463 resultados para Puhakka, Antero
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INTRODUÇÃO: Os efeitos da levodopa (LD) e da estimulação cerebral profunda (ECP) de núcleo subtalâmico (STN) sobre o equilíbrio e sintomas axiais são até o momento controversos. OBJETIVOS: Avaliar quantitativamente os efeitos da ECP de STN e da LD sobre o equilíbrio estático em pacientes com DP operados, em comparação com a LD em pacientes não operados. MÉTODOS: Trinta e um pacientes submetidos a ECP de STN entre 3 meses e 1 ano e meio antes da avaliação e 26 controles portadores de DP não operados, estágios Hoehn e Yahr 2 a 4 foram avaliados usando UPDRS para avaliação clínica e plataforma de força para avaliar oscilações posturais. O primeiro grupo foi avaliado com ECP e sem medicação, com ECP e com medicação e sem ECP e sem medicação. O segundo grupo foi avaliado com e sem medicação. Cada paciente foi avaliado com os olhos abertos e fechados. O deslocamento do centro de pressão anteroposterior, laterolateral, a área, velocidade e deslocamento total linear foram medidos pela plataforma de força. Os dados paramétricos foram comparados usando o teste t de Student e os dados não-paramétricos foram comparados pelo teste de Kruskal-Wallis. A avaliação clínica consistiu na parte 3 da escala UPDRS e na escala Hoehn e Yahr. Nível de significância estatística considerada foi p=0,05. RESULTADOS: Os pacientes não operados oscilaram mais quando sob efeito da levodopa do que sem medicação. No grupo operado, a maior oscilação é no grupo com ECP desligada e sem medicação. Tende a reduzir sob efeito da ECP apresenta redução significativa sob efeito simultâneo de ECP e levodopa. CONCLUSÃO: A associação da ECP de NST com medicação tem impacto positivo sobre o controle postural. O efeito da ECP de NST reverte o efeito negativo da levodopa sobre as oscilações observadas em pacientes não operados
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Background To analyze and compare the relationship between anterior and posterior corneal shape evaluated by a tomographic system combining the Scheimpflug photography and Placido-disc in keratoconus and normal healthy eyes, as well as to evaluate its potential diagnostic value. Methods Comparative case series including a sample of 161 eyes of 161 subjects with ages ranging from 7 to 66 years and divided into two groups: normal group including 100 healthy eyes of 100 subjects, and keratoconus group including 61 keratoconus eyes of 61 patients. All eyes received a comprehensive ophthalmologic examination including an anterior segment analysis with the Sirius system (CSO). Antero-posterior ratios for corneal curvature (k ratio) and shape factor (p ratio) were calculated. Logistic regression analysis was used to evaluate if some antero–posterior ratios combined with other clinical parameters were predictors of the presence of keratoconus. Results No statistically significant differences between groups were found in the antero–posterior k ratios for 3-, 5- and 7-mm diameter corneal areas (p ≥ 0.09). The antero–posterior p ratio for 4.5- and 8-mm diameter corneal areas was significantly higher in the normal group than in the keratoconus group (p < 0.01). The k ratio for 3, 5, and 7 mm was significantly higher in the keratoconus grade IV subgroup than in the normal group (p < 0.01). Furthermore, significant differences were found in the p ratio between the normal group and the keratoconus grade II subgroup (p ≤ 0.01). Finally, the logistic regression analysis identified as significant independent predictors of the presence of keratoconus (p < 0.01) the 8-mm anterior shape factor, the anterior chamber depth, and the minimal corneal thickness. Conclusions The antero-posterior k and p ratios are parameters with poor prediction ability for keratoconus, in spite of the trend to the presence of more prolate posterior corneal surfaces compared to the anterior in keratoconus eyes.
