45 resultados para Cheques
Resumo:
Au cours d'une transaction portant sur une acceptation bancaire (ci-après «BA» tel que dénommée dans le jargon juridique) différents types de relations peuvent s'établir entre les parties impliquées, certaines plus directes que d'autres. Dans une transaction donnée, à part le client et la banque, on peut trouver une ou plusieurs banques participantes et un ou plusieurs investisseurs, qui deviennent détenteurs de BA. La situation peut devenir complexe et les relations légales risquent de devenir assez compliquées. Cependant, il est important d'identifier si la relation s'est établie à travers l'instrument de BA, si elle existe par le biais d'une relation contractuelle ordinaire ou encore, si elle existe par le fait de la loi. Une bonne analyse des circonstances entourant la transaction, des facteurs connexes à la transaction et des droits et obligations qui existent entre les parties, sera nécessaire pour déterminer laquelle de la loi provinciale ou fédérale s'appliquera, et dans quelle mesure. Une fois accordée, la BA est gouvernée par la Loi sur les lettres de change. Toutes solutions apportées à un problème qui implique des BA, doivent, en principe, respecter la nature inhérente de la BA en tant qu'effet de commerce, gouverné par la loi fédérale. En matière de BA, c'est, soit la Loi sur les lettres de change soit la Loi sur les lettres et billets de dépôt (Depository Bills and Note Act) qui s'appliqueront à l'acte. Comme il existe des lois fédérales applicables à la BA, l'objet de notre étude est de déterminer si, et dans quelle circonstance la loi de la province, tel que le Code civil du Québec, trouvera application et éclaircira dans certains cas la disposition contenue dans la Loi sur les lettres de change, notamment lorsque les dispositions de ladite loi sont silencieuses ou ambigües. La solution la plus simple serait d'appliquer la loi provinciale aux matières qui ne sont pas traitées dans la loi, étant donné que les lois provinciales apportent souvent un complément à la législation fédérale. Cependant, la Loi sur les lettres de change contient des dispositions spéciales, tel que l'article 9 qui stipule : « 9. Les règles de la common law d'Angleterre, y compris en droit commercial, s'appliquent aux lettres, billets et chèques dans la mesure de leur compatibilité avec les dispositions expresses de la présente loi. » Cette disposition a crée une certaine confusion relativement à l'application du droit civil du Québec en matière de Lettres de change. En effet, il existe un doute quant à savoir si l'application de l'article 9 est une incorporation par référence qui exclue totalement l'application du droit civil. Cette question continue de se poser inexorablement dans la doctrine et la jurisprudence. Elle a en effet donné lieu à une série de théories quand au degré d'application de la common law en matière de lettres de change. Une revue de la jurisprudence dominante nous permet de conclure que les tribunaux ont accepté l'application du droit provinciale dans certaines questions impliquant les lettres de change. La question essentielle traitée lors de notre analyse est la suivante: lorsqu'un litige prend naissance dans une transaction de BA, quelle est la règle qui devra s'appliquer? Quel sera le droit qui gouvernera les problèmes émergeant dans une BA, celui du Code Civil du Québec ou celui de la common law d'Angleterre? Étant donne le nombre de cas qui sont portés devant les cours de justice en rapport avec des transactions de BA, comprendre quelle sera la loi applicable est d'une importance fondamentale. Pour répondre à cette question, nous commencerons par un examen de l'historique, du développement et de l'évolution de la BA. Afin de mieux comprendre la BA, nous débuterons par un bref survol des origines de cet instrument juridique. Dans le deuxième chapitre, nous analyserons la nature et le caractère légal de la BA. Cela constituera le cadre aux travers duquel nous pourrons identifier les règles et les principes qui s'appliquent aux différents aspects de la transaction de BA. Le chapitre trois fera l'objet d'un examen détaillé des mécanismes de l'opération de BA tout en étudiant de près les exigences imposées par la législation applicable. Après avoir examine l'aspect légal de la BA, nous procéderons au chapitre quatre, à l'étude de l'applicabilité