882 resultados para Resistance (Psychoanalysis) in adolescence
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Connected in Motion is a not for profit organization serving young adults with Type 1 diabetes. The organization hosted outdoor and experiential Type 1 diabetes education programs in January of2009 and 2010. The weekends provided non-clinical alternative Type 1 diabetes education to the underserved population of young adults within Canada. Six women living with Type I diabetes and between the ages of 22 and 30 participated in the Winter Slipstream weekends participated in this phenomenological research study. Through semi-structured interviews and artifact-elicitation interviews, ,{ the lived experiences of the participants were examined. Data analysis indicated that the sense of community created through outdoor programming and experiential education for young adults with Type I diabetes stimulated the development of self-efficacy and participant-perceived improvement in Type 1 diabetes self-management. There was no indication that outdoor and experiential Type I diabetes education had any impact on the development of autonomy among participants. Recommendations are made to encourage the successful implementation of further alternative (non-clinical) Type 1 diabetes education programs for young adults living with Type 1 diabetes.
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This study explored children's bullying experiences (as bully, victim, and bystander) and their self-worth perceptions in a private school in Ontario, Canada. Forty students from 12 different countries participated in a mixed methodology (both quantitative and qualitative) research design using a self-report questionnaire. Students reported involvement in bullying as a bully, victim, and bystander. The overall results reveal a pattern across the three roles where the degree of bullying observed as a bystander is the highest (57%) followed by the experiences as a victim (29%) and that performed as bully (21%). The bystanders reported direct bullying being witnessed, bullies reported indirect bullying interventions as being used, and victims of bullying reported indirect bullying being the most common type of bullying they experienced. Decreased feeling of self-worth is reported in the qualitative research data in regards to bullying. Boarding students reported issues regarding personal safety, need for social relationships, self-worth, and unacceptability of bullying. Implications for practice for the private school are discussed, focusing on the outcome of this study.
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Cellular stress resistance has been shown to be highly correlated with longevity. However, the mechanisms conferring this stress resistance have yet to be identified. Maintenance of protein homeostasis is a critical component of cellular maintenance and stress resistance. Superior protein homeostasis capacities may thus underlie the greater stress resistance observed in longer-lived animals; however, little vertebrate data have been provided supporting this idea. I used two different experimental approaches to test the associations of protein homeostasis capacities with stress resistance and lifespan: 1) a comparison between a large set of vertebrate species with varying body masses and lifespans and 2) a comparison of long-lived Snell dwarf mice and their normal littermates. Protein homeostasis mechanisms including protein degradation activity, protein repair activity and molecular chaperone levels were examined. These measurements were performed in liver, heart and brain tissues, and isolated myoblasts. My results indicated that neither protein degradation nor protein repair were upregulated in association with enhanced stress resistance and longevity in an inter-species and intraspecies context. Furthermore, my results did show that there is a positive correlation between molecular chaperone levels and maximum lifespan (MLSP). However, there was no elevation of chaperone levels in the long-lived Snell dwarf mouse, indicating there are other mechanisms linked to their increased lifespan. Therefore, these results suggest that molecular chaperones are involved in increasing animal lifespan in an interspecies context.
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Cette thèse avait pour objectif d’examiner les liens longitudinaux entre le timing pubertaire et les problèmes de comportement intériorisés et extériorisés à l’adolescence, soit les problèmes de conduite et les symptômes dépressifs. Guidé par la perspective théorique biosociale et le modèle de vulnérabilité-stress, le rôle modérateur de l’environnement social et des vulnérabilités personnelles préexistantes était également évalué. Les hypothèses initiales étaient qu’un timing pubertaire précoce ou déviant de la norme (précoce et tardif) serait associé à des niveaux plus élevés de problèmes de conduite et de symptômes dépressifs, mais que ce lien serait accentué dans des contextes sociaux et interpersonnels plus à risque et en présence de vulnérabilités individuelles chez les adolescents. Pour vérifier ces hypothèses, des données provenant de l’Enquête Longitudinale Nationale sur les Enfants et les Jeunes (ELNEJ) ont été analysées. Gérée par Statistique Canada, l’ELNEJ est une enquête prospective biennale comportant différents échantillons représentatifs d’enfants et d’adolescents canadiens. Les mesures utilisées dans cette thèse ont été collectées à différents cycles de l’enquête, soit à 10–11 ans, 12–13 ans, 14–15 ans et 16–17 ans, directement auprès des adolescents et de leurs parents par le biais de questionnaires et d’entrevues. Le premier article de la thèse a vérifié si l’interaction entre le timing pubertaire et des caractéristiques du contexte social des pairs (c.