1000 resultados para Dépression post-infarctus
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Follow-up of the household contacts (HHC) of leprosy patients is still the best strategy for early detection of leprosy. HHC from a post-elimination region of Colombia studied in 2001-2002 were re-contacted in 2007. They were tested at both times by clinical examination, bacillary index (BI), PCR from a slit skin smear (SSS) and anti PGL-1 IgM titres. Thirty-two of 61 HHC (52%) were re-contacted. Nine HHC (28%) showed sero-conversion and one had a skin lesion (BI negative, nested PCR positive). Periodic evaluation of HHC can contribute to the detection of infected HHC as well as new and early leprosy cases.
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Unipolar depression is among the leading cause of invalidity and disability-adjusted life-years. Many depressed patients do not respond to several antidepressant treatments. Several treatments have been investigated in resistant depression using electrical or magnetic stimulation of the brain. In this field, electroconvulsivotherapy remains to date the only treatment validated for efficacy and security. Novel neuromodulatory treatments used in neurological conditions are currently under investigation. Vagus nerve stimulation and deep brain stimulation may offer long-term efficacy and therefore justify expensive and highly specialized treatment programs.
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INTRODUCTION We report a case of pulmonary metastatic recurrence of renal adenocarcinoma soon after radical nephrectomy that was followed by renal transplant and immunosuppressive medication. Increased risk of metastatic recurrence of renal cell carcinoma should be considered in the immediate post-transplant period when immunosuppressive medication is administered, even if nephrectomy had been performed many years earlier. CASE PRESENTATION In 1986 the patient demonstrated renal insufficiency secondary to mesangial glomerulonephritis. In 1992 he underwent left side radical nephrectomy with histopathological diagnosis of clear cell adenocarcinoma. Mesangial glomerulonephritis in the remaining right kidney progressed to end-stage renal failure. In October 2000 he received a kidney transplant from a cadaver and commenced immunosuppressive medication. Two months later, several nodules were found in his lungs, which were identified as metastases from the primary renal tumor that had been removed with the diseased kidney 8 years earlier. CONCLUSION Recurrence of renal cell carcinoma metastases points to tumor dormancy and reflects a misbalance between effective tumor immune surveillance and immune escape. This case demonstrates that a state of tumor dormancy can be interrupted soon after administration of immunosuppressant medication.
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OBJECTIVE: To assess the post-ischemic skin blood flow response after withdrawal of antihypertensive therapy in hypertensive patients with normal blood pressure during treatment. DESIGN AND METHODS: Twenty hypertensive patients (group A) with a normal clinic blood pressure (<140/ 90 mmHg) receiving antihypertensive treatment (any monotherapy; one pill per day for at least 6 months) had their treatment discontinued. Before medication withdrawal and 2, 4, 12 and 24 weeks thereafter, the following measurements were made: clinic blood pressure, home blood pressure (three times per week, morning and evening) and skin blood flow response to a 5 min forearm arterial occlusion (using laser Doppler flowmetry). The patients were asked to perform an ambulatory blood pressure recording at any time if home blood pressure was > or =160/95 mmHg on two consecutive days, and treatment was initiated again, after determination of the skin hyperemic response, if daytime ambulatory blood pressure was > or =140/90 mmHg. The same studies were performed in 20 additional hypertensive individuals in whom antihypertensive treatment was not withdrawn (group B). The allocation of patients to groups A and B was random. RESULTS: The data fom 18 patients in group A who adhered strictly to the procedure were available for analysis. Seven of them had to start treatment again within the first 4 weeks of follow-up; four additional patients started treatment again during the next 8 weeks (group A1). The seven other patients remained untreated (group A2). The skin hyperemic response decreased significantly in patients in group A1 and returned to baseline values at the end of the study, when there were again receiving antihypertensive treatment. In patients in group A2 a significant attenuation of the hyperemic response was also observed. This impaired response was present even at the end of the 6 month follow-up, at which time the patients were still untreated but exhibited a significantly greater blood pressure than before drug discontinuation. The hyperemic response of patients who did not stop treatment (group B) did not change during the course of the study. CONCLUSIONS: Our findings show a decrease in the postischemic skin blood flow response after withdrawal of antihypertensive treatment in hypertensive patients. This impaired response may be due to the development of endothelial dysfunction, vascular remodeling, or both, and might contribute to the return of blood pressure to hypertensive values after withdrawal of antihypertensive therapy.