de la loi provinciale relativement à certains aspects de la transaction de BA. A cet effet, nous examinerons les différentes approches de compréhension de la Loi sur les lettres de change et plus particulièrement la problématique rencontrée à l'article 9. Nous étudierons aussi l'application et l'interprétation de cette loi par les tribunaux du Québec au cours du siècle dernier. Les juges et les juristes se sont penchés sur les sens qu'a voulu donner le législateur lorsqu'il a stipulé dans l'article 9 «Le règles de la common law d'Angleterre, y compris en droit commercial, s appliquent aux lettres, billets et chèques dans la mesure de leur compatibilité avec les dispositions expresses de la présente loi ». Cette section doit-elle être appliquée à la lettre, nous obligeant à appliquer la common law d'Angleterre a chaque problème qui peut se poser en relation avec les lettres et les billets? Le Parlement a-t-il l'intention que cette disposition s'applique également au Québec, dont le droit privé est basé sur le système du Code Civil? Notre étude portera sur les différentes approches d'interprétation qui offrent une diversité de solutions au problème posé par l'article 9. Finalement, compte tenu des nouveaux développements législatifs, au chapitre cinq, nous proposons une méthode en vue de déterminer la loi applicable aux différents aspects de la transaction de BA. Notre analyse nous a conduit à adopter la solution proposée par la majorité des juristes, à la différence que notre approche de l'article 9 est basée sur des raisons de politique. Nous avons donc adopté la stricte dichotomie (en tant qu'effet négociable d'une part, et d'une sorte de contrat et de propriété de l'autre) en prenant en compte les difficultés inhérentes à déterminer quand l'un finit et l'autre commence. En conclusion, selon notre opinion, il existe deux solutions. Premièrement, il y a la possibilité que l'article 9 puisse être écarté. Dans ce cas, toutes les matières qui ne sont pas expressément évoquées dans la loi tomberont dans la compétence de la loi provinciale, comme c'est le cas dans d'autres types de législations fédérales. Dans ces situations, le droit civil du Québec joue un rôle supplétif dans les applications d'une loi fédérale au Québec. Deuxièmement, modifier l'article 9 plutôt que d'en écarter son application offre une autre possibilité. Incorporer la large stricte dichotomie dans l'article 9 nous semble être une solution préférable. La disposition pourrait se lire comme suit: « Les règles de la common law d'Angleterre incluant le droit commercial dans la mesure ou elles ne sont pas incompatibles avec les dispositions expresses de la Loi, s’appliquent aux lettres, billets, et chèques au sens stricte. Pour plus de certitude, les lettres et les billets au sens strict, incluent la forme, la délivrance et I’émission des lettres, billets, et chèques.» Ce type de changement se révélera être un pas important dans le but de clarifier la loi et déterminer l'équilibre à trouver entre l'application des lois fédérales et provinciales en matière de BA.
Resumo:
En este trabajo se pretenden analizar las características de algunos de los principales códigos utilizados en el día a día -DNI-NIF, código de barras, códigos ISBN, códigos ISSN, códigos de targeta de crédito, de cuentas bancarias, de cheques bancarios- especialmente en los algoritmos que pretenden calcular su carácter de control a partir de los demás elementos del código. También se estudian las posibilidades didácticas de los propios códigos y se ofrece una aplicación informática para el aula de Secundaria a través una WebQuest sobre el tema.
Resumo:
Crédito variable de refuerzo del área de matemáticas destinado al último trimestre del primer ciclo de la etapa de 12-16. Trabaja las matemáticas a través de situaciones concretas, contextualizandolas en la realidad más immediata del alumno y relacionándolas con otras áreas de aprendizaje. Consta de las siguientes unidades didácticas: 1- Pesos, medidas y mediciones. 2- Interpretación de planos y mapas. 3- Viajes. 4-Datos, gráficos y tablas. 5- Cheques, facturas y compras. Se proponen diversas actividades de aprendizaje, pero en todas se incluye el cálculo mental y el repaso de las principales operaciones matemáticas. Todas las actividades vienen explicitadas y emmarcadas dentro de cada unidad didáctica.
