998 resultados para Classical Receptive-field
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Les neurones des couches superficielles du collicule supérieur et du cortex visuel primaire du rat adulte sont sensibles à de basses fréquences spatiales de haut contraste défilant à des vitesses élevées. Entre les jours post-nataux 27-30 et l’âge adulte, les fréquences temporelles optimales des neurones du cortex visuel primaire augmentent, tandis que leurs seuils de contraste diminuent. Cependant, les fréquences spatiales optimales, les valeurs de résolution spatiale et les bandes passantes spatiales de ces neurones sont, dès l’ouverture des paupières, similaires à celles observées chez le rat adulte. Ces profils de réponse neuronale suggèrent que les projections rétino-colliculaires et rétino-géniculo-corticales sont essentiellement issues de neurones ganglionnaires rétinofuges magnocellulaires et koniocellulaires. Les neurones du cortex visuel primaire du rat ayant subi des convulsions hyperthermiques présentent, dès l’ouverture des paupières, de basses fréquences spatiales optimales, de larges bandes passantes directionnelles et temporelles ainsi que des seuils de contraste élevés par rapport aux neurones du rat normal. À l’âge adulte, de basses fréquences temporelles optimales et de larges bandes passantes spatiales sont également observées chez le rat ayant subi des convulsions hyperthermiques. L’altération des profils de réponse des neurones du cortex visuel primaire du rat ayant subi de convulsions hyperthermiques suggère un déséquilibre entre les mécanismes neuronaux excitateurs et inhibiteurs de cette aire corticale. Ces résultats suggèrent également qu’un épisode unique de convulsions fébriles infantiles suffit à altérer le développement des propriétés spatio-temporelles des champs récepteurs des neurones du cortex visuel primaire.
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L’attention visuelle est un processus cognitif qui priorise le traitement de l’information visuelle d’une région particulière du champ visuel. En électroencéphalographie, la méthode des potentiels reliés aux évènements permet l’extraction de composantes associées à divers processus cognitifs. La N2pc, une composante latéralisée caractérisée par une déflexion négative entre 180 et 300 ms post-stimulus du côté controlatéral à l’hémichamp dans lequel l’attention est déployée, reflète les processus impliqués dans le déploiement de l’attention visuo-spatiale. De nombreuses études antérieures ont soulevé plusieurs facteurs pouvant moduler cette composante, provenant d’autant de processus de bas niveau que de processus de haut niveau. Cette présente étude comporte une série d’expériences qui approfondit les connaissances sur le rôle de l’attention sur le traitement et la représentation des items dans les champs récepteurs des aires extrastriées du cortex visuel. Ces études démontrent ainsi que l’attention peut effectivement éliminer l’influence d’un distracteur dissimilaire à la cible lorsque celui-ci se retrouve dans le même champ visuel que l’item auquel l’attention est attribuée. Cependant, lorsque l’item est similaire à la cible, son influence ne peut être éliminée. De plus, cette présente étude identifie le rôle des filtres précoces et tardifs de haut niveau sur la sélection attentionnelle.
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La perception visuelle ne se résume pas à la simple perception des variations de la quantité de lumière qui atteint la rétine. L’image naturelle est en effet composée de variation de contraste et de texture que l’on qualifie d’information de deuxième ordre (en opposition à l’information de premier ordre : luminance). Il a été démontré chez plusieurs espèces qu’un mouvement de deuxième ordre (variation spatiotemporelle du contraste ou de la texture) est aisément détecté. Les modèles de détection du mouvement tel le modèle d’énergie d’Adelson et Bergen ne permettent pas d’expliquer ces résultats, car le mouvement de deuxième ordre n’implique aucune variation de la luminance. Il existe trois modèles expliquant la détection du mouvement de deuxième ordre : la présence d’une circuiterie de type filter-rectify-filter, un mécanisme de feature-tracking ou simplement l’existence de non-linéarités précoces dans le traitement visuel. Par ailleurs, il a été proposé que l’information visuelle de deuxième ordre soit traitée par une circuiterie neuronale distincte de celle qui traite du premier ordre. Bon nombre d’études réfutent cependant cette théorie et s’entendent sur le fait qu’il n’y aurait qu’une séparation partielle à bas niveau. Les études électrophysiologiques sur la perception du mouvement de deuxième ordre ont principalement été effectuées chez le singe et le chat. Chez le chat, toutefois, seules les aires visuelles primaires (17 et 18) ont été extensivement étudiées. L’implication dans le traitement du deuxième ordre de l’aire dédiée à la perception du mouvement, le Sulcus syprasylvien postéro-médian latéral (PMLS), n’est pas encore connue. Pour ce faire, nous avons étudié les profils de réponse des neurones du PMLS évoqués par des stimuli dont la composante dynamique était de deuxième ordre. Les profils de réponses au mouvement de deuxième ordre sont très similaires au premier ordre, bien que moins sensibles. Nos données suggèrent que la perception du mouvement par le PMLS serait de type form-cue invariant. En somme, les résultats démontrent que le PMLS permet un traitement plus complexe du mouvement du deuxième ordre et sont en accord avec son rôle privilégié dans la perception du mouvement.
