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Sous le titre ci-dessus est le récit en prose, mêlé de vers, des cérémonies qui suivirent la mort, arrivée à Blois, le 9 janvier 1514, de la reine Anne de Bretagne, et qui accompagnèrent son corps, depuis le château de Blois jusqu'à l'enterrement à St-Denis, et son coeur jusqu'aux Carmes de Nantes, où le narrateur clôt sa relation, à la date du 1er juin 1514. Cette relation est précédée d'une dédicace en 14 vers, de l'auteur à Louise de Savoie, duchesse d'Angoulême, mère de François Ier. Premiers vers (fol. 1. v°) : « Dame royalle, très excellente princesse, D'Angomays et d'Anjou noble duchesse... » La relation commence et finit par des vers. Premiers vers (fol. 2 r°) : « Noblesse, hélas ! si je n'ai bouche ou langue, Pour faire icy suffisante harangue... » Derniers vers (fol. 57 v°) : « Si les prie et requier de faire à Dieu prière Qu'il mecte ma povre ame en celeste lumiere. Amen ! » Dans le cours de cette relation sont insérés : — fol. 3, « la genealogie de ladite dame » ; — fol. 19 à 21, « rondeaux, en forme d'epitache et complaincte de mort » et « la deploracion des lieux où plus souvent lad. dame frequentoit », par « ung sien secretaire nommé maistre ANDRY DE LA VIGNE » ; — fol. 27, autre « rondeau » du même, « mys à St-Saulveur » de Blois. Ornementation. — L'ornementation de ce ms. mérite d'être décrite Elle se compose de miniatures et d'armoiries peintes. Les miniatures sont au nombre de dix et à pleine page, savoir : — fol. 12 v°, Anne de Bretagne, revêtue de ses habits royaux, est étendue sur un lit de parade « en sa salle d'honneur, au corps de maison neuf, sur le devant dud. chasteau de Bloys, où la noble dame print repos jusques au lundi soir », 16 janvier 1514 ; — fol. 14 v°, la mise en bière, à laquelle assistent, lit-on (fol. 15) : « Piédouant, roy d'armes, et heraulx Bretaigne, Vennes et Hennebont » ; — fol. 16 v°, le cercueil d'Anne de Bretagne entouré de religieux, avec les trois hérauts d'armes au pied dud. cercueil ; — fol. 19 r°, « ung signe qui avoit esté veu sur la ville de Suze, le jour qu'elle mourut » ; — fol. 25 r°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans « l'eglise S. Saulveur, hors du chasteau » ; — fol. 38 v°, ledit cercueil porté « soubz ung poisle » dans les rues de Paris : — fol. 40 v°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans l'église de N.-D. de Paris ; — fol. 42 v°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans l'église de St-Denis; — fol. 51 v°, chapelle ardente établie dans l'église des Carmes de Nantes, pour la cérémonie qui précéda le dépôt du coeur de ladite reine « soubz la voulte où gisoient le père et la mère de lad. dame »; — fol. 55 r°, figure du coeur d'or, dans lequel était placé le coeur d'Anne de Bretagne. Les armoiries peintes sont les suivantes : — fol. 1 v°, écu parti de France et de Bretagne, surmonté de deux couronnes et soutenu à destre par un ange, de l'épaule gauche duquel tombe en arrière une banderole sur laquelle on lit : « Rogo pro te, Anna », et à senestre par un lion de la gueule duquel sort une banderole sur laquelle on lit : « Libera eam de ore leonis » ; et est à noter que ledit écu est entouré d'une cordelière d'or, au-dessous de laquelle est une hermine ayant au col un fanion aux armes de France et de Bretagne, et que cette hermine a au-dessous d'elle un cartouche qui porte ces mots : « A ma vie » ; — fol. 28 r°, armes de Blois ; — fol. 30 v°, armes d'Orléans ; — fol. 31 v°, armes de Janville ; — fol. 32 v°, armes d'Étampes ; — fol. 33 r°, armes d'une famille d'Étampes, tirant son origine de « Hue Le Maire, Sr de Chaillou » ; — fol. 37 v°, armes de la ville de Paris ; — fol. 49 r°, armes de la ville de Nantes et écu parti de France et de Bretagne, écu répété en marge du feuillet 50 v°. Les armoiries de villes ci-dessus indiquées sont placées en marge des endroits où il est question du passage du cortège funèbre à travers lesdites villes.

