Structural determination and gynecological tumor diagnosis using antibody chip captured proteins

Purpose: To identify markers for gynecological tumor diagnosis using antibody chip capture. Methods: Marker proteins, including cancer antigen 153 (CA153), CA125, and carcinoembryonic antigen (CEA), were analyzed using antibody chip capture of serum samples. Fifteen agglutinin types that specifically recognized five common glycans (fucose, sialic acid, mannose, N - acetylgalactosamine, and N-acetylglucosamine) were used to detect marker protein glycan levels. The levels of CA153, CA125, and CEA from 49 healthy control samples, 31 breast cancer samples, 24 cervical cancer samples, and 19 ovarian cancer samples were used to measure the glycan levels of these marker proteins. Results: In breast cancer samples, CA153 and CA125 were down-regulated (p < 0.01), while differences in ovarian cancer samples were not statistically significant (p > 0.01). The total accuracy was 85.1 %, with 96.8 % accuracy for breast cancer, 75 % in cervical cancer, and 78.9 % in ovarian cancer. Cross-validation analyses showed that breast cancer had 93.5 % accuracy, cervical cancer was 66.7 %, and ovarian cancer was 68.4 %, leading to 78.4 % total accuracy (58/74). Conclusions: The results indicate that better clinical diagnosis of gynecological tumors can be obtained by monitoring changes in glycan levels of serum proteins and types of proteoglycan changes.

The human organic cation transporter OCT1 mediates high affinity uptake of the anticancer drug daunorubicin

Les anthracyclines tels que la doxorubicin et la daunorubicin sont une famille de médicaments anticancéreux hydrophiles qui doivent être transportés dans les cellules afin d’exercer leur action par intercalation à l’ADN dans le noyau cellulaire. Ceci mène à la perturbation du métabolisme de l’ADN et entraine la mort cellulaire. Les anthracyclines sont utilisés pour le traitement d’une variété de cancers incluant la leucémie, les lymphomes, le cancer du sein, le cancer des poumons et le cancer des ovaires. Étant donné que le transport actif des anthracyclines dans les cellules a partiellement été démontré, le transporteur spécifique impliqué dans ce processus n’est pas encore connu. En utilisant un modèle de cancer des ovaires, la lignée cellulaire TOV2223G, nous avons démontré que des substrats spécifiques au transporteur de cations organiques 1 (OCT1), notamment la ergothionéine, la thiamine et la phenformin, ont partiellement inhibé l’absorption de la daunorubicin en différence de la carnitine qui est un substrat de haute affinité des transporteurs CT2 et OCTN2. Ces résultats suggèrent que les transporteurs organiques spécifiques au transport de la carnitine ne sont pas impliqués dans le transport des anthracyclines. Ainsi, nos résultats ont démontré que l’absorption de la daunorubicin est orchestrée par le transporteur OCT1 dans les cellules TOV2223G (Km ~ 5 μM) et des concentrations micromolaires de choline ont complètement abolies l’absorption de la drogue. De plus, un ARN sh dirigé contre OCT1 a réprimé son expression protéique, ce qui a été confirmé par la technique d’immuno-buvardage en utilisant un anti-OCT1 anticorps. Les cellules déficientes en OCT1 n’ont pas été capables d’absorber la daunorubicin et ont été plus résistantes à l’action de la drogue par rapport aux cellules contrôle. La transfection des cellules HEK293T avec un plasmide construit de façon à faire exprimer OCT1 comme protéine de fusion avec la protéine fluorescente EYFP a montré que celle-ci est localisée dans la membrane plasmique. Les cellules transfectées ont été capables d’absorber cinq fois plus de daunorubicin comparé aux cellules contrôles. Cette étude est, selon nous, la première à démontrer que OCT1 est un transporteur de haute affinité des anthracyclines. Ainsi, nous avons émis l’hypothèse que des défauts de OCT1 peuvent contribuer à l’efficacité de la réponse des cellules cancéreuses à la chimiothérapie avec les anthracyclines.