Resumo:
Acercar la cultura Kuna al mundo Occidental y que ésta conozca un poco más aquella, mediante el análisis detallado de las sucesivas etapas. A través del estudio del fenómeno educativo, nuestro primer contacto significativo en los últimos años con estos indígenas, llegar a ver cuáles fueron nuestras aportaciones positivas y nuestros errores. Analizar la introducción de la educación occidental europea como un elemento reestructurador y cambiante de la sociedad tradicional. Fuentes documentales primarias. Exposición para encuadrar acontecimientos del país. Exposición breve del sistema educativo tradicional Kuna con las manifestaciones peculiares de su sociedad. Las leyes y disposiciones gubernamentales. La primer escuela indígena fuera del territorio Kuna. Actividad de la misión jesuita en el Caribe. La misión protestante. La educación después del cierre de la revolución y la puesta en marcha por los misioneros claretianos y franciscanos. La labor de los directores. La labor del indígena Estanislao López, los Congresos Generales y el paso de la Educación al Ministerio de Educación. La acción de la Educación de Nele Kantule. Recursos documentales y entrevistas. Análisis documental y bibliográfico. El momento de inicio no fue el más idóneo. Formando parte de Colombia experimentan la autodeterminación y casi el abandono del gobierno nacional. Con la separación de Panamá y Colombia quedan divididos, intentan nacionalizarles y la educación fue parte de la civilización. Se buscan simpatizantes pagados con cheques, policías y maestros indígenas con un salario que asienta las bases de la desigualdad social y también educativa. Hubo movilidad en el archipiélago y hacia el exterior. Brotan las enfermedades epidemiológicas de la civilización y las lacras sociales. El progreso y el bien se confundieron al igualar a los indios con los ciudadanos nacionales, y no se respetaron las diferencias. Los Kunas necesitaron de la educación porque empezaron a tener relación con el mundo exterior, primero comercial y luego política. La época jesuita de evangelización tiene como fin la conversión, con una instrucción mínima basado en el aprendizaje de la lengua nacional y en las operaciones aritméticas elementales. La misión protestante fue causa de continuos conflictos y enfrentamientos por el mal conocimiento e interpretación de la ley. En la fundación de las primeras escuelas nacionales resalta la labor de las maestras que abrieron brecha superando tantas dificultades. Los pasos eran lentos y vacilantes porque había poca preparación entre los docentes. Tras la revolución las riendas educativas las llevan los claretianos. Los indígenas reconocen su dedicación. Se crean internados, aumenta el número de alumnado que prosigue sus estudios en los centros de la capital. En la zona oriental Alcibíades funda una escuela protestante que será el centro educativo de aquella región. Se nombran maestros indígenas que favorece la propagación de las escuelas. Dio confianza pero no mejoró los niveles educativos, por la mala cualificación de los maestros y maestras. La introducción de la escuela de estilo occidental entre los Kunas tuvo como consecuencia una serie de aportaciones positivas muy destacables: A.- La formación del personal indígena les llevó a tomar parte activa de la vida política del país, teniendo derecho al voto. Pudiendo elegir personas que les representasen en la asamblea legislativa nacional. B.- Mejoró el nivel sanitario y sus condiciones de vida. Los indígenas se formaron en la rama sanitaria y la fundación de dispensarios y centros de salud ayudó a combatir las enfermedades. C.- La educación pasó a manos de los propios indígenas. Y finalmente dependen del Ministerio de Educación, como las escuelas del país. Ayudó a la demarcación del territorio indígena. Logrando una Reserva, donde viven autogobernándose; formó líderes y personas con capacidad para representarles y defenderles, que completaron su formación con los conocimientos occidentales. Conservó sus tradiciones y dotó a la lengua Kuna de un abecedario. Los indígenas consiguieron becas y continuaron sus estudios en el extranjero. Fomentó el cooperativismo. Favoreció que la mujer fuera considerada al mismo nivel que el hombre. La educación fue tema de preocupación y de importancia de los caciques y de los congresos generales Kunas. Aspectos negativos: se identificó escuela y civilización, las diferentes religiones crearon mayor división entre ellos, existía amiguismo en el nombramiento de los maestros indígenas con escasa preparación, existían condiciones de precariedad en el funcionamiento y la carencia de dotación de material en las escuelas. A veces los vicios se identificaron con la educación por los malos ejemplos de los maestros. Se produjo una apertura hacia el mundo exterior, con abandono de las actividades agrícolas y de pesca.