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Sous le titre ci-dessus est le récit en prose, mêlé de vers, des cérémonies qui suivirent la mort, arrivée à Blois, le 9 janvier 1514, de la reine Anne de Bretagne, et qui accompagnèrent son corps, depuis le château de Blois jusqu'à l'enterrement à St-Denis, et son coeur jusqu'aux Carmes de Nantes, où le narrateur clôt sa relation, à la date du 1er juin 1514. Cette relation est précédée d'une dédicace en 14 vers, de l'auteur à Louise de Savoie, duchesse d'Angoulême, mère de François Ier. Premiers vers (fol. 1. v°) : « Dame royalle, très excellente princesse, D'Angomays et d'Anjou noble duchesse... » La relation commence et finit par des vers. Premiers vers (fol. 2 r°) : « Noblesse, hélas ! si je n'ai bouche ou langue, Pour faire icy suffisante harangue... » Derniers vers (fol. 57 v°) : « Si les prie et requier de faire à Dieu prière Qu'il mecte ma povre ame en celeste lumiere. Amen ! » Dans le cours de cette relation sont insérés : — fol. 3, « la genealogie de ladite dame » ; — fol. 19 à 21, « rondeaux, en forme d'epitache et complaincte de mort » et « la deploracion des lieux où plus souvent lad. dame frequentoit », par « ung sien secretaire nommé maistre ANDRY DE LA VIGNE » ; — fol. 27, autre « rondeau » du même, « mys à St-Saulveur » de Blois. Ornementation. — L'ornementation de ce ms. mérite d'être décrite Elle se compose de miniatures et d'armoiries peintes. Les miniatures sont au nombre de dix et à pleine page, savoir : — fol. 12 v°, Anne de Bretagne, revêtue de ses habits royaux, est étendue sur un lit de parade « en sa salle d'honneur, au corps de maison neuf, sur le devant dud. chasteau de Bloys, où la noble dame print repos jusques au lundi soir », 16 janvier 1514 ; — fol. 14 v°, la mise en bière, à laquelle assistent, lit-on (fol. 15) : « Piédouant, roy d'armes, et heraulx Bretaigne, Vennes et Hennebont » ; — fol. 16 v°, le cercueil d'Anne de Bretagne entouré de religieux, avec les trois hérauts d'armes au pied dud. cercueil ; — fol. 19 r°, « ung signe qui avoit esté veu sur la ville de Suze, le jour qu'elle mourut » ; — fol. 25 r°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans « l'eglise S. Saulveur, hors du chasteau » ; — fol. 38 v°, ledit cercueil porté « soubz ung poisle » dans les rues de Paris : — fol. 40 v°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans l'église de N.-D. de Paris ; — fol. 42 v°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans l'église de St-Denis; — fol. 51 v°, chapelle ardente établie dans l'église des Carmes de Nantes, pour la cérémonie qui précéda le dépôt du coeur de ladite reine « soubz la voulte où gisoient le père et la mère de lad. dame »; — fol. 55 r°, figure du coeur d'or, dans lequel était placé le coeur d'Anne de Bretagne. Les armoiries peintes sont les suivantes : — fol. 1 v°, écu parti de France et de Bretagne, surmonté de deux couronnes et soutenu à destre par un ange, de l'épaule gauche duquel tombe en arrière une banderole sur laquelle on lit : « Rogo pro te, Anna », et à senestre par un lion de la gueule duquel sort une banderole sur laquelle on lit : « Libera eam de ore leonis » ; et est à noter que ledit écu est entouré d'une cordelière d'or, au-dessous de laquelle est une hermine ayant au col un fanion aux armes de France et de Bretagne, et que cette hermine a au-dessous d'elle un cartouche qui porte ces mots : « A ma vie » ; — fol. 28 r°, armes de Blois ; — fol. 30 v°, armes d'Orléans ; — fol. 31 v°, armes de Janville ; — fol. 32 v°, armes d'Étampes ; — fol. 33 r°, armes d'une famille d'Étampes, tirant son origine de « Hue Le Maire, Sr de Chaillou » ; — fol. 37 v°, armes de la ville de Paris ; — fol. 49 r°, armes de la ville de Nantes et écu parti de France et de Bretagne, écu répété en marge du feuillet 50 v°. Les armoiries de villes ci-dessus indiquées sont placées en marge des endroits où il est question du passage du cortège funèbre à travers lesdites villes.

