Hindu and Muslim women at International Women's Year conference

General note: Title and date provided by Bettye Lane.

Politics by number: Indicators as social pressure in international relations

© 2014, Midwest Political Science Association.The ability to monitor state behavior has become a critical tool of international governance. Systematic monitoring allows for the creation of numerical indicators that can be used to rank, compare, and essentially censure states. This article argues that the ability to disseminate such numerical indicators widely and instantly constitutes an exercise of social power, with the potential to change important policy outputs. It explores this argument in the context of the United States' efforts to combat trafficking in persons and find evidence that monitoring has important effects: Countries are more likely to criminalize human trafficking when they are included in the U.S. annual Trafficking in Persons Report, and countries that are placed on a "watch list" are also more likely to criminalize. These findings have broad implications for international governance and the exercise of soft power in the global information age.

Culture stratégique et libéralisation politique au Myanmar

Le Myanmar traverse un processus de libéralisation politique qui a été entamé par le haut. Le régime militaire a tenu des élections générales en 2010, lesquelles ont placé au pouvoir un nouveau gouvernement composé à la fois de civils et de militaires. Depuis, la majorité des sanctions imposées par plusieurs États occidentaux au Myanmar ont été levées, et on observe une diversification des relations internationales du pays. Imbriqué à la sphère d’influence chinoise depuis quelques années, celui-ci rétablit des contacts diplomatiques et économiques avec l’Occident. Peu de chercheurs ont tenté d’expliquer les causes de cette transition politique, et le lien entre libéralisation politique et diversification des relations internationales n’a pas encore été expliqué. Ce mémoire propose de le faire en utilisant un modèle théorique issu de deux types de littérature, celle sur la culture stratégique et celle sur les transitions politiques. Il suggère que la libéralisation politique du Myanmar s’explique par les luttes d’influences au sein du régime entre deux sous-cultures stratégiques, les hardliners et les softliners. L’application des normes favorisées par les hardliners ayant échoué dans l’atteinte des objectifs stratégiques du régime, les softliners ont pu imposer leurs propres préférences normatives. Il propose également que la libéralisation politique était une étape nécessaire pour que le gouvernement birman puisse diversifier ses relations internationales.

Culture stratégique et libéralisation politique au Myanmar

Le Myanmar traverse un processus de libéralisation politique qui a été entamé par le haut. Le régime militaire a tenu des élections générales en 2010, lesquelles ont placé au pouvoir un nouveau gouvernement composé à la fois de civils et de militaires. Depuis, la majorité des sanctions imposées par plusieurs États occidentaux au Myanmar ont été levées, et on observe une diversification des relations internationales du pays. Imbriqué à la sphère d’influence chinoise depuis quelques années, celui-ci rétablit des contacts diplomatiques et économiques avec l’Occident. Peu de chercheurs ont tenté d’expliquer les causes de cette transition politique, et le lien entre libéralisation politique et diversification des relations internationales n’a pas encore été expliqué. Ce mémoire propose de le faire en utilisant un modèle théorique issu de deux types de littérature, celle sur la culture stratégique et celle sur les transitions politiques. Il suggère que la libéralisation politique du Myanmar s’explique par les luttes d’influences au sein du régime entre deux sous-cultures stratégiques, les hardliners et les softliners. L’application des normes favorisées par les hardliners ayant échoué dans l’atteinte des objectifs stratégiques du régime, les softliners ont pu imposer leurs propres préférences normatives. Il propose également que la libéralisation politique était une étape nécessaire pour que le gouvernement birman puisse diversifier ses relations internationales.

‘DEVOTED TO THE INTERESTS OF HIS RACE’: BLACK OFFICEHOLDERS AND THE POLITICAL CULTURE OF FREEDOM IN WILMINGTON, NORTH CAROLINA, 1865-1877

This dissertation examines black officeholding in Wilmington, North Carolina, from emancipation in 1865 through 1876, when Democrats gained control of the state government and brought Reconstruction to an end. It considers the struggle for black office holding in the city, the black men who held office, the dynamic political culture of which they were a part, and their significance in the day-to-day lives of their constituents. Once they were enfranchised, black Wilmingtonians, who constituted a majority of the city’s population, used their voting leverage to negotiate the election of black men to public office. They did so by using Republican factionalism or what the dissertation argues was an alternative partisanship. Ultimately, it was not factional divisions, but voter suppression, gerrymandering, and constitutional revisions that made local government appointive rather than elective, Democrats at the state level chipped away at the political gains black Wilmingtonians had made.

Les échecs de la mission canadienne en Afghanistan : déficits de sécurité humaine