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La scoliose idiopathique de l’adolescent (SIA) est une déformation tridimensionnelle (3D) de la colonne vertébrale. Pour la plupart des patients atteints de SIA, aucun traitement chirurgical n’est nécessaire. Lorsque la déformation devient sévère, un traitement chirurgical visant à réduire la déformation est recommandé. Pour déterminer la sévérité de la SIA, l’imagerie la plus utilisée est une radiographie postéroantérieure (PA) ou antéro-postérieure (AP) du rachis. Plusieurs indices sont disponibles à partir de cette modalité d’imagerie afin de quantifier la déformation de la SIA, dont l’angle de Cobb. La conduite thérapeutique est généralement basée sur cet indice. Cependant, les indices disponibles à cette modalité d’imagerie sont de nature bidimensionnelle (2D). Celles-ci ne décrivent donc pas entièrement la déformation dans la SIA dû à sa nature tridimensionnelle (3D). Conséquemment, les classifications basées sur les indices 2D souffrent des mêmes limitations. Dans le but décrire la SIA en 3D, la torsion géométrique a été étudiée et proposée par Poncet et al. Celle-ci mesure la tendance d’une courbe tridimensionnelle à changer de direction. Cependant, la méthode proposée est susceptible aux erreurs de reconstructions 3D et elle est calculée localement au niveau vertébral. L’objectif de cette étude est d’évaluer une nouvelle méthode d’estimation de la torsion géométrique par l’approximation de longueurs d’arcs locaux et par paramétrisation de courbes dans la SIA. Une première étude visera à étudier la sensibilité de la nouvelle méthode présentée face aux erreurs de reconstructions 3D du rachis. Par la suite, deux études cliniques vont présenter la iv torsion géométrique comme indice global et viseront à démontrer l’existence de sous-groupes non-identifiés dans les classifications actuelles et que ceux-ci ont une pertinence clinique. La première étude a évalué la robustesse de la nouvelle méthode d’estimation de la torsion géométrique chez un groupe de patient atteint de la SIA. Elle a démontré que la nouvelle technique est robuste face aux erreurs de reconstructions 3D du rachis. La deuxième étude a évalué la torsion géométrique utilisant cette nouvelle méthode dans une cohorte de patient avec des déformations de type Lenke 1. Elle a démontré qu’il existe deux sous-groupes, une avec des valeurs de torsion élevées et l’autre avec des valeurs basses. Ces deux sous-groupes possèdent des différences statistiquement significatives, notamment au niveau du rachis lombaire avec le groupe de torsion élevée ayant des valeurs d’orientation des plans de déformation maximales (PMC) en thoraco-lombaire (TLL) plus élevées. La dernière étude a évalué les résultats chirurgicaux de patients ayant une déformation Lenke 1 sous-classifiées selon les valeurs de torsion préalablement. Cette étude a pu démontrer des différences au niveau du PMC au niveau thoraco-lombaire avec des valeurs plus élevées en postopératoire chez les patients ayant une haute torsion. Ces études présentent une nouvelle méthode d’estimation de la torsion géométrique et présentent cet indice quantitativement. Elles ont démontré l’existence de sous-groupes 3D basés sur cet indice ayant une pertinence clinique dans la SIA, qui n’étaient pas identifiés auparavant. Ce projet contribue dans la tendance actuelle vers le développement d’indices 3D et de classifications 3D pour la scoliose idiopathique de l’adolescent.
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Le traumatisme craniocérébral léger (TCCL) a des effets complexes sur plusieurs fonctions cérébrales, dont l’évaluation et le suivi peuvent être difficiles. Les problèmes visuels et les troubles de l’équilibre font partie des plaintes fréquemment rencontrées après un TCCL. En outre, ces problèmes peuvent continuer à affecter les personnes ayant eu un TCCL longtemps après la phase aiguë du traumatisme. Cependant, les évaluations cliniques conventionnelles de la vision et de l’équilibre ne permettent pas, la plupart du temps, d’objectiver ces symptômes, surtout lorsqu’ils s’installent durablement. De plus, il n’existe pas, à notre connaissance, d’étude longitudinale ayant étudié les déficits visuels perceptifs, en tant que tels, ni les troubles de l’équilibre secondaires à un TCCL, chez l’adulte. L’objectif de ce projet était donc de déterminer la nature et la durée des effets d’un tel traumatisme sur la perception visuelle et sur la stabilité posturale, en évaluant des adultes TCCL et