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It is our intention in the course of the development of this thesis to give an account of how intersubjectivity is "eidetically" constituted by means of the application of the phenomenological reduction to our experience in the context of the thought of Edmund Husserl; contrasted with various representative thinkers in what H. Spiegelberg refers to as "the wider scene" of phenomenology. That is to say, we intend to show those structures of both consciousness and the relation which man has to the world which present themselves as the generic conditions for the possibility of overcoming our "radical sol itude" in order that we may gain access to the mental 1 ife of an Other as other human subject. It is clear that in order for us to give expression to these accounts in a coherent manner, along with their relative merits, it will be necessary to develop the common features of any phenomenological theory of consdousness whatever. Therefore, our preliminary inquiry, subordinate to the larger theme, shall be into some of the epistemological results of the application of the phenomenological method used to develop a transcendental theory of consciousness. Inherent in this will be the deliniation of the exigency for making this an lIintentional ll theory. We will then be able to see how itis possible to overcome transcendentally the Other as an object merely given among other merely given objects, and further, how this other is constituted specifically as other ego. The problem of transcendental intersubjectivity and its constitution in experience can be viewed as one of the most compelling, if not the most polemical of issues in phenomenology. To be sure, right from the beginning we are forced to ask a number of questions regarding Husserl's responses to the problem within the context of the methodological genesis of the Cartesian Meditations, and The Crisis of European Sciences and Transcendental Phenomenology. This we do in order to set the stage for amplification. First, we ask, has Husserl lived up to his goal, in this connexion, of an apodictic result? We recall that in his Logos article of 1911 he adminished that previous philosophy does not have at its disposal a merely incomplete and, in particular instances, imperfect doctrinal system; it simply has none whatever. Each and every question is herein controverted, each position is a matter of individual conviction, of the interpretation given byaschool, of a "point of view". 1. Moreover in the same article he writes that his goal is a philosophical system of doctrine that, after the gigantic preparatory work. of generations, really be- . gins from the ground up with a foundation free from doubt and rises up like any skilful construction, wherein stone is set upon store, each as solid as the other, in accord with directive insights. 2. Reflecting upon the fact that he foresaw "preparatory work of generations", we perhaps should not expect that he would claim that his was the last word on the matter of intersubjectivity. Indeed, with 2. 'Edmund Husserl, lIPhilosophy as a Rigorous Science" in Phenomenology and theCrisis6fPhilosophy, trans". with an introduction by Quentin Lauer (New York.: Harper & Row, 1965) pp. 74 .. 5. 2Ibid . pp. 75 .. 6. 3. the relatively small amount of published material by Husserl on the subject we can assume that he himself was not entirely satisfied with his solution. The second question we have is that if the transcendental reduction is to yield the generic and apodictic structures of the relationship of consciousness to its various possible objects, how far can we extend this particular constitutive synthetic function to intersubjectivity where the objects must of necessity always remain delitescent? To be sure, the type of 'object' here to be considered is unlike any other which might appear in the perceptual field. What kind of indubitable evidence will convince us that the characteristic which we label "alter-ego" and which we attribute to an object which appears to resemble another body which we have never, and can never see the whole of (namely, our own bodies), is nothing more than a cleverly contrived automaton? What;s the nature of this peculiar intentional function which enables us to say "you think just as I do"? If phenomenology is to take such great pains to reduce the takenfor- granted, lived, everyday world to an immanent world of pure presentation, we must ask the mode of presentation for transcendent sub .. jectivities. And in the end, we must ask if Husserl's argument is not reducible to a case (however special) of reasoning by analogy, and if so, tf this type of reasoning is not so removed from that from whtch the analogy is made that it would render all transcendental intersubjective understandtng impos'sible? 