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Stimuli outside classical receptive fields have been shown to exert significant influence over the activities of neurons in primary visual cortexWe propose that contextual influences are used for pre-attentive visual segmentation, in a new framework called segmentation without classification. This means that segmentation of an image into regions occurs without classification of features within a region or comparison of features between regions. This segmentation framework is simpler than previous computational approaches, making it implementable by V1 mechanisms, though higher leve l visual mechanisms are needed to refine its output. However, it easily handles a class of segmentation problems that are tricky in conventional methods. The cortex computes global region boundaries by detecting the breakdown of homogeneity or translation invariance in the input, using local intra-cortical interactions mediated by the horizontal connections. The difference between contextual influences near and far from region boundaries makes neural activities near region boundaries higher than elsewhere, making boundaries more salient for perceptual pop-out. This proposal is implemented in a biologically based model of V1, and demonstrated using examples of texture segmentation and figure-ground segregation. The model performs segmentation in exactly the same neural circuit that solves the dual problem of the enhancement of contours, as is suggested by experimental observations. Its behavior is compared with psychophysical and physiological data on segmentation, contour enhancement, and contextual influences. We discuss the implications of segmentation without classification and the predictions of our V1 model, and relate it to other phenomena such as asymmetry in visual search.
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Stimuli outside classical receptive fields significantly influence the neurons' activities in primary visual cortex. We propose that such contextual influences are used to segment regions by detecting the breakdown of homogeneity or translation invariance in the input, thus computing global region boundaries using local interactions. This is implemented in a biologically based model of V1, and demonstrated in examples of texture segmentation and figure-ground segregation. By contrast with traditional approaches, segmentation occurs without classification or comparison of features within or between regions and is performed by exactly the same neural circuit responsible for the dual problem of the grouping and enhancement of contours.
Condition number estimates for combined potential boundary integral operators in acoustic scattering
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We study the classical combined field integral equation formulations for time-harmonic acoustic scattering by a sound soft bounded obstacle, namely the indirect formulation due to Brakhage-Werner/Leis/Panic, and the direct formulation associated with the names of Burton and Miller. We obtain lower and upper bounds on the condition numbers for these formulations, emphasising dependence on the frequency, the geometry of the scatterer, and the coupling parameter. Of independent interest we also obtain upper and lower bounds on the norms of two oscillatory integral operators, namely the classical acoustic single- and double-layer potential operators.
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Defects are usually present in organic polymer films and are commonly invoked to explain the low efficiency obtained in organic-based optoelectronic devices. We propose that controlled insertion of substitutional impurities may, on the contrary, tune the optoelectronic properties of the underivatized organic material and, in the case studied here, maximize the efficiency of a solar cell. We investigate a specific oxygen-impurity substitution, the keto-defect -(CH(2)-C=O)- in underivatized crystalline poly(p-phenylenevinylene) (PPV), and its impact on the electronic structure of the bulk film, through a combined classical (force-field) and quantum mechanical (DFT) approach. We find defect states which suggest a spontaneous electron hole separation typical of a donor acceptor interface, optimal for photovoltaic devices. Furthermore, the inclusion of oxygen impurities does not introduce defect states in the gap and thus, contrary to standard donor-acceptor systems, should preserve the intrinsic high open circuit voltage (V(oc)) that may be extracted from PPV-based devices.
