932 resultados para Garrett (Ill.)
Resumo:
Les accidents sont la cause la plus fréquente de décès chez l’enfant, la plupart du temps à cause d’un traumatisme cranio-cérébrale (TCC) sévère ou d’un choc hémorragique. Malgré cela, la prise en charge de ces patients est souvent basée sur la littérature adulte. Le mannitol et le salin hypertonique (3%) sont des traitements standards dans la gestion de l’hypertension intracrânienne, mais il existe très peu d’évidence sur leur utilité en pédiatrie. Nous avons entrepris une revue rétrospective des traumatismes crâniens sévères admis dans les sept dernières années, pour décrire l’utilisation de ces agents hyperosmolaires et leurs effets sur la pression intracrânienne. Nous avons établi que le salin hypertonique est plus fréquemment utilisé que le mannitol, qu’il ne semble pas y avoir de facteurs associés à l’utilisation de l’un ou l’autre, et que l’effet sur la pression intracrânienne est difficile à évaluer en raison de multiples co-interventions. Il faudra mettre en place un protocole de gestion du patient avec TCC sévère avant d’entreprendre des études prospectives. La transfusion sanguine est employée de façon courante dans la prise en charge du patient traumatisé. De nombreuses études soulignent les effets néfastes des transfusions sanguines suggérant des seuils transfusionnels plus restrictifs. Malgré cela, il n’y a pas de données sur les transfusions chez l’enfant atteint de traumatismes graves. Nous avons donc entrepris une analyse post-hoc d’une grosse étude prospective multicentrique sur les pratiques transfusionnelles des enfants traumatisés. Nous avons conclu que les enfants traumatisés sont transfusés de manière importante avant et après l’admission aux soins intensifs. Un jeune âge, un PELOD élevé et le recours à la ventilation mécanique sont des facteurs associés à recevoir une transfusion sanguine aux soins intensifs. Le facteur le plus prédicteur, demeure le fait de recevoir une transfusion avant l’admission aux soins, élément qui suggère probablement un saignement continu. Il demeure qu’une étude prospective spécifique des patients traumatisés doit être effectuée pour évaluer si une prise en charge basée sur un seuil transfusionnel restrictif serait sécuritaire dans cette population.
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Les accidents sont la cause la plus fréquente de décès chez l’enfant, la plupart du temps à cause d’un traumatisme cranio-cérébrale (TCC) sévère ou d’un choc hémorragique. Malgré cela, la prise en charge de ces patients est souvent basée sur la littérature adulte. Le mannitol et le salin hypertonique (3%) sont des traitements standards dans la gestion de l’hypertension intracrânienne, mais il existe très peu d’évidence sur leur utilité en pédiatrie. Nous avons entrepris une revue rétrospective des traumatismes crâniens sévères admis dans les sept dernières années, pour décrire l’utilisation de ces agents hyperosmolaires et leurs effets sur la pression intracrânienne. Nous avons établi que le salin hypertonique est plus fréquemment utilisé que le mannitol, qu’il ne semble pas y avoir de facteurs associés à l’utilisation de l’un ou l’autre, et que l’effet sur la pression intracrânienne est difficile à évaluer en raison de multiples co-interventions. Il faudra mettre en place un protocole de gestion du patient avec TCC sévère avant d’entreprendre des études prospectives. La transfusion sanguine est employée de façon courante dans la prise en charge du patient traumatisé. De nombreuses études soulignent les effets néfastes des transfusions sanguines suggérant des seuils transfusionnels plus restrictifs. Malgré cela, il n’y a pas de données sur les transfusions chez l’enfant atteint de traumatismes graves. Nous avons donc entrepris une analyse post-hoc d’une grosse étude prospective multicentrique sur les pratiques transfusionnelles des enfants traumatisés. Nous avons conclu que les enfants traumatisés sont transfusés de manière importante avant et après l’admission aux soins intensifs. Un jeune âge, un PELOD élevé et le recours à la ventilation mécanique sont des facteurs associés à recevoir une transfusion sanguine aux soins intensifs. Le facteur le plus prédicteur, demeure le fait de recevoir une transfusion avant l’admission aux soins, élément qui suggère probablement un saignement continu. Il demeure qu’une étude prospective spécifique des patients traumatisés doit être effectuée pour évaluer si une prise en charge basée sur un seuil transfusionnel restrictif serait sécuritaire dans cette population.
