416 resultados para Moïse de Khorène
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Running title: Vindiciæ exercitationum de gratia univers[ali].
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Top Row: Kristen Clark, Katherine Grinenko, Shinyi Tang, Troy Tann, Kelly Pasanen, Barbara Loson, Dennis Lake, Lisa Mancuso, Elizabeth Kim, Linda Dengate, Linda Morse, Stacey Horner, Juliet McKeone, Laura Schenk, Corrie Boguth
Row 2: Valerie Straka, Jamie T. Mose, Robert VanCamp, Cary Johnson, Laura Chamberlain, Kenyatta A. Paige, Kevin T. Sprecher, Jean L. Novak, Amanda Sue Niskar, Lisa Oliverio, Rosalyn Baumann, Elaine Schultz, Jennifer Lee Bastress, Kristen Hedge
Row 3: Jennifer Joh, Jennifer Monroe, Marion Tauriainen, Anne Chesky, Michael Fournier, Amy Sebright, Brian Simmons, Ann Luciano, Robin Van Eck, Beth Hart
Row 4: Jacqueline weibel, Dawn Garrett, Vicki McWalters, Malina Rocoff, Holly Medley, Ann Kosky, Tina L. Kessey, Caesanea A. Smith, Michelle Koch, Julie C. Wolf
Row 5: Robin Wygant, Cynthia Nichols, Susan Worek, Sandi Sassack, Timothy Wright, Bridgette Nichols, Kelly Sheridan, Kristin Sirosky, Kathy Kentala, Susan Oslund, Zaleha Williams, Heidi C. Goiz
Row 6: Kathryn Erdmann, Karen Crandall, Darryl Anderson, Karla Stoermer, Janice Lindberg, Beverly Jones, Rhetaugh G. Duman, Elisabeth Pennington, Violet Barkauskas, Laura Stock, Jacqueline Mickle, Catharine Quinn, Laura Nourse
Row 7: Christopher Kelly, Deborah Zolinski, Victoria Buckles, Pamela Brown, Stephanie Macey, Meredith Muncy, Susan, M. Smashey, Laura Welch, Rene Thompson, Sarah Scott, Juliette Lovell, Diane Ferguson, Deborah Ann Dolasinski, Cynthia Zammit, Lorie Malarney
Row 8: Janet Ingram, Rosemary Stafford, Diane Mayernik, Thea Picklesimer, Hannah Clark, JoyMarie Bruhowzki, Jennifer Beckert, Elizabeth Bryant, Jennifer Voeffray, Jane Perrin, Sophia Jan, Diana apostolou, Deborah Ruzicka, Liesel Culver
Row 9: Lori Wessman, Nicole Kerridge, Julia Oman, Melissa Naser, Jennifer Cole, Elizabeth Brickman, Detria Williams, Kris Haaksma, Alison Flaskamp, Nela L. Humm, Carol Taylor, Dena Mitchell, Karen L. Domke
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Each vol. has also special t.-p.
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von Dr. M. Eisenstadt
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Nanometer-scale diamonds formed using a detonation process are an interesting class of diamond materials. Commercially supplied material is highly aggregated with ~ 5 nm diamond crystals forming particles with micron sizes. Previous models have suggested that nondiamond carbon is incorporated between the crystals, which would reduce the electrical and chemical usefulness of this form of diamond. However, using impedance spectroscopy we have shown that at temperatures below 350?°C the form of detonation nanodiamond being studied is a near to ideal dielectric, implying a full sp3 form. At temperatures above this the surfaces of the diamond crystals may support some nondiamond carbon
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The use of diamond as a semiconductor for the realization of transistor structures, which can operate at high temperatures (>700 K), is of increasing interest. In terms of bipolar devices, the growth of n-type phosphorus doped diamond is more efficient on the (111) growth plane; p-type boron-doped diamond growth has been most usually grown in the (100) direction and, hence, this study into the electronic properties, at high temperatures, of boron-doped diamond (111) homoepitaxial layers. It is shown that highly doped layers (hole carrier concentrations as high as 2×1020 cm-3) can be produced without promoting the onset of (unwanted) hopping conduction. The persistence of valance-band conduction in these films enables relatively high mobility values to be measured ( ~ 20 cm2/V?s) and, intriguingly, these values are not significantly reduced at high temperatures. The layers also display very low compensation levels, a fact that may explain the high mobility values since compensation is required for hopping conduction. The results are discussed in terms of the potential of these types of layers for use with high temperature compatible diamond transistors.
