999 resultados para André Le Nôtre


Relevância:

80.00% 80.00%

Publicador:

Resumo:

Éminent naturaliste du XIXe siècle, Charles Darwin publie en 1859 ce qui s'avérera être l’un des textes fondateurs des sciences de la vie : On the origin of species by means of natural selection, or the preservation of favoured races in the struggle for life (ou OS). Ce volumineux ouvrage pose les assises conceptuelles de la théorie darwinienne de l'évolution. Cette dernière suscite encore de nos jours la controverse : certains la nient (créationnisme, dessein intelligent, etc.) alors que d'autres la poussent à l'extrême (eugénisme, darwinisme social, etc.). Vu la grande portée de l'OS, le problème de sa traduction en français se présente de lui-même. Ce champ d'étude reste pourtant largement inexploré. Nous avons donc choisi, dans le présent travail, d’étudier les traductions françaises de l’OS. Notre étude s’inscrivant dans un axe de recherche qui s’intéresse aux modes de conceptualisation métaphorique en usage dans les domaines biomédicaux, ainsi qu’aux problèmes de traduction qu’ils soulèvent, nous avons choisi de nous concentrer plus particulièrement sur les modes de conceptualisation métaphorique présents dans le texte de l'OS, et sur la manière dont ils ont été traduits en français. Pour mener à bien ce projet, nous avons élaboré une méthodologie à partir de celle déjà utilisée avec succès dans des études antérieures menées au sein du même axe de recherche que le nôtre. En plus de l’annotation et l’interrogation informatisée de notre corpus, cette méthodologie consiste en la mise en relation, au plan informatique, de plusieurs traductions d’un même texte. De par sa complexité technique, son élaboration constitue l’un des objectifs majeurs de notre étude. Les résultats obtenus nous ont permis de confirmer deux de nos trois hypothèses : 1) la totalité des modes de conceptualisation identifiés dans notre corpus anglais se retrouvent également dans chacune des traductions, et 2) aucun mode de conceptualisation métaphorique ne peut être dégagé des traductions françaises qui n’est pas déjà présent dans l’original anglais. En plus de nous permettre de comparer chaque traduction à l’original anglais, ces résultats nous ont également permis de comparer entre elles les différentes traductions françaises de l’OS. Ce mémoire de maîtrise comporte six chapitres, qui correspondent tour à tour à : notre cadre théorique, l'état de la question, nos hypothèses et nos objectifs, notre méthodologie, nos résultats et la discussion de ces résultats.

Relevância:

80.00% 80.00%

Publicador:

Resumo:

