luo mi duo xin jing.Mahāprajn̄āpāramitā hṛdaya sūtra ; XIII, livre 2文昌孝經Wen chang xiao jing.Livre sacré de la piété filiale, par le dieu de la Littérature ; XIV, livre 2太上消劫梓潼本願眞經Tai shang xiao jie zi tong ben yuan zhen jing.Le vrai livre sacré des vœux du dieu de la Littérature ; XV, livre 2就劫寶經Jiu jie bao jing ; XVI, livre 2文昌應化張仙大眞人說注生延嗣妙應眞經Wen chang ying hua zhang xian da zhen ren shuo zhu sheng yan si miao ying zhen jing.Le vrai livre sacré de l'obtention, par grâce divine, de la longévité et de la postérité ; XVII, livre 2文昌帝君陰隲文Wen chang di jun yin zhi wen ; XVIII, livre3關聖帝君降筆忠義眞經Guan sheng di jun jiang bi zhong yi zhen jing. Autre titre : 關聖帝君感應忠義神武眞經Guan sheng di jun gan ying zhong yi shen Wu zhen jing.Livre sacré de la fidélité, révélé par le dieu de la Guerre ; XIX, livre 3關聖覺世經Guan sheng jue shi jing ; XX, livre 3謨訓Mu xun.Instructions ; XXI, livre 3降鸞寶訓Jiang luan bao xun.Précieuses instructions révélées ; XXII, livre 3關夫子筆帖九則Guan fu zi bi tie jiu ze.Neuf règles dictées par le dieu de la Guerre ; XXIII, livre 3關聖帝君封號Guan sheng di jun feng hao.Titres du dieu de la Guerre ; XXIV, livre 3關聖譜敘 。再敘 。世系宗圖Guan sheng pu xu. Zai xu. Shi xi zong tu.Table généalogique du dieu de la Guerre, avec deux préfaces ; XXV, livre 3關聖帝君世家Guan sheng di jun shi jia.Annales de la famille du dieu de la Guerre ; XXVI, livre 3關聖帝君實錄Guan sheng di jun shi lu.Vie du dieu de la Guerre ; XXVII, livre 3關聖帝君感應神武傳Guan sheng di jun gan ying shen Wu zhuan.Histoire des miracles du dieu de la Guerre ; XXVIII, livre 4玉歷鈔傳警世Yu li chao chuan jing shi. Sous titre : 玉帝慈恩纂載通行世間男婦改悔前非准贖罪惡玉歴Yu di ci 'en zuan zai tong xing shi jian nan fu gai hui qian fei zhun shu zui e yu li.Exemples de châtiment et de rachat des châtiments par le repentir ; XXIX, livre 4謹集增勸敬信懺悔Jin ji zeng quan jing xin chan hui.Conseils de repentir ; XXX, livre 4鈔傳玉歴超度亡母夢驗Chao chuan yu li chao du wang mu mong yan.Songe au sujet d'une mère défunte ; XXXI, livre 4玉歴鈔傳敬信福報求已堂李氏謹集Yu li chao chuan jing xin fu bao qiu yi tang li shi jin ji.Exemples de rétribution rapportés par Li, de la salle Qiu yi ; XXXII, livre 5廣生延壽錄Guang sheng yan shou lu.Recueil relatif à la vie et à la longévité ; XXXIII, livre 5遵訓自敘Zun xun zi xu.Préface de l'auteur pour l'Observation des instructions ; XXXIV, livre 5禮佛日期Li fo ri qi.Dates des fêtes du Bouddha ; XXXV, livre 5聖神寶誕日期Sheng shen bao dan ri qi.Dates des fêtes anniversaires de naissance des divinités taoïstes ; XXXVI, livre 5救苦感應膏 。丹方Jiu ku gan ying gao. Dan fang.Formules de remèdes

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Sur le calendrier ecclésiastique et le calcul des fêtes.Par divers Pères de la Compagnie de Jésus, non énumérés ; extraits par un lettré de Wu lin ; date de la dynastie des Ming.15 feuillets.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

L’importance du concept identitaire est maintenant reconnue dans la recherche en histoire. Processus à la fois individuel et collectif, le sentiment d’appartenance constitue la base de l’identité d’un groupe. Dans ce mémoire, nous nous proposons d’étudier le développement de la conscience identitaire mandchoue, et du rôle qu’elle a joué dans la construction identitaire chinoise jusqu’à la Révolution de 1911. L’étude historiographique nous permettra de suivre l’évolution du regard porté sur la dynastie mandchoue des Qing par la recherche occidentale, de rejeter complètement la théorie de leur sinisation, lui préférant celle de leur acculturation. L’étude en parallèle des deux constructions identitaires nous amènera à conclure qu’elles sont indissociables l’une de l’autre, objet de notre première hypothèse. En deuxième lieu, nous avancerons l’idée que la Chine a bénéficié de la présence mandchoue, aussi longtemps que la dynastie pouvait prétendre à une représentation universelle. Enfin, notre dernière hypothèse montrera que le facteur ethnique a été d’une importance cruciale dans la gouvernance d’un empire à la fois multiethnique et multiculturel, et le demeure.