701 resultados para peinture de vases
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Cemeteries with many water-filled containers, flowers, sources of human blood, and shade are favorable urban habitats for the proliferation of Aedes aegypti, a vector of yellow fever and dengue. A total of 22,956 containers was examined in the five cemeteries of the city of Buenos Aires, Argentina. The vector was found in four cemeteries that showed an average infestation level of 5.5% (617 positive out of 11,196 water-filled containers). The four cemeteries positive for Ae. aegypti showed significantly different (p<0.01) infestation levels. Vegetation cover and percentage of infestation were significantly correlated (p<0.01), but neither cemetery area nor number of available containers were significantly related to the proportion of positive vases. Our results suggest that the cemeteries of Buenos Aires represent a gradient of habitat favorableness for this vector species, some of which may act as foci for its proliferation and dispersal.
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Résumé : En littérature comme dans les arts figuratifs, voire dans la réalité vécue, l'Antiquité se révèle avoir une proximité plus ou moins grande selon les périodes et les auteurs, mais elle a toujours été présente, toujours féconde. La frontière poreuse entre l'ancien et le moderne fait de l'Antiquité et du Moyen Âge, puis de l'Antiquité et de l'early modern des vases communicants. C'est là une conviction aujourd'hui largement partagée et plusieurs manifestations récentes ont eu pour objet cet aspect-clé de la culture occidentale. Les contributions réunies dans les présents Actes sont le fruit d'un colloque interdisciplinaire de deux jours (13 et 14 mai 2011) organisé par le Centre d'Études Médiévales et Post-Médiévales (CEMEP) de l'Université de Lausanne ; elles ont, chacune, apporté leur pierre à une réflexion en marche en portant des regards croisés sur les formes d'actualisation que connaissent - entre continuités et discontinuités - les figures antiques du Moyen Âge à la Renaissance. Le volume s'articule en trois parties, dans lesquelles le lecteur trouvera des contributions dues à la plume de spécialistes de l'histoire, de l'histoire de l'art et de la littérature : I. Réécritures : entre éthique et esthétique II. Translations politiques III. Actualisation : du Moyen Âge à la modernité
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F. 1 Séquence et messe de la Fête-Dieu. F. 2 Calendrier romain, avec additions des Chartreux de Sainte-Croix de Jérusalem à Rome. F. 8-134 et 151v-197v Temporal : « Ordo missalis romane curie » : — Exultet (122v). F. 134v « Ordo missae. » F. 199-255v Sanctoral : Vig. s. André (199) ; — ste Catherine (255) ; — ste Claire (255v). F. 255v Commun des saints. F. 277v Messes votives. F. 290 Bénédiction de l'eau (incompl. de la fin).
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Ancien possesseur : Ledoux-Lebard, Guy (1912-2003)
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Ancien possesseur : Millin, Aubin-Louis (1759-1818)
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Ancien possesseur : Millin, Aubin-Louis (1759-1818)
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Ancien possesseur : Millin, Aubin-Louis (1759-1818)
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Ancien possesseur : Millin, Aubin-Louis (1759-1818)
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Exemplaire enluminé, aux armes de Jean de Derval, avec plusieurs grandes miniatures, parmi lesquelles, au fol. 393 v°, une peinture à pleine page représentant Pierre Le Baut, offrant son livre à Jean de Derval et à sa femme Hélène de Laval ; au bas de cette miniature, la devise : Sans plus. — Au fol. 1 v°, on lit la devise : « Tout pour une. Argentré. Ay. »
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Premiers mots : « Pour ce que plusieurs gens de diverses nacions et contrées se delectent et prennent plaisir, comme j'ay fait le temps passé, à veoir le monde... ». Derniers mots : «... En ces Espaignes et en Arragon a grant multitude de Sarrazins et de Juifz, qui tiennent terres, maisons et prossessions, et communiquent avecques les crestiens. Et les tiennent les roys, pour le prouffit qu'ilz ont d'eulx ». Suit la rubrique : « Ce livre a fait le roy d'armes de Berry, herault du roy de France, des pays et regions où il a esté en son vivant, avec les fleuves et cités principaulx de toute crestienté. Doxa Theo ». Armoiries.