2. HistoticalandEidetic Priority: The Necessity of Abstraction 4. The problem is not a simple one. What is being sought are the conditions for the poss ibili:ty of experi encing other subjects. More precisely, the question of the possibility of intersubjectivity is the question of the essence of intersubjectivity. What we are seeking is the absolute route from one solitude to another. Inherent in this programme is the ultimate discovery of the meaning of community. That this route needs be lIabstract" requires some explanation. It requires little explanation that we agree with Husserl in the aim of fixing the goal of philosophy on apodictic, unquestionable results. This means that we seek a philosophical approach which is, though, not necessarily free from assumptions, one which examines and makes explicit all assumptions in a thorough manner. It would be helpful at this point to distinguish between lIeidetic ll priority, and JlhistoricallJpriority in order to shed some light on the value, in this context, of an abstraction.3 It is true that intersubjectivity is mundanely an accomplished fact, there havi.ng been so many mi.llions of years for humans to beIt eve in the exi s tence of one another I s abili ty to think as they do. But what we seek is not to study how this proceeded historically, but 3Cf• Maurice Natanson;·TheJburne in 'Self, a Stud in Philoso h and Social Role (Santa Cruz, U. of California Press, 1970 . rather the logical, nay, "psychological" conditions under which this is possible at all. It is therefore irrelevant to the exigesis of this monograph whether or not anyone should shrug his shoulders and mumble IIwhy worry about it, it is always already engaged". By way of an explanation of the value of logical priority, we can find an analogy in the case of language. Certainly the language 5. in a spoken or written form predates the formulation of the appropriate grammar. However, this grammar has a logical priority insofar as it lays out the conditions from which that language exhibits coherence. The act of formulating the grammar is a case of abstraction. The abstraction towards the discovery of the conditions for the poss; bi 1 ity of any experiencing whatever, for which intersubjective experience is a definite case, manifests itself as a sort of "grammar". This "grammar" is like the basic grammar of a language in the sense that these "rulesil are the ~ priori conditions for the possibility of that experience. There is, we shall say, an "eidetic priority", or a generic condition which is the logical antecedent to the taken-forgranted object of experience. In the case of intersubjectivity we readily grant that one may mundanely be aware of fellow-men as fellowmen, but in order to discover how that awareness is possible it is necessary to abstract from the mundane, believed-in experience. This process of abstraction is the paramount issue; the first step, in the search for an apodictic basis for social relations. How then is this abstraction to be accomplished? What is the nature of an abstraction which would permit us an Archimedean point, absolutely grounded, from which we may proceed? The answer can be discovered in an examination of Descartes in the light of Husserl's criticism. 3. The Impulse for Scientific Philosophy. The Method to which it Gives Rise. 6. Foremost in our inquiry is the discovery of a method appropriate to the discovery of our grounding point. For the purposes of our investigations, i.e., that of attempting to give a phenomenological view of the problem of intersubjectivity, it would appear to be of cardinal importance to trace the attempt of philosophy predating Husserl, particularly in the philosophy of Descartes, at founding a truly IIscientific ll philosophy. Paramount in this connexion would be the impulse in the Modern period, as the result of more or less recent discoveries in the natural sciences, to found philosophy upon scientific and mathematical principles. This impulse was intended to culminate in an all-encompassing knowledge which might extend to every realm of possible thought, viz., the universal science ot IIMathexis Universalis ll •4 This was a central issue for Descartes, whose conception of a universal science would include all the possible sciences of man. This inclination towards a science upon which all other sciences might be based waS not to be belittled by Husserl, who would appropriate 4This term, according to Jacab Klein, was first used by Barocius, the translator of Proclus into Latin, to designate the highest mathematical discipline. . 