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Sur le rapport de Hobbes au monarchisme, les études hobbesiennes font largement consensus : tout au long de sa vie, le théoricien du Léviathan aurait été, disent-elles, un monarchiste convaincu, fidèle à la dynastie anglaise des Stuart. Or le présent travail cherche à ébranler la rigueur de cette thèse traditionnelle. Acquis aux recherches contextualistes de J. Collins, qui ont déjà montré les affinités hobbesiennes à l’égard des politiques anticléricales de Cromwell, il souhaite montrer que de telles affinités dissimulent une intention politique beaucoup plus profonde, celle de la réalisation politique des principes moraux de la loi naturelle. Dans cette perspective, Hobbes serait, sous l’impulsion de la méthode résolutive-compositive, non seulement l’inventeur du premier droit naturel subjectif dans l’histoire de la philosophie politique, mais aussi le théoricien d’une loi naturelle inédite, édifiée sur la rationalité des volontés individuelles. Ainsi, par la publication du Léviathan en 1651, Hobbes n’aurait pas exprimé ses affinités politiques pour la monarchie anglaise renversée : il aurait plutôt dévoilé son projet politique d’instituer une souveraineté politique qui repose sur le consentement rationnel de tous les sujets. Monarchiste dans sa jeunesse, Hobbes serait alors devenu, en élaborant sa science politique, partisan d’un régime politique que l’on pourrait nommer démocratie de la raison positive.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Quelles sont les voies par lesquelles les changements sociaux affectent les identités collectives et de quelle manière une nouvelle identité vient à être adoptée par une population. Les grandes transformations qui eurent lieu en Mongolie du 19e siècle à la moitié du 20e siècle seront abordées pour tenter de répondre à ces questions. Dans un court laps de temps, cette région passa par trois systèmes politiques différents; d'une partie semi-autonome du territoire de l'empire Qing à une théocratie bouddhiste puis à une République populaire. Dans chacun des cas, les contextes sociaux ayant provoqué des changements dans la définition identitaire seront abordés ainsi que la forme par laquelle les nouveaux concepts d'identité collective allaient être sélectionnés, modifiés ou construits.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

En continuité avec les ouvrages récents (Veyne 1981, MacMullen 1988 et Kelly 2004) qui tentent de relativiser les effets néfastes de la corruption lors du Bas-Empire, ce travail étudie le suffragium, le processus de nomination des fonctionnaires de bureaux, afin d'évaluer comment les acteurs sociaux du IVe siècle considéraient ce phénomène. Ce système, organisé d'une telle façon que les hauts fonctionnaires devaient fournir des lettres de recommandation aux candidats postulant à des postes au sein de la fonction publique, serait devenu complètement corrompu durant le IVe siècle et les lettres de recommandation auraient commencé à être systématiquement vendues. Pourtant, les lois de Constantin, Constance et Julien ne fournissent aucune preuve tangible que le suffragium était dans tous le cas vénal à cette époque. Bien au contraire, les empereurs ajoutaient la plupart de temps des épithètes au terme suffragium pour spécifier qu'il parle du suffragium vénal. Généralement, les empereurs sont présentés comme farouchement opposés au suffragium et à toutes les tractations qui y sont attachées. Loin d'être aussi hostiles envers les « pratiques corrompues », les empereurs de la dynastie constantinienne firent preuve d'un certain pragmatisme en voyant qu'ils ne pouvaient contrôler toutes les nominations de ceux qui voulaient entrer dans la fonction publique et que ce n'était pas nécessairement à leur avantage de le faire. Les empereurs se concentrèrent plutôt sur les restrictions entourant les promotions afin de faire en sorte que les personnes qui avaient de réels pouvoirs soient celles qui avaient démontré leurs qualités tout au long de leurs années de service. Bien qu'ils n'aient pas concrètement légiféré sur les critères d'embauche des candidats, cela ne veut pas dire que n'importe qui pouvait obtenir un poste. À travers l'étude des lettres de Libanios et de Symmaque, ce travail démontre que les hauts fonctionnaires ne fournissaient pas de lettres à quiconque le demandait, puisque leur réputation pouvait être entachée par le fait d'avoir recommandé un mauvais candidat à un de leurs amis. Les hauts fonctionnaires qui recevaient les recommandations pouvaient également soumettre les candidats à des examens afin d'être certains de la qualité de l'individu. Ce système officieux de contrôle des candidats vint pallier, en partie, les déficits de la législation impériale. Conjointement, la loi et les usages permirent à l'administration de fonctionner en lui fournissant des candidats qui répondaient aux critères de l'époque.