-à-d. l’affiliation avec des pairs déviants et l’implication amoureuse en début d’adolescence) prédisait la présentation de problèmes de conduite avec et sans agressivité physique à l’adolescence. Les résultats ont montré que le contexte social des pairs modérait l’association entre le timing pubertaire et les problèmes de conduite. Une interaction significative entre le timing pubertaire et l’affiliation à des pairs déviants a indiqué qu’une puberté plus précoce était associée à des fréquences plus élevées de problèmes de conduite agressive seulement chez les filles et les garçons qui fréquentaient des pairs déviants. Autrement dit, parmi les adolescents s’affiliant à des pairs déviants en début d’adolescence, les adolescents pubères précoces tendaient à présenter plus de problèmes de conduite agressive deux ans plus tard, en comparaison à leurs pairs pubères dans les temps moyens ou tardifs. Une seconde interaction significative obtenue chez les filles a montré que la puberté plus précoce était prédictrice des problèmes de conduite non-agressive seulement en présence d’un engagement amoureux en début d’adolescence. En effet, dans un contexte d’implication amoureuse, les filles pubères précoces présentaient plus de problèmes de conduite non-agressive que leurs pairs. Le deuxième article de la thèse avait pour objectif d’évaluer le rôle modérateur des vulnérabilités individuelles à la dépression (présence de symptômes intériorisés à la fin de l’enfance), du contexte social des pairs (affiliation à des pairs déviants, expérience amoureuse précoce et perception de popularité auprès des pairs) et des relations parent-adolescent (perception de rejet de la part des parents) dans l’association longitudinale entre le timing pubertaire et les symptômes dépressifs en fin d’adolescence. Chez les filles, une interaction triple a révélé que la puberté plus précoce était liée à davantage de symptômes dépressifs, mais seulement chez celles qui présentaient des symptômes intériorisés à la fin de l’enfance et une implication amoureuse précoce. Chez les garçons, un effet curvilinéaire du timing pubertaire a été observé alors que la puberté précoce et tardive était associée à plus de symptômes dépressifs, mais seulement chez les garçons qui manifestaient des symptômes intériorisés à la fin de l’enfance. La puberté plus précoce était aussi liée à des niveaux plus élevés de symptômes dépressifs en présence d’affiliation à des pairs déviants (garçons) et de perceptions plus importantes de rejet parental (filles et garçons). En somme, la mise en évidence d’interactions significatives entre le timing pubertaire, les caractéristiques de l’environnement social et les vulnérabilités individuelles suscite différentes réflexions au plan théorique et pratique. Tout d’abord, les résultats suggèrent que le timing pubertaire en lui-même ne paraît pas représenter un facteur de risque généralisé des problèmes de comportement intériorisés et extériorisés à l’adolescence. Plus particulièrement, ces résultats soulignent l’importance de considérer l’environnement social et les facteurs de risque individuels préexistants afin de mieux comprendre l’effet de la transition pubertaire sur l’adaptation psychosociale des adolescents.
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La majorité des adolescents québécois auront consommé une substance psychoactive avant la fin de leurs études secondaires. Parmi les facteurs ayant une influence sur cette consommation, on retrouve les normes sociales, dont les normes descriptives. Ce mémoire vise à évaluer l’impact des normes descriptives du milieu scolaire sur les comportements d’usage de cannabis chez les adolescents québécois, ainsi que sur les méfaits attribués à cette consommation. Cette étude examine les liens entre l’écart de perception de prévalence de consommation de cannabis au sein d’une école et la consommation ainsi que les conséquences attribuées à cet usage par les élèves. De plus, elle examine le rôle modérateur des écarts de perception de la prévalence de consommation sur la progression de la consommation, ainsi que sur le lien entre la consommation de cannabis en secondaire 4 et des conséquences attribuées à cette consommation un an plus tard. Provenant de la Stratégie d’Intervention Agir Autrement, l’échantillon de cette étude est constitué de 1601 élèves suivis de secondaire 2 à secondaire 5. Des analyses de régression logistique multinomiale ont été conduites et ont montré que plus les élèves surestiment la prévalence de consommation de cannabis au sein de leur école, plus ils ont de chance de consommer du cannabis et d’attribuer des conséquences négatives à leur consommation un an plus tard. Les résultats ont également montré un effet modérateur positif de l’écart de perception de la prévalence sur la progression de la consommation de cannabis de secondaire 4 à 5, spécifiquement chez les élèves ayant une faible consommation en secondaire 4. Finalement, les résultats ont montré un deuxième effet modérateur de l’écart de perception de prévalence, celui-ci sur le lien entre la consommation de cannabis en secondaire 4 et l’attribution de conséquences négatives à cette consommation un an plus tard. Précisément, les élèves ayant une faible consommation et qui surestiment la prévalence de consommation de cannabis au sein de leur école auront plus de chance d’attribuer plusieurs méfaits à leur consommation en secondaire 5 que d’en attribuer aucun. Par contre, les élèves ayant une consommation de cannabis élevée en secondaire 4 ne rapportent pas plus ni moins de conséquences selon leur estimation de prévalence. Les implications de ces résultats sont discutées.