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Introduction : La diminution de la fraction d'éjection après infarctus du myocarde est-elle suffisante pour justifier l'implantation prophylactique de défibrillateur ? Introduction: La diminution de la fraction d'éjection (FE) est un facteur prédictif majeur de mortalité cardiaque chez les patients avec ancien infarctus du myocarde (IM). Les plus récentes études, pour la plupart conduites à la fin des années 90, montrent une diminution de la mortalité post-hospitalière à 10 à 20% par année. Une amélioration de la survie par implantation prophylactique de défibrillateurs a été démontrée chez les patients avec dysfonction myocardique avancée après ancien IM dans la cadre de l'étude MADIT II (Multicenter Automatic Defibrillator Implantation Trial) et est depuis lors, considérée comme une thérapie recommandée. Le bénéfice de l'implantation prophylactique de défibrillateurs en terme de nombre nécessaire de patients à traiter pour prévenir un évènement est d'un intérêt primordial en raison des complications potentielles liées à la procédure et l'appareillage, des implications psychologiques ainsi qu'en raison de l'analyse coût-efficacité. Le nombre de patients à traiter est corrélé au risque actuel de mortalité rythmique, probablement influencé par les récentes avancées thérapeutiques dans la prise en charge aigue de l'IM (notamment par angioplastie primaire) et de l'insuffisance cardiaque. Or, dans '' l'étude MADIT II, le recrutement des patients était effectué entre 1997 et 2001 et l'intervalle moyen entre l'IM et le recrutement était de plus de 6 ans. Le but de l'étude était donc d'évaluer, dans la pratique générale, la mortalité actuelle de patients ayant survécu à un IM avec diminution consécutive significative de la FE. La stratification du risque sur la base des variables hospitalières a de même été explorée. Méthode: Une analyse de cohorte de patients avec infarctus aigu du myocarde admis de 1999 à 2000 a été effectuée dans 2 centres hospitaliers (un universitaire et un cantonal). Tous les dossiers cliniques des patients sortis d'hôpital avec FE documentée ≤ 0.40 ont été inclus. Les caractéristiques des patients, les procédures diagnostiques et thérapeutiques ainsi que la médication étaient reportées. La période de suivi débutait à la sortie d'hôpital. Les end-points primaires étaient la mortalité globale, la mortalité cardiaque et les morts subites. Une analyse bivariée et multivariée a été effectuée. Résultats: 165 patients ont été inclus. Durant un suivi médian de 30 mois (interquartile range 22-36), 18 patients sont décédés (5 morts classifiées comme cardiaques, 8 comme subites, 5 de causes non cardiaques). Les taux de mortalité à un et deux ans selon analyse de Kaplan-Meier étaient de 6.7 et 8.6%, respectivement. Les variables reflétant l'atteinte coronarienne et sa prise en charge (antécédent d'IM, reperfusion aigue, revascularisation complète) étaient plus significativement associées à la mortalité comparées aux variables reflétant la dysfonction myocardique (FE, classe Killip à l'admission). Conclusion : La mortalité des patients ayant survécu à un IM avec dysfonction myocardique avancée a diminué de façon substantielle depuis la fin des années 90. La diminution de la mortalité rythmique implique une augmentation proportionnelle du nombre de patients à traiter par implantation de défibrillateur pour prévenir un évènement. Par ailleurs, une stratification du risque après IM basée uniquement sur la FE semble être inappropriée au vu de son impact mineur sur la mortalité comparé aux autres facteurs de risque identifiés dans notre étude. Les patients sans antécédents d'infarctus et ceux ayant bénéficié d'une revascularisation aigue ou complète avait une mortalité cumulée à 2 ans de, respectivement, 2.5%, 3.9% et 2.3%. Pour ce type de patients à bas risque le bénéfice de l'implantation prophylactique de défibrillateur doit être remis en question. Au vu de cette étude, une stratification additionnelle du risque avant implantation de défibrillateur est à considérer.
