987 resultados para T3-T4
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1889/01 (A3,T3)-1889/12 (A3,T4).
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Peu de femmes atteignent la recommandation internationale d’un allaitement exclusif d’une durée minimale de 6 mois malgré ses nombreux bienfaits pour l’enfant et pour la mère. Une raison fréquemment mentionnée pour la cessation précoce de l’allaitement ou l’introduction de préparations commerciales pour nourrissons est l’insuffisance de lait. L’origine de cette perception maternelle demeure toujours inexpliquée bien que sa prévalence dans les écrits soit bien documentée. L’insuffisance lactée relève-t-elle de pratiques d’allaitement qui contreviennent au processus physiologique de la lactation ou relève-t-elle d’un manque de confiance maternelle dans sa capacité d’allaiter? Une meilleure compréhension des déterminants de la perception d’insuffisance lactée (PIL) s’avère primordiale, un manque d’interventions infirmières permettant de prévenir, dépister et soutenir les femmes allaitant percevant une insuffisance lactée ayant été identifié. Cette étude visait à déterminer l’apport explicatif de variables biologiques et psychosociales de 252 femmes primipares allaitant sur une PIL. Une modélisation de facteurs associés à la PIL a été développée à l’aide de l’approche synthèse théorique comportant les variables suivantes: les événements entourant la naissance, les capacités infantiles et maternelles, la supplémentation, le sentiment maternel d’efficacité en allaitement, la PIL et les pratiques d’allaitement. Afin de mieux comprendre comment se développe et évolue la PIL, un devis prédictif confirmatif longitudinal a été privilégié de la naissance à la 6e semaine postnatale. Au T1, soit le premier 24 heures suivant la naissance, les participantes ont complété un questionnaire concernant leur intention d’initier et de maintenir un allaitement exclusif pour une durée de 6 mois. Au T2, soit la 3e journée postpartum, les femmes complétaient un 2e questionnaire regroupant les différentes mesures utilisées pour l’étude des variables de la modélisation PIL, incluant le prélèvement d’un échantillon de lait maternel. À la 2e semaine, soit le T3, les femmes complétaient un questionnaire similaire à celui du T2, lequel était envoyé par la poste. Finalement, au T4, soit à la 6e semaine, une entrevue téléphonique semi-dirigée concernant les pratiques d’allaitement a été réalisée. La vérification des hypothèses s’est faite principalement à l’aide de tests de corrélations de Pearson, d’analyses de régressions et d’équations structurelles. Les résultats indiquent une influence simultanée des capacités infantiles et du sentiment maternel d’efficacité en allaitement sur la PIL au T2 et au T3; le sentiment maternel d’efficacité en allaitement exerçant de surcroit un effet médiateur entre les capacités infantiles et la perception d’insuffisance lactée au T2 et au T3. Au T2, la fréquence des tétées est associée à une diminution du taux de Na+ du lait maternel, marqueur biologique de l’établissement de la lactogenèse II. Des interventions ciblant le développement d’un sentiment maternel élevé d’efficacité en allaitement devraient être privilégiées.