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La consommation et la consommation problématique de substances psychoactives sont des phénomènes répandus à l’adolescence qui ont suscité beaucoup d’intérêt dans les pays occidentaux au cours des dernières décennies. La recherche a souligné la nécessité d’établir un modèle examinant les effets conjoints du groupe de pairs et de la famille sur ces phénomènes. Deux grandes lignées théoriques émergent de la littérature, soit les courants de la socialisation et de la sélection. De plus, de nombreuses études ont tenté d’expliquer la fréquente cooccurrence de ces phénomènes avec la symptomatologie dépressive, généralement associée à un pronostic plus lourd. Toutefois, la nature et le sens de cette association demeurent peu clairs. Une clarification des mécanismes en jeu est nécessaire afin de pouvoir mieux orienter les efforts de prévention et d’intervention. Le premier objectif de cette thèse est de contribuer à clarifier l’étiologie de la consommation problématique à l’adolescence, en examinant comment elle s’articule avec certains facteurs familiaux, comportementaux et affectifs, et avec l’association à des amis déviants et consommateurs, en testant conjointement deux modèles de médiation compétitifs. Le deuxième objectif est de clarifier l’association entre ces différentes dimensions et la symptomatologie dépressive, en testant l’effet modérateur des symptômes dépressifs dans la chaîne médiatrice proposée. Le troisième objectif est de spécifier les particularités pouvant exister entre les garçons et les filles en testant l’effet modérateur du sexe sur cette même chaîne médiatrice. Les données utilisées proviennent d’une cohorte de l’échantillon longitudinal de la Stratégie d’Intervention Agir Autrement (SIAA) comprenant plus de 3000 jeunes fréquentant des écoles de milieux majoritairement défavorisés du Québec, qui ont été suivis pendant leur secondaire (2003-2007). Lorsque testés séparément, le modèle de socialisation (Patterson) se reproduit dans notre échantillon, mais pas le modèle de sélection (Brown). Lorsque testés simultanément, les modèles structurels de régressions croisées suggèrent toutefois qu’aucun des liens postulés par les modèles ne semble se reproduire, au profit de liens médiateurs de stabilité, à l’exception d’un lien de médiation proposé par le modèle de Patterson chez les garçons. Les analyses de modération (multi-groupes) suggèrent que le sexe a bien un effet modérateur, le contrôle comportemental parental semblant particulièrement important dans l’étiologie des comportements problématiques des garçons, alors que les conflits familiaux semblent plus centraux pour les filles. Les analyses de modération suggèrent également un effet modérateur par les symptômes dépressifs, mais alors qu’il était attendu que ces symptômes exacerberaient les liens à l’étude, il apparaît qu’au contraire, aucun des liens ne se révèle significatif dans le groupe des dépressifs. Cette étude suggère donc que la symptomatologie dépressive et la consommation problématique se présentent conjointement dans un profil plus global de risque. À notre connaissance, cette thèse est la première à s’intéresser spécifiquement au rôle modérateur des symptômes dépressifs sur les liens existant entre les différentes dimensions à l’étude. Les résultats soulignent l’importance d’une intervention psychosociale précoce auprès des jeunes à risque et aux prises avec des symptômes dépressifs, en ciblant des aspects spécifiques pour les garçons et pour les filles.