Resumo:
Se apoya la ense??anza p??blica en la Educaci??n Infantil, en especial para el ciclo de 0 a 3 a??os. La defensa de la red p??blica vendr??a acompa??ada de una ense??anza de calidad que contara con el apoyo de las administraciones auton??micas, en detrimento de la red privada. Se critican las medidas que favorecen la privatizaci??n de las escuelas infantiles, entre otras, la utilizaci??n de dinero p??blico a trav??s de los denominados cheques escolares. El respaldo legal que se ofrece a los centros privados, motiva situaciones irregulares en las escuelas p??blicas. Esta circunstancia perjudica tanto al profesorado, como a la educaci??n de los alumnos.
Resumo:
La reforma educativa de Barack Obama, presidente de Estados Unidos, está marcada por dos grandes objetivos: elevar el nivel educativo medio del país y mejorar la igualdad de oportunidades. También, pretende financiar programas estatales que contribuyan a la evaluación de las competencias que tengan que ver con la tecnología; la investigación científica; la resolución de problemas y la presentación y defensa de las ideas de los alumnos. Obama no es partidario de los cheques escolares como herramienta para estimular la competitividad entre las escuelas. Sin embargo, ha mostrado su apoyo a las escuelas concertadas, porque las considera fuentes de innovación y cree que es necesario un mayor control evaluativo sobre las mismas. Una de sus preocupaciones es dotar de una mayor inversión en la formación de los docentes y un aumento de salario de los mismos en función de méritos objetivables. Por otro lado, propone financiar la educación preescolar gratuita y dar ayudas a los estudiantes universitarios que lo necesiten. El dinero que se va a destinar a estos aspectos proviene del ahorro de la guerra de Irak, de algunos programas de la NASA, de fondos procedentes de impuestos y subasta de propiedades federales. Los resultados medios de Estados Unidos en los Informes PISA están por debajo de la media de la OCDE. Obama piensa que la educación científica y tecnológica debe ser la primera prioridad. Propone tres acciones: invertir en captación de mejores recursos humanos para la docencia en el ámbito científico-tecnológico; dar apoyos a los estados en la investigación y el desarrollo curricular y mejorar los mecanismos de evaluación.
Resumo:
El presente trabajo está basado en el análisis realizado al Sistema de Ejecución Presupuestaria y su aplicación a las instituciones del Gobierno Central, en el cual además de las Instituciones del Sector Público están involucrados el Ministerio de Economía y Finanzas, y Organismos de Control. Como un preámbulo, se realiza una reseña histórica de los antecedentes que motivaron al Banco Central del Ecuador y Ministerio de Economía y Finanzas buscar una nueva alternativa para que las instituciones del sector público ya no realicen sus operaciones en el Banco Central utilizando los cheques entregados por esta entidad como medios de pago, diseñando para el efecto un sistema de Ejecución Presupuestaria que les permita realizar transferencias, pagos y depósitos a través de la banca privada corresponsal, el cual constituye un medio normativo que posibilita la ejecución de los presupuestos del Gobierno Central. Con la finalidad de fomentar el uso de la tecnología de la información y de comunicaciones en la gestión del sector público, tendiente a mejorar los niveles de transparencia, eficiencia y seguridad en los procesos, relacionados con la gestión de cobros y pagos de las instituciones del Gobierno Central, el Banco Central del Ecuador a diseñado el Sistema de Pagos del Sector Público, a través del cual se realizan el pago de las remuneraciones de los servidores públicos, además se pueden incluir en el mismo, otros pagos como servicios, viáticos, pago a proveedores y cualquier cancelación que las instituciones deban realizar por concepto de obligaciones ya devengadas. Para el efecto se ha coordinado la colaboración del sistema financiero nacional, el cual involucra a Bancos Privados, Asociación de Mutualistas y Cooperativas de Ahorro y Crédito, en las cuales los servidores públicos aperturarán sus cuentas de ahorros o corrientes para la transferencia de sus remuneraciones. Este sistema a más de brindar agilidad en los procesos, permitirá al Gobierno Central disponer de información veraz y oportuna respecto al número de empleados del sector público que se encuentran laborando en sus diferentes dependencias, contribuyendo a un ahorro considerable en el Presupuesto General del Estado, además que permitirá al Ministerio de Economía y Finanzas programar el presupuesto de gastos para dichas instituciones, con base a información transparente.
