921 resultados para Lymphocytes CD4 and CD8


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The protease activity of the paracaspase Malt1 has recently gained interest as a drug target for immunomodulation and the treatment of diffuse large B-cell lymphomas. To address the consequences of Malt1 protease inactivation on the immune response in vivo, we generated knock-in mice expressing a catalytically inactive C472A mutant of Malt1 that conserves its scaffold function. Like Malt1-deficient mice, knock-in mice had strong defects in the activation of lymphocytes, NK and dendritic cells, and the development of B1 and marginal zone B cells and were completely protected against the induction of autoimmune encephalomyelitis. Malt1 inactivation also protected the mice from experimental induction of colitis. However, Malt1 knock-in mice but not Malt1-deficient mice spontaneously developed signs of autoimmune gastritis that correlated with an absence of Treg cells, an accumulation of T cells with an activated phenotype and high serum levels of IgE and IgG1. Thus, removal of the enzymatic activity of Malt1 efficiently dampens the immune response, but favors autoimmunity through impaired Treg development, which could be relevant for therapeutic Malt1-targeting strategies.

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Affiliation: Mark Daniel: Dpartement de mdecine sociale et prventive, Facult de mdecine, Universit de Montral et Centre de recherche du Centre hospitalier de l'Universit de Montral

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Le bryllium (Be) est un mtal dont les proprits physiques et mcaniques sont trs recherches, notamment dans les secteurs spatial, nergtique et lectronique. Les principaux effets associs lexposition au Be sont la sensibilisation et la brylliose chronique. La prvalence des effets associs au Be suggre que les risques sont, entre autres, fonction de sa spciation. Par ailleurs, il semble que les particules fines constituent la fraction dintrt pour loccurrence de tels effets. Dans cette tude nous avons vrifi lhypothse que la forme chimique et la taille des particules du Be jouent un rle majeur au niveau de la toxicit et de lapparition deffets spcifiques une exposition au Be. Les effets spcifiques se traduisent, entre autres, par la formation de granulomes inflammatoires pulmonaire, par la prolifration de lymphocytes TCD4+ et la production de cytokines de type Th1. Pour chacune des trois formes chimiques vises par la prsente tude (le Be mtallique ou Be, loxyde de Be ou BeO et lalliage Be aluminium ou BeAl), la toxicit a t value la suite dune exposition subchronique par inhalation oro-nasale des particules fines (F) et totales (T). cette fin, un modle animal (souris) a t utilis. Au total, 245 souris ont t utilises. Elles ont t subdivises en sept groupes de 35 souris. Un groupe a servi de contrle, alors que chacun des six autres a t expos soit des particules fines soit des particules totales, pour chacune des trois formes chimiques de Be (Be-F, Be-T, BeO-F, BeO-T, BeAl-F, BeAl-T). La dure dexposition pour chacun des groupes sest tendue sur 3 semaines, 5 jours par semaine, 6 heures par jour. Le niveau dexposition des souris tait de 250 g/m3. Lurine des souris a t recueillie avant et durant lexposition. Au moment du sacrifice, plusieurs tissus (poumon, rate, foie et reins) ainsi que des chantillons de sang ont t prlevs puis immdiatement congels jusqu leur analyse pour la dtermination de leur teneur en Be. De plus, certains poumons et rates ont t analyss pour lvaluation de la sensibilit immunologique et de l'inflammation pulmonaire. Cette tude dexposition subchronique est la premire tude murine qui tudie les effets toxiques de diffrentes tailles particulaires sur les changements pathologique et immunologique similaires ceux observs chez lhumain. Cette tude a permis de constater quil existait des diffrences importantes au niveau de la toxicit du Be daprs les diffrentes tailles particulaires ltude. Ces diffrences seraient relies au dpt des particules de Be dans les voies respiratoires et galement la capacit des voies respiratoires les liminer totalement ou partiellement. La clairance respiratoire est fonction, notamment, du site de dposition et du caractre soluble ou non des particules. Cette recherche aura galement permis de dmontrer que les souris C3H/HeJ reprsentent un bon modle pour ltude des effets toxicologiques et immunologiques dune exposition au Be. De plus, nos rsultats dmontrent que la svrit des lsions pulmonaires causes par le Be, tel que linfiltration interstitielle de lymphocytes et la formation de granulomes non-caseux, augmente avec le temps de rsidence pulmonaire des particules de Be. Combins dautres rsultats, nos rsultats contribueront guider les actions de prvention relativement lexposition au Be, incluant ventuellement la rvision de la valeur limite de lexposition et possiblement ltablissement de valeurs limites en fonction de la forme chimique et de la taille des particules.

