725 resultados para effectiveness of methods


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Red light running (RLR) is a problem in the US that has resulted in 165,000 injuries and 907 fatalities annually. In Iowa, RLR-related crashes make up 24.5 percent of all crashes and account for 31.7 percent of fatal and major injury crashes at signalized intersections. RLR crashes are a safety concern due to the increased likelihood of injury compared to other types of crashes. One tool used to combat red light running is automated enforcement in the form of RLR cameras. Automated enforcement, while effective, is often controversial. Cedar Rapids, Iowa installed RLR and speeding cameras at seven intersections across the city. The intersections were chosen based on crash rates and whether cameras could feasibly be placed at the intersection approaches. The cameras were placed starting in February 2010 with the last one becoming operational in December 2010. An analysis of the effect of the cameras on safety at these intersections was determined prudent in helping to justify the installation and effectiveness of the cameras. The objective of this research was to assess the safety effectiveness of the RLR program that has been implemented in Cedar Rapids. This was accomplished by analyzing data to determine changes in the following metrics:  Reductions in red light violation rates based on overall changes, time of day changes, and changes by lane  Effectiveness of the cameras over time  Time in which those running the red light enter the intersection  Changes in the average headway between vehicles entering the intersection

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Between September 2003 and April 2004, the supply of antimonial drugs to Amudat Hospital, in north-eastern Uganda, was interrupted and all cases of visceral leishmaniasis presenting at the hospital could only be treated with amphotericin B deoxycholate (AmB). This allowed the safety and effectiveness of the AmB to be evaluated, in comparison with an historical cohort of patients treated, at the same hospital, with meglumine antimoniate (Sb-V). Demographic and clinical data were collected before and after treatment. Adverse effects were recorded passively in all the subjects, and actively, using a standardized questionnaire, in a sub-group of the patients given AmB. The in-hospital case-fatality 'rates' were 4.8% [95% confidence interval (CI) =2.4%-8.8%] among the 210 patients treated with AmB and 3.7% (CI=1.4%-7.9%) among the 161 patients treated with Sb-V (P>0.20). Adverse effects requiring treatment interruption were rare in both cohorts. Treatment failures (i.e. non-responses or relapses) were observed in 2.9% (CI= 1.2%-6.4%) of the patients treated with AmB and 1.2% (CI=0.1%-4.4%) of the patients treated with Sb-V (P>0.20). For the treatment of visceral leishmaniasis in Uganda, AmB therefore had a similar effectiveness and safety profile to that of meglumine antimoniate.

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Ces dernières années, de nombreuses recherches ont mis en évidence les effets toxiques des micropolluants organiques pour les espèces de nos lacs et rivières. Cependant, la plupart de ces études se sont focalisées sur la toxicité des substances individuelles, alors que les organismes sont exposés tous les jours à des milliers de substances en mélange. Or les effets de ces cocktails ne sont pas négligeables. Cette thèse de doctorat s'est ainsi intéressée aux modèles permettant de prédire le risque environnemental de ces cocktails pour le milieu aquatique. Le principal objectif a été d'évaluer le risque écologique des mélanges de substances chimiques mesurées dans le Léman, mais aussi d'apporter un regard critique sur les méthodologies utilisées afin de proposer certaines adaptations pour une meilleure estimation du risque. Dans la première partie de ce travail, le risque des mélanges de pesticides et médicaments pour le Rhône et pour le Léman a été établi en utilisant des approches envisagées notamment dans la législation européenne. Il s'agit d'approches de « screening », c'est-à-dire permettant une évaluation générale du risque des mélanges. Une telle approche permet de mettre en évidence les substances les plus problématiques, c'est-à-dire contribuant le plus à la toxicité du mélange. Dans notre cas, il s'agit essentiellement de 4 pesticides. L'étude met également en évidence que toutes les substances, même en trace infime, contribuent à l'effet du mélange. Cette constatation a des implications en terme de gestion de l'environnement. En effet, ceci implique qu'il faut réduire toutes les sources de polluants, et pas seulement les plus problématiques. Mais l'approche proposée présente également un biais important au niveau conceptuel, ce qui rend son utilisation discutable, en dehors d'un screening, et nécessiterait une adaptation au niveau des facteurs de sécurité employés. Dans une deuxième partie, l'étude s'est portée sur l'utilisation des modèles de mélanges dans le calcul de risque environnemental. En effet, les modèles de mélanges ont été développés et validés espèce par espèce, et non pour une évaluation sur l'écosystème en entier. Leur utilisation devrait donc passer par un calcul par espèce, ce qui est rarement fait dû au manque de données écotoxicologiques à disposition. Le but a été donc de comparer, avec des valeurs générées aléatoirement, le calcul de risque effectué selon une méthode rigoureuse, espèce par espèce, avec celui effectué classiquement où les modèles sont appliqués sur l'ensemble de la communauté sans tenir compte des variations inter-espèces. Les résultats sont dans la majorité des cas similaires, ce qui valide l'approche utilisée traditionnellement. En revanche, ce travail a permis de déterminer certains cas