7. it himself in hopes of establishing, for the very first time, philosophy as a "rigorous science". It bears emphasizing that this in fact was the drive for the hardening of the foundations of philosophy, the link between the philosophical projects of Husserl and those of the philosophers of the modern period. Indeed, Husserl owes Descartes quite a debt for indicating the starting place from which to attempt a radical, presupositionless, and therefore scientific philosophy, in order not to begin philosophy anew, but rather for the first time.5 The aim of philosophy for Husserl is the search for apodictic, radical certitude. However while he attempted to locate in experience the type of necessity which is found in mathematics, he wished this necessity to be a function of our life in the world, as opposed to the definition and postulation of an axiomatic method as might be found in the unexpurgated attempts to found philosophy in Descartes. Beyond the necessity which is involved in experiencing the world, Husserl was searching for the certainty of roots, of the conditi'ons which underl ie experience and render it pOssible. Descartes believed that hi~ MeditatiOns had uncovered an absolute ground for knowledge, one founded upon the ineluctable givenness of thinking which is present even when one doubts thinking. Husserl, in acknowledging this procedure is certainly Cartesian, but moves, despite this debt to Descartes, far beyond Cartesian philosophy i.n his phenomenology (and in many respects, closer to home). 5Cf. Husserl, Philosophy as a Rigorous Science, pp. 74ff. 8 But wherein lies this Cartesian jumping off point by which we may vivify our theme? Descartes, through inner reflection, saw that all of his convictions and beliefs about the world were coloured in one way or another by prejudice: ... at the end I feel constrained to reply that there is nothing in a all that I formerly believed to be true, of which I cannot in some measure doubt, and that not merely through want of thought or through levity, but for reasons which are very powerful and maturely considered; so that henceforth I ought not the less carefully to refrain from giving credence to these opinions than to that which is manifestly false, if I desire to arrive at any certainty (in the sciences). 6 Doubts arise regardless of the nature of belief - one can never completely believe what one believes. Therefore, in order to establish absolutely grounded knowledge, which may serve as the basis fora "universal Science", one must use a method by which one may purge oneself of all doubts and thereby gain some radically indubitable insight into knowledge. Such a method, gescartes found, was that, as indicated above by hi,s own words, of II radical doubt" which "forbids in advance any judgemental use of (previous convictions and) which forbids taking any position with regard to their val idi'ty. ,,7 This is the method of the "sceptical epoche ll , the method of doubting all which had heretofor 6Descartes,Meditations on First Philosophy, first Med., (Libera 1 Arts Press, New York, 1954) trans. by L. LaFl eur. pp. 10. 7Husserl ,CrisiS of Eliroeari SCiences and Trariscendental Phenomenology, (Northwestern U. Press, Evanston, 1 7 ,p. 76. 9. been considered as belonging to the world, including the world itself. What then is left over? Via the process of a thorough and all-inclusive doubting, Descartes discovers that the ego which performs the epoche, or "reduction", is excluded from these things which can be doubted, and, in principle provides something which is beyond doubt. Consequently this ego provides an absolute and apodictic starting point for founding scientific philosophy. By way of this abstention. of bel ief, Desca'rtes managed to reduce the worl d of everyday 1 ife as bel ieved in, to mere 'phenomena', components of the rescogitans:. Thus:, having discovered his Archimedean point, the existence of the ego without question, he proceeds to deduce the 'rest' of the world with the aid of innate ideas and the veracity of God. In both Husserl and Descartes the compelling problem is that of establ ishing a scientific, apodictic phi'losophy based upon presuppos itionless groundwork .. Husserl, in thi.s regard, levels the charge at Descartes that the engagement of his method was not complete, such that hi.S: starting place was not indeed presupositionless, and that the validity of both causality and deductive methods were not called into question i.'n the performance of theepoche. In this way it is easy for an absolute evidence to make sure of the ego as: a first, "absolute, indubitablyexisting tag~end of the worldll , and it is then only a matter of inferring the absolute subs.tance and the other substances which belon.g to the world, along with my own mental substance, using a logically val i d deductive procedure. 8 8Husserl, E.;' Cartesian 'Meditation;, trans. Dorion Cairns (Martinus Nijhoff, The Hague, 1970), p. 24 ff.