Resumo:
O presente trabalho, através da interdisciplinaridade entre Sistemas de Informação e Marketing, foi desenvolvido com o objetivo de fornecer uma avaliação do grau de satisfação do cliente bancário, pessoa-física, com a utilização das tecnologias de informática e telecomunicações na realização dos serviços bancários, na cidade de Porto Alegre. Foram consideradas como tecnologias da informação os terminais de autoatendimento, Automated Teller Machines (ATMs) para saques e depósitos, cash-dispenser, terminais de depósitos, terminais de extratos e saldos e dispensadores de cheques, localizados em agências, ante-salas de agências, quiosques em locais públicos e em postos de atendimento, e centrais telefônicas com atendimento humano e URA (Unidade de Resposta Audível). O método seguido foi o proposto por ROSSI & SLONGO (1998), com duas etapas distintas, uma exploratória e a outra descritiva. Os indicadores de satisfação foram selecionados através de levantamento de dados secundários. A pesquisa foi realizada nos meses de julho e agosto 2000, nas salas de auto-serviço do Banco do Brasil. Os clientes entrevistados deveriam estar familiarizados com os serviços telefônicos da empresa pesquisada e terem realizado alguma transação nos terminais de autoatendimento. Para as análises da pesquisa, foram considerados fatores sobre postos de auto-atendimento, processamento de transações, comunicação com clientes, segurança, atendimento nas centrais telefônicas e erros relacionados a computadores. Concluiu-se que o Banco do Brasil está muito bem posicionado quanto à satisfação de seus clientes no que se refere às centrais telefônicas e auto-atendimento, ao seu site Internet Banking e à empresa como um todo. Todos com uma satisfação próxima ao nível máximo. Através de técnicas estatísticas, identificou-se que o indicador que trata de “pagamentos de contas, taxas e tributos nos terminais de auto-atendimento” recebeu o maior índice de satisfação, assim como o fator comunicação com clientes; e o indicador “agilidade na solução e problemas registrados nas centrais telefônicas” recebeu o maior índice de importância, assim como o fator postos de auto-atendimento. Assim, analisou-se, definiu-se e realizouse um modelo para avaliação da satisfação do cliente com as tecnologias da informação.
Resumo:
O presente trabalho foi desenvolvido com o objetivo de fornecer uma avaliação do grau de satisfação do cliente bancário, pessoa-física, com a utilização das tecnologias da informação e do auto-atendimento na realização dos serviços bancários, na cidade de Lajeado. Foram consideradas como tecnologias da informação os terminais de auto -atendimento, Automated Teller Machines (ATMs) para saques e depósitos, cash-dispenser, terminais de depósitos, terminais de extratos e saldos e dispensadores de cheques, localizados em agências, salas de auto-atendimento, quiosques em locais públicos e em pontos de atendimento. O método seguido foi o proposto por ROSSI & SLONGO (1998), com duas etapas distintas, uma exploratória e a outra descritiva. Os indicadores de satisfação foram selecionados através de levantamento de dados secundários e entrevistas de profundidade. A pesquisa foi realizada nos meses de junho e julho de 2001, nas salas de auto-serviço do Banco do Brasil. Os clientes entrevistados deveriam ter realizado alguma transação nos terminais de auto-atendimento. Para as análises da pesquisa, foram considerados fatores sobre pontos de auto-atendimento, processamento de transações, comunicação com clientes, segurança e erros relacionados a computadores. Concluiu-se que o Banco do Brasil está muito bem posicionado quanto à satisfação de seus clientes no que se refere ao autoatendimento. Todos com uma satisfação próxima ao nível máximo. Através de técnicas estatísticas, identificou-se que o indicador que trata da “ rapidez e facilidade para retirar dinheiro” recebeu o maior índice de satisfação, assim como o bloco comunicação com clientes; e o indicador “emissão dos comprovantes das transações realizadas ” recebeu o maior índice de importância, assim como o bloco comunicação com os clientes. Assim, analisou-se, definiu-se e realizou-se um modelo para avaliação da satisfação do cliente com as tecnologias da informação nos serviços bancários.