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A esquistossomose é uma doença tropical causada, principalmente, pelo trematódeo Schistosoma mansoni, sendo que sua ocorrência afeta, mundialmente, 110 milhões de pessoas. A deposição dos ovos do parasita pode ocorrer, de forma ectópica, no sistema nervoso central (SNC) o qual leva à formação de granulomas com consequente produção do Fator de Crescimento Neuronal (NGF). Uma vez que muitos estudos demonstram a importância do NGF no desenvolvimento das vias corticais visuais, nosso estudo visou avaliar a possível alteração dos níveis de NGF no sistema visual assim como o impacto deste sobre a morfologia de células piramidais em dois modelos animais. A alteração na concentração do fator de crescimento assim como a morfometria neuronal foram avaliadas em animais permissíveis (camundongos) e não permissíveis (ratos) à infecção. Foram utilizados 174 ratos (Hooded Lister) e 135 camundongos albinos criados e mantidos em gaiolas e alimentados ad libitum. Esses animais foram inoculados, logo após o nascimento, com 50 cercárias. Setenta e sete ratos e 73 camundongos foram inoculados com solução salina e constituíram o grupo controle do estudo. Os períodos de infecção abrangeram uma a 48 semanas. Amostras do fígado e córtex visual foram retiradas, extraídas e quantificadas com kit de imunoensaio (ChemiKineTM Nerve Growth Factor (NGF) Sandwich ELISA Kit – Chemicon International). Para a análise morfométrica utilizamos células piramidais da camada IV do córtex visual marcadas através de injeção extracelular com Dextrana-Biotinilada (10.000 kDa). Os resultados foram expressos como média ± desvio padrão. Utilizamos teste t de Student para determinar diferenças estatísticas entre os grupos estudados. O valor médio de NGF encontrado no córtex visual de ratos infectados foi 39,2% maior do que no grupo controle (infectados: 400,9 ± 143,1 pg/mL; controle: 288 ± 31,9 pg/mL; p < 0,0001). Nas amostras de fígado, o aumento foi 28,9% maior no grupo infectado (infectados: 340,9 ± 103,9 pg/mL; p < 0,01; controle: 264,4 ± 38,6 pg/mL). Nenhum aumento significativo foi detectado antes de uma semana de infecção. Entre os camundongos, o aumento de NGF na área visual foi de 94,1% (infectados: 478,4 ± 284 pg/mL; p < 0,01; controle: 246,5 ± 76,8 pg/mL). No fígado destes animais o aumento foi de 138,7% (infectados: 561,8 ± 260,7 pg/mL; p < 0,01; controle: 301,3 ± 134,6 pg/mL). Em camundongos encontramos diferenças significativas quanto aos parâmetros dendríticos avaliados. A quantidade de dendritos foi 11,41% maior no grupo infectado do que no controle (controle: 25,28 ± 5,19; infectados: 28,16 ± 7,45; p < 0,05). O comprimento total dos dendritos também foi afetado (controle: 4.916,52 ± 1.492,65 μm; infectados: 5.460,40 ± 1.214,07 μm; p < 0,05) correspondendo a um aumento de 11,06%. A área total do campo receptor dendrítico sofreu um aumento de 12,99% (controle: 29.346,69 ± 11.298,62 μm2; infectados: 33.158,20 ± 7.758,31; p < 0,05) enquanto que a área somática teve uma redução de 13,61% (controle: 119,38 ± 19,68 μm2; infectados: 103,13 ± 24,69 μm2; p < 0,001). Quando foram avaliados os efeitos do aumento de NGF em ratos infectados não observamos diferenças significativas quanto aos parâmetros dendríticos analisados, em comparação ao grupo controle, com exceção de um aumento na área do corpo neuronal da ordem de 21,18% (controle: 132,20 ± 28,46 μm2; infectados: 160,20 ± 31,63 μm2; p < 0,00001). Este trabalho mostrou que a reação de produção de NGF no SNC durante a infecção por Schistosoma mansoni ocorre em maior magnitude no modelo permissível do que no modelo não permissível. Também demonstramos que, em camundongos, os efeitos sobre a morfologia neuronal é drasticamente afetada quando o organismo é submetido a um aumento na concentração de NGF em decorrência da infecção por Schistosoma mansoni. Diante destes dados, estudos avaliando as possíveis repercussões visuais e também dos efeitos na fisiologia celular causados pela infecção mansônica torna-se necessário para avaliar o real dano causado por este aumento patológico do fator de crescimento neuronal nas vias visuais de mamíferos.