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Il existe en Colombie un réseau de discours qui cherche à contrôler la production discursive sur le sexe et à brider la sexualité des Colombiens. La Virgen de los sicarios de Fernando Vallejo (1994), répond de manière subversive à un tel conditionnement discursif et sexuel. La production discursive sur la sexualité en Colombie a été construite, principalement, à partir de la tradition catholique, des discours de l’État et de textes scientifiques. Par conséquent, les comportements sexuels que le discours institutionnel ne considère pas comme des comportements normaux sont soumis à un pouvoir qui leur confère une place abominable dans l’ordre sexuel en Colombie. La Virgen de los sicarios émerge de la production littéraire queer colombienne et propose une histoire subversive sur le plan discursif autant que sexuel. Ce mémoire décrit d'abord la présence inévitable du discours religieux en Colombie et sa forte relation avec l'État pour démontrer l'existence d'une norme discursive. Ensuite, l’analyse du roman de Vallejo permet d’observer comment cette norme est bouleversée en utilisant ses propres linéaments pour l'affaiblir. Finalement, à partir de concepts développés par Michel Foucault et Judith Butler, ce travail met en évidence l'existence d'une norme sexuelle en Colombie qui part des discours et qui se déploie vers les corps – norme qui est contestée à travers un processus selon lequel l'auteur libère la sexualité des personnages du pouvoir qui domine leurs corps.

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La Orden Ministerial FOM 956/2008 de 31 de marzo, por la que se aprueba la política de difusión pública de la información geográfica generada por la Dirección General del Instituto Geográfico Nacional (IGN), modifica sustancialmente el escenario existente en cuanto a condiciones de uso y distribución de los datos geográficos del IGN. En resumen, se puede decir que se libera completamente el contenido del Equipamiento Geográfico de Referencia Nacional (EGRN), tal y como se define en el R. D. 1545/2007, por constituir un armazón geográfico básico de referencia de uso recomendado, y se libera parcialmente, para usos no comerciales, el resto de productos de datos geográficos del IGN. El IGN se convierte así en el primer organismo nacional responsable de la cartografía oficial en Europa que libera parte de su producción y ofrece el resto en condiciones bastante abiertas. Por otro lado, la iniciativa IDEE (Infraestructura de Datos Espaciales de España) ofrece un amplio abanico de servicios Web, en condiciones de uso también notablemente abiertas, y el impulso que supone la Directiva INSPIRE para una IDE europea, contribuyen a que nos encontremos en un escenario de trabajo en el campo de la IG completamente nuevo y preñado de posibilidades sin explorar. En esta nueva situación, creemos que todos los actores (universidades, sector público, sector privado,…) están llamados a redefinir su papel y a contribuir, en la medida de sus posibilidades, a la liberación y al hecho de compartir recursos, no sólo pensando en el software, al fin y al cabo uno de los componentes de un SIG o de una IDE, si no considerando también los datos y los servicios estándar

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El presente trabajo brinda un estudio de la cadena de abastecimiento y de producción del sector cárnico colombiano específicamente de una micropyme ubicada en la Central de Carnes Guadalupe del Frigorífico Guadalupe. Estudiando y evaluando los diferentes procesos que intervienen en dicha empresa con base en los estándares y regulaciones tanto a nivel nacional como internacional. El estudio usa una metodología donde se da a conocer la situación del mercado ganadero en diferentes momentos del tiempo, así como una proyección a futuro a propósito de las nuevas condiciones de mercado que implican la firma del Tratado de Libre Comercio con Estados Unidos. Se lleva a cabo una revisión teórica y conceptual donde se identifican las mejores prácticas dentro de la cadena cárnica observando experiencias de éxito en Colombia y otros países que han tecnificado el funcionamiento de la misma. Que servirá de base para la evaluación de la cadena específica de HB CARNES PC S.A.S, la micropyme a estudiar. Por último se lleva a cabo un ejercicio de simulación de exportación del producto cárnico desde Colombia a Rusia, a través de la matriz de Distribución Física Internacional, como una estrategia alterna a lo propuesto por el TLC firmado.