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Une des questions les plus débattues dans le domaine de l’éthique en ce XXIème siècle entre l’Afrique et le monde occidental concerne le respect de l’intégrité physique des femmes. Parmi les actions humaines qui touchent le plus l’intégrité corporelle, les excisions et les infibulations sont les plus dénoncées en Afrique. Longtemps considérées comme des rites d’initiation pubertaire des filles, ces pratiques sont maintenant considérées comme néfastes à la santé, et communément désignées par la communauté internationale de « mutilations sexuelles féminines ». Au cours des dernières décennies, ces pratiques ont été progressivement interdites légalement tant dans la plupart des pays d’Afrique que dans les pays occidentaux. Le Comité Inter-Africain (CIAF) contre les mutilations sexuelles demande la « tolérance zéro » par rapport à ces pratiques. La communauté internationale les combat avec des armes juridiques, en se référant aux conséquences médicales et aux droits de l’homme. Notre thèse est née d’une interrogation sur les raisons pour lesquelles ces rites se poursuivent encore en Afrique et plus spécialement au Mali, alors que dans les pays occidentaux, on élève fortement la voix pour les dénoncer comme sévices infligés aux femmes. Sur le plan international, on hésite à imposer des valeurs universelles à un phénomène perçu dans une large mesure comme une tradition conforme aux normes sociales des communautés qui les maintiennent. Afin de mieux cerner le sujet, notre questionnement a été le suivant : « Comment les pratiques culturelles des excisions et des infibulations, dans la ville de Bamako au Mali, interpellent-elles l’éthique : en quoi l’analyse de ces rites constitue-t-elle un domaine légitime d’application des principes de la bioéthique ? » Notre réflexion part du postulat que la dignité humaine est une norme à l’aune de laquelle se mesurent les défis éthiques liés à ces rites. Un proverbe Bambara dit ceci : « Une seule main ne lave pas proprement un éléphant ». La logique de cette sagesse met en évidence qu’une seule approche disciplinaire ne saurait faire ressortir les enjeux éthiques de ces pratiques. Notre analyse bioéthique se veut une démarche interdisciplinaire, qui permet d’articuler les approches philosophiques, anthropologiques, sociologiques et biomédicales de ces pratiques. Le premier chapitre, à travers la revue des écrits, présente la problématique de ces rites. Le deuxième chapitre présente le cadre théorique basé sur la notion de dignité humaine et délimite « ses contours, ses sources, ses formes et ses conséquences » afin de la rendre plus efficace et opérationnelle comme moyen de protection de l’être humain. Le troisième chapitre présente la méthodologie de la recherche basée sur la méthode qualitative et l’induction analytique et décrit le contexte de l’étude. Le quatrième chapitre présente les résultats de la recherche qui font ressortir que ces pratiques se résument essentiellement au contrôle du désir sexuel féminin. Ces pratiques sont par ailleurs déritualisées, touchent de plus en plus des enfants, comportent des risques et des conséquences sur la santé avec des coûts humains et financiers pour la société. Le cinquième chapitre analyse ces pratiques avec les principes éthiques qui démontrent qu’elles constituent un problème de santé publique malgré leur caractère culturel. Enfin, le sixième chapitre présente la portée et la limite de la thèse. Celle-ci montre qu’il est possible de mener un débat sur les excisions et les infibulations à travers une éthique de discussion. Elle offre un moyen pour y parvenir avec une vision de la notion de dignité humaine comme une « valeur éthique universelle » susceptible d’être utilisée dans toutes les actions impliquant l’être humain et dans tous les contextes socio-culturels. Notre démarche élargit ainsi le champ d’application des principes bioéthiques à des pratiques non-médicales. Par cette thèse, nous souhaitons contribuer à enrichir la réflexion éthique sur les excisions et les infibulations et inspirer les politiques de santé publique dans le respect des diversités culturelles. Nous espérons pouvoir inspirer aussi d’autres recherches en vue de rapprocher la bioéthique des pratiques culturelles traditionnelles afin de trouver des compromis raisonnables qui pourraient renforcer le rôle de protection de la dignité humaine.