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Contexte : Les patients souffrant d'un épisode dépressif sévère sont fréquemment traités par des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (SSRI). Cependant, seulement 30-50% des patients répondront à ce type de traitement. Actuellement, il n'existe pas de marqueur biologique utilisable pour prédire la réponse à un traitement par SSRI. Un délai dans la mise en place d'une thérapie efficace peut avoir comme conséquences néfastes une augmentation du risque de suicide et une association avec un moins bon pronostic à long terme lors d'épisodes ultérieurs. Objectif : Par l'étude du métabolisme cérébral par tomographie par émission de positons (PET) au F-18-fluorodeoxyglucose (FDG), nous étudierons la présence de corrélations éventuelles entre la réponse clinique, qui généralement survient dans les 4 à 6 semaines après l'instauration du traitement antidépresseur, et une modification du métabolisme cérébral mesuré plus précocement, dans le but d'identifier les futurs répondeurs au traitement par SSRI. Méthodes : Cette étude longitudinale comprendra 20 patients unipolaires avec un épisode dépressif sévère au bénéfice d'un traitement par SSRI. Chacun des patients aura deux examens PET cérébraux au F-18-FDG. Le premier PET aura lieu juste avant le début du traitement aux SSRI et le second dans la 3ème semaine après début du traitement. La réponse clinique sera mesurée à 3 mois, et les répondeurs seront identifiés par une diminution significative des scores lors d'évaluation sur échelles de dépression. La recherche d'altérations métaboliques cérébrales sera faite en évaluant: (1) l'examen de base ou (2) l'examen PET précoce, à la recherche d'altérations spécifiques corrélées à une bonne réponse clinique, afin d'obtenir une valeur pronostique quant à la réponse au traitement. L'analyse de l'imagerie cérébrale utilisera la technique SPM (Statistical Parameter Mapping) impliquant un traitement numérique voxel par voxel des images PET. Résultats escomptés : Cette étude caractérisant les variations du métabolisme cérébral dans la phase précoce d'un traitement par SSRI vise à identifier des marqueurs métaboliques potentiels fournissant une valeur prédictive quant à la future efficacité du traitement SSRI introduit. Plus-value escomptée : L'identification d'un tel marqueur métabolique permettrait d'identifier rapidement les futurs répondeurs aux SSRI, et par conséquent d'éviter de proposer aux non-répondeurs la poursuite d'une médication, pendant plusieurs semaines, qui aurait peu de chance d'être efficace. Ainsi, une identification précoce des répondeurs aux SSRI pourrait permettre d'éviter des délais dans la mise en place d'une thérapie efficace et d'obtenir une amélioration du pronostic à plus long terme, avec une influence favorable sur les coûts de la santé.
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Une méta-analyse concernant l'utilisation de la rosiglitazone chez les diabétiques de type 2 a révélé une augmentation significative du risque d'infarctus du myocarde et une tendance à la surmortalité cardiovasculaire. La méthodologie de cette étude ainsi que ses conclusions ont été beaucoup critiquées. Cette étude montre les limites des méta-analyses auxquelles on prête un rang manifestement trop élevé dans la hiérarchie des niveaux de preuve. L'étude 4T a évalué trois schémas d'insuline dans le traitement du diabète de type 2. Les résultats à un an montrent que seule une minorité des patients atteignent les objectifs. Post-Steno 2 a été présenté au congrès européen du diabète. Ces nouvelles données confirment que le traitement intensifié de tous les facteurs de risque cardiovasculaire permet une réduction majeure de la mortalité cardiovasculaire après 13,3 ans. A recent meta-analysis on the rosiglitazone in the treatment of type 2 diabetes revealed a significant increased risk of myocardial infarction and a trend to a higher cardiovascular mortality. In the following month after this publication, the methodology as its conclusions were criticized. This study shows the limits of the meta-analyses to which one lends a row obviously too high in the hierarchy of the levels of evidence. The study 4T evaluated 3 insulin strategies in the treatment of the type 2 diabetes. The results at one year show that only a minority of the patients achieve the goals. Post-Steno 2 was presented at the European congress diabetes. These new data confirm that the intensified treatment of all cardiovascular factors risk allows a major reduction of cardiovascular mortality after 13.3 years
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Human malignant malaria is caused by Plasmodium falciparum and accounts for almost 900,000 deaths per year, the majority of which are children and pregnant women in developing countries. There has been significant effort to understand the biology of P. falciparum and its interactions with the host. However, these studies are hindered because several aspects of parasite biology remain controversial, such as N- and O-glycosylation. This review describes work that has been done to elucidate protein glycosylation in P. falciparum and it focuses on describing biochemical evidence for N- and O-glycosylation. Although there has been significant work in this field, these aspects of parasite biochemistry need to be explored further.
