944 resultados para Poulation biology
Resumo:
One of the most common bee genera in the Niagara Region, the genus Ceratina (Hymenoptera: Apidae) is composed of four species, C. dupla, C. calcarata, the very rare C. strenua, and a previously unknown species provisionally named C. near dupla. The primary goal of this thesis was to investigate how these closely related species coexist with one another in the Niagara ~ee community. The first necessary step was to describe and compare the nesting biologies and life histories of the three most common species, C. dupla, C. calcarata and the new C. near dupla, which was conducted in 2008 via nest collections and pan trapping. Ceratina dupla and C. calcarata were common, each comprising 49% of the population, while C. near dupla was rare, comprising only 2% of the population. Ceratina dupla and C. near dupla both nested more commonly in teasel (Dipsacus sp.) in the sun, occasionally in raspberry (Rubus sp.) in the shade, and never in shady sumac (Rhus sp.), while C. calcarata nested most commonly in raspberry and sumac (shaded) and occasionally in teasel (sunny). Ceratina near dupla differed from both C. dupla and C. calcarata in that it appeared to be partially bivoltine, with some females founding nests very early and then again very late in the season. To examine the interactions and possible competition for nests that may be taking place between C. dupla and C. calcarata, a nest choice experiment was conducted in 2009. This experiment allowed both species to choose among twigs from all three substrates in the sun and in the shade. I then compared the results from 2008 (where bees chose from what was available), to where they nested when given all options (2009 experiment). Both C. dupla and C. calcarata had the same preferences for microhabitat and nest substrate in 2009, that being raspberry and sumac twigs in the sun. As that microhabitat and nest substrate combination is extremely rare in nature, both species must make a choice. In nature Ceratina dupla nests more often in the preferred microhabitat (sun), while C. calcarata nests in the preferred substrate (raspberry). Nesting in the shade also leads to smaller clutch sizes, higher parasitism and lower numbers of live brood in C. calcarata, suggesting that C. dupla may be outcompeting C. calcarata for the sunny nesting sites. The development and host preferences of Ceratina parasitoids were also examined. Ceratina species in Niagara were parasitized by no less than eight species of arthropod. Six of these were wasps from the superfamily Chalcidoidea (Hymenoptera), one was a wasp from the family Ichneumonidae (Hymenoptera) and one was a physogastric mite from the family Pyemotidae (Acari). Parasites shared a wide range of developmental strategies, from ichneumonid larvae that needed to consume multiple Ceratina immatures to complete development, to the species from the Eulophidae (Baryscapus) and Encyrtidae (Coelopencyrtus), in which multiple individuals completed development inside a single Ceratina host. Biological data on parasitoids is scarce in the scientific literature, and this Chapter documents these interactions for future research.
Resumo:
Département de linguistique et de traduction
Resumo:
Le système de différenciation entre le « soi » et le « non-soi » des vertébrés permet la détection et le rejet de pathogènes et de cellules allogéniques. Il requiert la surveillance de petits peptides présentés à la surface cellulaire par les molécules du complexe majeur d’histocompatibilité de classe I (CMH I). Les molécules du CMH I sont des hétérodimères composés par une chaîne lourde encodée par des gènes du CMH et une chaîne légère encodée par le gène β2-microglobuline. L’ensemble des peptides est appelé l’immunopeptidome du CMH I. Nous avons utilisé des approches en biologie de systèmes pour définir la composition et l’origine cellulaire de l’immunopeptidome du CMH I présenté par des cellules B lymphoblastoïdes dérivés de deux pairs de fratries avec un CMH I identique. Nous avons découvert que l’immunopeptidome du CMH I est spécifique à l’individu et au type cellulaire, qu’il dérive préférentiellement de transcrits abondants, est enrichi en transcrits possédant d’éléments de reconnaissance par les petits ARNs, mais qu’il ne montre aucun biais ni vers les régions génétiques invariables ni vers les régions polymorphiques. Nous avons également développé une nouvelle méthode qui combine la spectrométrie de masse, le séquençage de nouvelle génération et la bioinformatique pour l’identification à grand échelle de peptides du CMH I, dont ceux résultants de polymorphismes nucléotidiques simples non-synonymes (PNS-ns), appelés antigènes mineurs d’histocompatibilité (AMHs), qui sont les cibles de réponses allo-immunitaires. La comparaison de l’origine génomique de l’immunopeptidome de soeurs avec un CMH I identique a révélé que 0,5% des PNS-ns étaient représentés dans l’immunopeptidome et que 0,3% des peptides du CMH I seraient immunogéniques envers une des deux soeurs. En résumé, nous avons découvert des nouveaux facteurs qui modèlent l’immunopeptidome du CMH I et nous présentons une nouvelle stratégie pour l’indentification de ces peptides, laquelle pourrait accélérer énormément le développement d’immunothérapies ciblant les AMHs.