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Les cultes isiaques se répandent autour du bassin méditerranéen entre le IVe s. av. et la fin du IVe s. apr. J.-C., arrivant à Rome au Ier siècle av. notre ère et y disparaissant conjointement aux cultes païens traditionnels avec ou peu après le coup porté par Théodose. Leur diffusion romaine s’étale donc sur une grande partie de l’histoire de l’Empire d’Occident, et ils vont ainsi se retrouver face à l’homme désormais considéré comme primus inter pares, grâce à l’accumulation de ses pouvoirs. L’empereur est pontifex maximus, c’est-à-dire maitre des cultes publics et du droit religieux, et il est ainsi l’agent du pouvoir qui a le potentiel religieux et législatif pour avoir un discours varié sur les autres traditions religieuses. Il semble donc inévitable que la sphère cultuelle isiaque rencontre et interagisse avec la sphère religieuse traditionnelle romaine, et que certains empereurs interfèrent, par renforcement ou au contraire par opposition, avec les cultes isiaques arrivés peu de temps avant l’avènement du pouvoir impérial. Cette thèse se propose non seulement d’étudier la dialectique entre institué romain (la force d’inertie) et instituant isiaque (la force de changements) dans la direction d’une potentielle altérité incluse (soit le dialogue évolutif du Nous par rapport à l’Autre), mais notamment par les liens publics romains et évolutifs entre l’empereur et les divinités isiaques. Nous effectuons cette recherche grâce à quatre types de sources antiques : la littérature pour le point de vue de l’élite littéraire gréco-romaine ; les inscriptions isiaques pour une définition surtout populaire de l’identité évolutive de l’instituant isiaque ; les monnaies et les oeuvres monumentales pour le point de vue public (et parfois plus personnel) impérial. Nous concentrons notre étude à partir de la dynastie sévérienne, qui laisse supposer que les cultes romano-orientaux profitent de la nouvelle configuration impériale avec des empereurs originaires d’Afrique et d’Orient, dans un phénomène d’« impérialisation » isiaque intensifié par un engagement tant impérial que populaire. En outre, nous nuancerons les conséquences sur la diffusion isiaque des troubles qui surviennent dans la deuxième moitié du IIIe siècle. Enfin, le IVe siècle, avec la christianisation de l’Empire et donc un christianisme devenant institué, ouvre sur une analyse des débats entre les défenseurs actifs du paganisme et les auteurs chrétiens, et de là, vers des interrogations sur l’intervention de la sphère isiaque dans ce face-à-face.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Pós-graduação em História - FCHS

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Ziel der Dissertation war es, eine Gesamtbetrachtung der altägyptischen Bienenhaltung zu geben, die Bedeutung der Biene herauszuarbeiten und den Gebrauch des Honigs im alten Ägypten vorzustellen. Darüber hinaus wurde die Herkunft und Zusammensetzung des Honigs untersucht sowie ein Vergleich mit der Bienenhaltung in den Nachbarländern gezogen. rnrnDie Biene ist mehrfach als Symbol oder Dekorationselement vorzufinden. Bereits am Ende des Alten Reiches, einem Zeitpunkt, als sich die Domestikation der Bienen nachweisen läßt, treten Figurenzylinder, Stempelsiegel-Amulette und Amulettanhänger mit dem Bildnis der Biene auf. Auf diesen Zeugnissen repräsentierte sie Schutz, Fruchtbarkeit, Regeneration und Todesüberwindung. Diesen Eigenschaften lagen wahrscheinlich die Beobachtungen der verschiedenen Entwicklungsstadien der Honigbiene vom Ei über die mumienartige Larve bis zur Imago sowie ihre intensive Brutpflege zugrunde. rnrnÜber den Arbeitsablauf und die Organisation des Imkereibetriebes gaben vor allem die Topfaufschriften deutliche Hinweise. Für die Produktion des Honigs waren Imker verantwortlich, die sowohl im Staats- als auch im Tempeldienst stehen konnten. Sie waren in die Struktur der Warenschatzhäuser eingebunden. Meines Erachtens war die Imkerei stärker verbreitet als es die wenigen Quellen erahnen lassen. Denn allein für den Tempelkult wurden große Honigmengen benötigt. Neben den offiziellen Imkern des Königs und der Göttertempel muß es deshalb auch eine private Bienenhaltung gegeben haben. Wahrscheinlich betrieben