955 resultados para Cancer - Mortality


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Lung cancer is a major chronic disease responsible for the highest mortality rate, among other types of cancer, and represents 29% of all deaths in Canada. The clinical diagnosis of lung carcinoma still requires a standard diagnostic approach, as there are no symptoms in its early stage. Therefore, it is usually diagnosed at a later stage, when the survival rate is low. With the recent advancement in molecular biology and biotechnology, a molecular biomarker approach for the diagnosis of early lung cancer seems to be a potential option. In this study, we aimed to investigate and standardize a promising Lung ,Cancer Biomarker by studying the aberrant methylation of two tumour suppressor genes, namely RASSFIA and RAR-B, and the miRNA profiling of four . commonly deregulated miRNA (miR-199a-3p, miR-182, miR-lOO and miR-221). Four lung cancer cell lines were used (two SCLC and two NSCLC), with comparisons being made with normal lung cell lines. Our results, we found that none of these genes were methylated. We then evaluated TP53, and found the promoter of this gene to be methylated in the cancer cell lines, as compared to the normal cell lines, indicating gene inactivation. We carried out miRNA profiling of the cancer cell lines and reported that 80 miRNAs are deregulated in lung cancer cell lines as compared to the normal cell lines. Our study was the first of its kind to indicate that hsa-mir-4301, hsa-mir-4707-5p and hsa-mir-4497 (newly discovered miRNAs) are deregulated in lung cancer cell lines. We also investigated miR-199a-3p, mir-lOO and miR-182, and found that miR-199a -3p and mir-l00 were down-regulated in cancer lines, whereas miR-182 was up-regulated in the cancer cell lines. In the final part of the study we observed that mir-221 could be a putative biomarker to distinguish between the two types of lung cancer because it was down-regulated in SCLC, and up-regulated in the NSCLC cell lines. In conclusion, we found four miRNA molecular biomarkers that possibly could be used in the early diagnosis of the lung cancer. More studies are still required with larger numbers of samples to effectively establish these as molecular biomarkers for the diagnosis of lung cancer

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Le cancer est considéré comme l’une des principales causes de morbidité et de mortalité et, en Espagne, représente à lui seul 25% du taux de mortalité globale. Lorsqu’une personne et sa famille font l’expérience de traverser la phase avancée du cancer, celles-ci vivent un grand choc émotionnel où les souffrances physique, psychique et spirituelle peuvent être présentes. L’information donnée par les professionnels de la santé aux membres de la famille, incluant la personne atteinte, en ce qui concerne le diagnostic et le pronostic du cancer est maintenant plus fréquente dans le contexte méditerranéen. Il n'est pas clair, toutefois, comment cette nouvelle approche est vécue par les familles. C’est pourquoi, le but de cette recherche qualitative de type phénoménologique est d’explorer la signification de l’expérience de familles dont l’un des membres est atteint d’un cancer terminal, alors que tous connaissent le pronostic de la maladie. Les résultats obtenus reposent sur l’analyse en profondeur d’entrevues réalisées auprès de quatre couples. L’analyse des données, à l’aide de la méthode phénoménologique de Giorgi (1997), fait émerger deux thèmes centraux caractérisant la signification de cette expérience de la phase palliative de cancer, alors que l’information sur le mauvais pronostic est connue tant par la personne atteinte que sa famille. Le premier thème central est celui de vivre intensément la perte de la vie rêvée et comporte le vécu suite au choc du pronostic fatal, le fait de vivre constamment des sentiments et des émotions liés à différentes pertes telles que la tristesse, la frustration, l’inquiétude et l’incertitude, et l’espoir de ne pas souffrir. Le deuxième thème central qui ressort est le développement de stratégies par les couples participants afin de rendre leur vie plus supportable. Ces stratégies sont les suivantes : accueillir l’information et le soutien professionnel, retrouver une certaine normalité dans la vie quotidienne, profiter de la vie, recevoir l’aide de la famille et des amis, maintenir une communication cognitive et instrumentale ouverte, se protéger au niveau émotionnel et envisager l’avenir sans la personne aimée. Tous ces éléments, dans le contexte individuel de vie de chaque famille transforment chacun de ces vécus en une expérience unique qui doit être comprise et respectée comme telle par tous les professionnels de la santé impliqués. Les connaissances développées par cette recherche permettront aux infirmières de mieux comprendre l’expérience de la phase palliative du cancer pour des couples dont le diagnostic et le pronostic fatal sont connus par tous, ceci afin d’améliorer leur qualité des soins. Afin de poursuivre le développement du savoir infirmier, il est recommandé de poursuivre des études afin d’explorer plus en profondeur la communication au sein des couples.