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Introduction Cette recherche constitue une étude clinique descriptive, visant à évaluer la douleur durant le traitement orthodontique avec boîtiers auto-ligaturants passifs et actifs. Matériel et méthode L'étude a été effectuée chez 39 patients (18 garçons, 21 filles), âge moyen 14 (entre 11 et 19 ans). Deux types de boîtiers auto-ligaturants ont été utilisés (SPEED n=20 et Damon n=19). Pour évaluer la douleur, un questionnaire a été élaboré par l'équipe de recherche. L’étude comportait 4 phases, c’est-à-dire l’évaluation de la douleur suite à l’insertion des 4 premiers fils orthodontiques du traitement de chaque patient (0.016 Supercable, 016 CuNiTi, 016X022 CuNiTi, 019X025 CuNiTi). Le même questionnaire était utilisé lors de chaque phase et le questionnaire comprenait 6 différents temps (T0: avant l’insertion du fil orthodontique, T1: immédiatement suite à l’insertion du fil, T2: 5h après l’insertion, T3: 24h après l’insertion, T4: 3 jours après l’insertion, T5: une semaine après l’insertion, T6: 4 semaines après l’insertion) suite à l’insertion de chaque fil. L’échelle visuelle analogue (EVA) et la version courte du questionnaire de Saint-Antoine ont été utilisés afin d’évaluer la douleur. Les données des EVA entre les groupes ont été comparées en utilisant le U test Mann-Whitney. Résultats et discussion Pour les deux premiers fils et pour tous les temps étudiés, il n’y avait pas de différence statistiquement significative entre les deux groupes (SPEED et Damon). Cependant, au moment de l’insertion (T0) du troisième fil (016X022 CuNiTi), parmi les patients ayant rapporté de la douleur (SPEED 47.1%, Damon 55.6%), le groupe Damon a rapporté une douleur significativement plus élevée que le groupe SPEED (p=0.018), (EVA moyenne SPEED=14.14±8.55, Damon=33.85±19.64). Trois jours après l’insertion du troisième fil, toujours parmi les patients ayant rapporté de la douleur (SPEED 23.5%, Damon 33.4%), la douleur était significativement plus élevée chez le groupe Damon que chez le groupe SPEED (p=0.008), (EVA moyenne SPEED=8.74±4.87, Damon=25.15±9.69). La plupart des analgésiques ont été pris suite à la pose du premier fil au temps T2 (5h) et T3 (24h). Il n’y avait pas de différence statistiquement significative entre les groupes en ce qui a trait au nombre de patients qui prenaient des analgésiques. La douleur n’a pas affecté le style de vie pour la grande majorité des patients. Les mots descriptifs sensoriels « tiraillement », « étau » et « élancement » et le mot affectif « énervant » étaient le plus souvent utilisés. Conclusion Les patients du groupe Damon ont ressenti significativement plus de douleur que les patients du groupe SPEED à l’insertion du troisième fil et trois jours suite à l’insertion. Plus de patients ont pris des médicaments pour la douleur avec le premier fil et le style de vie n’était pas affecté pour une majorité de patients. « Tiraillement », « étau », « élancement » et « énervant » étaient les mots descriptifs les plus utilisés par les patients pour décrire leur douleur.
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Introduction. Ce projet de recherche consiste en une étude cohorte prospective randomisée visant à évaluer les douleurs ressenties au niveau de l’articulation temporo-mandibulaire (ATM) lors d’une thérapie d’avancement mandibulaire grâce à un appareil fixe, le correcteur de classe II (CC) et d’un appareil amovible, le Twin-Block (TB). Matériels et méthodes. Cette étude comptait 26 patients (11 hommes et 15 femmes), âge moyen de 12ans 10mois (10ans 4mois à 15ans 10mois). Les sujets devaient avoir une malocclusion de classe II et être en croissance, CVM 2 ou 3 (Cervical Vertebral Maturation). Les patients étaient divisés en deux groupes : TB et CC. La douleur était évaluée selon l’axe I de l’examen du RDC/TMD (Research Diagnostic Criteria for Temporomandibular Disorders) à 7 reprises (T0 à T6). De plus, le patient devait remplir un questionnaire, à la maison, sur la douleur ressentie et la médication prise lors des 30 premiers jours. La douleur était évaluée avant l’insertion des appareils (T0), à 1 semaine (T1) post-insertion, 4 semaines plus tard (T2), 8 semaines (T3) où une expansion de 20 tours (environs 5 mm) était débutée, ensuite (T4) (T5) et (T6) chacun à 8 semaines d’intervalles. Les tests statistiques utilisés dans cette étude : le test «Wilcoxon à un échantillon» ainsi que le test «Mann-Whitney à échantillons indépendants ». Résultats et Discussion. La douleur à l’examen clinique est variable mais tend à diminuer avec le temps. Aucune différence, statistiquement significative, ne fut observée entre les 2 groupes en ce qui à trait aux diverses palpations effectuées. Parmi les patients ayant rapporté de la douleur, 40% l’ont ressentie surtout le matin et 63,3% ont dit qu’elle durait de moins d’une heure jusqu’à quelques heures. Conclusion. D’après nos résultats, lors d’une thérapie myofonctionnnelle, il n’y a pas de différence statistiquement significative entre la douleur occasionnée par un Twin-Block et celle produite par un correcteur de classe II fixe au niveau de l’ATM et des muscles du complexe facial.