Resumo:
A motivação deste trabalho é relacionar a teoria da estatística com uma clássica aplicação prática na indústria, mais especificamente no mercado financeiro brasileiro. Com o avanço de hardware, sistemas de suporte à decisão se tornaram viáveis e desempenham hoje papel fundamental em muitas áreas de interesse como logística, gestão de carteiras de ativos, risco de mercado e risco de crédito. O presente trabalho tem como objetivos principais propor uma metodologia de construção de modelos de escoragem de crédito e mostrar uma aplicação prática em operações de empréstimo pessoal com pagamento em cheques. A parte empírica utiliza dados reais de instituição financeira e duas metodologias estatísticas, análise de regressão linear múltipla e análise de regressão probit. São comparados os resultados obtidos a partir da aplicação de modelos de escoragem de crédito desenvolvidos com cada metodologia com os resultados obtidos sem a utilização de modelos. Assim, demonstra-se o incremento de resultado da utilização de modelos de escoragem e conclui-se se há ou não diferenças significativas entre a utilização de cada metodologia. A metodologia de construção de modelos de escoragem é composta basicamente por duas etapas, definição das relações e da equação para cálculo do escore e a definição do ponto de corte. A primeira consiste em uma busca por relações entre as variáveis cadastrais e de comportamento do cliente, variáveis da operação e o risco de crédito caracterizado pela inadimplência. A segunda indica o ponto em que o risco deixa de ser interessante e o resultado esperado da operação passa a ser negativo. Ambas as etapas são descritas com detalhes e exemplificadas no caso de empréstimos pessoais no Brasil. A comparação entre as duas metodologias, regressão linear e regressão probit, realizada no caso de empréstimos pessoais, considerou dois aspectos principais dos modelos desenvolvidos, a performance estatística medida pelo indicador K-S e o resultado incremental gerado pela aplicação do modelo. Foram obtidos resultados similares com ambas as metodologias, o que leva à conclusão de que a discussão de qual das duas metodologias utilizar é secundária e que se deve tratar a gestão do modelo com maior profundidade.
Resumo:
Duties owed in banker customer relationships, with reference to Greenwood duty, duty to inform customers of new accounts and services, duty of confidentiality, drawing cheques on insufficient funds and restricting lender's discretion.