Resumo:
Dix-huit maladies humaines graves ont jusqu'ici été associées avec des expansions de trinucléotides répétés (TNR) codant soit pour des polyalanines (codées par des codons GCN répétés) soit pour des polyglutamines (codées par des codons CAG répétés) dans des protéines spécifiques. Parmi eux, la dystrophie musculaire oculopharyngée (DMOP), l’Ataxie spinocérébelleuse de type 3 (SCA3) et la maladie de Huntington (MH) sont des troubles à transmission autosomale dominante et à apparition tardive, caractérisés par la présence d'inclusions intranucléaires (IIN). Nous avons déjà identifié la mutation responsable de la DMOP comme étant une petite expansion (2 à 7 répétitions supplémentaires) du codon GCG répété du gène PABPN1. En outre, nous-mêmes ainsi que d’autres chercheurs avons identifié la présence d’événements de décalage du cadre de lecture ribosomique de -1 au niveau des codons répétés CAG des gènes ATXN3 (SCA3) et HTT (MH), entraînant ainsi la traduction de codons répétés hybrides CAG/GCA et la production d'un peptide contenant des polyalanines. Or, les données observées dans la DMOP suggèrent que la toxicité induite par les polyalanines est très sensible à leur quantité et leur longueur. Pour valider notre hypothèse de décalage du cadre de lecture dans le gène ATXN3 dans des modèles animaux, nous avons essayé de reproduire nos constatations chez la drosophile et dans des neurones de mammifères. Nos résultats montrent que l'expression transgénique de codons répétés CAG élargis dans l’ADNc de ATXN3 conduit aux événements de décalage du cadre de lecture -1, et que ces événements sont néfastes. À l'inverse, l'expression transgénique de codons répétés CAA (codant pour les polyglutamines) élargis dans l’ADNc de ATXN3 ne conduit pas aux événements de décalage du cadre de lecture -1, et n’est pas toxique. Par ailleurs, l’ARNm des codons répétés CAG élargis dans ATXN3 ne contribue pas à la toxicité observée dans nos modèles. Ces observations indiquent que l’expansion de polyglutamines dans nos modèles drosophile et de neurones de mammifères pour SCA3 ne suffit pas au développement d'un phénotype. Par conséquent, nous proposons que le décalage du cadre de lecture ribosomique -1 contribue à la toxicité associée aux répétitions CAG dans le gène ATXN3. Pour étudier le décalage du cadre de lecture -1 dans les maladies à expansion de trinucléotides CAG en général, nous avons voulu créer un anticorps capable de détecter le produit présentant ce décalage. Nous rapportons ici la caractérisation d’un anticorps polyclonal qui reconnaît sélectivement les expansions pathologiques de polyalanines dans la protéine PABPN1 impliquée dans la DMOP. En outre, notre anticorps détecte également la présence de protéines contenant des alanines dans les inclusions intranucléaires (IIN) des échantillons de patients SCA3 et MD.
Resumo:
School of Marine Sciences, Cochin University of Science and Technology
Resumo:
Division of Marine Biology, Microbiology and Biochemistry, School of Marine Sciences, Cochin University of Science and Technology
Resumo:
The present investigations have considerably enhanced the existing knowledge on the biology and distribution/availability pattern of D.incarnatus in the Malippuram region. The species occurs in good concentration during October - March/April, and disappears from the area during late premonsoon and monsoon months. Recolonising the area in September, it grows fast in the subsequent months. The life span of the species is estimated to be about an year. Studies on the reproductive biology of the species have revealed that there are two spawning peaks, the major peak in February - March and minor peak, in December. The salinity regime of the area influences the reproductive activity. These observations form the original contribution in the thesis. The information on variation in water content, protein,glycogen and lipid levels in relation to reproductive cycle has helped to a better understanding of the gametogenic activity and spawning of the species. Similarly, the findings on salinity tolerance and filtration rate have shown that small sized clams exhibit greater tolerance range than larger clams, and grow at a faster rate with active metabolism. It is hoped that these information would considerably add to the present knowledge of the basic facts which are relevant to the improvement and management of the clam fishery of this region.