La déficience intellectuelle affecte de 1 à 3% de la population mondiale, ce qui en fait le trouble cognitif le plus commun de l’enfance. Notre groupe à découvert que des mutations dans le gène SYNGAP1 sont une cause fréquente de déficience intellectuelle non-syndromique, qui compte pour 1-3% de l’ensemble des cas. À titre d’exemple, le syndrome du X fragile, qui est la cause monogénique la plus fréquente de déficience intellectuelle, compte pour environ 2% des cas. Plusieurs patients affectés au niveau de SYNGAP1 présentent également des symptômes de l’autisme et d’une forme d’épilepsie. Notre groupe a également montré que SYNGAP1 cause la déficience intellectuelle par un mécanisme d’haploinsuffisance. SYNGAP1 code pour une protéine exprimée exclusivement dans le cerveau qui interagit avec la sous-unité GluN2B des récepteurs glutamatergique de type NMDA (NMDAR). SYNGAP1 possède une activité activatrice de Ras-GTPase qui régule négativement Ras au niveau des synapses excitatrices. Les souris hétérozygotes pour Syngap1 (souris Syngap1+/-) présentent des anomalies de comportement et des déficits cognitifs, ce qui en fait un bon modèle d’étude. Plusieurs études rapportent que l’haploinsuffisance de Syngap1 affecte le développement cérébral en perturbant l’activité et la plasticité des neurones excitateurs. Le déséquilibre excitation/inhibition est une théorie émergente de l’origine de la déficience intellectuelle et de l’autisme. Cependant, plusieurs groupes y compris le nôtre ont rapporté que Syngap1 est également exprimé dans au moins une sous-population d’interneurones GABAergiques. Notre hypothèse était donc que l’haploinsuffisance de Syngap1 dans les interneurones contribuerait en partie aux déficits cognitifs et au déséquilibre d’excitation/inhibition observés chez les souris Syngap1+/-. Pour tester cette hypothèse, nous avons généré un modèle de souris transgéniques dont l’expression de Syngap1 a été diminuée uniquement dans les interneurones dérivés des éminences ganglionnaires médianes qui expriment le facteur de transcription Nkx2.1 (souris Tg(Nkx2,1-Cre);Syngap1). Nous avons observé une diminution des courants postsynaptiques inhibiteurs miniatures (mIPSCs) au niveau des cellules pyramidales des couches 2/3 du cortex somatosensoriel primaire (S1) et dans le CA1 de l’hippocampe des souris Tg(Nkx2,1-Cre);Syngap1. Ces résultats supportent donc l’hypothèse selon laquelle la perte de Syngap1 dans les interneurones contribue au déséquilibre d’excitation/inhibition. De manière intéressante, nous avons également observé que les courants postsynaptiques excitateurs miniatures (mEPSCs) étaient augmentés dans le cortex S1, mais diminués dans le CA1 de l’hippocampe. Par la suite, nous avons testé si les mécanismes de plasticité synaptique qui sous-tendraient l’apprentissage étaient affectés par l’haploinsuffisance de Syngap1 dans les interneurones. Nous avons pu montrer que la potentialisation à long terme (LTP) NMDAR-dépendante était diminuée chez les souris Tg(Nkx2,1-Cre);Syngap1, sans que la dépression à long terme (LTD) NMDAR-dépendante soit affectée. Nous avons également montré que l’application d’un bloqueur des récepteurs GABAA renversait en partie le déficit de LTP rapporté chez les souris Syngap1+/-, suggérant qu’un déficit de désinhibition serait présent chez ces souris. L’ensemble de ces résultats supporte un rôle de Syngap1 dans les interneurones qui contribue aux déficits observés chez les souris affectées par l’haploinsuffisance de Syngap1.

Relevância:

80.00% 80.00%

Publicador:

Resumo:

Ce Tome II introduit la cohomologie, qui est une théorie duale de l'homologie, et examine les liens avec cette dernière ainsi que les divers produits construits sur les modules d'homologie et de cohomologie. Nous étudions en détail les variétés topologiques avec ou sans bord, définissons sur celles-ci au moyen de l'homologie une notion d'orientation et la comparons avec les définitions classiques d'orientation pour les variétés différentiables ou triangulables. Nous exposons les théorèmes de dualité de Poincaré, Alexander et Lefschetz et en déduisons les propriétés des formes d'intersection et de la signature des variétés. Le dernier chapitre du livre présente les résultats fondamentaux concernant la différentiabilité et la triangulabilité des variétés, obtenus depuis les années soixante du siècle dernier, tant en grandes dimensions qu'en dimension quatre. Nous discutons également la conjecture de Poincaré classique et ses généralisations. Bien que des démonstrations complètes de ces résultats soient hors de portée d'un ouvrage tel que le nôtre, nous nous sommes attachés à rendre leurs énoncés compréhensibles. Cette vue d'ensemble, et les références à la littérature qui l'accompagnent, fournissent une introduction aux développements récents dans ce riche domaine de la topologie.

Relevância:

80.00% 80.00%

Publicador:

Resumo:

Si bien se han ido realizando análisis sistemáticos desde el punto de vista arquitectónico de los diferentes jardines nacionales europeos, el jardín clásico español, a pesar del importante incremento de bibliografía operado en la última década, no ha sido todavía estudiado desde los criterios compositivos y espaciales propios de la disciplina arquitectónica. Responde el jardín clásico español a una organización perspectiva que proviene de las construcciones espaciales originadas y desarrolladas en Italia durante los siglos XV y XVI; establece, además, una importante conexión con la arquitectura de jardines contemporánea, es decir, las grandes corrientes europeas –desde el jardín renacentista italiano al barroco francés-, que asume, interpreta e incluso supera en cuanto a organización unitaria e integración con su entorno en varios ejemplos señeros. Pero esta imbricación europea se ve puntualizada por una influencia primordial: el concepto islámico del espacio arquitectónico, caracterizado por la fragmentación y la pérdida de la axialidad, que en España se extiende de forma generalizada. Fusionada con los principios perspectivos provenientes de Italia, esta concepción espacial proporciona a los jardines –y demás edificios- una gran riqueza espacial que, poco analizada y mal comprendida, se ha considerado habitualmente como falta de pericia compositiva. Este hecho ha negado a los jardines españoles originalidad alguna –otorgada, en cambio, a los hispanomusulmanes- y una clasificación periférica en la historia de la disciplina. El jardín clásico español presenta tres etapas principales: una primera, durante los siglos XVI y XVII, que se podría denominar renacentista; una segunda, en la primera mitad del siglo XVIII, de ascendencia barroca francesa, y, por último, en la segunda mitad del Ochocientos, el jardín neoclásico, que en buena medida retoma la organización formal de la primera etapa renacentista. Las tres influencias preponderantes en el jardín renacentista español son la hispanomusulmana, procedente de la ocupación islámica en España desde el siglo VIII hasta el XV, cuya estela se mantiene durante todo el desarrollo del jardín clásico; una flamenca, de menor calado y cuyo origen está en los contactos políticos de la corona española con Flandes, y, por último, la italiana, de donde procederá la espacialidad perspectiva propia del Renacimiento, extendida por toda Europa y conocida en España asimismo por vínculos políticos y culturales. El jardín hispanomusulmán va a proporcionar los rasgos distintivos de la jardinería española posterior, derivados de la necesaria adaptación compositiva a un medio físico poco idóneo para la implantación de jardines. Esta cuestión se soluciona tradicionalmente de forma perfecta con el patio y el apoyo de una serie de elementos arquitectónicos de carácter ligero articulados aleatoriamente con la vivienda para organizar su entorno, operación que produce un organismo superior asimétrico y estructurado a partir de pequeños fragmentos ordenados por ejes quebrados, cuyo crecimiento no presupone un cambio en las cualidades espaciales del jardín. Esta ordenación quebrada y la fragmentación espacial tienden a embarazar la unidad perspectiva renacentista, de tal forma que el jardín español no presenta grandes ejes visuales ni espacios fugados, sino pequeñas piezas independientes –adaptadas mejor a la corrección climática y al riego- que se agregan sin intención de regularidad o simetría, pues buscan la ambigüedad espacial mediante la ofuscación de la percepción y orientación en el jardín, como sucedía en las obras hispanomusulmanas. El jardín renacentista español tendrá una doble vertiente dependiendo del medio físico donde se asiente: si este es poco propicio a la implantación de jardines, se recuperará la ordenación espacial medieval musulmana como respuesta compositiva a dicho entorno remiso, pues los ensayos de jardines basados en elementos arquitectónicos, ante la dificultad de estructurar el espacio del jardín en España con las componentes naturales –topografía, vegetación y agua-, se realizaron con éxito y se reutilizaron en siglos posteriores, e incluso alcanzan el momento actual; contemporáneamente, en territorios propicios a la creación de jardines –generalmente, riberas de ríos-, se podrá desarrollar el espacio perspectivo unitario italiano, que producirá ejemplos de gran calidad. Así, Felipe II creará de forma simultánea jardines muy diferentes según su ubicación. Entre los de carácter más medieval destacan los del Alcázar de Madrid y Valsaín –con el antecedente de Yuste, promovido por Carlos V-, y de los plenamente renacentistas, la Casa de Campo, El Escorial y Aranjuez, éstos últimos de Juan Bautista de Toledo. Los dos primeros se organizan con varios recintos independientes articulados por ejes quebrados y ordenados a partir de elementos ligeros –galerías, torreones, miradores- que se proyectan hacia el exterior para dar forma al entorno inmediato del palacio. Los últimos, en cambio, utilizan las posibilidades del medio natural para estructurar los jardines, y establecen magníficos ejes de raigambre renacentista, origen de espacios perspectivos unitarios de gran interés, dado su tamaño y temprana fecha de creación. Así, en la Casa de Campo la villa se articula con un jardín llano cuya unidad espacial no tiene