1000 resultados para Demande physiologique
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Dit qu'il sera "probablement demandé au ministère [le len]demain matin" et qu'il écrira ensuite. Prie son ami d'avertir MM. A. Thomas et J. Barbier et lui demande d'être présent au rendez-vous.
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Dit qu'il "ira certainement au concert Pasdeloup, mais forcé de partir avant la fin, pour ne pas être vu". Demande à son ami de prendre "une baignoire de face"
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Se demande comment il pourrait changer sa loge contre une baignoire de face
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Demande à son ami de ne pas encore annoncer les débuts de Mlle Griswald, dont il est très content : "la précipitation serait mauvaise". Prévient Ambroise Thomas "de continuer ses bons soins à Mlle Griswald"
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Accuse réception de sa belle partition et lui demande pourquoi la dédicace porte d'autres noms que le sien. Lui demande s'il doit remercier Nidar et Coppée. Dit que le bal a bien réussi, la recette a dépassé 54 000 francs. Remercie son ami pour ce que dit le "Ménestrel" du jour
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L'informe que Devillers est à nouveau en mesure de chanter, lui demande ce qu'il doit attendre de Mlle Salla et le remercie pour l'envoi d'un article
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Souhaite reprendre "Hamlet" dès le retour de Mademoiselle Grisvald et demande à Heugel de faire le nécessaire pour qu'Ambroise Thomas prenne rendez-vous avec Jean Lassalle
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Lui demande l'adresse de Jules Barbier et quand il pourra annoncer la lecture de "Francesca [de Rimini]"
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Demande un rendez-vous pour parler de Mademoiselle Salla
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Mention de date : 3 juin, mais sans millésime. - Remercie son ami pour les renseignements apportés sur Jacques Roudil. Lui demande qu'il prenne en main "l'affaire Donadio" et l'informe qu'il sera probablement retenu par "l'affaire Gounod". Se montre très irrité au sujet de "F." avec qui il ira "jusqu'à la dernière limite de la patience": "je vous avoue que manquer à sa parole et ne pas même s'excuser, c'est beaucoup trop"
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Fragment de lettre. - Demande à Heugel de compter M. Emile Gaudet parmi ses abonnés
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Répond négativement à la demande d'Heugel pour l'obtention d'une loge à l'Opéra
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Cette contribution s'intéresse à la convergence qui devrait exister entre la demande populaire en matière de prestations publiques et les décisions budgétaires des autorités afin que le secteur public soit efficace du point de vue allocatif. Elle cherche à appliquer la méthode de l'allocation contingente dans une volonté d'impliquer la population dans la répartition des ressources budgétaires. Schématiquement, il s'agit d'interroger les administré-e-s dans le cadre d'une enquête et de leur demander d'allouer un budget donné entre les différentes catégories de prestations publiques que l'administration doit offrir. Cette méthode est appliquée ici de façon expérimentale en utilisant comme périmètre d'analyse les budgets des collectivités locales suisses. Les tests effectués sur les résultats montrent que les préférences révélées ne le sont pas sur une base aléatoire. Si des différences apparaissent entre les allocations contingentes et la manière dont les ressources sont effectivement réparties entre les prestations communales, ces différences semblent découler d'une divergence de vues réelle et non d'un biais lié à la méthode.
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3 février, 7 et 8 avril 1874 : À propos des droits de "Mignon" et de "Hamlet" pour des représentations en Angleterre, à Covent Garden, et en Italie : souhaite préserver ses intérêts et prie Heugel de faire valoir ses raisons auprès d'Ambroise Thomas (NLAS-214-1/3). - 9 juin 1874 : Enrage de ne pouvoir assister aux répétitions de "L'Esclave" d'Edmond Membrée et cherche à convaincre Heugel d'en éditer la partition, certain à l'avance de son succès : "Je voudrais bien aussi compter sur un éditeur. [...] Ne croyez-vous pas qu'il y a là une affaire sérieuse?" Le remercie également pour tout ce qu'il a fait pour "Mignon" et pour l'heureuse issue de ses démarches (NLAS-214-4). - 14 novembre 1874 : Lui envoie les paroles d'un air "Jérusalem! Jérusalem!" qui "s'adapte exactement aux paroles de l'édition Schlesinger" (NLAS-214-5). - 11 décembre 1874 : L'informe qu'il a saisi hier chez lui, en son absence, une partition de "Mignon" (NLAS-214-6). Lui demande de la lui céder
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2 février : Lui adresse son poème "Hommage à Auber" composé plusieurs strophes avec hendécasyllabes et lui explique qu'il a voulu "louer toutes les qualités distinctives du génie français : la clarté , la précision, le respect de la forme, l'inspiration mélodique, le goût sans lequel il n'y a pas de proportion. Et qui osera dire que c'est là une attaque contre Halévy, Thomas, Gounod, Massé, reyer et tant d'autres de mes illustres et chers collaborateurs, sans parler des musiciens étrangers qui, comme Meyerbeer, ont conquis leurs lettres de naturalisation en faisant de la musique vraiment française"?. - 3 février : Lui demande de publier "ne varietur" son poème à Auber accompagné de sa lettre "profession de foi" du 2 février. - 12 février : lui demande une avance et un premier paiement de "Françoise de Rimini" sans attendre la première représentation. - 8 avril : Au sujet de "Françoise de Rimini". Débat avec Heugel sur certaines modifications du texte : "c'est ingénieux, mais cela détruirait certainement l'équilibre du second acte qui marche admirablement dans sa forme actuelle". - 20 avril : Au sujet de "Françoise de Rimini" et du refus de Lassalle de chanter son grand air : "On croit gagner beaucoup à avoir de pareils interprètes et l'on ne s'aperçoit que trop tard quel préjudice énorme portent à un ouvrage ces personnalités encombrantes." Défend son travail de librettiste : "Est-ce que le livret n'a pas été aussi longuement médité, fouillé, retourné que la partition même?". - 24 avril 1882 : Au sujet de "Françoise de Rimini" dont le succès n'a pas été au rendez-vous le soir de la première. Ne voit pas l'opportunité de modifier le livret : "Vous avez pu voir depuis quelques mois combien je suis accessible à toutes les idées et avec quelle sincérité je cherche à les mettre en œuvre, tant qu'on est dans la période de la gestation, mais après que l'enfant est venu au monde, j'éprouve comme une immense lassitude qui me rend incapable de le recommencer sur [de] nouveaux frais. Aussi bien ne le trouvè-je ni tordu ni bossu, et ce ne sont pas les critiques inconsistantes ou de mauvaises foi qui me feront changer d'avis". - 13 septembre 1882 : Réagit à la mort du compositeur Edmond Membrée : "Quel coup affreux et imprévu! J'en suis plus frappé que je ne puis vous dire. Il y avait tant d'énergie et d'espérances dans ce pauvre grand artiste atteint par la mort avant de l'être par la vieillesse". - 26 octobre : Au sujet de la question des droits d'auteur : souhaite obtenir 250 francs par représentation. Lettre cosignée d'Ambroise Thomas.