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Le VIH infecte les cellules par fusion de sa membrane avec la membrane de la cellule cible. Cette fusion est effectue par les glycoprotines de l'enveloppe (Env) qui sont synthtises en tant que prcurseur, gp160, qui est ensuite cliv en gp120 et gp41. La protine gp41 est la partie transmembranaire du complexe de l'enveloppe et lancre la particule virale alors que la gp120 assure la liaison au rcepteur cellulaire CD4 et corcepteur CCR5 ou CXCR4. Ces interactions successives induisent des changements de conformation dEnv qui alimentent le processus d'entre du virus conduisant finalement l'insertion du peptide de fusion de la gp41 dans la membrane de la cellule cible. La sous-unit extrieure gp120 contient cinq rgions variables (V1 V5), dont trois (V1, V2 et V3) tant capables dempcher ladoption spontane de la conformation lie CD4. Cependant, le rle de rgions variables V4 et V5 vis--vis de ces changements de conformation reste inconnu. Pour tudier leur effet, des mutants de l'isolat primaire de clade B YU2, comprenant une dltion de la V5 ou une mutation au niveau de tous les sites potentiels de N-glycosylation de la V4 (PNGS), ont t gnrs. L'effet des mutations sur la conformation des glycoprotines d'enveloppe a t analys par immunoprcipitation et rsonance de plasmon de surface avec des anticorps dont la liaison dpend de la conformation adopt par la gp120. Ni le retrait des PNGS de la V4 ni la dltion de V5 na affect les changements conformationnels dEnv tels que mesurs par ces techniques, ce qui suggre que les rgions variables V1, V2 et V3 sont les principaux acteurs dans la prvention de ladoption de la conformation li de CD4 dEnv.

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La utilizacin de la dexametasona est asociada con la supresin de la respuesta inmune en pacientes con cncer en estados III y IV, debido posiblemente a una accin inhibidora sobre las clulas dendrticas presentadoras de antgenos. Bajo la accin de la dexametasona, las clulas dendrticas secretan niveles muy bajos de IL-10, lo que a su vez disminuye, tanto la respuesta mediada por los linfocitos Th2 como la inducida por las clulas NK. La IL-10 tiene pues un efecto dual, si se tiene en cuenta que, en la mayora de los modelos experimentales, aumenta en pacientes tratados con glucocorticoides tipo dexametasona e inhibe la respuesta mediada por los linfocitos Th1, con una consecuente exacerbacin del proceso. Metodologa: Se utiliz la prueba de ELISA para determinar IL-10 en pacientes con diferentes tipos de tumor en estados III y IV, sometidos a quimioterapia y tratados con dexametasona-metoclopramida como antiemtico y en un grupo control de personas sanas. Resultados: En este modelo experimental, todos los pacientes con cncer en estados III y IV presentaron niveles sricos de IL-10 muy bajos, comparados con los del grupo control. Adems, IL-10 no aument su concentracin en los pacientes tratados con dexametasona. Conclusin: IL-10 no provoca anergia de las clulas dendrticas ni disminucin de la respuesta citotxica mediada por Th1. Por tanto, se sospecha que es la dexametasona y no la IL-10 la responsable de la supresin en la respuesta inmune en pacientes con cncer en estados III y IV, lo que podr ser demostrado en posteriores estudios que complementen los resultados obtenidos.