où l'application classique peut conduire à une sous- ou sur-estimation du risque. Enfin, une dernière partie de cette thèse s'est intéressée à l'influence que les cocktails de micropolluants ont pu avoir sur les communautés in situ. Pour ce faire, une approche en deux temps a été adoptée. Tout d'abord la toxicité de quatorze herbicides détectés dans le Léman a été déterminée. Sur la période étudiée, de 2004 à 2009, cette toxicité due aux herbicides a diminué, passant de 4% d'espèces affectées à moins de 1%. Ensuite, la question était de savoir si cette diminution de toxicité avait un impact sur le développement de certaines espèces au sein de la communauté des algues. Pour ce faire, l'utilisation statistique a permis d'isoler d'autres facteurs pouvant avoir une influence sur la flore, comme la température de l'eau ou la présence de phosphates, et ainsi de constater quelles espèces se sont révélées avoir été influencées, positivement ou négativement, par la diminution de la toxicité dans le lac au fil du temps. Fait intéressant, une partie d'entre-elles avait déjà montré des comportements similaires dans des études en mésocosmes. En conclusion, ce travail montre qu'il existe des modèles robustes pour prédire le risque des mélanges de micropolluants sur les espèces aquatiques, et qu'ils peuvent être utilisés pour expliquer le rôle des substances dans le fonctionnement des écosystèmes. Toutefois, ces modèles ont bien sûr des limites et des hypothèses sous-jacentes qu'il est important de considérer lors de leur application. - Depuis plusieurs années, les risques que posent les micropolluants organiques pour le milieu aquatique préoccupent grandement les scientifiques ainsi que notre société. En effet, de nombreuses recherches ont mis en évidence les effets toxiques que peuvent avoir ces substances chimiques sur les espèces de nos lacs et rivières, quand elles se retrouvent exposées à des concentrations aiguës ou chroniques. Cependant, la plupart de ces études se sont focalisées sur la toxicité des substances individuelles, c'est à dire considérées séparément. Actuellement, il en est de même dans les procédures de régulation européennes, concernant la partie évaluation du risque pour l'environnement d'une substance. Or, les organismes sont exposés tous les jours à des milliers de substances en mélange, et les effets de ces "cocktails" ne sont pas négligeables. L'évaluation du risque écologique que pose ces mélanges de substances doit donc être abordé par de la manière la plus appropriée et la plus fiable possible. Dans la première partie de cette thèse, nous nous sommes intéressés aux méthodes actuellement envisagées à être intégrées dans les législations européennes pour l'évaluation du risque des mélanges pour le milieu aquatique. Ces méthodes sont basées sur le modèle d'addition des concentrations, avec l'utilisation des valeurs de concentrations des substances estimées sans effet dans le milieu (PNEC), ou à partir des valeurs des concentrations d'effet (CE50) sur certaines espèces d'un niveau trophique avec la prise en compte de facteurs de sécurité. Nous avons appliqué ces méthodes à deux cas spécifiques, le lac Léman et le Rhône situés en Suisse, et discuté les résultats de ces applications. Ces premières étapes d'évaluation ont montré que le risque des mélanges pour ces cas d'étude atteint rapidement une valeur au dessus d'un seuil critique. Cette valeur atteinte est généralement due à deux ou trois substances principales. Les procédures proposées permettent donc d'identifier les substances les plus problématiques pour lesquelles des mesures de gestion, telles que la réduction de leur entrée dans le milieu aquatique, devraient être envisagées. Cependant, nous avons également constaté que le niveau de risque associé à ces mélanges de substances n'est pas négligeable, même sans tenir compte de ces substances principales. En effet, l'accumulation des substances, même en traces infimes, atteint un seuil critique, ce qui devient plus difficile en terme de gestion du risque. En outre, nous avons souligné un manque de fiabilité dans ces procédures, qui peuvent conduire à des résultats contradictoires en terme de risque. Ceci est lié à l'incompatibilité des facteurs de sécurité utilisés dans les différentes méthodes. Dans la deuxième partie de la thèse, nous avons étudié la fiabilité de méthodes plus avancées dans la prédiction de l'effet des mélanges pour les communautés évoluant dans le système aquatique. Ces méthodes reposent sur le modèle d'addition des concentrations (CA) ou d'addition des réponses (RA) appliqués sur les courbes de distribution de la sensibilité des espèces (SSD) aux substances. En effet, les modèles de mélanges ont été développés et validés pour être appliqués espèce par espèce, et non pas sur plusieurs espèces agrégées simultanément dans les courbes SSD. Nous avons ainsi proposé une procédure plus rigoureuse, pour l'évaluation du risque d'un mélange, qui serait d'appliquer d'abord les modèles CA ou RA à chaque espèce séparément, et, dans une deuxième étape, combiner les résultats afin d'établir une courbe SSD du mélange. Malheureusement, cette méthode n'est pas applicable dans la plupart des cas, car elle nécessite trop de données généralement indisponibles. Par conséquent, nous avons comparé, avec des valeurs générées aléatoirement, le calcul de risque effectué selon cette méthode plus rigoureuse, avec celle effectuée traditionnellement, afin de caractériser la robustesse de cette approche qui consiste à appliquer les modèles de mélange sur les courbes SSD. Nos résultats ont montré que l'utilisation de CA directement sur les SSDs peut conduire à une sous-estimation de la concentration du mélange affectant 5 % ou 50% des espèces, en particulier lorsque les substances présentent un grand écart- type dans leur