997 resultados para Flatters, Paul François Xavier, 1832-1881.


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UANL

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Facile de discourir sur la paix ; complexe, par contre, d’évaluer si paroles et gestes y contribuent vraiment. De manière critique, ce mémoire cherche à contextualiser l’émergence de la nation israélienne de 1881 à 1948, de même qu’un certain nombre de forces pacifistes juives, religieuses comme séculières, sionistes comme anti-sionistes, que cette société a engendrées ou provoquées de la fin du XIXe siècle à aujourd’hui. Dans un premier temps, quatre stratégies utilisées pour construire l’État juif sont explorées : la voie pratique (l’établissement de mochavot, kibboutzim et mochavim), la voie diplomatique (le lobbying de Herzl et Weizmann), la voie sociopolitique (la formation de syndicats, de l’Agence juive et du Va’ad Leoumi) et enfin la voie militaire (la mise sur pied d’organisations paramilitaires telles la Hagana, l’Irgoun, le Lehi et le Palmah). Cette exploration permet de mieux camper le problème de la légalité et de la légitimité des nations palestinienne et israélienne. Dans un deuxième temps, une approche conceptuelle et une approche empirique sont combinées pour mieux comprendre ce qu’est un camp de la paix. L’exploration conceptuelle remet en question les critères qu’utilisent certains chercheurs afin d’identifier si une organisation contribue, ou non, à la construction de la paix. L’exploration empirique trace les contours de deux camps de la paix israéliens : les militants de la gauche séculière achkenazi (un pacifisme qui a émergé dans les années 1970) et les religieux haredim (un pacifisme opposé à l’idéologie sioniste dès ses débuts). Ce survol permet de saisir que tout système de croyances peut provoquer la guerre autant que la paix. La conclusion discute des défis du dialogue intercivilisationnel, des défis tant intranationaux (l’harmonie sociale israélienne entre les juifs achkenazim, mizrahim, russes, éthiopiens, etc.) qu’internationaux (la paix entre les Palestiniens et les Israéliens).

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Polarisé par l’événement du jubilé de l’an 2000, Jean-Paul II, tout au long de son pontificat, achemine l’Église catholique dans un long pèlerinage vers le IIIe millénaire de l’humanité. À l’aube du XXIe siècle, avec le contenu théologique du concile Vatican II pour boussole fiable, le pape polonais arbore une vision pastorale originale marquée par l’expression « nouvelle évangélisation ». Reprise de l’épiscopat d’Amérique latine, cette expression devient ainsi son emblème et son fer de lance durant les quelque 27 années de son pontificat. Largement récupérée par maints milieux ecclésiaux, l’expression méritait qu’on en produise une étude systématique à la lumière de la théologie pastorale de celui qui en a été le divulgateur privilégié. Pour ce faire, nous avons choisi comme texte fondateur à notre étude sa lettre apostolique Tertio Millennio Adveniente publiée en 1994, en raison de la vision pastorale qui s’en dégage à l’aube de l’an 2000. Ce texte, qui couvre la période du concile Vatican II jusqu’à l’entrée de l’Église catholique dans le IIIe millénaire, définit le cadre temporel de notre recherche. Par ailleurs, il nous permet de retenir trois référents théologiques pour conduire notre étude. Nous les analysons et nous en conduisons une synthèse théologique à travers trois regards synoptiques qui acheminent progressivement la thèse vers sa conclusion. Le premier référent théologique retenu est l’exhortation apostolique Evangelii Nuntiandi du pape Paul VI ; le deuxième référent est l’ouvrage de Karol Wojtyla Aux sources du renouveau ; le troisième référent est l’exhortation postsynodale Ecclesia in America. Avec une démarche herméneutique justifiée, et par la synthèse de ces référents théologiques, trois aboutissants voient le jour. Le premier regarde l’application pastorale du concile Vatican II : dans un regard pastoral justifié par une anthropologie définie, le pasteur articule les constitutions Lumen Gentium et Gaudium et Spes pour proposer une praxis pastorale. Le second aboutissant parle alors de la notion de la créativité de la foi. Cette créativité de la foi se décline, elle, dans les médiations culturelles – troisième aboutissant – qui s’articulent elles-mêmes autour des concepts d’attitudes et de dialogue wojtylien. La critique proposée en conclusion de thèse porte directement sur l’anthropologie proposée par Jean-Paul II sous-jacente à chacun de ces trois aboutissants.

