688 resultados para Comorbidity
Resumo:
The objective of the present study was to establish the frequency of psychiatric comorbidity in a sample of diabetic patients with symmetric distal polyneuropathy (SDPN). Sixty-five patients with type 2 diabetes mellitus were selected consecutively to participate in the study at Instituto Estadual de Diabetes e Endocrinologia. All patients were submitted to a complete clinical and psychiatric evaluation, including the Portuguese version of the structured clinical interview for DSM-IV, the Beck Depression Inventory, the Neuropathy Symptom Score, and Neuropathy Disability Score. SDPN was identified in 22 subjects (33.8%). Patients with and without SDPN did not differ significantly regarding sociodemographic characteristics. However, a trend toward a worse glycemic control was found in patients with SDPN in comparison to patients without SDPN (HbA1c = 8.43 ± 1.97 vs 7.48 ± 1.95; P = 0.08). Patients with SDPN exhibited axis I psychiatric disorders significantly more often than those without SDPN (especially anxiety disorders, in general (81.8 vs 60.0%; P = 0.01), and major depression - current episode, in particular (18.2 vs 7.7%; P = 0.04)). The severity of the depressive symptoms correlated positively with the severity of SDPN symptoms (r = 0.38; P = 0.006), but not with the severity of SDPN signs (r = 0.07; P = 0.56). In conclusion, the presence of SDPN seems to be associated with a trend toward glycemic control. The diagnosis of SDPN in diabetic subjects seems also to be associated with relevant psychiatric comorbidity, including anxiety and current mood disorders.
Resumo:
Département de linguistique et de traduction
Resumo:
La psychopathie est un désordre de la personnalité caractérisé par des traits de comportement, tels qu’un manque d’empathie, du narcissisme, une estime de soi élevée, etc. Souvent, ces traits sont considérés comme indésirables. Ces caractéristiques se manifestent chez l’homme et la femme, autant dans la population criminelle que non-criminelle. L’étude de la psychopathie et la relation entre celle-ci et d’autres désordres mentaux représente un domaine relativement novateur de la psychologie. Des études démontrent une forte corrélation négative entre la psychopathie et l'anxiété, et entre la psychopathie et la dépression. Au total, 92 étudiants actuels ou ayant récemment graduées, au niveau du baccalauréat, de la maîtrise, et du doctorat ont été recrutés pour participer à cette étude. Ces participants ont complété quatre questionnaires standardisées qui évaluent leur niveau de psychopathie, d’anxiété et de dépression. Les évaluations utilisées sont le « Levenson’s Self-Report Psychopathy scale », le « Childhood and Adolescent Taxon Self-Report », le « Beck Depression Inventory », et le « Beck Anxiety Inventory ». Les résultats suggèrent l'existence d'une forte corrélation positive entre la dépression et la psychopathie, entre l'anxiété et la psychopathie, et entre l'anxiété et la dépression. Des variables additionnelles, tels que le sexe et l’éducation antérieure, contribuent aussi de façon significatives à ce modèle. Les résultats sont analysés tout en considérant des études antérieures et l’importance de la comorbidité psychopathique dans la recherche à venir.
Resumo:
Dans les services de première ligne, la majorité des personnes atteintes de dépression souffrent également d’autres maladies chroniques comorbides. Offrir des soins de haute qualité à ces patients représente un défi important pour les intervenants en première ligne ainsi que pour le système de santé. Il y a des raisons de croire que les contextes organisationnels dans lesquels les intervenants pratiquent ont une influence importante sur les soins. Cependant, peu d’études ont examiné directement la façon dont les caractéristiques des cliniques facilitent ou entravent les soins offerts aux patients atteints de dépression et de différents types de maladies chroniques comorbides. L’objectif général de ce projet de recherche était donc de mieux comprendre comment différentes caractéristiques des cliniques de première ligne influencent la qualité des soins pour la dépression chez des patients ayant différents profils de comorbidité. La thèse comporte deux études. Tout d'abord, nous avons effectué une revue systématique examinant les relations entre la comorbidité physique chronique et la qualité des soins pour la dépression dans les services de première ligne afin de clarifier la nature de ces relations et d’identifier les facteurs qui pourraient influer sur ces relations. Ensuite, nous avons effectué une étude aux méthodes mixtes ayant deux volets : (a) un volet quantitatif examinant les relations entre la qualité des soins pour la dépression, les profils de comorbidité des patients, et les caractéristiques des cliniques de première ligne par le biais d’analyses de régression multiniveaux de données issues de deux enquêtes, et (b) un volet qualitatif basé sur une étude de cas explorant les perceptions des