contrôles sur une période d’un an. Les mêmes sujets, exactement, ont participé aux deux expériences, qui ont été menées les mêmes jours pour chacun des sujets. L’impact du TCCL sur la perception visuelle de réseaux sinusoïdaux définis par des attributs de premier et de second ordre a d’abord été étudié. Quinze adultes diagnostiqués TCCL ont été évalués 15 jours, 3 mois et 12 mois après leur traumatisme. Quinze adultes contrôles appariés ont été évalués à des périodes identiques. Des temps de réaction (TR) de détection de clignotement et de discrimination de direction de mouvement ont été mesurés. Les niveaux de contraste des stimuli de premier et de second ordre ont été ajustés pour qu’ils aient une visibilité comparable, et les moyennes, médianes, écarts-types (ET) et écarts interquartiles (EIQ) des TR correspondant aux bonnes réponses ont été calculés. Le niveau de symptômes a également été évalué pour le comparer aux données de TR. De façon générale, les TR des TCCL étaient plus longs et plus variables (plus grands ET et EIQ) que ceux des contrôles. De plus, les TR des TCCL étaient plus courts pour les stimuli de premier ordre que pour ceux de second ordre, et plus variables pour les stimuli de premier ordre que pour ceux de second ordre, dans la condition de discrimination de mouvement. Ces observations se sont répétées au cours des trois sessions. Le niveau de symptômes des TCCL était supérieur à celui des participants contrôles, et malgré une amélioration, cet écart est resté significatif sur la période d’un an qui a suivi le traumatisme. La seconde expérience, elle, était destinée à évaluer l’impact du TCCL sur le contrôle postural. Pour cela, nous avons mesuré l’amplitude d’oscillation posturale dans l’axe antéropostérieur et l’instabilité posturale (au moyen de la vitesse quadratique moyenne (VQM) des oscillations posturales) en position debout, les pieds joints, sur une surface ferme, dans cinq conditions différentes : les yeux fermés, et dans un tunnel virtuel tridimensionnel soit statique, soit oscillant de façon sinusoïdale dans la direction antéropostérieure à trois vitesses différentes. Des mesures d’équilibre dérivées de tests cliniques, le Bruininks-Oseretsky Test of Motor Proficiency 2nd edition (BOT-2) et le Balance Error Scoring System (BESS) ont également été utilisées. Les participants diagnostiqués TCCL présentaient une plus grande instabilité posturale (une plus grande VQM des oscillations posturales) que les participants contrôles 2 semaines et 3 mois après le traumatisme, toutes conditions confondues. Ces troubles de l’équilibre secondaires au TCCL n’étaient plus présents un an après le traumatisme. Ces résultats suggèrent également que les déficits affectant les processus d’intégration visuelle mis en évidence dans la première expérience ont pu contribuer aux troubles de l’équilibre secondaires au TCCL. L’amplitude d’oscillation posturale dans l’axe antéropostérieur de même que les mesures dérivées des tests cliniques d’évaluation de l’équilibre (BOT-2 et BESS) ne se sont pas révélées être des mesures sensibles pour quantifier le déficit postural chez les sujets TCCL. L’association des mesures de TR à la perception des propriétés spécifiques des stimuli s’est révélée être à la fois une méthode de mesure particulièrement sensible aux anomalies visuomotrices secondaires à un TCCL, et un outil précis d’investigation des mécanismes sous-jacents à ces anomalies qui surviennent lorsque le cerveau est exposé à un traumatisme léger. De la même façon, les mesures d’instabilité posturale se sont révélées suffisamment sensibles pour permettre de mesurer les troubles de l’équilibre secondaires à un TCCL. Ainsi, le développement de tests de dépistage basés sur ces résultats et destinés à l’évaluation du TCCL dès ses premières étapes apparaît particulièrement intéressant. Il semble également primordial d’examiner les relations entre de tels déficits et la réalisation d’activités de la vie quotidienne, telles que les activités scolaires, professionnelles ou sportives, pour déterminer les impacts fonctionnels que peuvent avoir ces troubles des fonctions visuomotrice et du contrôle de l’équilibre.
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Dissertação para obtenção do grau de Mestre no Instituto Superior de Ciências da Saúde Egas Moniz
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Mode of access: Internet.
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Originally published: Logroño : Estab. Tip. de D. Domingo Ruiz, 1857.