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La version intégrale de ce mémoire est disponible uniquement pour consultation individuelle à la Bibliothèque de musique de l’Université de Montréal (www.bib.umontreal.ca/MU).

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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

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Ce mémoire a pour but de montrer que le premier tournant herméneutique de Paul Ricœur en 1960 gravite essentiellement autour de la problématique de la volonté mauvaise. Nous soutenons autrement dit que Ricœur a initialement donné une tournure herméneutique à sa philosophie pour penser le serf-arbitre, c’est-à-dire pour penser la liberté captive d’elle-même. Afin de rendre compte adéquatement de ce tournant, notre attention sera principalement dirigée vers le deuxième tome de la Philosophie de la volonté de Ricœur, Finitude et culpabilité. Notre question se pose ainsi : comment et pourquoi, dans une problématique du mal, Ricœur entame-t-il son tournant herméneutique? Pour y répondre, nous expliciterons le parcours de Ricœur allant de L’homme faillible à La symbolique du mal. Nous verrons dans un premier temps que si le philosophe arrive à thématiser le concept de faillibilité à partir d’une ontologie de la disproportion, si la réflexion a accès à la possibilité du mal, il n’en ira pas de même pour le noème inintelligible que constitue le mal moral. Afin de penser la faute, nous verrons que Ricœur se tournera vers l’herméneutique en se mettant à l’écoute du langage de l’aveu. Ainsi, dans la deuxième partie de notre mémoire, nous expliciterons les trois moments de compréhension (phénoménologique, herméneutique et réflexif) propre à l’herméneutique philosophique de Ricœur de 1960.

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La contribution intellectuelle d’Érasme de Rotterdam (ca 1466-1536), en particulier dans les domaines exégétique, philologique et littéraire, a été décisive pour l’histoire des idées et l’évangélisme humaniste. Ses "Paraphrases sur le Nouveau Testament", visant principalement à clarifier le propos des saintes Écritures, représentent l’aboutissement de tout son travail exégétique. Davantage qu’un commentaire savant, elles ont contribué à diffuser la piété et le savoir biblique chez les laïcs, ce qui explique le franc succès qu’elles ont remporté au XVIe siècle. Toutefois, la question de leur réception et de leur diffusion en langue française reste encore peu explorée. La "Paraphrase sur l’épître de Paul aux Romains" a eu une importance toute particulière dans le contexte de la Réforme religieuse. Elle a été traduite du latin au français dans un manuscrit rédigé en 1526 par Hubert Kerssan, chanoine de Nivelles, dans le Brabant wallon. Destinée sans doute à un usage privé ou, du moins, à une diffusion plus restreinte, cette traduction est restée dans l’ombre jusqu’à aujourd’hui et son existence même est encore inconnue de la critique, d’où notre projet de la rendre accessible grâce à l’établissement d’une édition critique. Ce travail éditorial a été l’occasion d’étudier la traduction de Kerssan en regard du texte original, ce qui nous a permis de déterminer comment elle s’en distingue, de même que de réfléchir au choix du mode de diffusion manuscrit dans le contexte humaniste du XVIe siècle. Après près de cinq siècles, le manuscrit de Nivelles peut enfin acquérir une certaine visibilité. Il saura contribuer à l’étude de la réception et de la diffusion de la pensée érasmienne dans les milieux francophones en Europe ainsi qu’aux problèmes théologiques et culturels posés par l’œuvre d’Érasme.