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Trypanosoma cruzi, a protozoan parasite that causes Chagas disease, exhibits unique mechanisms for gene expression such as constitutive polycistronic transcription of protein-coding genes, RNA editing and trans-splicing. In the absence of mechanism controlling transcription initiation, organized subsets of T. cruzi genes must be post-transcriptionally co-regulated in response to extracellular signals. The mechanisms that regulate stage-specific gene expression in this parasite have become much clearer through sequencing its whole genome as well as performing various proteomic and microarray analyses, which have demonstrated that at least half of the T. cruzi genes are differentially regulated during its life cycle. In this review, we attempt to highlight the recent advances in characterising cis and trans-acting elements in the T. cruzi genome that are involved in its post-transcriptional regulatory machinery.
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Rapport de synthèse : Cette étude réalisée conjointement par les services de pédopsychiatrie et de néonatologie du Centre Hospitalier Universitaire Vaudois (CHUV), Lausanne, Suisse, s'inscrit dans un groupe de publications issues d'un projet portant sur les représentations parentales et le devenir de 1a prématurité, financée par le Fonds National de la Recherche Scientifique entre 1998 et 2002 (FNRS 32-49712.96), soutenue par la Fondation de la Psychiatrie pour la Petite Enfance. Elle à pour objectifs d'évaluer et de compazer la présence de symptômes de stress post-traumatique; en fonction de la gravité de la prématurité, chez les mères et chez les pères de bébés nés prématurément. Population et Méthode : en fonction du score de risque périnatal (PERI) du bébé, les parents des prématurés (âge gestationnel < 34 semaines) ont été divisés en deux groupes : les parents de prématurés à faible risque (n = 16) et à haut risque (n = 26). Les symptômes d'intrusion et d'évitement, de l'état de stress post-traumatique, ont été évalués chez les parents à l'aide d'un questionnaire rempli par les parents, l'Impact of Event Scale (IES). Leurs réponses ont été comparées à un groupe contrôle de parents de nouveau-nés à terme (n = 24). Les différences entre les réponses des mères et des pères, ont été analysées. Résultats : les parents de bébés prématurés sont plus à risque que les parents de nouveau-nés à terme, de présenter des symptômes de stress post-traumatique. Les mères en lien avec le fait même de la prématurité du bébé, les pères en lien avec la gravité de la prématurité. Les mèrés et les pères des prématurés des deux groupes (prématurés à faible risque, prématurés à haut risque) décrivent des symptômes d'intrusion, alors que les symptômes d'évitement sont décrits par toutes les mères, mais seulement par les pères de prématurés à haut risque périnatal. Le vécu particulier des parents, ainsi que les enjeux différents pour les mères et les pères lors d'une naissance prématurée, sont ainsi mis en évidence. La prise en compte de ces différences devrait influencer les interventions des pédopsychiatres et des équipes de néonatologie qui interviennent auprès des parents et guident la construction des liens avec le bébé né prématurément. Publiée par la revue «Neuropsychiatrie de l'enfance et de l'adolescence », aux éditions Elsevier Masson sous le titre : « Etat de stress post-traumatique chez les mères et chez les pères d'enfants prématurés : similitudes et différences» ; numéró 57 (2009) 385-391.