distribution de la sensibilité des espèces. L'application du modèle RA peut quant à lui conduire à une sur- ou sous-estimations, principalement en fonction de la pente des courbes dose- réponse de chaque espèce composant les SSDs. La sous-estimation avec RA devient potentiellement importante lorsque le rapport entre la EC50 et la EC10 de la courbe dose-réponse des espèces est plus petit que 100. Toutefois, la plupart des substances, selon des cas réels, présentent des données d' écotoxicité qui font que le risque du mélange calculé par la méthode des modèles appliqués directement sur les SSDs reste cohérent et surestimerait plutôt légèrement le risque. Ces résultats valident ainsi l'approche utilisée traditionnellement. Néanmoins, il faut garder à l'esprit cette source d'erreur lorsqu'on procède à une évaluation du risque d'un mélange avec cette méthode traditionnelle, en particulier quand les SSD présentent une distribution des données en dehors des limites déterminées dans cette étude. Enfin, dans la dernière partie de cette thèse, nous avons confronté des prédictions de l'effet de mélange avec des changements biologiques observés dans l'environnement. Dans cette étude, nous avons utilisé des données venant d'un suivi à long terme d'un grand lac européen, le lac Léman, ce qui offrait la possibilité d'évaluer dans quelle mesure la prédiction de la toxicité des mélanges d'herbicide expliquait les changements dans la composition de la communauté phytoplanctonique. Ceci à côté d'autres paramètres classiques de limnologie tels que les nutriments. Pour atteindre cet objectif, nous avons déterminé la toxicité des mélanges sur plusieurs années de 14 herbicides régulièrement détectés dans le lac, en utilisant les modèles CA et RA avec les courbes de distribution de la sensibilité des espèces. Un gradient temporel de toxicité décroissant a pu être constaté de 2004 à 2009. Une analyse de redondance et de redondance partielle, a montré que ce gradient explique une partie significative de la variation de la composition de la communauté phytoplanctonique, même après avoir enlevé l'effet de toutes les autres co-variables. De plus, certaines espèces révélées pour avoir été influencées, positivement ou négativement, par la diminution de la toxicité dans le lac au fil du temps, ont montré des comportements similaires dans des études en mésocosmes. On peut en conclure que la toxicité du mélange herbicide est l'un des paramètres clés pour expliquer les changements de phytoplancton dans le lac Léman. En conclusion, il existe diverses méthodes pour prédire le risque des mélanges de micropolluants sur les espèces aquatiques et celui-ci peut jouer un rôle dans le fonctionnement des écosystèmes. Toutefois, ces modèles ont bien sûr des limites et des hypothèses sous-jacentes qu'il est important de considérer lors de leur application, avant d'utiliser leurs résultats pour la gestion des risques environnementaux. - For several years now, the scientists as well as the society is concerned by the aquatic risk organic micropollutants may pose. Indeed, several researches have shown the toxic effects these substances may induce on organisms living in our lakes or rivers, especially when they are exposed to acute or chronic concentrations. However, most of the studies focused on the toxicity of single compounds, i.e. considered individually. The same also goes in the current European regulations concerning the risk assessment procedures for the environment of these substances. But aquatic organisms are typically exposed every day simultaneously to thousands of organic compounds. The toxic effects resulting of these "cocktails" cannot be neglected. The ecological risk assessment of mixtures of such compounds has therefore to be addressed by scientists in the most reliable and appropriate way. In the first part of this thesis, the procedures currently envisioned for the aquatic mixture risk assessment in European legislations are described. These methodologies are based on the mixture model of concentration addition and the use of the predicted no effect concentrations (PNEC) or effect concentrations (EC50) with assessment factors. These principal approaches were applied to two specific case studies, Lake Geneva and the River Rhône in Switzerland, including a discussion of the outcomes of such applications. These first level assessments showed that the mixture risks for these studied cases exceeded rapidly the critical value. This exceeding is generally due to two or three main substances. The proposed procedures allow therefore the identification of the most problematic substances for which management measures, such as a reduction of the entrance to the aquatic environment, should be envisioned. However, it was also showed that the risk levels associated with mixtures of compounds are not negligible, even without considering these main substances. Indeed, it is the sum of the substances that is problematic, which is more challenging in term of risk management. Moreover, a lack of reliability in the procedures was highlighted, which can lead to contradictory results in terms of risk. This result is linked to the inconsistency in the assessment factors applied in the different methods. In the second part of the thesis, the reliability of the more advanced procedures to predict the mixture effect to communities in the aquatic system were investigated. These established methodologies combine the model of concentration addition (CA) or response addition (RA) with species sensitivity distribution curves (SSD). Indeed, the mixture effect predictions were shown to be consistent only when the mixture models are applied on a single species, and not on several species simultaneously aggregated to SSDs. Hence, A more stringent procedure for mixture risk assessment is proposed, that