Resumo:
Introdução: Uma grande parte de todas as consultas de medicina dentária realizadas em Portugal ocorre em prestadores de natureza privada, consequentemente a acessibilidade, principalmente entre os estatutos socioeconomicamente mais desfavorecido é dificultada. As crianças e os jovens são um grupo especial da população que necessita de particular atenção e proteção por parte dos serviços governamentais, investir na sua saúde e no seu bem‐estar garante ganhos de saúde ao longo das suas vidas. Tendo isto em conta, foi criado o Programa Nacional de Promoção de Saúde Oral (PNPSO). Os objetivos principais deste programa consistem na redução da incidência de doenças orais, melhoria dos conhecimentos e comportamentos sobre saúde oral e a promoção da equidade na prestação de cuidados de saúde oral. Desta forma são emitidos cheques-dentista para determinados grupos populacionais, sendo eles crianças e jovens com idade inferior a 16 anos, gravidas a ser seguidas no SNS, beneficiários do complemento solidário para idosos, portadores de Sida/VIH, e consultas no âmbito da prevenção do cancro oral. Participantes e Métodos: Realizou-se um estudo observacional transversal onde a população em análise foi constituída pelos responsáveis dos alunos de 10 e 13 anos abrangidos pelo PNPSO que no ano letivo 2013/2014 frequentaram o Colégio de Vizela e o Instituto Silva Monteiro. A recolha de dados foi feita através de um inquérito realizado por escrito com questões relativas à utilização dos documentos no âmbito do PNPSO. Em ambas as situações esteve presente o consentimento informado e garantiu-se a total confidencialidade dos dados. Os dados recolhidos neste estudo foram submetidos a uma análise estatística recorrendo ao software IBM SPSS Statistics v22. Resultados: Na população analisada quando questionados “O seu educando já tinha tido alguma consulta de medicina dentária?” 88,5% responderam “sim”, desses a maioria referiu que o médico dentista onde essas consultas foram realizadas estava incluído no programa (81,5%). Uma grande parte dos inquiridos referiu a escola como fator que lhes deu a conhecer o programa (sendo que 90,2% incluíram essa opção nas suas respostas). Quando questionados se fizeram tratamentos fora do programa 54,9% responderam que não. Em relação à utilização do(s) cheque(s)-dentista a que tiveram direito, 86,1% dos beneficiários referiu ter utilizado, desses, 67,6% mencionou a conclusão dos tratamentos com as consultas no âmbito do programa. Quando questionados o que os levou a escolher o consultório onde os tratamentos incluídos no PNPSO foram realizados, 57,9% do total de respostas foram para o “conhecimento prévio do médico dentista”. Na opinião de grande parte dos inquiridos (97,5%), o cheque-dentista é um incentivo para cuidados de saúde oral. No futuro, 99,2% dos beneficiários referiram que irão realizar os tratamentos a que tenham direito com o PNPSO. Conclusão: Com este estudo foi possível observar que grande parte dos beneficiários analisados utilizou o(s) cheque(s)-dentista a que tiveram direito. É possível observar que a maioria dos utentes referiram ter beneficiado com o programa, e afirmam que este constitui um meio de promoção e prevenção de doenças orais futuras e um incentivo para os cuidados de saúde oral. O processo de divulgação do PNPSO foi na sua maioria realizado pelas escolas, em que ambas se revelaram competentes a dar a conhecer o programa aos beneficiários.
Resumo:
Inversiones ABC S.A.S es una empresa colombiana situada en la ciudad de Bogotá, la cual ofrece servicios cambiarios y de intermediación financiera al segmento específico de las empresas de transporte terrestre de carga en la capital del país. La actividad principal de la empresa consiste en el cambio de cheques y la compra de facturas (factoring). Derivados de dicha actividad se ofrecen los siguientes servicios; servicio por ventanilla, servicio puerta a puerta (a domicilio) y consignaciones y giros en bancos y otras entidades como Efecty, Super giros, Western Union (giros y finanzas) y demás casas de giros presentes actualmente en el país. Con base en lo anterior, es posible afirmar que la liquidez constituye en elemento fundamental para el óptimo funcionamiento de los procesos de la compañía. Sin embargo, la tenencia de altas sumas de dinero en efectivo supone también una serie de riesgos asociados a la problemática de inseguridad en la capital del país. Anteriormente, se han presentado asaltos a la sede principal los cuales generalmente resultan en pérdidas económicas que afectan los resultados de la compañía al igual que acciones violentas contra los empleados que atentan contra su integridad física. 1 Teniendo en cuenta que la inseguridad en Bogotá es una amenaza constante, que afecta la operación de la empresa y podría inclusive amenazar su perdurabilidad, el presente trabajo tiene como fin determinar estrategias viables que permitan a la compañía contrarrestar el accionar delictivo de los grupos criminales que amenazan su operación.