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La dépression est une psychopathologie répandue qui débute fréquemment au cours de l’adolescence. Maintes répercussions tant personnelles qu’économiques et sociales ont été associées à ce trouble. Plusieurs facteurs, dont la consommation de cannabis, ont été identifiés comme étant susceptibles d’influencer l’apparition et le développement de symptômes dépressifs. Il existe toutefois une absence de consensus par rapport au lien entre la consommation de cannabis et les symptômes dépressifs à l’adolescence, qui pourrait notamment résulter de différences méthodologiques telles que le contrôle de tierces variables. Parmi ces variables, la relation parent-adolescent pourrait modérer la relation entre la consommation de cannabis et les symptômes dépressifs. Ce mémoire vise d’une part à vérifier la relation entre la consommation de cannabis et la manifestation de symptômes dépressifs à l’adolescence et, d’autre part, le rôle modérateur de la relation parent-adolescent sur ce lien. L’échantillon compte 1 740 adolescents québécois suivis longitudinalement du secondaire II au secondaire IV. Des analyses de régression multiple hiérarchique ont été effectuées afin de tester les hypothèses à l’étude. Les résultats démontrent une faible relation positive entre la consommation de cannabis en secondaire II et les symptômes dépressifs évalués deux ans plus tard. Par ailleurs, une seule dimension de la relation parent-adolescent, soit le faible soutien parental, a été identifiée comme ayant un pouvoir prédictif sur les symptômes dépressifs. Cet effet d’interaction explique néanmoins une variance insuffisante pour être significatif d’un point de vue clinique. Les implications de ces résultats pour la recherche sont discutées.
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A longitudinal study observing cochlear implant recipients' social skills using ratings from their parents and the students themselves over time. The study looked at how adolescents using cochlear implants rate their own social skills compared to an age matched normative group of hearing students, and compared these ratings with social skills ratings obtained from their parents. The study also compared social ratings in adolescence to previous ratings of the same children obtained in elementary school.
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Aims: To study the development of resistance responses in Campylobacter jejuni to High Hydrostatic Pressure (HHP) treatments after the exposure to different stressful conditions that may be encountered in food processing environments, such as acid pH, elevated temperatures and cold storage. Methods and Results: C. jejuni cells in exponential and stationary growth phase were exposed to different sublethal stresses (acid, heat and cold shocks) prior to evaluate the development of resistance responses to HHP. For exponential-phase cells, neither of the conditions tested increased nor decreased HHP resistance of C. jejuni. For stationary-phase cells, acid and heat adaptation sensitized C. jejuni cells to the subsequent pressure treatment. On the contrary, cold-adapted stationary-phase cells developed resistance to HHP. Conclusions: Whereas C. jejuni can be classified as a stress sensitive microorganism, our findings have demonstrated that it can develop resistance responses under different stressing conditions. The resistance of stationary phase C. jejuni to HHP was increased after cells were exposed to cold temperatures. Significance and Impact of the Study: The results of this study contribute to a better knowledge of the physiology of C. jejuni and its survival to food preservation agents. Results here presented may help in the design of combined processes for food preservation based on HHP technology.
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Warfarin resistance was first discovered among Norway rat (Rattus norvegicus) populations in Scotland in 1958 and further reports of resistance, both in this species and in others, soon followed from other parts of Europe and the United States. Researchers quickly defined the practical impact of these resistance phenomena and developed robust methods by which to monitor their spread. These tasks were relatively simple because of the high degree of immunity to warfarin conferred by the resistance genes. Later, the second generation anticoagulants were introduced to control rodents resistant to the warfarin-like compounds, but resistance to difenacoum, bromadiolone and brodifacoum is now reported in certain localities in Europe and elsewhere. However, the adoption of test methods designed initially for use with the first generation compounds to identify resistance to compounds of the second generation has led to some practical difficulties in conducting tests and in establishing meaningful resistance baselines. In particular, the results of certain test methodologies are difficult to interpret in terms of the likely impact on practical control treatments of the resistance phenomena they seek to identify. This paper defines rodenticide resistance in the context of both first and second generation anticoagulants. It examines the advantages and disadvantages of existing laboratory and field methods used in the detection of rodent populations resistant to anticoagulants and proposes some improvements in the application of these techniques and in the interpretation of their results.
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Blood clotting response (BCR) resistance tests are available for a number of anticoagulant rodenticides. However, during the development of these tests many of the test parameters have been changed, making meaningful comparisons between results difficult. It was recognised that a standard methodology was urgently required for future BCR resistance tests and, accordingly, this document presents a reappraisal of published tests, and proposes a standard protocol for future use (see Appendix). The protocol can be used to provide information on the incidence and degree of resistance in a particular rodent population; to provide a simple comparison of resistance factors between active ingredients, thus giving clear information about cross-resistance for any given strain; and to provide comparisons of susceptibility or resistance between different populations. The methodology has a sound statistical basis in being based on the ED50 response, and requires many fewer animals than the resistance tests in current use. Most importantly, tests can be used to give a clear indication of the likely practical impact of the resistance on field efficacy. The present study was commissioned and funded by the Rodenticide Resistance Action Committee (RRAC) of CropLife International.