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A camada I tem como característica principal a baixa quantidade de neurônios e uma alta densidade de fibras nervosas. A morfologia dos neurônios da camada I ainda é pouco estudada, tanto que nos estudos que avaliaram a morfologia desses neurônios não se chegou ainda a um consenso sobre as formas e funções desses neurônios. Este estudo avaliou a morfologia dos neurônios da camada I do córtex visual de duas espécies de roedores: Cavia porcellus, popularmente conhecido no Brasil como porquinho-da-índia e Rattus norvegicus, que é o rato e foi utilizada a linhagem Wistar, comumente usado nas pesquisas científicas. O porquinho-da-índia é um modelo animal muito estudado, utilizado em diversos segmentos da ciência. Apesar dessa espécie ser bem estudada, trabalhos na camada I desse animal são relativamente raros, especialmente em relação à morfologia e eletrofisiologia dos neurônios dessa região cortical. Pesquisas em ratos sobre os neurônios da camada I são mais frequentes, tanto em relação a morfologia quanto a eletrofisiologia. Para discriminar as possibilidades de diferenças na morfologia dos neurônios da camada I do córtex visual do porquinho-da-índia e do rato, este estudo classificou esses neurônios de acordo com a trajetória de seus dendritos e analisou as medidas dendríticas utilizando a técnica de injeção intracelular de biocitina. Após a classificação dos neurônios as comparações foram feitas entre os mesmos tipos celulares de cada roedor. Foram utilizados 35 porquinhos-da-índia da variedade Dunkin-Hartley de pêlo curto de ambos os sexos com idades de 4 a 5 dias de vida pós-natal. Quanto aos ratos, foram utilizados 30 ratos da variedade Wistar, de ambos os sexos com idades de 14 a 21 dias de vida pós-natal. Os animais foram anestesiados e tiveram seus encéfalos removidos, hemisférios separados e foram realizados cortes no plano coronal na região occipital onde se localiza a área visual dos roedores. As fatias foram mantidas em líquido cérebro-espinhal artificial e em seguida levadas ao microscópio para injeção de biocitina e posteriormente foram fixadas e tratadas para montagem em lâmina e contracoradas com Nissl para melhor visualização. Os neurônios encontrados foram classificados como: horizontais, ascendentes, descendentes e radias. Foram analisadas as seguintes medidas dendríticas: área do campo receptor, comprimento dendrítico total e médio, área total do corpo celular, número de dendritos, distância da pia-máter e análise da distribuição de Sholl. Dos resultados obtidos os mais notáveis foram o alcance dos ramos dendríticos e o tamanho do corpo celular dos neurônios da camada I do porquinho-da-índia quando comparados aos do rato. Isso sugere que, nessa espécie, um maior número de microcircuitos neurais podem ser estabelecidos, e por conseguinte maior taxa metabólica, justificada pelo maior tamanho do corpo celular.
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Attention is a phenomenon that allows the selection of relevant stimuli in order to prioritize them and improve their processing. This modulation could occur in any step of the process: in an early stage or in a late stage, more precisely, in a perceptive or motor stage. However, even with a rich literature about attention in time, there are still some divergences about how this modulation occurs. A hypothesis about it says that temporal attention would only be able to prepare the motor system to respond. The perceptual modulation would only occur when the temporal expectation is in combination with another expectation of a property with neuronal receptive field. In this situation, the receptive field's pre-activation is the explanation of how temporal attention would be capable to modulate perceptual process. The crucial objective was to test this hypothesis. In other words, it was to verify if the feature expectation of a stimulus (Gabor orientation) and its temporal expectancy interferes in perception quality. Two experiments were made: the first one tested the voluntary temporal expectation, and the second one tested the automatic temporal expectation. Our data shows that both Feature-based Attention and Temporal Attention improve the process of perception. Temporal expectation effects just occur in situations of competitive environment. Hypothesis verification was not conclusive, because of methodological problems
Resumo:
Pós-graduação em Física - IFT
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Pós-graduação em Física - IFT
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During the last decade, a multi-modal approach has been established in human experimental pain research for assessing pain thresholds and responses to various experimental pain modalities. Studies have concluded that differences in responses to pain stimuli are mainly related to variation between individuals rather than variation in response to different stimulus modalities. In a factor analysis of 272 consecutive volunteers (137 men and 135 women) who underwent tests with different experimental pain modalities, it was determined whether responses to different pain modalities represent distinct individual uncorrelated dimensions of pain perception. Volunteers underwent single painful electrical stimulation, repeated painful electrical stimulation (temporal summation), test for reflex receptive field, pressure pain stimulation, heat pain stimulation, cold pain stimulation, and a cold pressor test (ice water test). Five distinct factors were found representing responses to 5 distinct experimental pain modalities: pressure, heat, cold, electrical stimulation, and reflex-receptive fields. Each of the factors explained approximately 8% to 35% of the observed variance, and the 5 factors cumulatively explained 94% of the variance. The correlation between the 5 factors was near null (median ρ=0.00, range -0.03 to 0.05), with 95% confidence intervals for pairwise correlations between 2 factors excluding any relevant correlation. Results were almost similar for analyses stratified according to gender and age. Responses to different experimental pain modalities represent different specific dimensions and should be assessed in combination in future pharmacological and clinical studies to represent the complexity of nociception and pain experience.