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Introduction : L’inconfort causé par les appareils orthodontiques peut significativement affecter la coopération des patients dans leur traitement. La douleur, ainsi que la détérioration de la fonction (mastication, élocution) sont reconnus comme les déterminants majeurs de la coopération des patients traités par appareils amovibles. Invisalign® se positionne comme une alternative esthétique aux multiples inconforts observés lors des traitements fixes avec boîtiers. À ce jour, peu d’études ont cherché à comparer la douleur (quantitativement et qualitativement) perçue entre cette technique et celle avec boîtiers fixes sur une longue période. Objectif : L’objectif de la présente étude est d’évaluer la douleur ressentie par les patients qui suivent un traitement orthodontique avec coquilles correctrices Invisalign® et de la comparer avec celle des patients qui suivent un traitement orthodontique conventionnel avec des boîtiers fixes. Matériels et Méthodes: L’étude compte 70 patients (29 garçons, 41 filles), moyenne d’âge de 16 ans [11 à 30]. Les trois sous-groupes sont Invisalign® (n=31), boîtiers Damon (n=19) et boîtiers Speed (n=20). Les groupes avec boîtiers (Damon et Speed) sont les 2 groupes de l’étude menée au sein de la clinique d’Orthodontie de l’Université de Montréal en 2011 qui comparait la perception de la douleur durant le traitement orthodontique entre boîtiers auto-ligaturants passifs et actifs. L’étude a été organisée en 4 phases correspondant à l’insertion des 4 premiers fils pour les groupes avec boîtiers (Phase 1: 0,016" Supercable, Phase 2: 0,016" CuNiTi, Phase 3: 0,016"x0,022" CuNiTi, Phase 4: 0,019"x0,025" CuNiTi) et à l’insertion des coquilles 1, 4, 7 et 10 pour le groupe Invisalign®. À l’aide d’un questionnaire, l’étude évalue pour chaque phase l’ampleur (grâce à une échelle visuelle analogue EVA), la durée et la localisation de la douleur à 6 différents points (T1: immédiatement après l’insertion, T2: 5h après, T3: 24h après, T4: 3 jours après, T5: une semaine après, T6: 2 semaines après). Résultats: À T1Ph3 le pourcentage de patients rapportant de la douleur était plus élevé avec Damon qu’avec Invisalign® (p=0,032) (Damon=55,6% ; Invisalign®=23,3%) mais il n’y avait pas de différence avec le groupe Speed (p=0,114). Les patients avec Invisalign® rapportaient significativement moins d’irritation des tissus mous (muqueuses, gencives) que les patients avec des boîtiers. Pour les résultats des EVA, les différences étaient statistiquement significatives à 2 temps : T3Ph1 (Médiane Invisalign®=33,31, Médiane Speed=49,47; p=0,025) et T3Ph4 (Médiane Invisalign®=13,15, Médiane Damon=27,28; p=0,014). Pour la majorité des patients la douleur ne nécessitait pas la prise de médicament et il n’y avait pas de différence significative entre les groupes sur ce point. La qualité de vie était légèrement affectée lors de la première phase et moindrement pour le groupe Invisalign® que pour les groupes avec boîtiers. Pour les patients Invisalign®, la douleur atteignait son niveau le plus élevé entre 5 et 24 heures après l’insertion de la première coquille, et diminuait en intensité et en durée à chaque phase. Conclusion: La perception de la douleur lors d’un traitement orthodontique avec Invisalign® est inférieure à celle ressentie lors d’un traitement avec des boîtiers fixes. Cette méthode de traitement est donc une thérapie attirante pour les patients désirant un traitement esthétique et relativement confortable.