parangón en la Italia del momento; en Aranjuez, el Jardín de la Isla, independiente en su trazado del palacio que lo propicia, presenta una superposición de dos ejes con gradientes en sentido contrario, y una ordenación a escala territorial, las Huertas de Picotajo, con una malla focalizada de doble simetría adaptada a un difícil meandro del río Jarama y con capacidad de extensión ilimitada en la vega de Aranjuez, que es contemporánea pero mucho más evolucionada que los primeros tridentes creados en Italia y anterior en un siglo a las formalizaciones de Versalles. Frente a estas realizaciones reales, en España los jardines nobiliarios responden a una clara influencia medieval, como los del duque de Alcalá en Bornos, el marqués de Mondéjar, Bellaflor en Sevilla, la Casa del Rey en Arganda o el cigarral de Buenavista en Toledo. Pero en paralelo con éstos y promovidos por nobles conectados con Italia, se están implantando jardines de hispanomusulmana-, en fechas incluso anteriores a los construidos por la corona. Así, el marqués de Villena construye en Cadalso de los Vidrios un jardín con una tempranísima ordenación en terrazas que se integra con su entorno; el duque de Alba en Abadía realiza la misma operación con mayor desarrollo espacial; y en Béjar por el duque de esta ciudad salmantina se establece otro jardín de clara espacialidad italiana, pero con la casa fuera de la ordenación. El siglo XVII supone, en los escasos ejemplos construidos, la prolongación de la espacialidad renacentista introducida por Juan Bautista de Toledo. Hay una clara continuidad en los jardines aterrazados, como La Zarzuela y La Florida, mientras en el ejemplo llano principal, el Buen Retiro, se atiende más a la fragmentación hispana y a una adaptación de los sistemas de extensión al aumento de escala. Así había sucedido en Italia, donde los jardines de malla ortogonal se convirtieron en grandes parques focalizados, con avenidas arboladas y remates perspectivos, elementos que se repiten en el jardín madrileño, aunque sin la unidad conseguida en los precedentes mediante la focalización. El siglo XVIII va a conocer la nueva dinastía de los Borbones y el jardín barroco francés, que supondrá un cambio radical en la concepción espacial del jardín, aunque la influencia hispana no dejará de producirse. El tamaño de estos jardines, su coste de implantación y mantenimiento y la falta de adaptación al medio físico español serán los factores principales del escaso desarrollo que el jardín de Le Nôtre alcanzó en España. A pesar de los proyectos realizados - algunos de gran calidad, como los de Robert de Cotte para el Buen Retiro, los del Palacio Real Nuevo, el de Riofrío y el del castillo de Villaviciosa de Odón-, sólo se van a construir escasos parterres de los denominados urbanos. Entre ellos hay que destacar los del Buen Retiro, Aranjuez y palacios de Liria, Buenavista y Altamira en Madrid, Piedrahita para los duques de Alba, el convento de Santa Bárbara, Migas Calientes –algunos de éstos quedaron en proyecto-, a los que se añade un gran jardín con todos los componentes, que es San Ildefonso de La Granja. En La Granja se puede encontrar un parque completo a la francesa, que responde en mayor medida a los principios establecidos en el tratado de Dezallier d'Argenville que a la influencia directa de las obras de Le Nôtre. Pero la ordenación canónica de jardín barroco francés se particulariza mediante los dispositivos proyectuales de origen hispano, pues se desjerarquizan los ejes principales impidiendo su continuidad, que queda truncada por desarrollos paralelos, interrupciones perspectivas y ejes quebrados. En la segunda mitad del siglo XVIII, los propios monarcas Borbones recuperarán los jardines regulares de los Austrias, cuyos tipos llano y aterrazado tuvieron un importante desarrollo con Felipe II y Juan Bautista de Toledo y gozaban de un merecido prestigio. Ya con Fernando VI se introdujeron ordenaciones de inspiración renacentista, como en el Jardín del Príncipe de Aranjuez; pero será con su hermano Carlos III cuando se revisen las actuaciones filipinas. Juan de Villanueva fue el autor de los principales jardines del momento -entre ellos, las Casitas realizadas para el príncipe de Asturias, el futuro Carlos IV y su hermano el infante Don Gabriel- aunque Ventura Rodríguez realizó en esos años un magnífico epílogo del jardín aterrazado en España: el palacio para el infante Don Luis en Boadilla del Monte, así como proyectos para el parque del Palacio Real Nuevo. En las Casitas de El Escorial –en menor medida en El Pardo-, Villanueva recoge una larga tradición de jardines aterrazados que, además, inserta magistralmente en su entorno, dentro de la secular tradición española de adaptación al medio físico. Lejos de presentar una lectura canónica, aunque utilizando todos los recursos del tipo, el arquitecto consigue la ambigüedad espacial hispana mediante la superposición en el eje longitudinal de dos gradaciones de dirección contraria, accesos quebrados e interrupción de las visuales y el viario, sin prescindir de una ordenación clásica. También de Villanueva son el proyecto definitivo del Jardín Botánico, de gran claridad compositiva y orden científico, y, para el Palacio Real Nuevo y su entorno, el jardín previo a las Reales Caballerizas y una remodelación de la Casa de Campo y su acceso.