The human organic cation transporter OCT1 mediates high affinity uptake of the anticancer drug daunorubicin

Les anthracyclines tels que la doxorubicin et la daunorubicin sont une famille de médicaments anticancéreux hydrophiles qui doivent être transportés dans les cellules afin d’exercer leur action par intercalation à l’ADN dans le noyau cellulaire. Ceci mène à la perturbation du métabolisme de l’ADN et entraine la mort cellulaire. Les anthracyclines sont utilisés pour le traitement d’une variété de cancers incluant la leucémie, les lymphomes, le cancer du sein, le cancer des poumons et le cancer des ovaires. Étant donné que le transport actif des anthracyclines dans les cellules a partiellement été démontré, le transporteur spécifique impliqué dans ce processus n’est pas encore connu. En utilisant un modèle de cancer des ovaires, la lignée cellulaire TOV2223G, nous avons démontré que des substrats spécifiques au transporteur de cations organiques 1 (OCT1), notamment la ergothionéine, la thiamine et la phenformin, ont partiellement inhibé l’absorption de la daunorubicin en différence de la carnitine qui est un substrat de haute affinité des transporteurs CT2 et OCTN2. Ces résultats suggèrent que les transporteurs organiques spécifiques au transport de la carnitine ne sont pas impliqués dans le transport des anthracyclines. Ainsi, nos résultats ont démontré que l’absorption de la daunorubicin est orchestrée par le transporteur OCT1 dans les cellules TOV2223G (Km ~ 5 μM) et des concentrations micromolaires de choline ont complètement abolies l’absorption de la drogue. De plus, un ARN sh dirigé contre OCT1 a réprimé son expression protéique, ce qui a été confirmé par la technique d’immuno-buvardage en utilisant un anti-OCT1 anticorps. Les cellules déficientes en OCT1 n’ont pas été capables d’absorber la daunorubicin et ont été plus résistantes à l’action de la drogue par rapport aux cellules contrôle. La transfection des cellules HEK293T avec un plasmide construit de façon à faire exprimer OCT1 comme protéine de fusion avec la protéine fluorescente EYFP a montré que celle-ci est localisée dans la membrane plasmique. Les cellules transfectées ont été capables d’absorber cinq fois plus de daunorubicin comparé aux cellules contrôles. Cette étude est, selon nous, la première à démontrer que OCT1 est un transporteur de haute affinité des anthracyclines. Ainsi, nous avons émis l’hypothèse que des défauts de OCT1 peuvent contribuer à l’efficacité de la réponse des cellules cancéreuses à la chimiothérapie avec les anthracyclines.

Ideación suicida y desesperanza en pacientes con cáncer

El objetivo de la presente investigación fue identificar la relación entre ideación suicida y desesperanza en 160 pacientes con cáncer. La ideación suicida se midió a través de dos ítems de una entrevista semiestructurada, la escala de ideación suicida (ISS), el ítem 9 del inventario de depresión de Beck (BDI-IA). La desesperanza se midió con la escala de desesperanza de Beck (BHS). Los resultados obtenidos indicaron una relación significativa (p=.000) entre ideación suicida y desesperanza; una prevalencia de ideación suicida en los pacientes con cáncer entre 4.4% y 13.8% y de riesgo de suicidio entre 5.6% y 30.6%; y algún grado de desesperanza en 31.9 % de los participantes. De acuerdo con lo anterior, se confirma que existe relación entre la desesperanza y la ideación suicida en pacientes oncológicos adultos. Adicionalmente, que estas variables están presentes en los pacientes y que ameritan atención en la intervención interdisciplinaria.

The inter-relationships between ovarian-independent growth, tumorigenicity, invasiveness and antioestrogen resistance in the malignant progression of human breast cancer

Among the processes contributing to the progressive acquisition of the highly malignant phenotype in breast cancer are ovarian-independent growth, antioestrogen resistance and increased metastatic potential. We have previously observed that increased invasiveness and development of ovarian-independent growth occur independently. In an attempt to define the inter-relationships between these processes further, we have compared the phenotypes of ovarian-independent, invasive and antioestrogen-resistant sublines of the ovarian-dependent human breast cancer cell line MCF-7. Cells acquiring ovarian-independent growth can retain sensitivity to anti-oestrogens. One clone of MCF-7 cells selected for stable antioestrogen resistance has become non-tumorigenic but its invasive potential remains unaltered. Thus, acquisitions of some characteristics of the progressed phenotype can occur independently. This phenomenon of independent parameters in phenotypic progression could partly explain the considerable intra- and intertumour heterogeneity characteristic of breast tumours.

Engineered microenvironments provide new insights into ovarian and prostate cancer progression and drug responses

Tissue engineering technologies, which have originally been designed to reconstitute damaged tissue structure and function, can mimic not only tissue regeneration processes but also cancer development and progression. Bioengineered approaches allow cell biologists to develop sophisticated experimentally and physiologically relevant cancer models to recapitulate the complexity of the disease seen in patients. Tissue engineering tools enable three-dimensionality based on the design of biomaterials and scaffolds that re-create the geometry, chemistry, function and signalling milieu of the native tumour microenvironment. Three-dimensional (3D) microenvironments, including cell-derived matrices, biomaterial-based cell culture models and integrated co-cultures with engineered stromal components, are powerful tools to study dynamic processes like proteolytic functions associated with cancer progression, metastasis and resistance to therapeutics. In this review, we discuss how biomimetic strategies can reproduce a humanised niche for human cancer cells, such as peritoneal or bone-like microenvironments, addressing specific aspects of ovarian and prostate cancer progression and therapy response.