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Excitatory neurons at the level of cortical layer 4 in the rodent somatosensory barrel field often display a strong eccentricity in comparison with layer 4 neurons in other cortical regions. In rat, dendritic symmetry of the 2 main excitatory neuronal classes, spiny stellate and star pyramid neurons (SSNs and SPNs), was quantified by an asymmetry index, the dendrite-free angle. We carefully measured shrinkage and analyzed its influence on morphological parameters. SSNs had mostly eccentric morphology, whereas SPNs were nearly radially symmetric. Most asymmetric neurons were located near the barrel border. The axonal projections, analyzed at the level of layer 4, were mostly restricted to a single barrel except for those of 3 interbarrel projection neurons. Comparing voxel representations of dendrites and axon collaterals of the same neuron revealed a close overlap of dendritic and axonal fields, more pronounced in SSNs versus SPNs and considerably stronger in spiny L4 neurons versus extragranular pyramidal cells. These observations suggest that within a barrel dendrites and axons of individual excitatory cells are organized in subcolumns that may confer receptive field properties such as directional selectivity to higher layers, whereas the interbarrel projections challenge our view of barrels as completely independent processors of thalamic input.
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Many neurons in the mammalian retina are electrically coupled by intercellular channels or gap junctions, which are assembled from a family of proteins called connexins. Numerous studies indicate that gap junctions differ in properties such as conductance and tracer permeability. For example, A-type horizontal cell gap junctions are permeable to Lucifer Yellow, but B-type horizontal cell gap junctions are not. This suggests the two cell types express different connexins. My hypothesis is that multiple neuronal connexins are expressed in the mammalian retina in a cell type specific manner. Immunohistochemical techniques and confocal microscopy were used to localize certain connexins within well-defined neuronal circuits. The results of this study can be summarized as follows: AII amacrine cells, which receive direct input from rod bipolar cells, are well-coupled to neighboring AIIs. In addition, AII amacrine cells also form gap junctions with ON cone bipolar cells. This is a complex heterocellular network. In both rabbit and primate retina, connexin36 occurs at dendritic crossings in the AII matrix as well as between AIIs and ON cone bipolar cells. Coupling in the AII network is thought to reduce noise in the rod pathway while AII/bipolar gap junctions are required for the transmission of rod signals to ON ganglion cells. In the outer plexiform layer, connexin36 forms gap junctions between cones and between rods and cones via cone telodendria. Cone to cone coupling is thought to reduce noise and is partly color selective. Rod to cone coupling forms an alternative rod pathway thought to operate at intermediate light intensity. A-type horizontal cells in the rabbit retina are strongly coupled via massive low resistance gap junctions composed from Cx50. Coupling dramatically extends the receptive field of horizontal cells and the modulation of coupling is thought to change the strength of the feedback signal from horizontal cells to cones. Finally, there are other coupled networks, such as B-type horizontal cells and S1/S2 amacrine cells, which do not use either connexin36 or Cx50. These results confirm the hypothesis that multiple neuronal connexins are expressed in the mammalian retina and these connexins are localized to particular retinal circuits. ^