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Une des questions les plus débattues dans le domaine de l’éthique en ce XXIème siècle entre l’Afrique et le monde occidental concerne le respect de l’intégrité physique des femmes. Parmi les actions humaines qui touchent le plus l’intégrité corporelle, les excisions et les infibulations sont les plus dénoncées en Afrique. Longtemps considérées comme des rites d’initiation pubertaire des filles, ces pratiques sont maintenant considérées comme néfastes à la santé, et communément désignées par la communauté internationale de « mutilations sexuelles féminines ». Au cours des dernières décennies, ces pratiques ont été progressivement interdites légalement tant dans la plupart des pays d’Afrique que dans les pays occidentaux. Le Comité Inter-Africain (CIAF) contre les mutilations sexuelles demande la « tolérance zéro » par rapport à ces pratiques. La communauté internationale les combat avec des armes juridiques, en se référant aux conséquences médicales et aux droits de l’homme. Notre thèse est née d’une interrogation sur les raisons pour lesquelles ces rites se poursuivent encore en Afrique et plus spécialement au Mali, alors que dans les pays occidentaux, on élève fortement la voix pour les dénoncer comme sévices infligés aux femmes. Sur le plan international, on hésite à imposer des valeurs universelles à un phénomène perçu dans une large mesure comme une tradition conforme aux normes sociales des communautés qui les maintiennent. Afin de mieux cerner le sujet, notre questionnement a été le suivant : « Comment les pratiques culturelles des excisions et des infibulations, dans la ville de Bamako au Mali, interpellent-elles l’éthique : en quoi l’analyse de ces rites constitue-t-elle un domaine légitime d’application des principes de la bioéthique ? » Notre réflexion part du postulat que la dignité humaine est une norme à l’aune de laquelle se mesurent les défis éthiques liés à ces rites. Un proverbe Bambara dit ceci : « Une seule main ne lave pas proprement un éléphant ». La logique de cette sagesse met en évidence qu’une seule approche disciplinaire ne saurait faire ressortir les enjeux éthiques de ces pratiques. Notre analyse bioéthique se veut une démarche interdisciplinaire, qui permet d’articuler les approches philosophiques, anthropologiques, sociologiques et biomédicales de ces pratiques. Le premier chapitre, à travers la revue des écrits, présente la problématique de ces rites. Le deuxième chapitre présente le cadre théorique basé sur la notion de dignité humaine et délimite « ses contours, ses sources, ses formes et ses conséquences » afin de la rendre plus efficace et opérationnelle comme moyen de protection de l’être humain. Le troisième chapitre présente la méthodologie de la recherche basée sur la méthode qualitative et l’induction analytique et décrit le contexte de l’étude. Le quatrième chapitre présente les résultats de la recherche qui font ressortir que ces pratiques se résument essentiellement au contrôle du désir sexuel féminin. Ces pratiques sont par ailleurs déritualisées, touchent de plus en plus des enfants, comportent des risques et des conséquences sur la santé avec des coûts humains et financiers pour la société. Le cinquième chapitre analyse ces pratiques avec les principes éthiques qui démontrent qu’elles constituent un problème de santé publique malgré leur caractère culturel. Enfin, le sixième chapitre présente la portée et la limite de la thèse. Celle-ci montre qu’il est possible de mener un débat sur les excisions et les infibulations à travers une éthique de discussion. Elle offre un moyen pour y parvenir avec une vision de la notion de dignité humaine comme une « valeur éthique universelle » susceptible d’être utilisée dans toutes les actions impliquant l’être humain et dans tous les contextes socio-culturels. Notre démarche élargit ainsi le champ d’application des principes bioéthiques à des pratiques non-médicales. Par cette thèse, nous souhaitons contribuer à enrichir la réflexion éthique sur les excisions et les infibulations et inspirer les politiques de santé publique dans le respect des diversités culturelles. Nous espérons pouvoir inspirer aussi d’autres recherches en vue de rapprocher la bioéthique des pratiques culturelles traditionnelles afin de trouver des compromis raisonnables qui pourraient renforcer le rôle de protection de la dignité humaine.
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An autonomous vessel, the Offshore Sensing Sailbuoy, was used for wave measurements near the Ekofisk oil platform complex in the North Sea (56.5 N, 3.2 E, operated by ConocoPhilllips) from 6 to 20 November 2015. Being 100% wind propelled, the Sailbuoy has two-way communication via the Iridium network and has the capability for missions of six months or more. It has previously been deployed in the Arctic, Norwegian Sea and the Gulf of Mexico, but this was the first real test for wave measurements. During the campaign it held position about 20km northeast of Ekofisk (on the lee side) during rough conditions. Mean wind speed measured at Ekofisk during the campaign was near 9.8m/s, with a maximum of 20.4m/s, with wind mostly from south and south west. A Datawell MOSE G1000 GPS based 2Hz wave sensor was mounted on the Sailbuoy. Mean significant wave height (Hs 1hr) measured was 3m, whereas maximum Hs was 6m. Mean wave period was 7.7s, while maximum wave height, Hmax, was 12.6m. These measurements have been compared with non-directional Waverider observations at the Ekofisk complex. Mean Hs at Ekofisk was 3.1m, while maximum Hs was 6.5m. Nevertheless, the correlation between the two measurements was high (97%). Spectra comparison was also good, except for low Hs (~1m), where the motion of the vessel seemed to influence the measurements. Nevertheless, the Sailbuoy performed well during this campaign, and results suggests that it is a suitable platform for wave measurements in rather rough sea conditions.
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Quintus Curtius found in his sources a speech where a Scythian censured Alexander, followed by the King’s reply. Curtius drastically abridged this second discourse in order to highlight the criticism of the Macedonian. The Scythian’s words have a striking rhetorical language and some allusions taken from Greek literature, in addition to possible indirect references to Caligula. Curtius declares that he follows his source word-for-word aiming to justify these inconsistencies, but also trying to hide the manipulations he has done to achieve his own narrative purposes.
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1. t. Auslegung des Magnificat.-Psalm 37, 62, 82, 117, 111, 127, 147, 118. Jeremia kap. 23. Esaja kap. 9. Habakuk kap. 1, 3. Die zehn gebote. Die bergpredigt. Evangel. Joh. kap. 14-16. Das Vaterunser.--2. t. Auslegung des ersten buches Mose. Auslegung des ersten briefes Petri, sammt dem ersten kapitel des andern briefes. Auslegung des fünfzehnten kapitels des ersten briefes Pauli an die Corinther.