Relevância:

80.00% 80.00%

Publicador:

Resumo:

El propósito de esta tesis es estudiar los aspectos fundamentales de la obra del paisajista norteamericano Dan Kiley a través del ejemplo de la casa Miller en Columbus, Indiana. A la hora de abordar el estudio se ha tratado por una parte de estudiar y explicar cuánto hay de relevante en esta obra, pero también de situarla en su contexto. Éste es, además, múltiple: el de la obra, de su autor, el del lugar en que se encuentra y el del momento cultural e histórico en que se produce. En el caso de la casa Miller, la autoría es compartida, y el resultado final, como ocurre en muchos casos de viviendas unifamiliares, responde a un carácter coral, en el que los protagonistas son varios, con mayor o menor influencia, pero indispensables todos ellos en la visión final de conjunto. El primero de los aspectos a considerar son los antecedentes que la han hecho posible ya que el entorno que conforma el universo de Dan Kiley hasta llegar a Columbus es fundamental para entender las circunstancias de partida de una obra como la casa Miller: sus años previos a la universidad, su particular relación con el paisaje a través de sus diferentes trabajos, su extenso conocimiento de las especies de plantas y la experiencia acumulada trabajando para Warren Manning, como la formación basada en la enseñanza, herencia de Olsmted y de las Bellas Artes. Después, sus compañeros de Harvard Eckbo y Rose, la influencia dentro de la universidad tanto de Walter Gropius como de los paisajistas Thomas Church o Christopher Tunnard y de los jardines realizados en Europa durante las primeras décadas del siglo XX conocidos a través de las publicaciones y de la arquitectura de Mies van der Rohe. Años más tarde, después de haber abandonado Harvard, la decisiva influencia de Eero Saarinen y también la de sus relaciones con los diversos colaboradores, los primeros viajes a Europa y con ello la posibilidad de visitar las grandes obras de Le Nôtre. Por otro lado, y en paralelo, la biografía de Irwin Miller, propietario de la casa, nos lleva hasta el momento en el que se ponen en contacto las tres figuras clave para el inicio de las obras (Miller, Saarinen y Kiley) terminando de situar a la casa Miller en el contexto biográfico de su creación. El análisis del lugar, una ciudad tan especial como Columbus, nos remite continuamente a la figura de Irwin Miller, manteniendo siempre una relación indisoluble entre este singular patrono y su ciudad, materializada en la creación del Architecture Program. La primera parte del trabajo aborda estos temas, alternando entre una figura y otra, aunque todas las partes se encuentran ligadas entre sí. En la segunda parte de la tesis se analiza en profundidad primero la casa Miller y después con una mayor precisión los jardines: su esquema compositivo general, sus tres partes diferenciadas y dentro de ellas las sucesivas subpartes que las componen. El análisis se estructura en tres fases: una primera descriptiva del desarrollo del proyecto hasta su materialización en la obra, la siguiente que analiza lo realmente ejecutado y por último los cambios sufridos a lo largo del tiempo. En cuanto al análisis propio de la casa y los jardines, la información de los planos, así como de las fotografías familiares, junto con las imágenes más oficiales de la casa pertenecientes a Ezra Stoller y Balthazar Korab, permitirá conocer los cambios producidos a lo largo del tiempo debidos a diversos factores, como el cambio de criterio en cuanto al uso o decisiones personales del matrimonio Miller: sustitución de plantas y árboles, desaparición de elementos curiosos como las cascadas del techo de uno de los porches, o aparición de elementos singulares que formaran parte de las visiones ya clásicas de la casa, como la escultura de Henry Moore. La tercera parte de la tesis describe la influencia de los jardines de Le Nôtre en el jardín de la casa Miller, gracias a la utilización y adaptación de numerosos recursos del jardín barroco francés, y se configura, junto con el análisis de las obras de jardín doméstico más significativas de Kiley en su obra posterior a la Miller, como el análisis final de todo el trabajo. La utilización de estos instrumentos depurados bajo una estética formal propia del movimiento moderno tiene una singularidad única en los jardines de la Miller, y a pesar de que a lo largo de su carrera Dan Kiley convirtió esta utilización en una constante, no logró la