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Le cancer épithélial de l’ovaire est le cancer gynécologique le plus agressif avec le plus haut taux de mortalité. La croissance des cellules cancéreuses de l’ovaire est limitée par les nutriments de l’environnement, le fer étant un des éléments indispensables à leur prolifération. L’hémochromatose héréditaire est une maladie associée à une accumulation corporelle de fer. Cette maladie est liée à deux mutations majeures du gène HFE soit H63D et C282Y. Étant donnée l’influence de la protéine HFE sur l’entrée du fer dans la cellule, des mutations du gène HFE pourraient être associées à une croissance rapide des cellules cancéreuses. Des études de génotypage du gène HFE effectuées chez 526 patientes avec cancer épithélial de l’ovaire, ont révélées une fréquence allélique de la mutation C282Y significativement plus élevées chez les patientes avec tumeur ovarienne comparativement aux patientes du groupe contrôle (5.9% versus 1.3%, p = 0.02). De plus, le taux de survie des patientes avec mutations C282Y et tumeur ovarienne de G3, après 2 ans, est faible (20%) lorsque comparé à celui des patientes sans mutations (60%, p = 0.005). Une analyse de régression multivariée de Cox a démontrée un risque relatif de 3.1, suggérant que les patientes avec mutations C282Y ont 3 fois plus de chance d’avoir une faible survie (p=0.001). Également, des études de corrélation ont démontrées que les niveaux de ferritine du sérum étaient plus élevés chez les patientes avec grade avancé du cancer épithélial de l’ovaire (r = 0.445 et p= 0.00001), suggérant que ce paramètre pourrait servir comme marqueur tumoral. Afin de comprendre ces résultats, nous avons tout d’abord étudiés l’influence des mutations HFE sur les cellules cancéreuses. Pour ce faire, la lignée du cancer de l’ovaire TOV-112D, homozygote pour la mutation C282Y, a été transfectée avec les vecteurs HFEwt et HFEC282Y. Bien qu’aucune différence significative n’ait été trouvée en termes de TfR totaux, des analyses par FACS ont démontrées un phénotype de déficience de fer pour les clones stables HFEwt. In vitro, la restauration de la protéine HFE, dans la lignée TOV-112D du cancer de l’ovaire, n’influence pas la croissance cellulaire. Ensuite, nous avons étudiés l’influence des niveaux de fer sur la progression tumorale. Une expérience in vivo préliminaire a démontré une tendance à un volume tumoral supérieur dans un modèle de souris de surcharge de fer,HfeRag1-/-. De plus, les souris HfeRag1-/-, injectées avec la lignée du cancer de l’ovaire TOV-21G, ont montrées des niveaux significativement plus faibles de fer sérique comparativement à leur contrôle (fer sérique 40±7μM versus 27±6μM, p = 0.001). En conclusion, des études supplémentaires sont nécessaires afin de comprendre davantage le rôle des mutations HFE sur la progression tumorale. Notamment, les niveaux élevés de fer pourraient rendre les cellules tumorales résistantes aux traitements ou encore, augmenter la toxicité et ainsi, contribuer à un mauvais prognostique.