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El presente trabajo brinda un estudio de la cadena de abastecimiento y de producción del sector cárnico colombiano específicamente de una micropyme ubicada en la Central de Carnes Guadalupe del Frigorífico Guadalupe. Estudiando y evaluando los diferentes procesos que intervienen en dicha empresa con base en los estándares y regulaciones tanto a nivel nacional como internacional. El estudio usa una metodología donde se da a conocer la situación del mercado ganadero en diferentes momentos del tiempo, así como una proyección a futuro a propósito de las nuevas condiciones de mercado que implican la firma del Tratado de Libre Comercio con Estados Unidos. Se lleva a cabo una revisión teórica y conceptual donde se identifican las mejores prácticas dentro de la cadena cárnica observando experiencias de éxito en Colombia y otros países que han tecnificado el funcionamiento de la misma. Que servirá de base para la evaluación de la cadena específica de HB CARNES PC S.A.S, la micropyme a estudiar. Por último se lleva a cabo un ejercicio de simulación de exportación del producto cárnico desde Colombia a Rusia, a través de la matriz de Distribución Física Internacional, como una estrategia alterna a lo propuesto por el TLC firmado.

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El interés de este estudio de caso es demostrar el rol de la ONG Solidaridad Española con Cuba en la creación de una red transnacional de defensa de las Damas de Blanco, un movimiento social cubano disidente. Esto, tras reconocer que el apoyo por parte de ésta y otras organizaciones e instituciones internacionales es de gran importancia para lograr las reivindicaciones sociales propuestas por las Damas de Blanco, a partir de los hechos ocurridos en la Primavera Negra en el año 2003. Tanto las organizaciones como el movimiento social, aseguran que ha existido una violación sistemática de los Derechos Humanos de los disidentes de este país, y asimismo, una opresión de sus demandas, lo que ha hecho que el apoyo internacional se convierta en la clave de un futuro cambio.

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El presente Estudio de Caso tiene como objetivo analizar en qué medida las dinámicas comerciales de la Diplomacia Petrolera China han convertido a Ecuador en un socio estratégico para la RPCh. El petróleo como fuente de energía es primordial para llevar a cabo los procesos de industrialización y mantener el crecimiento económico del león Asiático. Por eso su búsqueda se ha convertido en un tema principal dentro de la agenda de política exterior. Ecuador, el tercer país de Suramérica con más reservas de petróleo, después de Venezuela y Brasil, se ha convertido en zona de influencia de la RPCh y a través de las empresas petroleras estatales se han firmado contratos por la venta de petróleo. A pesar de que las relaciones bilaterales son asimétricas, se buscar establecer si Ecuador es un socio estratégico en la región.

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El sistema penitenciario y carcelario en Colombia atraviesa por una crisis de hacinamiento sin precedentes. El sobrecupo en los establecimientos de reclusión y los deficientes servicios de salud, alimentación e higiene dificultan la habitabilidad de los internos en prisión y atenta contra los derechos fundamentales y los Derechos Humanos de los condenados. La resocialización, mediante el Plan de Acción y Sistema de oportunidades (PASO), presenta múltiples dificultades para su realización en el Complejo Penitenciario y Carcelario (COMEB) – La Picota; por lo que esta investigación tiene como propósito analizar las condiciones y oportunidades que ofrece este establecimiento para un tratamiento penitenciario digno durante el periodo 2004-2013, y establecer recomendaciones para su mejoramiento.