armonía demostrada en esta residencia de Columbus en ninguno de los jardines posteriores en cuanto a forma, escala, relación entre las partes, respuesta a las necesidades de uso y de evolución a lo largo del tiempo. ABSTRACT The purpose of this thesis is to study the fundamental aspects of the work of the american landscape architect Dan Kiley through the example of the Miller House in Columbus, Indiana. When addressing the study it was treated on the one hand to study and explain how much is relevant in this work, but also put it into context. This is also multiple: the work, its author, the place where it lands and the cultural and historical context in which it occurs. In the case of the Miller house, the authorship is shared, and the end result, as in many cases houses, responds to a coral nature, in which the protagonists are several, with more or less influence on it, but indispensable all of them in the final overview. The first aspect to be considered are the antecedents that made it possible, because the environment which forms the universe of Dan Kiley to reach Columbus is essential to understand the circumstances of departure for a work like the Miller house: his previous years of college, his particular relationship with the landscape through his different jobs, his extensive knowledge of species of plants and the accumulated experience working for Warren Manning, and also the training based on Olmsted and Beaux Arts heritage . After that, his Harvard fellows Eckbo and Rose, the influence from Walter Gropius Thomas Church and Christopher Tunnard within the university, and also the landscape and garden made in Europe during the first decades of the twentieth century known through publications and the architecture of Mies van der Rohe. Years later, after leaving Harvard , the decisive influence of Eero Saarinen and also his relationships with various partners, the first trips to Europe and therefore the opportunity to visit the great works of Le Nôtre. On the other hand, and in parallel, Irwin Miller´s biography, owner of the house, takes us to the time when the three key figures come into contact to the start the construction (Miller, Saarinen and Kiley) putting the Miller house into the biographical context of its creation. The analysis of the place, a very special city like Columbus, continually refers us to Irwin Miller´s figure while maintaining an indissoluble relationship between employer and this unique city, materialized in the creation of the Architecture Program. The first part of the work deals with these issues, alternating between one figure and another, although all parties are linked. The second part of the thesis analyzes in depth Miller´s house and then with greater precision the gardens: its overall compositional scheme, its three distinct parts and within them the successive subparts that compose the garden The analysis is divided into three phases: the first one is focused in the project development to its materialization in the final work, the second one which analyzes what is really executed and finally the changes undergone over time. As for the own analysis of the house and gardens, the information drawings, as well as family photographs, along with the official pictures of the house belonging to Ezra Stoller and Balthazar Korab, will reveal the changes throughout time due to various factors, as the change in criterion for the use, or Miller´s marriage personal decisions: replacement of plants and trees, disappearance of curious elements like waterfalls roof of one of the porches, or appearance of single elements that now have become part of the classic visions of the house, like the sculpture of Henry Moore. The third part of the thesis describes the influence of the gardens of Le Nôtre in the garden of Miller´s house, through the use and adaptation of numerous resources from the French Baroque garden, and it is configured as the final analysis of of the work, also with the description of Kiley´s most significant post-Miller one family housing gardens. The use of these released under its own formal aesthetics of modernism instruments has a unique singularity in the gardens of the Miller´s , and although Dan Kiley turned this use in a constant throughout his career, he never got to the harmony demonstrated in Columbus residence in any of the later gardens in form, scale, relationship between the parties, responding to the needs of use and evolution over time.