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O nico medicamento disponvel para o tratamento da doena de Chagas (DC) no Brasil o benzonidazol (Bz). O beneficio da medicao aos portadores crnicos da doena ainda demonstra controvrsias, mas seu uso nessa fase pode ter a finalidade de prevenir/retardar a evoluo da DC para formas mais graves. Os fenmenos imunolgicos que ocorrem aps a terapia com o Bz ainda no esto elucidados. Assim, este estudo props avaliar o efeito do Bz sobre o perfil imunolgico de linfcitos T e a produo de citocinas por clulas da resposta imune expostas in vitro ao T. cruzi. Amostras de sangue de portadores crnicos da DC foram coletadas para obteno de clulas mononucleares de sangue perifrico com posterior infeco com tripomastigotas de T. cruzi, seguida de adio do Bz s culturas. Aps o tempo de cultivo, os sobrenadantes foram estocados para posterior anlise das citocinas IFN-gama, TNF, IL-10, IL-6, IL-4 e IL-2 por CBA e as clulas foram avaliadas por citometria de fluxo, quanto expresso das molculas CD28+ e CTLA-4+ e a produo de citocinas (IL-10 e IFN-gama) em linfcitos T CD4+ e CD8+. Nossos resultados mostraram que o tratamento com o Bz aumentou a expresso da molcula CTLA-4+ em linfcitos T CD8+, indicando que o Bz pode induzir uma modulao da resposta imune e, consequentemente, diminuir a ativao exacerbada dessas clulas. Alm disso, verificamos uma diminuio da produo da citocina IL-10 por linfcitos T CD4+ na presena do Bz. Com relao produo global de citocinas por clulas aderentes e no aderentes, observamos que o Bz causou uma diminuio da citocina pr-inflamatria TNF e da citocina anti-inflamatria IL-10, enquanto que as outras citocinas (IFN-gama, IL-6, IL4 e IL-2) permaneceram com nveis elevados de produo na presena desse frmaco. Nossos resultados sugerem que o Bz induz uma regulao da ativao de linfcitos T CD8+ e a produo de citocinas do perfil Th1 modulado por citocinas do perfil Th2, em clulas de portadores crnicos da DC. Assim, acreditamos que a administrao do Bz aos portadores de formas clnicas brandas da DC pode ser benfica a esses pacientes, visto que o Bz no promoveu um perfil inflamatrio exacerbado

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Background: In mammals, early-life environmental variations appear to affect microbial colonization and therefore competent immune development, and exposure to farm environments in infants has been inversely correlated with allergy development. Modelling these effects using manipulation of neonatal rodents is difficult due to their dependency on the mother, but the relatively independent piglet is increasingly identified as a valuable translational model for humans. This study was designed to correlate immune regulation in piglets with early-life environment. Methods: Piglets were nursed by their mother on a commercial farm, while isolatorreared siblings were formula fed. Fluorescence immunohistology was used to quantify T-reg and effector T-cell populations in the intestinal lamina propria and the systemic response to food proteins was quantified by capture ELISA. Results: There was more CD4+ and CD4+CD25+ effector T-cell staining in the intestinal mucosa of the isolator-reared piglets compared with their farm-reared counterparts. In contrast, these isolator-reared piglets had a significantly reduced CD4+CD25+Foxp3+ regulatory T-cell population compared to farm-reared littermates, resulting in a significantly higher T-reg-to-effector ratio in the farm animals. Consistent with these findings, isolator-reared piglets had an increased serum IgG anti-soya response to novel dietary soya protein relative to farm-reared piglets. Conclusion: Here, we provide the first direct evidence, derived from intervention, that components of the early-life environment present on farms profoundly affects both local development of regulatory components of the mucosal immune system and immune responses to food proteins at weaning. We propose that neonatal piglets provide a tractable model which allows maternal and treatment effects to be statistically separated.