professionnels des services de première ligne sur les facteurs organisationnels pouvant influencer la qualité des soins offerts aux patients souffrant de dépression et d’autres maladies chroniques comorbides. Les résultats de ces études ont montré que, bien que la qualité des soins de la dépression en soins primaires soit sous-optimale, certains sous-groupes de patients dépressifs sont plus à risque que d’autres de recevoir des soins pour la dépression inadéquats, notamment des patients ayant uniquement des comorbidités chroniques physiques. Cependant, plusieurs caractéristiques des cliniques de première ligne semblent faciliter l’offre de soins de qualité aux patients atteints de dépression et de maladies chroniques comorbides : les normes et les valeurs liées au travail d'équipe et le soutien mutuel, l'accès au soutien des professionnels ayant une expertise en santé mentale, l’utilisation des algorithmes de traitement et d’autres outils d’aide à la décision pour la dépression, et l’absence d’obstacles liés aux modèles de rémunération inadéquats. Une des façons dont ces caractéristiques favorisent la qualité est en facilitant la circulation des connaissances dans les cliniques de première ligne. Nos résultats suggèrent que des interventions organisationnelles ciblées sont nécessaires pour améliorer la qualité des soins pour la dépression que reçoivent les patients ayant des maladies chroniques comorbides. Ces interventions peuvent viser différents domaines organisationnels (ex : caractéristiques structurelles/stratégiques, sociales, technologies et épistémiques) mais doivent aussi prendre en compte comment les éléments de chaque domaine interagissent et comment ils pourraient influencer les soins pour des patients ayant des profils de comorbidité différents.
Resumo:
Resumen tomado de la publicaci??n
Resumo:
Resumen tomado de la publicación
Resumo:
Objective: Autism spectrum disorders are now recognized to occur in up to 1% of the population and to be a major public health concern because of their early onset, lifelong persistence, and high levels of associated impairment. Little is known about the associated psychiatric disorders that may contribute to impairment. We identify the rates and type of psychiatric comorbidity associated with ASDs and explore the associations with variables identified as risk factors for child psychiatric disorders. Method: A subgroup of 112 ten- to 14-year old children from a population-derived cohort was assessed for other child psychiatric disorders (3 months' prevalence) through parent interview using the Child and Adolescent Psychiatric Assessment. DSM-IV diagnoses for childhood anxiety disorders, depressive disorders, oppositional defiant and conduct disorders, attention-deficit/hyperactivity disorder, tic disorders, trichotillomania, enuresis, and encopresis were identified. Results: Seventy percent of participants had at least one comorbid disorder and 41% had two or more. The most common diagnoses were social anxiety disorder (29.2%, 95% confidence interval [CI)] 13.2-45.1), attention-deficit/hyperactivity disorder (28.2%, 95% CI 13.3-43.0), and oppositional defiant disorder (28.1%, 95% CI 13.9-42.2). Of those with attention/deficit/hyperactivity disorder, 84% received a second comorbid diagnosis. There were few associations between putative risk factors and psychiatric disorder. Conclusions: Psychiatric disorders are common and frequently multiple in children with autism spectrum disorders. They may provide targets for intervention and should be routinely evaluated in the clinical assessment of this group.
Resumo:
Purpose. - This study investigates the influence of age at onset of OCS on psychiatric comorbidities, and tries to establish a cut-off point for age at onset. Methods. - Three hundred and thirty OCD patients were consecutively recruited and interviewed using the following structured interviews: Yale-Brown Obsessive Compulsive Scale; Yale Global Tic Severity Scale and the Structured Clinical Interview for DSM-IV. Data were analyzed with regression and cluster analysis. Results. - Lower age at onset was associated with a higher probability of having comorbidity with tic, anxiety, somatoform, eating and impulse-control disorders. Longer illness duration was associated with lower chance of having tics. Female gender was associated with anxiety, eating and impulse-control disorders. Tic disorders were associated with anxiety disorders and attention-deficit/hyperactivity disorder. No cutoff age at onset was found to clearly divide the sample in homogeneous subgroups. However, cluster analyses revealed that differences started to emerge at the age of 10 and were more pronounced at the age of 17, suggesting that these were the best cut-off points on this sample. Conclusions. - Age at onset is associated with specific comorbidity patterns in OCD patients. More prominent differences are obtained when analyzing age at onset as an absolute value. (C) 2008 Elsevier Masson SAS. All rights reserved.