Relevância:

80.00% 80.00%

Publicador:

Resumo:

Essa pesquisa objetiva a análise da relação entre religião e política, em perspectiva de gênero considerando a atuação de parlamentares evangélicos/as na 54ª Legislatura (de 2011 a 2014) e a forma de intervenção desses atores no espaço político brasileiro quanto à promulgação de leis e ao desenvolvimento de políticas públicas que contemplem, dentre outras, a regulamentação do aborto, a criminalização da homofobia, a união estável entre pessoas do mesmo sexo e os desafios oriundos dessa posição para o Estado Brasileiro que se posiciona como laico. Ora, se laico remete à ideia de neutralidade estatal em matéria religiosa, legislar legitimado por determinados princípios fundamentados em doutrinas religiosas, pode sugerir a supressão da liberdade e da igualdade, o não reconhecimento da diversidade e da pluralidade e a ausência de limites entre os interesses públicos / coletivos e privados / particulares. Os procedimentos metodológicos para o desenvolvimento dessa pesquisa fundamentam-se na análise e interpretação bibliográfica visando estabelecer a relação entre religião e política, a conceituação, qualificação e tipificação do fenômeno da laicidade; levantamento documental; análise dos discursos de parlamentares evangélicos/as divulgados pela mídia, proferidos no plenário e adotados para embasar projetos de leis; pesquisa qualitativa com a realização de entrevistas e observações das posturas públicas adotadas pelos/as parlamentares integrantes da Frente Parlamentar Evangélica - FPE. Porquanto, os postulados das Ciências da Religião devidamente correlacionados com a interpretação do conjunto de dados obtidos no campo de pesquisa podem identificar o lugar do religioso na sociedade de forma interativa com as interfaces da laicidade visando aprofundar a compreensão sobre a democracia, sobre o lugar da religião nas sociedades contemporâneas e sobre os direitos difusos, coletivos e individuais das pessoas.

Relevância:

80.00% 80.00%

Publicador:

Resumo:

Mode of access: Internet.

Relevância:

80.00% 80.00%

Publicador:

Resumo:

Illustrations by Raffet.

Relevância:

80.00% 80.00%

Publicador:

Resumo:

According to life-history theory, individuals optimize their decisions in order to maximize their fitness. This raises a conflict between parents, which need to cooperate to ensure the propagation of their genes but at the same time need to minimize the associated costs. Trading-off between benefits and costs of a reproduction is one of the major forces driving demographic trends and has shaped several different parental care strategies. Using little penguins (Eudyptula minor) as a model, we investigated whether individuals of a pair provide equal parental effort when raising offspring and whether their behavior was consistent over 8 years of contrasting resource availability. Using an automated identification system, we found that 72% of little penguin pairs exhibited unforced (i.e., that did not result from desertion of 1 parent) unequal partnership through the postguard stage. This proportion was lower in favorable years. Although being an equal pair appeared to be a better strategy, it was nonetheless the least often observed. Individuals that contributed less than their partner were not less experienced (measured by age), and gender did not explain differences between partners. Furthermore, birds that contributed little or that contributed a lot tended to be consistent in their level of contribution across years. We suggest that unequal effort during breeding may reflect differences in individual quality, and we encourage future studies on parental care to consider this consistent low and high contributor behavior when investigating differences in pair investment into its offspring. Key words: attendance patterns, individual quality, meal size, parental care, reproductive costs, seabirds.

Relevância:

40.00% 40.00%

Publicador:

Resumo:

Coastal Photograph by Hubert Chanson This photograph of standing wave bed forms was taken at very low tide. The tidal range was 10 m. The bed forms were located on the island of Le Verdelet, in a channel between Le Grande Jaune and Le Verdelet. It is likely that these standing wave bed forms were formed during transcritical shallow water flows at the end of ebb tide. The author’s watch is in the foreground for scale. (Coastal Photograph by Hubert Chanson, Division of Civil Engineering, the University of Queensland, Brisbane, Queensland 4072, Australia.)