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Pyridoxine-deficient young rats (3 weeks old) had significantly reduced levels of pituitary TSH, serum thyroxine (T4) and tri iodothyn nine (T,,) Compared with pyridoxine-supplemented rats. The status of the pituitary-thyroid axis of normal, pyridoxine-supplemented and pyridoxine-deficient rats was evaluated by studying the binding parameters of [3H](3-nicthylhistidine2) TRH in the pituitary of these rats. The effects of TRH and 1'4 injections on pituitary TSH and serum TSH, T4 and T3 of these two groups were also compared. The maximal binding of TRH receptors in the pituitary of pyridoxine-deficient rats was significantly higher than that of pyridoxine-supplemented control and normal rats, but there was no change in the binding affinity. Treatment with TRH stimulated TSH synthesis and release. It also increased serum T4 and T3 in both pyridoxine-supplemented and pyridoxine-deficient rats. Treatment with T4 decreased serum and pituitary TSH in both pyridoxine-supplemented and pyridoxine-deficient rats, compared with saline-treated rats. The increased pituitary TRH receptor content, response to TRH administration and the fact that regulation at the level of the pituitary is not affected in the pyridoxinedeficient rat indicates a hypothalamic origin for the hypothyroidism of the pyridoxine-deficient rat.
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Existe material complementario para esta actividad en el museo que permite la experimentación teórica y práctica de los conceptos que se quieren trabajar
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Forty-multiparous Holstein cows were used in a 16-wk continuous design study to determine the effects of either selenium (Se) source, selenized yeast (SY) (derived from a specific strain of Saccharomyces cerevisiae CNCM I-3060 Sel-Plex®) or sodium selenite (SS), or inclusion rate of SY on Se concentration and speciation in blood, milk and cheese. Cows received ad libitum a TMR with 1:1 forage:concentrate ratio on a dry matter (DM) basis. There were four diets (T1-T4) which differed only in either source or dose of Se additive. Estimated total dietary Se for T1 (no supplement), T2 (SS), T3 (SY) and T4 (SY) was 0.16, 0.30, 0.30 and 0.45 mg/kg DM, respectively. Blood and milk samples were taken at 28 day intervals and at each time point there were positive linear effects of SY on Se concentration in blood and milk. At day 112 blood and milk Se values for T1-T4 were 177, 208, 248, 279 ± 6.6 and 24, 38, 57, 72 ± 3.7 ng/g fresh material, respectively and indicate improved uptake and incorporation of Se from SY. While selenocysteine (SeCys) was the main selenised amino acid in blood its concentration was not markedly affected by treatment, but the proportion of total Se as selenomethionine (SeMet) increased with increasing inclusion rate of SY. In milk, there were no marked treatment effects on SeCys content, but Se source had a marked effect on the proportion of total Se as SeMet. At day 112 replacing SS (T2) with SY (T3) increased the SeMet concentration of milk from 36 to 111 ng Se/g and its concentration increased further to 157 ng Se/g as the inclusion rate of SY increased further (T4) to provide 0.45 mg Se/kg TMR. Neither Se source nor inclusion rate effected the keeping quality of milk. At day 112, milk from T1, T2, and T3 was made into a hard cheese and Se source had a marked effect on total Se and the proportion of total Se comprised as either SeMet or SeCys. Replacing SS (T2) with SY (T3) increased total Se, SeMet and SeCys content from 180 to 340 ng Se/g, 57 to 153 ng Se/g and 52 to 92 ng Se/g, respectively. Key words: dairy cow, milk and cheese, selenomethionine, selenocysteine, milk keeping quality
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The objective was to determine the concentration of total selenium (Se) and the proportion of total Se comprised as selenomethionine (SeMet) and selenocysteine (SeCys), as well as meat quality in terms of oxidative stability in post mortem tissues of lambs offered diets with an increasing dose rate of selenized enriched yeast (SY), or sodium selenite (SS). Fifty lambs were offered, for a period of 112 d, a total mixed ration which had either been supplemented with SY (0, 0.11, 0.21 or 0.31 mg/kg DM to give total Se contents of 0.19, 0.3, 0.4 and 0.5 mg Se/kg DM for treatments T1, T2, T3 and T4, respectively) or SS (0.11 mg/kg DM to give 0.3 mg Se/kg DM total Se [T5]). At enrolment and at 28, 56, 84 and 112 d following enrolment, blood samples were taken for Se and Se species determination, as well as glutathione peroxidase (GSH-Px) activity. At the end of the study lambs were euthanased and samples of heart, liver, kidney, and skeletal muscle were retained for Se and Se species determination. Tissue GSH-Px activity and thiobarbituric acid reactive substances (TBARS) were determined in Longissimus Thoracis. The incorporation into the diet of ascending concentrations of Se as SY increased whole blood total Se and the proportion of total Se comprised as SeMet, and erythrocyte GSH-Px activity. Comparable doses of SS supplementation did not result in significant differences between these parameters. With the exception of kidney tissue, all other tissues showed a dose dependant response to increasing concentrations of dietary SY, such that total Se and SeMet increased. Selenium content of Psoas Major was higher in animals fed SY when compared to a similar dose of SS, indicating improvements in Se availability and retention. There were no significant treatment effects on meat quality assessments GHS-Px and TBARS, reflecting the lack of difference in the proportion of total Se that was comprised as SeCys. However, oxidative stability improved marginally with ascending tissue Se content, providing an indication of a linear dose response whereby TBARS improved with ascending SY inclusion.