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BACKGROUND: Sex differences are present in many neuropsychiatric conditions that affect emotion and approach-avoidance behavior. One potential mechanism underlying such observations is testosterone in early development. Although much is known about the effects of testosterone in adolescence and adulthood, little is known in humans about how testosterone in fetal development influences later neural sensitivity to valenced facial cues and approach-avoidance behavioral tendencies. METHODS: With functional magnetic resonance imaging we scanned 25 8-11-year-old children while viewing happy, fear, neutral, or scrambled faces. Fetal testosterone (FT) was measured via amniotic fluid sampled between 13 and 20 weeks gestation. Behavioral approach-avoidance tendencies were measured via parental report on the Sensitivity to Punishment and Sensitivity to Rewards questionnaire. RESULTS: Increasing FT predicted enhanced selectivity for positive compared with negatively valenced facial cues in reward-related regions such as caudate, putamen, and nucleus accumbens but not the amygdala. Statistical mediation analyses showed that increasing FT predicts increased behavioral approach tendencies by biasing caudate, putamen, and nucleus accumbens but not amygdala to be more responsive to positive compared with negatively valenced cues. In contrast, FT was not predictive of behavioral avoidance tendencies, either through direct or neurally mediated paths. CONCLUSIONS: This work suggests that testosterone in humans acts as a fetal programming mechanism on the reward system and influences behavioral approach tendencies later in life. As a mechanism influencing atypical development, FT might be important across a range of neuropsychiatric conditions that asymmetrically affect the sexes, the reward system, emotion processing, and approach behavior.
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Aims: To investigate the effect of a therapeutic and sub-therapeutic chlortetracycline treatment on tetracyclineresistant Salmonella enterica serovar Typhimurium DT104 and on the commensal Escherichia coli in pig. Methods and Results: Salmonella Typhimurium DT104 was orally administered in all pigs prior to antibiotic treatment, and monitored with the native E. coli. Higher numbers of S. Typhimurium DT104 were shed from treated pigs than untreated pigs. This lasted up to 6 weeks post-treatment in the high-dose group. In this group, there was a 30% increase in E. coli with a chlortetracycline minimal inhibitory concentration (MIC) > 16 mg l(-1) and a 10% increase in E. coli with an MIC > 50 mg l(-1) during and 2 weeks post-treatment. This effect was less-pronounced in the low-dose group. PCR identified the predominant tetracycline resistance genes in the E. coli as tetA, tetB and tetC. The concentration of chlortetracycline in the pig faeces was measured by HPLC and levels reached 80 mug g(-1) faeces during treatment. Conclusion: Chlortetracycline treatment increases the proportion of resistant enteric bacteria beyond the current withdrawal time. Significance and Impact of the Study: Treated pigs are more likely to enter abattoirs with higher levels of resistant bacteria than untreated pigs promoting the risk of these moving up the food chain and infecting man.
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The metabolic syndrome may have its origins in thriftiness, insulin resistance and one of the most ancient of all signalling systems, redox. Thriftiness results from an evolutionarily-driven propensity to minimise energy expenditure. This has to be balanced with the need to resist the oxidative stress from cellular signalling and pathogen resistance, giving rise to something we call 'redox-thriftiness'. This is based on the notion that mitochondria may be able to both amplify membrane-derived redox growth signals as well as negatively regulate them, resulting in an increased ATP/ROS ratio. We suggest that 'redox-thriftiness' leads to insulin resistance, which has the effect of both protecting the individual cell from excessive growth/inflammatory stress, while ensuring energy is channelled to the brain, the immune system, and for storage. We also suggest that fine tuning of redox-thriftiness is achieved by hormetic (mild stress) signals that stimulate mitochondrial biogenesis and resistance to oxidative stress, which improves metabolic flexibility. However, in a non-hormetic environment with excessive calories, the protective nature of this system may lead to escalating insulin resistance and rising oxidative stress due to metabolic inflexibility and mitochondrial overload. Thus, the mitochondrially-associated resistance to oxidative stress (and metabolic flexibility) may determine insulin resistance. Genetically and environmentally determined mitochondrial function may define a 'tipping point' where protective insulin resistance tips over to inflammatory insulin resistance. Many hormetic factors may induce mild mitochondrial stress and biogenesis, including exercise, fasting, temperature extremes, unsaturated fats, polyphenols, alcohol, and even metformin and statins. Without hormesis, a proposed redox-thriftiness tipping point might lead to a feed forward insulin resistance cycle in the presence of excess calories. We therefore suggest that as oxidative stress determines functional longevity, a rather more descriptive term for the metabolic syndrome is the 'lifestyle-induced metabolic inflexibility and accelerated ageing syndrome'. Ultimately, thriftiness is good for us as long as we have hormetic stimuli; unfortunately, mankind is attempting to remove all hormetic (stressful) stimuli from his environment.