Improving fertility preservation in cancer: ovarian tissue cryobanking followed by ovarian stimulation can be efficiently combined

This pilot study evaluated whether combination of partial removal of ovarian tissue for cryobanking followed by ovarian stimulation and cryopreservation of oocytes can improve the efficacy of fertility preservation without further delaying cancer treatment. Initial partial removal of ovarian tissue did not substantially affect the average number and quality of retrieved oocytes after ovarian stimulation in this study.

Ovarian stimulation to cryopreserve fertilized oocytes in cancer patients can be started in the luteal phase

OBJECTIVE: To analyze if oocytes can be obtained in all patients before cancer treatment within 2 weeks by initiating ovarian stimulation during the follicular or luteal phase. DESIGN: Prospective controlled multicenter trial. SETTING: Four university-based centers. PATIENT(S): Forty cancer patients before chemotherapy. INTERVENTION(S): Twenty-eight patients were stimulated with gonadotropins in the follicular phase (group I). In 12 patients (group II), ovarian stimulation was initiated in the luteal phase, and these received GnRH antagonists and recombinant FSH. In 14 patients, 143 oocytes were further processed for fertilization by intracytoplasmic sperm injection (ICSI). MAIN OUTCOME MEASURE(S): Number of oocytes aspirated after ovarian stimulation, cumulative FSH/hMG dosage, viability and maturity of oocytes, and fertilization rate by ICSI. RESULT(S): Patients in group I (age 27.6 +/- 4.9 yrs) were stimulated on average for 10.6 days, and patients in group II (age 31.2 +/- 5.7 yrs) for 11.4 days. Total amount of FSH was on average 2,255 IU (I) and 2,720 IU (II) per patient. Average and median numbers of aspirated oocytes were, respectively, 13.1 and 11.5 (I) versus 10.0 and 8.5 (II); 83.7% (I) and 80.4% (II) of the oocytes were mature and viable and could be treated by ICSI. Fertilization rate was 61.0% (I) versus 75.6% (II). CONCLUSION(S): This pilot study suggests that oocytes can be obtained before cancer treatment efficiently irrespective of the phase of the menstrual cycle.

Adjuvant ovarian suppression in premenopausal breast cancer.

BACKGROUND Suppression of ovarian estrogen production reduces the recurrence of hormone-receptor-positive early breast cancer in premenopausal women, but its value when added to tamoxifen is uncertain. METHODS We randomly assigned 3066 premenopausal women, stratified according to prior receipt or nonreceipt of chemotherapy, to receive 5 years of tamoxifen, tamoxifen plus ovarian suppression, or exemestane plus ovarian suppression. The primary analysis tested the hypothesis that tamoxifen plus ovarian suppression would improve disease-free survival, as compared with tamoxifen alone. In the primary analysis, 46.7% of the patients had not received chemotherapy previously, and 53.3% had received chemotherapy and remained premenopausal. RESULTS After a median follow-up of 67 months, the estimated disease-free survival rate at 5 years was 86.6% in the tamoxifen-ovarian suppression group and 84.7% in the tamoxifen group (hazard ratio for disease recurrence, second invasive cancer, or death, 0.83; 95% confidence interval [CI], 0.66 to 1.04; P=0.10). Multivariable allowance for prognostic factors suggested a greater treatment effect with tamoxifen plus ovarian suppression than with tamoxifen alone (hazard ratio, 0.78; 95% CI, 0.62 to 0.98). Most recurrences occurred in patients who had received prior chemotherapy, among whom the rate of freedom from breast cancer at 5 years was 82.5% in the tamoxifen-ovarian suppression group and 78.0% in the tamoxifen group (hazard ratio for recurrence, 0.78; 95% CI, 0.60 to 1.02). At 5 years, the rate of freedom from breast cancer was 85.7% in the exemestane-ovarian suppression group (hazard ratio for recurrence vs. tamoxifen, 0.65; 95% CI, 0.49 to 0.87). CONCLUSIONS Adding ovarian suppression to tamoxifen did not provide a significant benefit in the overall study population. However, for women who were at sufficient risk for recurrence to warrant adjuvant chemotherapy and who remained premenopausal, the addition of ovarian suppression improved disease outcomes. Further improvement was seen with the use of exemestane plus ovarian suppression. (Funded by Pfizer and others; SOFT ClinicalTrials.gov number, NCT00066690.).