would be to apply first the CA or RA models to each species separately and, in a second step, to combine the results to build an SSD for a mixture. Unfortunately, this methodology is not applicable in most cases, because it requires large data sets usually not available. Therefore, the differences between the two methodologies were studied with datasets created artificially to characterize the robustness of the traditional approach applying models on species sensitivity distribution. The results showed that the use of CA on SSD directly might lead to underestimations of the mixture concentration affecting 5% or 50% of species, especially when substances present a large standard deviation of the distribution from the sensitivity of the species. The application of RA can lead to over- or underestimates, depending mainly on the slope of the dose-response curves of the individual species. The potential underestimation with RA becomes important when the ratio between the EC50 and the EC10 for the dose-response curve of the species composing the SSD are smaller than 100. However, considering common real cases of ecotoxicity data for substances, the mixture risk calculated by the methodology applying mixture models directly on SSDs remains consistent and would rather slightly overestimate the risk. These results can be used as a theoretical validation of the currently applied methodology. Nevertheless, when assessing the risk of mixtures, one has to keep in mind this source of error with this classical methodology, especially when SSDs present a distribution of the data outside the range determined in this study Finally, in the last part of this thesis, we confronted the mixture effect predictions with biological changes observed in the environment. In this study, long-term monitoring of a European great lake, Lake Geneva, provides the opportunity to assess to what extent the predicted toxicity of herbicide mixtures explains the changes in the composition of the phytoplankton community next to other classical limnology parameters such as nutrients. To reach this goal, the gradient of the mixture toxicity of 14 herbicides regularly detected in the lake was calculated, using concentration addition and response addition models. A decreasing temporal gradient of toxicity was observed from 2004 to 2009. Redundancy analysis and partial redundancy analysis showed that this gradient explains a significant portion of the variation in phytoplankton community composition, even when having removed the effect of all other co-variables. Moreover, some species that were revealed to be influenced positively or negatively, by the decrease of toxicity in the lake over time, showed similar behaviors in mesocosms studies. It could be concluded that the herbicide mixture toxicity is one of the key parameters to explain phytoplankton changes in Lake Geneva. To conclude, different methods exist to predict the risk of mixture in the ecosystems. But their reliability varies depending on the underlying hypotheses. One should therefore carefully consider these hypotheses, as well as the limits of the approaches, before using the results for environmental risk management

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Red light running (RLR) is a problem in the US that has resulted in 165,000 injuries and 907 fatalities annually. In Iowa, RLR-related crashes make up 24.5 percent of all crashes and account for 31.7 percent of fatal and major injury crashes at signalized intersections. RLR crashes are a safety concern due to the increased likelihood of injury compared to other types of crashes. One tool used to combat red light running is automated enforcement in the form of RLR cameras. Automated enforcement, while effective, is often controversial. Cedar Rapids, Iowa installed RLR and speeding cameras at seven intersections across the city. The intersections were chosen based on crash rates and whether cameras could feasibly be placed at the intersection approaches. The cameras were placed starting in February 2010 with the last one becoming operational in December 2010. An analysis of the effect of the cameras on safety at these intersections was determined prudent in helping to justify the installation and effectiveness of the cameras. The objective of this research was to assess the safety effectiveness of the RLR program that has been implemented in Cedar Rapids. This was accomplished by analyzing data to determine changes in the following metrics:  Reductions in red light violation rates based on overall changes, time of day changes, and changes by lane  Effectiveness of the cameras over time  Time in which those running the red light enter the intersection  Changes in the average headway between vehicles entering the intersection

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Brief interventions (BI) commonly employ screening and target a single substance. Multi-substance interventions are a more adequate reflection of risk behaviors in adolescents and young adults. Systematic screening complicates BI in many settings. The effectiveness of a voluntary multi-substance intervention among 19-year-old men and the incremental impact of booster sessions were analyzed. Participants were enrolled during mandatory army conscription in Switzerland. Compared with 461 controls, 392 BI subjects showed reduced substance use on 10 of 12 measures (4 tobacco, 4 cannabis, and 2 alcohol measures). Between-group effects were small and non-significant (except for cannabis use prevalence). Three-month booster sessions were not effective and even contraindicated. The usefulness of targeting multi-substances during BIs without prior screening depends on the value of small effects. The addition of booster sessions was not effective and therefore is not recommended.