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Paul de Kock é considerado um escritor popular e de segunda monta do século XIX francês. Partindo desse lugar comum, a presente dissertação pretendeu investigar como o próprio Paul de Kock e seus biógrafos o definiam enquanto escritor e, por outro lado, averiguar se os aspectos editoriais e materiais dos exemplares de suas obras presentes no acervo do Grêmio Literário Português do Pará podem dizer algo a respeito do suposto público leitor ao qual suas obras se destinavam. Assim, no primeiro capítulo foram analisadas as biografias e autobiografia do escritor, buscando verificar qual teria sido a representação do escritor Paul de Kock elaborada em sua própria época. No segundo capítulo foram analisadas as características editoriais dos exemplares das obras do romancista francês presentes no Grêmio Literário Português do Pará, de modo a realizar um mapeamento dos intermediários da literatura - editores, tipógrafos e tradutores - envolvidos no processo de publicação dos romances do autor. No último capítulo procuramos analisar as particularidades do suporte material de parcela dessas edições, com o intuito de compreender até que ponto os formatos nos quais as obras do escritor circularam podem dar pistas sobre a representação dos editores acerca de seu provável público leitor, bem como ser indicativos do estatuto do escritor no interior do campo literário.

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Applying ecological studies to the adaptations of prehistoric human hunter-gatherer groups has greatly increased our abilities to interpret effects of an ever-changing environment and our access to critical resources on these populations. The Pleistocene/Holocene transition, its climate and human genesis in the new world, draws intensive interest from a number of scientific communities. In Twilight of the Mammoths, Paul Martin adds his views, which are of no surprise, on the megafaunal extirpations during a cultural period referred to in North America as Clovis.

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La ricerca indaga tensioni e trasformazioni che investono le principali correnti di pensiero politico in Francia nei primi anni della monarchia di Luglio, e vi osserva l’emergere del concetto di classe. Assumendo la dimensione dell’avvenimento come punto di intersezione fra storia e teoria, l’elaborato si concentra sul periodo novembre 1831-giugno 1832 per analizzare il modo in cui, nell’ordine del discorso politico repubblicano, liberale e socialista, le vicende di questi mesi vengono interpretate cercando di dar nome alle figure sociali che esse fanno irrompere nel dibattito pubblico. Il titolo Fra il nome e la storia fa dunque riferimento allo sforzo di indagare il campo di tensione che si apre fra concreto divenire storico e grandi operazioni di nominazione che segnano l’affiorare di strutture concettuali della lunga durata. L’emergere della nozione di classe operaia e delle categorie che intorno a essa si organizzano viene interpretata come una «formazione discorsiva» che pone in questione significato e confini del politico. La frattura del 1848 è assunta come orizzonte e margine esterno della ricerca nella misura in cui si ipotizza che essa segni una prima affermazione del regime di verità di tale formazione discorsiva: lo statuto politico del lavoro. L’elaborato consta di quattro capitoli. I primi tre indagano la riflessione sul politico e la funzione che in essa svolge il concetto di classe a partire dall’interpretazione di alcuni avvenimenti del tornante 1831-32 proposta nel discorso repubblicano del quotidiano «Le National» e della Société des Amis du Peuple, in quello del liberalismo dottrinario di François Guizot e in quello socialista nascente, prima del movimento sansimoniano, e poi muovendo fino al 1848 francese con l’analisi propostane da Karl Marx. Il quarto capitolo indaga infine la dimensione del «sociale», la sua elaborazione e articolazione attraverso il lavoro di studio e oggettivazione delle figure del mondo del lavoro.