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Objectifs: Les données provenant des centres de soins tertiaires suggèrent que le taux de mortalité péri-opératoire (MPO) après cystectomie notés pour les patients âgés (septuagénaires et octogénaires) n’excède pas celle des patients plus jeunes. Toutefois, les données provenant de la communauté démontrent un phénomène inverse. Spécifiquement, la MPO est plus élevés chez les ainés. Dans cette thèse nous allons présenter une réévaluation contemporaine du taux de MPO après cystectomie. Méthodes: Entre 1988 et 2006, 12722 cystectomies radicales pour le carcinome urothéliale de la vessie ont été enregistrées dans la banque de données SEER. Le taux de MPO a été évalué dans les analyses de régression logistique univariées et multivariées à 90 jours après cystectomie radicale. Les covariables incluaient: le sexe, l’ethnie, l’année de chirurgie, la région d’origine du patient ainsi que le grade et le stade de la tumeur. Résultats: Parmi tous les patients, 4480 étaient des septuagénaires (35.2%) et 1439 étaient des octogénaires (11.3%). Le taux de MPO à 90 jours était de 4% pour la cohorte entière vs. 2% pour les patients moins de 69 ans vs. 5.4% pour les septuagénaires vs. 9.2% pour les octogénaires. Dans les analyses de régression logistiques multivariées, les septuagénaires (OR=2.80; <0.001) et les octogénaires (OR=5.02; <0.001) avaient reçu un taux de MPO plus augmenté que les patients moins de 70 ans après une cystectomie radicale. Conclusion: Cette analyse épidémiologique basée sur les donnés le plus contemporaines démontre que l’âge avancée représente un facteur de risque pour un taux de MPO plus élevé.

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Objectif : La néphrectomie partielle est reconnue actuellement comme le traitement de choix des tumeurs de moins de 7 cm. Le but de notre étude est de comparer le taux de mortalité lié au cancer du rein suite au traitement par néphrectomie partielle ou radicale chez les patients de stade T1b, de présenter la tendance temporelle du taux d'intervention par néphrectomie partielle pour les tumeurs de stade T1b et d’identifier les facteurs sociodémographiques et tumoraux qui influencent le choix thérapeutique entre les deux types de traitement chirurgical. Méthode : Il s’agit d’une étude épidémiologique de type rétrospective. La population de patients provient de la base de donnée SEER (Surveillance, Epidemiology, and End Results) qui regroupe une grande proportion de la population nord-américaine. Dans notre étude, nous avons utilisé l’analyse par régression logistique pour identifier les facteurs sociodémographiques associés à l'intervention par néphrectomie partielle. Dans un deuxième temps, nous avons comparé la mortalité liée au cancer entre les deux options chirurgicales, après association par score de tendance pour diminuer les différences de base entre les deux populations. Nos critères étaient l’âge, la race, le sexe, l’état civil, le niveau socioéconomique, la taille tumorale, le grade nucléaire, l’histologie et la localité du centre hospitalier. L’analyse des données a été faite par le logiciel SPSS. Résultats : Le taux d'interventions par néphrectomie partielle a augmenté de 1,2% en 1988 à 15,9% en 2008 (p <0,001). Les jeunes patients, les tumeurs de petite taille, les patients de race noire, ainsi que les hommes sont plus susceptibles d'être traités par néphrectomie partielle (tous les p < 0,002). Parmi le groupe ciblé, le taux de mortalité lié au cancer à 5 ans et à 10 ans est de 4,4 et de 6,1% pour les néphrectomies partielles et de 6,0 et 10,4% pour les néphrectomies radicales (p = 0,03). Après ajustement de toutes les autres variables, les analyses de régression montrent que le choix entre les deux types de néphrectomie n’est pas associé à la mortalité lié au cancer (hazard ratio: 0,89, p = 0,5). Conclusion : Malgré un contrôle oncologique équivalent, le taux d'intervention par néphrectomie partielle chez les patients ayant un cancer du rein T1b est faible en comparaison à la néphrectomie radicale.