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Les imaginaires explorés par ce livre ont ceci de commun qu'ils tentent de s'en tenir à la matérialité du monde, de ses corps, de ses images, de ses lois. Ils affirment chacun à sa manière le monde et sa fable. Ils y construisent la figure d'un à-côté, d'une fuite, d'une déviation ou d'un renversement. Un coup d'oeil persan. Lois et calculs ; clôtures et braconnages ; lignes de fuites ; histoire(s). Les noms que ce livre convoque forment des cristaux, quelque(s) cristallographie(s). La lumière s'y dévie, s'y diffracte, révèle ses palettes de couleur, butte contre les grains obscurs de la matière, comme une matière elle-même concentrée et diffractée. Cette constellation se rend visible autant par la littérature (Kawabata, Kafka, Proust, etc.) que par la peinture (Bosch, Velàzquez, etc.), comme autant d'images projetées. Cette lumière prend des corps et une écriture, rythmicité opaque et clarifiante, sans mystères. Les cristaux qu'elle traverse sont des corps imaginaires, politiques, érotiques : la lumière s'y projette en corps à corps, à peau contre peau. Blessante, coupante, rasante, douce ou crue. Les catastrophes conceptuelles s'y aggravent ou en diffèrent. De Montesquieu à Valéry, de Certeau à Deleuze et à Foucault, les imaginaires (d'émancipation, de liberté, d'invention en jeux d'obsessions, de confrontations, de contraintes et de problèmes) se croisent et s'interrogent, se reflètent autrement (Spinoza, Kofman, Agamben, Malabou, Nietzsche, Derrida) se regardent sans se répondre, par des jeux de miroirs superposés. Une autre manière de partager, en rythmes et en images, quelques pratiques d'écriture et de pensée.
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Tandis que les modes de la chinoiserie au XVIIIe et du japonisme au XIXe siècles ont fait l'objet d'innombrables publications, pour ce qui est des périodes antérieures les apports de l'Orient ont été généralement occultés par les historiens de l'art occidentaux. Cette véritable tache aveugle est-elle le fruit de l'ignorance ou le signe d'un chauvinisme européocentrique et anachronique ?¦On rappellera d'abord l'importance et la fréquence des contacts séculaires le long des routes de la soie, parcourues par les missionnaires et les marchands. Deux études de cas serviront ensuite à illustrer les phénomènes d'hybridation et de métissage qui résultent d'emprunts formels. Dans la peinture de paysage, la présence de nuages ou de montagnes chinoises en Europe dès le XVe siècle témoigne de migrations d'est en ouest. Quant au motif architectural de la porte en forme de gueule de monstre, présent du jardin de Bomarzo au Palazzo Zuccari de Rome, il semble également relever d'une source iconographique exotique, celle du kala indonésien.
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Même si Alison Fairlie, Tzvetan Todorov, Han Verhoeff et Simone Balayé ont reconnu l'importance de la parole dans les récits littéraires de Benjamin Constant (Amélie et Germaine, Cécile, Ma vie et Adolphe), dans leurs commentaires ces critiques ont surtout mis en évidence les échecs et les malentendus inhérents à toute communication verbale. Au-delà de ces constatations, il restait à montrer que les récits constantiens donnent à voir et à comprendre l'intérêt que cet écrivain nourrissait pour la parole, tout particulièrement pour la parole privée -celle qu'il a choisi de mettre en scène dans ces quatre oeuvres, qui acquièrent, grâce à cette spécificité, une manière d'unité. Cette parole intime, aux antipodes de la parole publique, s'offre comme un champ d'investigation illimité tant le locuteur est alors impliqué dans sa pratique verbale. Les introspections des narrateurs-personnages constantiens font naître la peinture d'un sujet moderne, fragilisé dans sa vie personnelle et peu engagé dans la vie sociale, mais elles offrent surtout un vaste panorama des situations d'interlocution et présentent en creux les nombreuses ressources de la parole. Ces récits, qui accordent une attention tout à fait signifiante à l'écriture de la parole, mais échappent parfois à toute classification générique, parviennent à mimer les incertitudes de leur narrateur-personnage tout en révélant que c'est par la parole, originale et singulière, que le sujet s'individualise expérience rendue souvent difficile à cause de la langue conventionnelle dont usent ceux que l'on rencontre dans les lieux de sociabilité, en ce XIXe siècle naissant.
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[Exposition. Paris, Palais du domaine de Bagatelle. 1907]