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The aim was to determine the fate of transgenic and endogenous plant DNA fragments in the blood, tissues, and digesta of broilers. Male broiler chicks (n = 24) were allocated at 1 day old to each of four treatment diets designated T1-T4. T1 and T2 contained the near isogenic nongenetically modified (GM) maize grain, whereas T3 and T4 contained GM maize grain [cry1a(b) gene]; T1 and T3 also contained the near isogenic non-GM soybean meal, whereas T2 and T4 contained GM soybean meal (cp4epsps gene). Four days prior to slaughter at 39-42 days old, 50% of the broilers on T2-T4 had the source(s) of GM ingredients replaced by their non-GM counterparts. Detection of specific DNA sequences in feed, tissue, and digesta samples was completed by polymerase chain reaction analysis. Seven primer pairs were used to amplify fragments (similar to 200 bp) from single copy genes (maize high mobility protein, soya lectin, and transgenes in the GM feeds) and multicopy genes (poultry mitochondrial cytochrome b, maize, and soya rubisco). There was no effect of treatment on the measured growth performance parameters. Except for a single detection of lectin (nontransgenic single copy gene; unsubstantiated) in the extracted DNA from one bursa tissue sample, there was no positive detection of any endogenous or transgenic single copy genes in either blood or tissue DNA samples. However, the multicopy rubisco gene was detected in a proportion of samples from all tissue types (23% of total across all tissues studied) and in low numbers in blood. Feed-derived DNA was found to survive complete degradation up to the large intestine. Transgenic DNA was detected in gizzard digesta but not in intestinal digesta 96 h after the last feeding of treatment diets containing a source of GM maize and/or soybean meal.
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Data from 60 multiparous Holstein cows were used in a 12-wk continuous design feeding trial. Cows were allocated to 1 of 4 experimental treatments (T1 to T4). In T1 and T2, the total mixed ration (TMR) contained either corn silage from the genetically modified (GM) variety Chardon Liberty Link, which is tolerant to the herbicide glufosinate ammonium, or its near isogenic nonGM counterpart, whereas the TMR used in T3 and T4 contained corn silage from the commercially available nonGM varieties Fabius and Antares, respectively. The objectives of the study were to determine if the inserted gene produced a marked effect on chemical composition, nutritive value, feed intake, and milk production, and to determine if transgenic DNA and the protein expressed by the inserted gene could be detected in bovine milk. The nutritive value, fermentation characteristics, mineral content, and amino acid composition of all 4 silages were similar. There were no significant treatment effects on milk yield, milk composition, and yield of milk constituents, and the dry matter (DM) intake of the GM variety was not significantly different from the 2 commercial varieties. However, although the DM intake noted for the nonGM near-isogenic variety was similar to the commercial varieties, it was significantly lower when compared with the GM variety. Polymerase chain reaction analyses of milk samples collected at wk 1, 6, and 12 of the study showed that none of the 90 milk samples tested positive, above a detection limit of 2.5 ng of total genomic DNA/mL of milk, for either tDNA (event T25) or the single-copy endogenous Zea mays gene, alcohol dehydrogenase. Using ELISA assays, the protein expressed by the T25 gene was not detected in milk.