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The functional relationships and properties of different subtypes of dendritic cells (DC) remain largely undefined. To better characterize these cells, we used global gene analysis to determine gene expression patterns among murine CD11c(high) DC subsets. CD4(+), CD8alpha(+), and CD8alpha(-) CD4(-) (double negative (DN)) DC were purified from spleens of normal C57/BL6 mice and analyzed using Affymetrix microarrays. The CD4(+) and CD8alpha(+) DC subsets showed distinct basal expression profiles differing by >200 individual genes. These included known DC subset markers as well as previously unrecognized, differentially expressed CD Ags such as CD1d, CD5, CD22, and CD72. Flow cytometric analysis confirmed differential expression in nine of nine cases, thereby validating the microarray analysis. Interestingly, the microarray expression profiles for DN cells strongly resembled those of CD4(+) DC, differing from them by <25 genes. This suggests that CD4(+) and DN DC are closely related phylogenetically, whereas CD8alpha(+) DC represent a more distant lineage, supporting the historical distinction between CD8alpha(+) and CD8alpha(-) DC. However, staining patterns revealed that in contrast to CD4(+) DC, the DN subset is heterogeneous and comprises at least two subpopulations. Gene Ontology and literature mining analyses of genes expressed differentially among DC subsets indicated strong associations with immune response parameters as well as cell differentiation and signaling. Such associations offer clues to possible unique functions of the CD11c(high) DC subsets that to date have been difficult to define as rigid distinctions.

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INTRODUO: A lipodistrofia relacionada ao uso de terapia antirretroviral (TARV) pode causar estigma esttico e elevar o risco de doenas cardiovasculares. A atividade fsica pode ser uma alternativa vlida para o tratamento e preveno da lipodistrofia. Entretanto, poucos estudos tratam dessa temtica. O objetivo deste estudo foi verificar a ocorrncia de lipodistrofia relacionada ao uso de TARV em portadores de HIV/AIDS, com diferentes hbitos de atividades fsicas. MTODOS: A casustica foi formada por 42 portadores de HIV em uso de TARV, do Centro de Testagem e Aconselhamento de Presidente Prudente. Para obteno do nvel de atividade fsica aplicou-se o Questionrio Internacional de Atividade Fsica (IPAQ); a lipodistrofia foi diagnosticada pelo autorrelato do paciente e a confirmao mdica. O percentual de gordura de tronco foi estimado pela absortometria por raio-X de dupla energia (DEXA). Foram coletados tambm dados referentes a sexo, idade, tempo de uso de TARV, valores de CD4 e carga viral. RESULTADOS: Verificou-se maior ocorrncia de lipodistrofia no grupo sedentrio quando comparado ao ativo, alm de fator protetor da prtica da atividade fsica em relao ocorrncia da lipodistrofia. O grupo com valores mais elevados de CD4 tambm apresentou maior proporo de sujeitos com lipodistrofia, alm de maior proporo de ativos e de indivduos com menor faixa etria. Os acometidos pela lipodistrofia apresentaram maiores valores de percentual de gordura de tronco, bem como, os sedentrios em relao aos ativos. CONCLUSES: O estilo de vida fisicamente ativa resultou em efeito protetor para ocorrncia da lipodistrofia relacionada ao uso da TARV.

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Snake venoms have been used as antineoplastic substances in several experimental models. We demonstrated in previous studies that Bothrops jararaca venom (BjV) induces inhibition of Ehrlich ascites tumor ( EAT) growth accompanied by an increase of mononuclear (MN) leukocytes in all groups inoculated with EAT and/or venom. The objective of the present study was to characterize the subpopulations of MN leukocytes involved in the inhibition of EAT growth by treatment with BjV. Swiss mice were inoculated with 1.0 x 10(3) EAT cells by the intraperitoneal route and treated with 0.4 mg/kg of BjV by the same route ( Group TV). Treatment was started 24 h after tumor cell inoculation and consisted of five intraperitoneal injections performed at 72 h intervals. After 2, 8 and 14 days, groups of animals were sacrificed and the number of B, TCD4 and TCD8 lymphocytes, macrophages and natural killer cells present in the peritoneal cavity was determined by flow cytometry. The control group consisted of animals inoculated with EAT and treated with 0.1 ml of saline under the same conditions as the experimental group ( Group T). Two additional control groups consisted of animals not inoculated with EAT and treated with saline or venom. Data were analyzed statistically by the Kruskal - Wallis nonparametric test for independent samples. on the 2nd and 8th day we observed a difference between groups T and TV ( group T > group TV) for all cell types, except natural killer cells, that only differed on the 2nd day. However, on the 14th day there was no difference in MN cells among groups. These data suggest that the inhibition of EAT is related to the toxic action of BjV on tumor cells and/or to the proteolytic effect of the venom on the mediators produced by the cells for growth modulation.