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Analizar la tecnología educativa en cuanto a su concepción, objetivos y métodos. Proponer un enfoque de la tecnología educativa menos 'instructivo' y más 'educativo'. Investigar las posibilidades de la informática en educación. La tecnología educativa. Análisis de los conceptos de tecnología y tecnología educativa tradicional teniendo en cuenta los sistemas de instrucción y las bases conductistas. Se plantean las características. Objetivos y principios de la tecnología educativa alternativa desde una base psicológica que se enmarca en el movimiento de las escuelas nuevas. Por último se analizan las aplicaciones de la informática en el campo educativo. Documentos bibliográficos. La nueva tecnología libera a los alumnos de tareas mecánicas y memorísticas, lo cual favorece el desarrolloo de sus facultades creativas. En el proceso educativo, la informática debe aceptarse conociendo sus riesgos y sin utilizarla para una pedagogía cerrada, memorística y esterilizante, sinó para crear una pedagogía abierta, libre y creativa utilizando el ordenador como herramienta para la investigación y la información de los alumnos.

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Resumen basado en el de la publicación

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Intentar llegar a tener un mayor conocimiento del mundo que rodea al niño deficiente y de cómo hay que tratarle para hacer que disfrute y use lo más y mejor posible sus horas de tiempo libre. Es labor que atañe a pedagogos, políticos, maestros, economistas y sobre todo a los medios de comunicación de masas pues ellos llenan espacios correspondientes a los tiempos libres absorbiendo a la gran muchedumbre y haciéndola a sus propios intereses. Chicos y chicas participantes en una colonia de verano en un colegio especial de San Sebastián, Miramón. El ocio es un aspecto más de la actividad humana para poder lograr la formación integral del ser humano y por ello es también un medio insustituible para alcanzar de forma progresiva la madurez social del sujeto. Para la formación integral de la persona es necesario tener presente en la vida el ocio. Es una actividad voluntaria tanto en la expresión del propio sujeto como la apertura con los demás. El ocio desempeña una función de descanso o recuperación de la fatiga; de diversión o huída de la rutina y del aburrimiento; libera de las preocupaciones y produce placer, con lo cual se logra un restablecimiento del equilibrio deseado. Permite una participación social más amplia y libre. Es un medio fundamental de socialización, impulsando al sujeto a integrarse y a liberarse. Por tanto, como personas que son los deficientes mentales tienen derecho a disfrutar del tiempo libre o del ocio, pues se logra un desarrollo personal y social. La familia, la escuela, el hogar juvenil, los medios de comunicación son factores que contribuyen a hacer posible el empleo del tiempo libre.

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Ayudar a los niños a establecer una relación sana y satisfactoria interhumana a través del juego para que llegue a ser más sociable. Para ello hay que comprender al niño y fomentar su crecimiento en el mundo social. Esto será, pues, un fin y objetivo de la educación del nino, su socialización, con lo que hay que tener en cuenta aquellas actividades que le permitan el pleno uso de los sentidos; las experiencias sensoriales y afectivas básicas y los intentos de comunicación no verbal. La muestra debe estar bien preparada para dirigir el desenvolvimiento de las actividades infantiles. Dirigir, iniciar a los niños en el juego; y así mismo, el uso y selección de las cosas y los momentos del juego. Los juegos espontáneos tienen un enorme valor de proyección o exteriorización. Y aunque el niño debe jugar libremente, ello no se opone a que practique juegos dirigidos. Los juegos dirigidos son el mejor medio de ir introduciendo a los párbulos en actividades complejas que exigen respeto y obediencia. El niño comenta jugando, sólo a continuación lo hace con un amigo y posteriormente en grupo. Mediante el juego el niño llega al descubrimiento y creación en sí mismo de valores humanos. El niño a través de la experiencia de sus juegos debe obtener un juicio total de su competencia y valía como persona. La relación entre la escuela y la familia es una relación de subordinación, de continuidad, de imitación y coordinación. Hay que animar a los padres que se expresen en relación con su hijo, la escuela y que participen en el desarrollo de los planes de la escuela. El niño ha de saber mantener unas relaciones satisfactorias con aquellas personas que intervienen en la vida. Hay que satisfacer las necesidades esenciales de los niños, sobre todo la del juego, el cual libera el cuerpo y el espíritu. Le da la ocasión de resolver una gran parte de sus problemas y desarrolla las cualidades necesarias a los triunfos futuros.