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Le cancer de la prostate (CP) est le cancer le plus fréquemment diagnostiqué en Amérique du Nord et est au troisième rang en termes de létalité chez les hommes. Suite aux traitements de première ligne, 20 à 30% des patients diagnostiqués avec un cancer localisé auront une récidive biochimique de la maladie. La déplétion androgénique mène fréquemment au développement du stade de résistance à la castration (RC). Ce dernier est associé avec une augmentation de la morbidité (métastases osseuses) et de la mortalité avec une survie moyenne inférieure à deux ans. L’évolution du CP est très hétérogène dans la population et il n’existe actuellement aucun biomarqueur pronostique permettant d’identifier les patients à risque de récurrence biochimique, de métastases osseuses et de développement d’une résistance à la castration. De nombreuses études ont démontré que les cytokines inflammatoires IL-6 et IL-8 jouent un rôle dans la pathogénèse du CP, notamment dans le développement de la résistance à la castration. Par ailleurs, les niveaux sériques élevés de ces cytokines ont été associés à un mauvais pronostic. Précédemment, notre laboratoire a démontré in vitro que la protéine IKKε entraîne une augmentation de la sécrétion de ces cytokines dans les cellules du CP et qu’elle est exprimée davantage dans les tissus de cancers plus avancés. Le premier objectif du présent mémoire fut d’évaluer dans des tissus humains la corrélation d’IKKε, IL-6 et IL-8 avec des paramètres cliniques. Nos résultats soulignent le potentiel d’IKKε comme biomarqueur tissulaire pronostique de récurrence biochimique et de métastases osseuses. Nous n’avons trouvé aucune association entre IL-6/IL-8 et les paramètres cliniques inclus dans l’étude. Le second objectif de ce projet fut d’évaluer la coexpression de ces trois molécules dans l’épithélium du CP. Nos résultats confirment les observations in vitro en mettant en évidence une forte association entre l’expression d’IKKε, IL-6 et IL-8. Le troisième objectif fut d’évaluer la relation entre les niveaux sériques et tissulaires d’IL-6 et d’IL-8. Aucune relation significative n’a été établie, suggérant que les cytokines sériques ne sont pas uniquement d’origine prostatique. En conclusion, mon projet de maîtrise aura permis de préciser le potentiel d’IKKε comme biomarqueur tissulaire pronostique et de valider pour la première fois dans des tissus humains sa co-expression avec les cytokines IL-6 et IL-8, dont le rôle dans la pathogénèse de la maladie est bien établi. Une étude plus exhaustive des voies de signalisation d’IKKε reste d’intérêt pour élucider notamment les mécanismes par lesquels IKKε stimule la production de cytokines et par quels moyens cette protéine pourrait être impliquée dans le développement d’un état résistant à la castration.

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Introducción: El cáncer colorrectal es el tercer cáncer más diagnosticado en los hombres y el segundo en las mujeres a nivel mundial. Hasta 1.000 casos nuevos se diagnostican en Colombia cada año, por lo que es importante conocer la experiencia con esta patología en un centro de experiencia recientemente creado en el “Méderi, Hospital Universitario Mayor”. Materiales y métodos: Se realizó un estudio de corte transversal de la población con diagnóstico de cáncer colorrectal atendida entre agosto 2012 y diciembre 2014 que corresponde al tiempo de funcionamiento del servicio de Coloproctología. Resultados: Se atendieron un total de 152 pacientes con cáncer colorrectal en la institución. Se operó el 91% de los pacientes. El estadío más frecuente fue el IV. Solo el 4.9% presentó dehiscencia de anastomosis, datos concordantes con la literatura cuando el manejo es a cargo de expertos. El subtipo histológico más frecuente fue adenocarcinoma moderadamente diferenciado y la mortalidad perioperatoria de 2.63%. Discusión: El cáncer colorrectal es una entidad con alta morbimortalidad lo cual puede cambiar si se realizan pruebas de tamizaje, para realizar un manejo temprano y oportuno. Además juega un papel importante la experiencia del cirujano y la discusión de los pacientes en juntas multidisciplinarias. Palabras clave: cáncer de colon, cáncer de recto, epidemiología, estadificación

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During the last part of the 1990s the chance of surviving breast cancer increased. Changes in survival functions reflect a mixture of effects. Both, the introduction of adjuvant treatments and early screening with mammography played a role in the decline in mortality. Evaluating the contribution of these interventions using mathematical models requires survival functions before and after their introduction. Furthermore, required survival functions may be different by age groups and are related to disease stage at diagnosis. Sometimes detailed information is not available, as was the case for the region of Catalonia (Spain). Then one may derive the functions using information from other geographical areas. This work presents the methodology used to estimate age- and stage-specific Catalan breast cancer survival functions from scarce Catalan survival data by adapting the age- and stage-specific US functions. Methods: Cubic splines were used to smooth data and obtain continuous hazard rate functions. After, we fitted a Poisson model to derive hazard ratios. The model included time as a covariate. Then the hazard ratios were applied to US survival functions detailed by age and stage to obtain Catalan estimations. Results: We started estimating the hazard ratios for Catalonia versus the USA before and after the introduction of screening. The hazard ratios were then multiplied by the age- and stage-specific breast cancer hazard rates from the USA to obtain the Catalan hazard rates. We also compared breast cancer survival in Catalonia and the USA in two time periods, before cancer control interventions (USA 1975–79, Catalonia 1980–89) and after (USA and Catalonia 1990–2001). Survival in Catalonia in the 1980–89 period was worse than in the USA during 1975–79, but the differences disappeared in 1990–2001. Conclusion: Our results suggest that access to better treatments and quality of care contributed to large improvements in survival in Catalonia. On the other hand, we obtained detailed breast cancer survival functions that will be used for modeling the effect of screening and adjuvant treatments in Catalonia