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OBJETIVO: Avaliar os servios do Sistema nico de Sade brasileiro de assistncia ambulatorial a adultos vivendo com aids em 2007 e comparar com a avaliao de 2001. MTODOS: Os 636 servios cadastrados no Ministrio da Sade em 2007 foram convidados a responder a um questionrio previamente validado (Questionrio Qualiaids) com 107 questes de mltipla escolha sobre a organizao da assistncia prestada. Analisaram-se as frequncias das respostas de 2007 comparando-as com as obtidas em 2001 na forma de variao percentual (VP). RESULTADOS: Responderam o questionrio 504 (79,2%) servios. Cerca de 100,0% dos respondentes relataram ter pelo menos um mdico, suprimento sem falhas de antirretrovirais e de exames CD4 e carga viral. Vrios aspectos mostraram melhor desempenho em 2007 comparados a 2001: registro de nmero de faltas consulta mdica (de 18,3 para 27,0%, VP: 47,5%), agendamento de consulta em menos de 15 dias no incio da terapia antirretroviral (de 55,3 para 66,2%, VP: 19,7%) e participao organizada do usurio (de 5,9 para 16,7%, VP: 183,1%). Houve manuteno de dificuldades: pequena variao na disponibilidade de exames especializados em at 15 dias, como endoscopia (31,9 para 34,5%, VP: 8,1%), e a piora de indicadores como tempo ideal de acesso a consultas especializadas (55,9 para 34,5% em cardiologia, VP negativa de 38,3%). O tempo mdio despendido nas consultas mdicas de seguimento manteve-se baixo: 15 minutos ou menos (52,5 para 49,5%, VP negativa de 5,8%). CONCLUSES: A avaliao de 2007 mostrou que os servios contam com os recursos essenciais para a assistncia ambulatorial. Houve melhoras em muitos aspectos em relao a 2001, mas persistem desafios. Pouco tempo dedicado consulta mdica pode estar vinculado ao nmero insuficiente de mdicos e/ou baixa capacidade de escuta e dilogo. A acessibilidade prejudicada a consultas especializadas mostra a dificuldade das infraestruturas locais do Sistema nico de Sade.

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Estudos tm demonstrado que o exerccio fsico regular melhora as condies do diabetes, facilitando a captao perifrica da glicose e o metabolismo de glicognio, protenas, etc. Por outro lado, pouco se conhece sobre os efeitos do exerccio intenso em diabticos, principalmente com relao ao sistema imune desses organismos. O presente estudo teve como objetivo verificar os efeitos de um treinamento fsico de alta intensidade sobre a contagem total e diferencial de leuccitos em ratos diabticos. Ratos machos jovens Wistar foram distribudos em quatro grupos: controle sedentrio (CS), controle treinado (CT), diabtico sedentrio (DS) e diabtico treinado (DT). O diabetes foi induzido por aloxana (35mg/kg de peso corporal). Durante seis semanas os animais dos grupos CT e DT realizaram um protocolo de treinamento fsico, que consistiu na realizao de quatro sries de 10 saltos (intercaladas por um minuto de intervalo) em piscina, com o nvel da gua correspondendo a 150% do comprimento corporal e sobrecarga equivalente a 50% da massa corporal dos animais. Ao final do perodo experimental, amostras de sangue foram coletadas para a contagem total e diferencial dos leuccitos. Os resultados foram avaliados estatisticamente por ANOVA com um nvel de significncia de 5%. A glicemia foi aumentada entre os diabticos e a insulinemia diminuda. No foram observadas diferenas significativas na contagem diferencial dos linfcitos, neutrfilos, eosinfilos e contagem total de leuccitos entre os grupos estudados. Houve aumento dos moncitos entre os treinados (CS = 10,0 4,5, CT* = 25,4 7,9, DS = 19,75 7,4, DT* = 25,8 4,4%). O peso relativo do timo foi reduzido pelo treinamento e pelo diabetes (CS = 125,0 37,7, CT* = 74,6 8,2, DS* = 47,5 12,2, DT* = 40,1 16,9mg/100g). Esses resultados permitem concluir que o treinamento fsico de alta intensidade no alterou o estado geral do diabetes, mas aumentou os moncitos, o que pode representar um efeito positivo sobre a resposta imunolgica desses animais.