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"Tiragem apenas de 100 exemplares"
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A survey of Pacific coral reef fishes for sanguinicolids revealed that two species of Lutjanidae (Lutjanus argentimaculatus, L. bohar), six species of Siganidae (Siganus corallinus, S. fuscescens, S. lineatus, S. margaritiferus, S. punctatus, S. vulpinus), seven species of Chaetodontidae (Chaetodon aureofasciatus, C. citrinellus, C. flavirostris, C. lineolatus, C. reticulatus, C. ulietensis, C. unimaculatus), three species of Scombridae (Euthynnus affinis, Scomberomorus commerson, S. munroi) and three species of Scaridae (Chlorurus microrhinos, Scarus frenatus, S. ghobban) were infected with morphologically similar sanguinicolids. These flukes have a flat elliptical body, a vestigial oral sucker, a single testis, separate genital pores and a post-ovarian uterus. However, these species clearly belong in two genera based on the position of the testis and genital pores. Sanguinicolids from Lutjanidae, Siganidae, Chaetodontidae and Scombridae belong in Cardicola Short, 1953; the testis originates anteriorly to, or at the anterior end of, the intercaecal field and does not extend posteriorly to it, the male genital pore opens laterally to the sinistral lateral nerve chord and the female pore opens near the level of the ootype ( may be anterior, lateral or posterior to it) antero-dextral to the male pore. Those from Scaridae are placed in a new genus, Braya; the testis originates near the posterior end of the intercaecal field and extends posteriorly to it, the male pore opens medially at the posterior end of the body and the female pore opens posterior to the ootype, antero-sinistral to the male pore. The second internal transcribed spacer (ITS2) of ribosomal DNA from these sanguinicolids and a known species, Cardicola forsteri Cribb, Daintith & Munday, 2000, were sequenced, aligned and analysed to test the distinctness of the putative new species. Results from morphological comparisons and molecular analyses suggest the presence of 18 putative species; 11 are described on the basis of combined morphological and molecular data and seven are not because they are characterised solely by molecular sequences or to few morphological specimens (n= one). There was usually a correlation between levels of morphological and genetic distinction in that pairs of species with the greatest genetic separation were also the least morphologically similar. The exception in this regard was the combination of Cardicola tantabiddii n. sp. from S. fuscescens from Ningaloo Reef ( Western Australia) and Cardicola sp. 2 from the same host from Heron Island ( Great Barrier Reef). These two parasite/ host/location combinations had identical ITS2 sequences but appeared to differ morphologically ( however, this could simply be due to a lack of morphological material for Cardicola sp. 2). Only one putative species ( Cardicola sp. 1) was found in more than one location; most host species harboured distinct species in each geographical location surveyed ( for example, S. corallinus from Heron and Lizard Islands) and some ( for example, S. punctatus, S. fuscescens and Chlorurus microrhinos) harboured two species at a single location. Distance analysis of ITS2 showed that nine species from siganids, three from scombrids and five from scarids formed monophyletic clades to the exclusion of sanguinicolids from the other host families. Cardicola milleri n. sp. and C. chaetodontis Yamaguti, 1970 from lutjanids and chaetodontids, respectively, were the only representatives from those families that were sequenced. Within the clade formed by sanguinicolids from Siganidae there wasa further division of species; species from the morphologically similar S. fuscescens and S. margaritiferus formed a monophyletic group to the exclusion of sanguinicolids from all other siganid species.
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The morphology and functional occlusion of the cheekteeth of 57 dugongs Dugong dugon of both sexes were examined using reflected light and scanning electron microscopy, radiography, hardness testing and skull manipulation. The functional morphology of the horny oral pads was also described. Mouthparts and body size allometry was examined for ontogenetic and gender-related trends. We found that the worn erupted cheekteeth of the dugong are simple flat pegs composed of soft degenerative dentine. During occlusion, the mandible moves in a mainly antero-lingual direction, with the possibility of mandibular retraction in some individuals. Anterior parts of the cheektooth row may become non-functional as a dugong ages. As a function of body size, dugong cheekteeth are extremely small compared with those of other mammalian herbivores, and with other hindgut fermenters in particular. The morphology, small size and occlusal variability of the cheekteeth suggest that there has not been strong selective pressure acting to maintain an effective dentition. In contrast, great development of the horny pads and associated skull parameters and their lower size variability suggest that the horny pads may have assumed the major role in food comminution.