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As the mean age of the global population increases, breast cancer in older individuals will be increasingly encountered in clinical practice. Management decisions should not be based on age alone. Establishing recommendations for management of older individuals with breast cancer is challenging because of very limited level 1 evidence in this heterogeneous population. In 2007, the International Society of Geriatric Oncology (SIOG) created a task force to provide evidence-based recommendations for the management of breast cancer in elderly individuals. In 2010, a multidisciplinary SIOG and European Society of Breast Cancer Specialists (EUSOMA) task force gathered to expand and update the 2007 recommendations. The recommendations were expanded to include geriatric assessment, competing causes of mortality, ductal carcinoma in situ, drug safety and compliance, patient preferences, barriers to treatment, and male breast cancer. Recommendations were updated for screening, primary endocrine therapy, surgery, radiotherapy, neoadjuvant and adjuvant systemic therapy, and metastatic breast cancer.

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Prostate cancer is poised to become the most prevalent male cancer in the Western world. In Japan and China, incidence rates are almost 10-fold less those reported in the United States and the European Union. Epidemiological data suggest that environmental factors such as diet can significantly influence the incidence and mortality of prostate cancer. The differences in lifestyle between East and West are one of the major risk factors for developing prostate cancer. Traditional Japanese and Chinese diets are rich in foods containing phytoestrogenic compounds, whereas the Western diet is a poor source of these phytochemicals. The lignan phytoestrogens are the most widely occurring of these compounds. In vitro and in vivo reports in the literature indicate that lignans have the capacity to affect the pathogenesis of prostate cancer. However, their precise mechanism of action in prostate carcinogenesis remains unclear. This article outlines the possible role of lignans in prostate cancer by reviewing the current in vitro and in vivo evidence for their anticancer activities. The intriguing concept that lignans may play a role in the prevention and treatment of prostate cancer over the lifetime of an individual is discussed.

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Colorectal cancer (CRC) is a significant cause of morbidity and mortality in developed countries, with both genetic and environmental factors contributing to the etiology and progression of the disease. Several risk factors have been identified, including positive family history, red meat intake, smoking, and alcohol intake. Protective factors include vegetables, calcium, hormone replacement therapy, folate, nonsteroidal anti-inflammatory drugs, and physical activity. The interaction between these environmental factors, in particular diet and genes, is an area of growing interest. Currently, oncogenes, tumor suppressor genes, and mismatch repair genes are believed to play an essential role in colorectal carcinogenesis. When considering the genetics of CRC, only 10% of cases are inherited and only 2-6% can be ascribed to the highly penetrant genes, such as APC, hMLH and hMSH2. Lower penetrance genes combined with a Western-style diet contribute to the majority of sporadic CRCs. The purpose of this article is to give a brief overview of the epidemiologic studies that have been conducted and present the major findings. Here, we examine the molecular events in CRC, with particular focus on the interaction between genes and environment, and review the most current research in this area.

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Purpose of review: Meta-analyses of epidemiological studies of soy consumption and breast cancer risk have demonstrated modest protective effects, usually attributed to isoflavones. Concern has been expressed, however, that the estrogenic activity of isoflavones may have adverse effects on breast cancer recurrence. Recent findings: The review covers epidemiological studies that have investigated the impact of soy consumption in breast cancer patients on recurrence and mortality. There are preliminary data to suggest that soy has differential effects on recurrence in human epidermal growth factor receptor-2 positive and human epidermal growth factor receptor-2 negative tumours. Recent studies on mechanisms of action of soy in breast cancer provide insights into epigenetic effects and the interaction of isoflavones with IGF-1 and with a number of polymorphisms of genes associated with breast cancer risk such as MDM2 and CYP1B1. Summary: Overall, these studies indicate that soy foods consumed at levels comparable to those in Asian populations have no detrimental effects on risk of breast cancer recurrence and in some cases significantly reduce the risk. Importantly, soy does not appear to interfere with tamoxifen or anastrozole therapy. Recent research suggests that women who are at increased risk of breast cancer due to polymorphisms in genes associated with the disease may especially benefit from high soy isoflavone intake.