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Um eqino macho, com 10 anos, Mangalarga, apresentou uma infeco por um nematdeo rabditiforme no crebro. Os sinais clnicos limitaram-se ao fato de o animal andar em crculos e apresentar paralisia do lado direito. O exame histolgico do crebro revelou acentuada gliose e discreto edema intersticial. O infiltrado inflamatrio mononuclear perivascular era composto por poucas camadas de linfcitos, plasmcitos, macrfagos e raros eosinfilos, associados aos nematdeos rabditiformes. reas de malcia e trajetos com esferides axonais so vistos ao redor de vasos e do agente etiolgico, sendo mais evidentes na substncia branca. Nas meninges, o infiltrado inflamatrio foi moderado e associado a parasitas perivasculares. A identificao do nematdeo foi baseada no exame histolgico do crebro do cavalo.

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OBJETIVO: No contexto de acesso universal terapia antiretroviral, os resultados do Programa de Aids dependem da qualidade do cuidado prestado. O objetivo do estudo foi avaliar a qualidade do cuidado dos servios ambulatoriais que assistem pacientes de Aids. MTODOS: Estudo realizado em sete Estados brasileiros, em 2001 e 2002. Foi avaliada a qualidade do atendimento a pacientes com Aids quanto disponibilidade de recursos e a organizao do trabalho de assistncia. Um questionrio com 112 questes estruturadas abordando esses aspectos, foi enviado a 336 servios. RESULTADOS: A taxa de resposta foi de 95,8% (322). Os indicadores de disponibilidade de recursos mostram uma adequao maior do que os indicadores de organizao do trabalho. No faltam antiretrovirais em 95,5% dos servios, os exames de CD4 e Carga Viral esto disponveis em quantidade adequada em 59 e 41% dos servios, respectivamente. em 90,4% dos servios h pelo menos um profissional no mdico (psiclogo, enfermeiro ou assistente social). Quanto organizao, 80% no agendavam consulta mdica com hora marcada; 40,4% agendavam mais que 10 consultas mdicas por perodo; 17% no possuam gerentes exclusivos na assistncia e 68,6% no realizavam reunies sistemticas de trabalho com a equipe. CONCLUSES: Os resultados apontam que alm de garantir a distribuio mais homognea de recursos, o programa precisa investir no treinamento e disseminao do manejo do cuidado, conforme evidenciado nos resultados da organizao de trabalho.

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Age-related changes in gastrointestinal-associated mucosal immune response have not been well studied. Thus, we investigated the effect of age on this response and compared these responses to those of peripheral immune cells. Saliva, blood, and intestinal biopsies were collected from young and old healthy subjects to determine immunoglobulin (Ig) levels and to isolate peripheral blood mononuclear cells, intraepithelial lymphocytes (IELs), and lamina propria lymphocytes (LPLs). Although subject age did not influence the level of total IgA found in saliva, IgA levels in serum increased (p < .05) with age. Older subjects' peripheral blood mononuclear cell proliferation and IL-2 production were significantly lower than those of young subjects. LPLs from older subjects produced significantly less IL-2 in response to all stimuli than did that from the young. IEL's ability to proliferate and produce IL-2 was not affected by subject age. Thus, LPL but not IEL demonstrated an age-related decline in immune function similar to that seen in peripheral lymphocytes.