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In the last decade, Intelligent Transportation Systems (ITS) have increasingly been deployed in work zones by state departments of transportation. Also known as smart work zone systems they improve traffic operations and safety by providing real-time information to travelers, monitoring traffic conditions, and managing incidents. Although there have been numerous ITS deployments in work zones, a framework for evaluating the effectiveness of these deployments does not exist. To justify the continued development and implementation of smart work zone systems, this study developed a framework to determine ITS effectiveness for specific work zone projects. The framework recommends using one or more of five performance measures: diversion rate, delay time, queue length, crash frequency, and speed. The monetary benefits and costs of ITS deployment in a work zone can then be computed using the performance measure values. Such ITS computations include additional considerations that are typically not present in standard benefit-cost computations. The proposed framework will allow for consistency in performance measures across different ITS studies thus allowing for comparisons across studies or for meta analysis. In addition, guidance on the circumstances under which ITS deployment is recommended for a work zone is provided. The framework was illustrated using two case studies: one urban work zone on I-70 and one rural work zone on I-44, in Missouri. The goals of the two ITS deployments were different – the I-70 ITS deployment was targeted at improving mobility whereas the I-44 deployment was targeted at improving safety. For the I-70 site, only permanent ITS equipment that was already in place was used for the project and no temporary ITS equipment was deployed. The permanent DMS equipment serves multiple purposes, and it is arguable whether that cost should be attributed to the work zone project. The data collection effort for the I-70 site was very significant as portable surveillance captured the actual diversion flows to alternative routes. The benefit-cost ratio for the I-70 site was 2.1 to 1 if adjusted equipment costs were included and 6.9 to 1 without equipment costs. The safety-focused I-44 ITS deployment had an estimated benefit-cost ratio of 3.2 to 1.

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OBJECTIVE: To examine the incremental cost effectiveness of the five first line pharmacological smoking cessation therapies in the Seychelles and other developing countries. DESIGN: A Markov chain cohort simulation. SUBJECTS: Two simulated cohorts of smokers: (1) a reference cohort given physician counselling only; (2) a treatment cohort given counselling plus cessation therapy. INTERVENTION: Addition of each of the five pharmacological cessation therapies to physician provided smoking cessation counselling. MAIN OUTCOME MEASURES: Cost per life-year saved (LYS) associated with the five pharmacotherapies. Effectiveness expressed as odds ratios for quitting associated with pharmacotherapies. Costs based on the additional physician time required and retail prices of the medications. RESULTS: Based on prices for currently available generic medications on the global market, the incremental cost per LYS for a 45 year old in the Seychelles was 599 US dollars for gum and 227 dollars for bupropion. Assuming US treatment prices as a conservative estimate, the incremental cost per LYS was significantly higher, though still favourable in comparison to other common medical interventions: 3712 dollars for nicotine gum, 1982 dollars for nicotine patch, 4597 dollars for nicotine spray, 4291 dollars for nicotine inhaler, and 1324 dollars for bupropion. Cost per LYS increased significantly upon application of higher discount rates, which may be used to reflect relatively high opportunity costs for health expenditures in developing countries with highly constrained resources and high overall mortality. CONCLUSION: Pharmacological cessation therapy can be highly cost effective as compared to other common medical interventions in low mortality, middle income countries, particularly if medications can be procured at low prices.