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A lo largo del siglo XX, y aún a comienzos del siglo XXI, la mayor parte de los estudios sobre la obra de Paul Ricoeur han enfatizado sus escritos fenomenológico-existenciales y su posterior filosofía hermenéutica. Como corolario, su legado filosófico parece mayormente limitarse a una pretensión fenomenológico-hermenéutica, ocasionalmente mediada por el estructuralismo, enraizada en el campo de una antropología filosófica. No se trata de impugnar aquí que la cuestión del "sujeto", o mejor, del "sí mismo", sea individual o colectivo -tal como aparece en el lenguaje técnico de Soi-même comme un autre (1990)-, se erige como un tema central en su vasta obra. Tampoco es cuestión de negar que si bien sus escritos constituyen, como él mismo advierte, "la estructura de recepción para la filosofía política [...] Esta filosofía política queda por hacer" (ver Ricoeur, P., "Le philosophe et le politique devant la question de la liberté", 1969). Lo que sí se intentará destacar es que, como enseña nuestro pensador en "Le paradoxe politique" (1957), "[...] la humanidad viene al hombre por medio del cuerpo político [...] que el individuo no se hace humano más que en esa totalidad que es la 'universalidad de los ciudadanos'". Sirva la cita al solo efecto de mostrar que si bien no elaboró una filosofía política metódica, que su investigación se detuvo en el umbral de lo político en el sentido preciso de una teoría del Estado y que existe escasísima bibliografía secundaria sobre el tema, su interés por la filosofía política no estuvo ausente en su obra. Como advierte y en gran parte muestra su principal biógrafo, François Dosse, "[p]or el contrario, sus trabajos siempre se nutrieron de la filosofía política". Bajo esta premisa, se rastrearán sus reflexiones políticas, primero ocasionales y dispersas, luego un poco más sistemáticas, desde el que el propio Ricoeur considera su texto seminal en la materia, el ya citado artículo "Le paradoxe politique", hasta su última obra publicada en vida, Parcours de la reconnaissance (2004). Aclarado el punto de partida, la hipótesis de este trabajo -enunciada de manera sumaria- es que si bien el hilo conductor, y a su vez el telos, de su pensamiento político es el "vivir-bien" -razón por la cual lo político y lo ético de algún modo se co-implican sin fusionarse-, mientras sus trabajos tempranos apuntan a una síntesis entre libertad e institución, en el marco de una filosofía política autonomizada de lo económico; en los textos tardíos la síntesis es entre justicia e institución, en el dominio de una filosofía política que se resiste a ser reducida a lo jurídico. Enunciada la hipótesis y dentro de una reconstrucción que podría calificarse de escalonada, se expondrán y se hará el esfuerzo cuasi inédito de articular, siguiendo un orden mayormente cronológico y en la medida de lo posible también contextual, los hitos principales del legado político de Ricoeur. Se declinará explícitamente todo intento de elaborar un sistema político orgánico porque si bien en sus escritos aparecen una y otra vez las nociones básicas de la filosofía política tradicional -Estado, poder, institución, contrato, violencia, etc.-, como dice con acierto Dauenhauer en "Ricoeur and the Tasks of Citenzenship" (2002): "Ricoeur no ha desarrollado una filosofía política comprehensiva, sistemática, que se dirija a los principales asuntos políticos [...] Aunque su pensamiento político no está desprovisto de principios afianzados que conforman una unidad genuina"