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Aluminium (Al) has been measured in human breast tissue, nipple aspirate fluid and breast cyst fluid, and recent studies have shown that at tissue concentrations, aluminium can induce DNA damage and suspension growth in human breast epithelial cells. This paper demonstrates for the first time that exposure to aluminium can also increase migratory and invasive properties of MCF-7 human breast cancer cells. Long-term (32 weeks) but not short-term (1 week) exposure of MCF-7 cells to 10-4M aluminium chloride or 10-4M aluminium chlorohydrate increased motility of the cells as measured by live cell imaging (cumulative length moved by individual cells), by a wound healing assay and by migration in real time through 8m pores of a membrane using xCELLigence technology. Long-term exposure (37weeks) to 10-4M aluminium chloride or 10-4M aluminium chlorohydrate also increased the ability of MCF-7 cells to invade through a matrigel layer as measured in real time using the xCELLigence system. Although molecular mechanisms remain to be characterized, the ability of aluminium salts to increase migratory and invasive properties of MCF-7 cells suggests that the presence of aluminium in the human breast could influence metastatic processes. This is important because mortality from breast cancer arises mainly from tumour spread rather than from the presence of a primary tumour in the breast.

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The etiology of colorectal cancer (CRC), a common cause of cancer-related mortality globally, has strong associations with diet. There is considerable epidemiological evidence that fruits and vegetables are associated with reduced risk of CRC. This paper reviews the extensive evidence, both from in vitro studies and animal models, that components of berry fruits can modulate biomarkers of DNA damage and that these effects may be potentially chemoprotective, given the likely role that oxidative damage plays in mutation rate and cancer risk. Human intervention trials with berries are generally consistent in indicating a capacity to significantly decrease oxidative damage to DNA, but represent limited evidence for anticarcinogenicity, relying as they do on surrogate risk markers. To understand the effects of berry consumption on colorectal cancer risk, future studies will need to be well controlled, with defined berry extracts, using suitable and clinically relevant end points and considering the importance of the gut microbiota.

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Background: Dietary intervention studies suggest that flavan-3-ol intake can improve vascular function and reduce the risk of cardiovascular diseases (CVD). However, results from prospective studies failed to show a consistent beneficial effect. Objective: To investigate associations between flavan-3-ol intake and CVD risk in the Norfolk arm of the European Prospective Investigation into Cancer and Nutrition (EPIC-Norfolk). Design: Data was available from 24,885 (11,252 men; 13,633 women) participants, recruited between 1993 and 1997 into the EPIC-Norfolk study. Flavan-3-ol intake was assessed using 7-day food diaries and the FLAVIOLA Flavanol Food Composition database. Missing data for plasma cholesterol and vitamin C were imputed using multiple imputation. Associations between flavan-3-ol intake and blood pressure at baseline were determined using linear regression models. Associations with CVD risk were estimated using Cox regression analyses. Results: Median intake of total flavan-3-ols was 1034 mg/d (range: 0 – 8531 mg/d) for men and 970 mg/d (0 – 6695 mg/d) for women, median intake of flavan-3-ol monomers was 233 mg/d (0 – 3248 mg/d) for men and 217 (0 – 2712 mg/d) for women. There were no consistent associations between flavan-3-ol monomer intake and baseline systolic and diastolic blood pressure (BP). After 286,147 person-years of follow up, there were 8463 cardio-vascular events and 1987 CVD related deaths; no consistent association between flavan-3-ol intake and CVD risk (HR 0.93, 95% CI:0.87; 1.00; Q1 vs Q5) or mortality was observed (HR 0.93, 95% CI: 0.84; 1.04). Conclusions: Flavan-3-ol intake in EPIC-Norfolk is not sufficient to achieve a statistically significant reduction in CVD risk.