La mission canadienne en Afghanistan constitue la plus longue intervention étrangère de l'histoire du pays et a été marquée par un effort important dans la province de Kandahar depuis 2006. Aujourd'hui, il s'avère que la mission à Kandahar présente des échecs importants. Afin d'appréhender la nature de ces échecs, ce travail propose des pistes de réflexions pour améliorer notre compréhension face à cet enjeu. Pour ce faire, le mémoire se questionne à savoir dans quelle mesure le Canada a-t-il respecté l'approche de sécurité humaine au sein de sa mission à Kandahar? La mission britannique dans la province de Helmand en Afghanistan est également utilisée comme outil de comparaison. En guise d'hypothèse, il est proposé que le Canada n'a pas respecté l'approche de sécurité humaine et que cela pourrait contribuer à la compréhension des échecs de la mission à Kandahar. D'abord, les bilans détaillés de ces missions sont présentés et il est démontré que la mission britannique a connu un meilleur bilan que la mission canadienne. Ensuite, à l'aide de la méthode de l'analyse de contenu et d'un codage, les missions canadiennes et britanniques sont analysées afin de déterminer leur correspondance respective face à l'approche de sécurité humaine. Les résultats démontrent que la mission britannique respecte l'approche de sécurité humaine de façon plus importante que la mission canadienne. Finalement, une analyse documentaire propose des pistes de réflexions afin de comprendre en quoi ce déficit de sécurité humaine pourrait permettre d'expliquer les échecs de cette mission lors de futures recherches. Ce mémoire apporte donc deux conclusions. D'abord, la mission canadienne n'a pas respecté l'approche de sécurité humaine malgré le fait que le Canada ait affirmé l'avoir fait. De plus, il est clair que le non-respect de l'approche de sécurité humaine constitue une avenue intéressante afin de comprendre les insuccès canadiens.

Les échecs de la mission canadienne en Afghanistan : déficits de sécurité humaine

La mission canadienne en Afghanistan constitue la plus longue intervention étrangère de l'histoire du pays et a été marquée par un effort important dans la province de Kandahar depuis 2006. Aujourd'hui, il s'avère que la mission à Kandahar présente des échecs importants. Afin d'appréhender la nature de ces échecs, ce travail propose des pistes de réflexions pour améliorer notre compréhension face à cet enjeu. Pour ce faire, le mémoire se questionne à savoir dans quelle mesure le Canada a-t-il respecté l'approche de sécurité humaine au sein de sa mission à Kandahar? La mission britannique dans la province de Helmand en Afghanistan est également utilisée comme outil de comparaison. En guise d'hypothèse, il est proposé que le Canada n'a pas respecté l'approche de sécurité humaine et que cela pourrait contribuer à la compréhension des échecs de la mission à Kandahar. D'abord, les bilans détaillés de ces missions sont présentés et il est démontré que la mission britannique a connu un meilleur bilan que la mission canadienne. Ensuite, à l'aide de la méthode de l'analyse de contenu et d'un codage, les missions canadiennes et britanniques sont analysées afin de déterminer leur correspondance respective face à l'approche de sécurité humaine. Les résultats démontrent que la mission britannique respecte l'approche de sécurité humaine de façon plus importante que la mission canadienne. Finalement, une analyse documentaire propose des pistes de réflexions afin de comprendre en quoi ce déficit de sécurité humaine pourrait permettre d'expliquer les échecs de cette mission lors de futures recherches. Ce mémoire apporte donc deux conclusions. D'abord, la mission canadienne n'a pas respecté l'approche de sécurité humaine malgré le fait que le Canada ait affirmé l'avoir fait. De plus, il est clair que le non-respect de l'approche de sécurité humaine constitue une avenue intéressante afin de comprendre les insuccès canadiens.

Leadership Attributes and Cultural Values in Australia and New Zealand Compared: An Initial Report Based on GLOBE Data.

This paper reports a comparative study of Australian and New Zealand leadership attributes, based on the GLOBE (Global Leadership and Organizational Behavior Effectiveness) program. Responses from 344 Australian managers and 184 New Zealand managers in three industries were analyzed using exploratory and confirmatory factor analysis. Results supported some of the etic leadership dimensions identified in the GLOBE study, but also found some emic dimensions of leadership for each country. An interesting finding of the study was that the New Zealand data fitted the Australian model, but not vice versa, suggesting asymmetric perceptions of leadership in the two countries.

Adopting turtle excluder devices in Australia and the United States: What are the differences in technology transfer, promotion, and acceptance?

Turtle excluder devices (TEDs) are being trialed on a voluntary basis in many Australian prawn (shrimp) trawl fisheries to reduce sea turtle captures. Analysis of TED introductions into shrimp trawl fisheries of the United States provided major insights into why conflicts occurred between shrimpers, conservationists, and government agencies. A conflict over the introduction and subsequent regulation of TEDs occurred because the problem and the solution were perceived differently by the various stakeholders. Attempts to negotiate and mediate the conflict broke down, resulting in litigation against the U.S. government by conservationists and shrimpers. Litigation was not an efficient resolution to the sea turtle-TED-trawl conflict but it appears that litigation was the only remaining path of resolution once the issue became polarized. We review two major Australian trawl fisheries to identify any significant differences in circumstances that may affect TED acceptance. Australian trawl fisheries are structured differently and good communication occurs between industry and researchers. TEDs are being introduced as mature technology. Furthermore, bycatch issues are of increasing concern to all stakeholders. These factors, combined with insights derived from previous conflicts concerning TEDs in the United Stares, increase the possibilities that TEDs will be introduced to Australian fishers with better acceptance.

Social democracy and market reform in Australia and New Zealand

Social democratic governments in Australia and New Zealand adopted policies of radical free-market reform, including financial deregulation, privatization, and public-sector reform in the 1980s. Because of the absence of institutional obstacles to government action, reform was faster and more comprehensive in New Zealand than in Australia. The New Zealand reforms were associated with increasing inequality and generally poor economic outcomes. There is nothing in the New Zealand experience to support the view that radical free-market economic policies are consistent with social democratic welfare policies or with social democratic values of concern for the disadvantaged, The Australian reforms were less radical, and were accompanied by some refurbishment of the welfare state. Economic performance did nor improve, as anticipated by advocates of reform, but was considerably better than that of New Zealand.