mehrere Berufsgruppen aus dem Bereich der Landwirtschaft sowie Beamte und Schreiber, die über Land verfügten, eine eigene Honigproduktion. Dies ist aus den Angaben der Steuereinnahmen zu schließen, unter denen sich Produkte der Bienenwirtschaft befanden. rnrnDa aus dem pharaonischen Ägypten keine Berichte über den Ablauf der Bienenhaltung überliefert sind und archäologisch bislang keine Bienenstände in situ belegt sind, wurden vor allem die Beschreibungen griechischer und römischer Autoren sowie der Fund des Bienenhauses aus Tel Rehov in Israel als Vergleichsmaterial herangezogen.rnrnHonig war im pharaonischen Ägypten ein wertvoller Süßstoff, deshalb war die Biene auch in wirtschaftlicher Hinsicht wichtig und ihre ab der 5. Dynastie bildlich nachweisbare Domestikation führte zu höheren Honigerträgen. Honig war neben Fruchtsirup aus Datteln, Feigen oder Johannisbrotfrucht der einzige Süßstoff, da Zuckerrohr und Rübenzucker noch nicht bekannt waren. rnVerschiedene Honigsorten und -begriffe sind nachweißbar. Während bj.t allgemein den Honig bezeichnet, ist mit sn-bj.t Wabenhonig gemeint. Hinzu kommen verschiedene Adjektive, die die Honigsorte näher bestimmen. So wird roter (dSr.t), weißer (HD.t), flüssiger (stf), fester (gmgm), guter (nfr.t) und alter (is.t) unterschieden. rnAls Heilmittel findet Honig in zahlreichen medizinischen Rezepten Verwendung. In dieser Arbeit werden Augenkrankheiten und Fleischwunden näher behandelt. Eine große Rolle kam dem Honig im Götterkult zu. Die zahlreichen Opferstiftungen und Festkalender lassen auf eine üppige Verwendung sowohl im täglichen Tempelritual als auch bei Festen schließen. Durch das Opfern von Honig wollte der König seine Herrschaft über Ägypten sowie die Fruchtbarkeit des Landes sichern. rn

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Der Beitrag beschreibt eine doppelte, verfremdete und letztendlich tragische Spiegelung in der Wahrnehmung von Architektur zwischen Europa und Indien: zwischen 1780 und 1856 entstanden in der nordindischen Stadt Lucknow mehrere große Baukomplexe, die von den indisch-islamischen Herrschern der Stadt in europäisch-klassizistischen Formen gestaltet wurden. Nach dem indischen Aufstand, der in den Jahren 1857 und 1858 gegen die britische Herrschaft in Lucknow losbrach, wurden diese Bauten zum Gegenstand einer scharfen europäischen Architekturkritik. Der erste Abschnitt – "Das Eigene und das Fremde" – betrachtet die westliche Rezeption dieser europäisch-klassizistischen Bauten, die über Jahrzehnte durch ein Negativurteil bestimmt war, das sich aus der politischen Interpretation des indischen Aufstands erklärt. Der zweite Abschnitt – "Kopie und Synthese" – geht auf die Suche nach den Zusammenhängen für die positive Europarezeption in Lucknow und für die negative Kritik dieser Bauten in Europa. Es erweist sich, dass die Praxis von Architekturkopie und die Wahrnehmung europäischer Stilformen bei der Übernahme klassizistischer Motive in Indien deutlich anders war als das exakte und moralisch überhöhte Verständnis von Stilformen im Europa nach 1850.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Der Beitrag beschreibt eine doppelte, verfremdete und letztendlich tragische Spiegelung in der Wahrnehmung von Architektur zwischen Europa und Indien: zwischen 1780 und 1856 entstanden in der nordindischen Stadt Lucknow mehre-re große Baukomplexe, die von den indisch-islamischen Herrschern der Stadt in europäisch-klassizistischen Formen gestaltet wurden. Nach dem indischen Auf-stand, der in den Jahren 1857 und 1858 gegen die britische Herrschaft in Lucknow losbrach, wurden diese Bauten zum Gegenstand einer scharfen europäi-scher Architekturkritik. Der erste Abschnitt – "Das Eigene und das Fremde" – betrachtet die westliche Rezeption dieser europäisch-klassizistischen Bauten, die über Jahrzehnte durch ein Negativurteil bestimmt war, das sich aus der politischen Interpretation des indischen Aufstands erklärt. Der zweite Abschnitt – "Kopie und Synthese" – geht auf die Suche nach den Zusammenhängen für die positive Europarezeption in Lucknow und für die negative Kritik dieser Bauten in Europa. Es erweist sich, dass die Praxis von Architekturkopie und die Wahrnehmung europäischer Stilfor-men bei der Übernahme klassizistischer Motive in Indien deutlich anders war als das exakte und moralisch überhöhte Verständnis von Stilformen im Europa nach 1850.