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Objective: Given the inaccessibility of indirect calorimetry, intensive care units generally use predictive equations or recommendations that are established by international societies to determine energy expenditure. The aim of the present study was to compare the energy expenditure of critically ill patients, as determined using indirect calorimetry, to the values obtained using the Harris-Benedict equation. Methods: A retrospective observational study was conducted at the Intensive Care Unit 1 of the Centro Hospitalar do Porto. The energy requirements of hospitalized critically ill patients as determined using indirect calorimetry were assessed between January 2003 and April 2012. The accuracy (± 10% difference between the measured and estimated values), the mean differences and the limits of agreement were determined for the studied equations. Results: Eighty-five patients were assessed using 288 indirect calorimetry measurements. The following energy requirement values were obtained for the different methods: 1,753.98±391.13 kcal/ day (24.48 ± 5.95 kcal/kg/day) for indirect calorimetry and 1,504.11 ± 266.99 kcal/day (20.72±2.43 kcal/kg/day) for the HarrisBenedict equation. The equation had a precision of 31.76% with a mean difference of -259.86 kcal/day and limits of agreement between -858.84 and 339.12 kcal/day. Sex (p=0.023), temperature (p=0.009) and body mass index (p< 0.001) were found to significantly affect energy expenditure Conclusion: The Harris-Benedict equation is inaccurate and tends to underestimate energy expenditure. In addition, the Harris-Benedict equation is associated with significant differences between the predicted and true energy expenditure at an individual level
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The management of critically ill burn patients is challenging. These patients have to be managed in specialized centers, where the expertise of physicians and nursing personnel guarantees the best treatment. Mortality of burn patients has improved over the past decades due to a better understanding of burn shock pathophysiology, optimal surgical management, infection control and nutritional support. Indeed, a more aggressive resuscitation, early excision and grafting, the judicious use of topical antibiotics, and the provision of an adequate calorie and protein intake are key to attain best survival results. General advances in critical care have also to be implemented, including protective ventilation, glycemic control, selective decontamination of the digestive tract, and implementation of sedation protocols.
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The authors present a proposal to develop intelligent assisted living environments for home based healthcare. These environments unite the chronical patient clinical history sematic representation with the ability of monitoring the living conditions and events recurring to a fully managed Semantic Web of Things (SWoT). Several levels of acquired knowledge and the case based reasoning that is possible by knowledge representation of the health-disease history and acquisition of the scientific evidence will deliver, through various voice based natural interfaces, the adequate support systems for disease auto management but prominently by activating the less differentiated caregiver for any specific need. With these capabilities at hand, home based healthcare providing becomes a viable possibility reducing the institutionalization needs. The resulting integrated healthcare framework will provide significant savings while improving the generality of health and satisfaction indicators.
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Abstract Maintaining the health of a construction project can help to achieve the desired outcomes of the project. An analogy is drawn to the medical process of a human health check where it is possible to broadly diagnose health in terms of a number of key areas such as blood pressure or cholesterol level. Similarly it appears possible to diagnose the current health of a construction project in terms of a number of Critical Success Factors (CSFs) and key performance indicators (KPIs). The medical analogy continues into the detailed investigation phase where a number of contributing factors are evaluated to identify possible causes of ill health and through the identification of potential remedies to return the project to the desired level of health. This paper presents the development of a model that diagnoses the immediate health of a construction project, investigates the factors which appear to be causing the ill health and proposes a remedy to return the project to good health. The proposed model uses the well-established continuous improvement management model (Deming, 1986) to adapt the process of human physical health checking to construction project health.