987 resultados para Nasser, Gamal Abdel, 1918-1970.


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A praga de goiabeira que tem requerido maior frequência de controle, na região de Jaboticabal-SP, nos últimos anos, é o psilídeo Triozoida limbata. Assim, esta pesquisa objetivou: a) Comparar táticas de controle de T. limbata baseadas no monitoramento e na seletividade de inseticidas, visando a diminuir as aplicações; b) Registrar e correlacionar os inimigos naturais habitantes no agroecossistema goiabeira com a praga-chave e com fatores meteorológicos; c) Constatar se o controle de T. limbata afeta a população de moscas-das-frutas, e d) Verificar a eficiência de inseticidas adequados ao MIP, no controle de T. limbata. O experimento foi conduzido com a cultivar Paluma, em 2004, no município de Vista Alegre do Alto-SP. As estratégias utilizadas foram (doses em g.i.a./100L de água): testemunha; imidacloprid (4,0); imidacloprid + beta-cyfluthrin (2,5 + 0,3); acetamiprid (4,0); fenpropathrin (15,0), e tratamento convencional regional. Através dos resultados, conclui-se que é possível diminuir o número de aplicações e utilizar inseticidas menos agressivos ao meio ambiente e ao homem, com a adoção do monitoramento de T. limbata e aplicação no nível de ação. As densidades populacionais dos inimigos naturais (Scymnus spp., Cycloneda sanguinea, Azia luteipes, Crysoperla spp., Polybia spp., Brachygastra spp.) apresentam correlações positivas com as densidades populacionais de T. limbata. As flutuações populacionais de T. limbata e dos inimigos naturais não são alteradas pelos fatores meteorológicos (precipitação e temperatura), em pomar irrigado. A população de Anastrepha spp. é minimizada quando as aplicações são para controlar T. limbata. Os inseticidas imidacloprid, imidacloprid + beta-cyfluthrin, acetamiprid e fenpropathrin são eficientes no controle de T. limbata.

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We analyse the recent evolution of fires in Catalonia (north-eastern Iberian Peninsula), a typical Mediterranean region. We examine a homogeneous series of forest fires in the period 1970-2010. During this period, more than 9000 fire events greater than 0.5 ha were recorded, and the total burned area was more than 400 kha. Our analysis shows that both the burned area and number of fire series display a decreasing trend. Superposed onto this general decrease, strong oscillations on shorter time scales are evident. After the large fires of 1986 and 1994, the increased effort in fire prevention and suppression could explain part of the decreasing trend. Although it is often stated that fires have increased in Mediterranean regions, the higher efficiency in fire detection could have led to spurious trends and misleading conclusions.

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La station valaisanne de Crans-Montana est richement représentée par la photographie, la peinture, les affiches et l'architecture. Cette thèse de doctorat s'emploie à réunir un large corpus de photographies et de représentations : peintures, affiches, cartes postales et reproductions de bâtiments emblématiques (voir le corpus illustré et documentaire annexé). Les questions liées à l'identité du territoire et son image sont les fils conducteurs de ce travail qui a débuté en 2008. Un premier ensemble visuel a été réuni par le Dr Théodore Stephani (1868-1951), un acteur fondamental pour l'histoire de la naissance de la station. Médecin, mais également photographe, il réalise une collection de plus de 1300 clichés, réunie en six albums, sur une période de trente-sept ans (1899-1936). Les photographies du médecin, originaire de Genève, fondateur de ce lieu désormais touristique sont le point de départ de cette recherche et son fil rouge. Celle-ci tentera d'articuler des représentations sur l'évolution du paysage et l'urbanisation de la station autour d'acteurs illustres, tels que les peintres Ferdinand Hodler (1853-1918) et Albert Muret (1874-1955), l'écrivain Charles-Ferdinand Ramuz (1878-1947) et les nombreux hôteliers ou médecins qui ont marqué l'histoire de la naissance du Haut-Plateau. Les représentations débutent en 1896 car c'est à ce moment-là que le Dr Stephani s'établit à Montana. Les architectes les plus connus de la première période sont François-Casimir Besson (1869-1944), Markus Burgener (1878-1953), suivi de la deuxième génération autour de Jean-Marie Ellenberger (1913-1988), André Perraudin (1915-2014) et André Gaillard (1921-2010). Parallèlement ou avant eux, les peintres déjà cités, Ferdinand Hodler et Albert Muret, - suivis de René Auberjonois (1872-1957), Henri-Edouard Bercher (1877-1970), Charles-Clos Olsommer (1883-1966), Oskar Kokoschka (1886-1980), Albert Chavaz (1907¬1990), Paul Monnier (1907-1982) et Hans Emi (1909-2015) - qui appartiennent tous à l'histoire culturelle de la région. Quant aux écrivains qui ont résidé dans la région, nous citons Elizabeth von Arnim (1866-1941), sa cousine Katherine Mansfield (1888-1923) alors que l'oeuvre de Charles-Ferdinand Ramuz est largement développée par une interprétation de son oeuvre Le Règne de l'esprit malin (1917) et un clin d'oeil pour Igor Stravinsky (1882¬1971). Nous présenterons aussi les films de trois cinéastes qui se sont inspirés des oeuvres écrites par Ramuz lors de son passage à Lens, à savoir Dimitri Kirsanoff (1899-1957), Claude Goretta (1929) et Francis Reusser (1942). Le concept du « village » est abordé depuis l'exposition nationale suisse (1896) jusqu'au projet des investisseurs russes, à Aminona. Ce « village » est le deuxième mégaprojet de Suisse, après celui d'Andermatt. Si le projet se réalise, l'image de la station s'en trouvera profondément transformée. En 1998, la publication de Au bord de la falaise. L'histoire entre certitudes et inquiétudes amène une grande visibilité aux propositions de Roger Chartier, qui lie l'étude des textes aux objets matériels et les usages qu'ils engendrent dans la société. Il définit l'histoire culturelle comme "une histoire culturelle du social" alors que pour Pascal Ory, une histoire culturelle est "comme une forme d'histoire sociale", ce qui revient presque au même, mais nous choisirons celle d'Ory pour une histoire sociale du paysage et de l'architecture. Ce travail adopte ainsi plusieurs points de vue : l'histoire sociale, basée sur les interviews de nombreux protagonistes de l'histoire locale, et l'histoire de l'art qui permet une sélection d'objets emblématiques ; l'histoire culturelle offre ainsi une méthode transversale pour lire et relier ces différents regards ou points de vue entre les paysages, les arts visuels, l'architecture, la littérature et le cinéma.