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A lo largo del siglo XX, y aún a comienzos del siglo XXI, la mayor parte de los estudios sobre la obra de Paul Ricoeur han enfatizado sus escritos fenomenológico-existenciales y su posterior filosofía hermenéutica. Como corolario, su legado filosófico parece mayormente limitarse a una pretensión fenomenológico-hermenéutica, ocasionalmente mediada por el estructuralismo, enraizada en el campo de una antropología filosófica. No se trata de impugnar aquí que la cuestión del "sujeto", o mejor, del "sí mismo", sea individual o colectivo -tal como aparece en el lenguaje técnico de Soi-même comme un autre (1990)-, se erige como un tema central en su vasta obra. Tampoco es cuestión de negar que si bien sus escritos constituyen, como él mismo advierte, "la estructura de recepción para la filosofía política [...] Esta filosofía política queda por hacer" (ver Ricoeur, P., "Le philosophe et le politique devant la question de la liberté", 1969). Lo que sí se intentará destacar es que, como enseña nuestro pensador en "Le paradoxe politique" (1957), "[...] la humanidad viene al hombre por medio del cuerpo político [...] que el individuo no se hace humano más que en esa totalidad que es la 'universalidad de los ciudadanos'". Sirva la cita al solo efecto de mostrar que si bien no elaboró una filosofía política metódica, que su investigación se detuvo en el umbral de lo político en el sentido preciso de una teoría del Estado y que existe escasísima bibliografía secundaria sobre el tema, su interés por la filosofía política no estuvo ausente en su obra. Como advierte y en gran parte muestra su principal biógrafo, François Dosse, "[p]or el contrario, sus trabajos siempre se nutrieron de la filosofía política". Bajo esta premisa, se rastrearán sus reflexiones políticas, primero ocasionales y dispersas, luego un poco más sistemáticas, desde el que el propio Ricoeur considera su texto seminal en la materia, el ya citado artículo "Le paradoxe politique", hasta su última obra publicada en vida, Parcours de la reconnaissance (2004). Aclarado el punto de partida, la hipótesis de este trabajo -enunciada de manera sumaria- es que si bien el hilo conductor, y a su vez el telos, de su pensamiento político es el "vivir-bien" -razón por la cual lo político y lo ético de algún modo se co-implican sin fusionarse-, mientras sus trabajos tempranos apuntan a una síntesis entre libertad e institución, en el marco de una filosofía política autonomizada de lo económico; en los textos tardíos la síntesis es entre justicia e institución, en el dominio de una filosofía política que se resiste a ser reducida a lo jurídico. Enunciada la hipótesis y dentro de una reconstrucción que podría calificarse de escalonada, se expondrán y se hará el esfuerzo cuasi inédito de articular, siguiendo un orden mayormente cronológico y en la medida de lo posible también contextual, los hitos principales del legado político de Ricoeur. Se declinará explícitamente todo intento de elaborar un sistema político orgánico porque si bien en sus escritos aparecen una y otra vez las nociones básicas de la filosofía política tradicional -Estado, poder, institución, contrato, violencia, etc.-, como dice con acierto Dauenhauer en "Ricoeur and the Tasks of Citenzenship" (2002): "Ricoeur no ha desarrollado una filosofía política comprehensiva, sistemática, que se dirija a los principales asuntos políticos [...] Aunque su pensamiento político no está desprovisto de principios afianzados que conforman una unidad genuina"

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Nosso objetivo nesta pesquisa é investigar os estudos em diálogo com o pensamento de Paul Tillich no Brasil nos últimos anos, buscando mapear a sua tendência, a partir da religião. Para isso, foi necessário verificar a produção científica feita no âmbito da Associação Paul Tillich do Brasil, através da revista Correlatio, tendo em mente o referencial teórico de religião e fronteira. Utilizamos estes temas, religião e fronteira, cujos significados foram tomados da própria teoria tillichiana, como principais categorias de análise do nosso trabalho. Apontamos a contribuição que pesquisadores brasileiros interessados nas ideias de Tillich têm apresentado para os estudos de religião. Além disso, observamos, sobretudo, que o pensamento tillichiano está em uma situação fronteiriça no Brasil entre aquilo que ele disse e a maneira segundo a qual ele é interpretado no país, onde a religião no sentido estrito preocupa os estudiosos brasileiros mais do que a religião no sentido amplo. A dissertação está estruturada em três momentos: mostrar como a fronteira pode ser visualizada como espaço hermenêutico da religião, apresentar algumas aberturas com que Tillich lida com o tema religião, e analisar os estudos em diálogo com Tillich no Brasil, através das categorias religião e fronteira.(AU)