1000 resultados para Animaux de trait -- Irak
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Variation in coloration with a strong underlying genetic basis is frequently found within animal populations but little is known about its function. Covariation between colour polymorphism and life-history traits can arise because morphs perform differently among environments or because they possess alternative alleles coding for key life-history traits. To test these two hypotheses, we studied a population of tawny owls Strix aluco, a bird displaying red, brown and grey morphs. We assessed the colour morph of breeding females, swapped eggs or hatchlings between pairs of nests, and examined how body condition in 3-week-old nestlings covaries with coloration of foster and genetic mothers. Redder foster and genetic mothers produced young in better condition. Because in two other years we observed that greyish females produced offspring in better condition than those of red females, the present study suggests that colour polymorphism signals genetic and phenotypic adaptations to cope with a fluctuating environment.
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Les élevages intensifs d'animaux de rente, en particulier ceux de bovins et de porcins sont nombreux en France et sont concentrés dans certaines régions (Bretagne, Normandie, Massif central, Alpes, Pyrénées). Au total, on dénombre environ 20 millions de bovins répartis dans 280 000 exploitations et 25 millions de porcs répartis dans 30 000 exploitations. Ceci représente en moyenne 70 vaches/exploitation et 830 porcs/exploitation. De telles densités d'animaux réunis sur des surfaces de taille minimale, génèrent d'énormes quantités de déchets organiques, notamment de matières fécales qui contiennent une grande diversité de bactéries, pouvant parfois être pathogènes pour l'humain. Une partie de ces bactéries sont des bactéries gram négatif (entérobactéries) dont les parois contiennent des endotoxines (1). Ces endotoxines sont connues pour causer des problèmes respiratoires ou des problèmes toxiques (ODTS) (2), lorsqu'elles sont inhalées (Cole, Todd, Wing ; 2000). Jusqu'à présent, plusieurs études se sont attachées à évaluer l'exposition à ces bioaérosols (3) à l'intérieur des élevages d'animaux (vaches, chevaux, porcs, poules) et ont démontré la présence d'importantes concentrations de bactéries et d'endotoxines aéroportées. Cependant, très peu d'études ont estimé la dispersion de ces bioaérosols à l'extérieur des installations d'élevages. En 2008, une étude américaine avait caractérisé les bactéries aéroportées retrouvées dans,et autour, d'une douzaine d'exploitations porcines. Cette étude avait été discutée dans le cadre d'une note d'actualité scientifique précédente (BVS 9). Aujourd'hui, ces mêmes auteurs nous livrent des résultats concernant l'exposition aux endotoxines dans et autour de ces mêmes élevages de porcs (Ko et al., 2010). Une autre équipe de recherche chinoise a estimé la dispersion d'Escherichia coli dans l'environnement immédiat d'exploitations porcines (Yuan, Chai, Miao ; 2010). Cette bactérie, appelée aussi coliforme, fait partie de la flore intestinale normale de tous les animaux à sang chaud (mammifères et oiseaux). Sa mise en évidence dans certains milieux,notamment l'eau, est utilisée comme indicateur de contamination fécale. Finalement, une autre étude vient de paraître concernant les concentrations en endotoxines au cours de l'année, à proximité de stabulations ouvertes de vaches laitières (Dungan, Leytem, Bjorneberg ; 2010). Ce sont ces trois articles qui sont analysés ci-dessous. [Auteure]
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[Acte royal. 1773-12-11. Versailles]
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Armoiries de différentes provinces d'Espagne (fol. 58), — des Pays-Bas (fol. 62), — « princes du Pays-Bas (fol. 66 v°), — électeurs et princes d'Alemaigne (fol. 70), — les Lorrains (fol. 76), — duché de Barre (fol. 77 v°), — duché de Savoy (fol. 78), — roy de Franche et nobles d'icelluy » par provinces (fol. 79), — « XII pères de Franche (fol. 88 v°), — duché de Bourgoigne (fol. 90 v°), — Bretons », etc. (fol. 94 v°), — « roy d'Angleterre » et nobles dudit pays (fol. 117), — « les noef Preux (fol. 124 v°), — cités et villes marchandes par toutte renommée (fol. 126 v°), — royaulme de Bohemie (fol. 129), — les Poullennois (Polonais) (fol. 130), — empereurs, royx et princes de estranges pays (fol. 130 v°), — royaulme de Castille (fol. 133), — royaulme d'Arragon (fol. 134 v°), — les Navarrois (fol. 137 v°), — villes de Brabant (fol. 139), — de Flandres (fol. 143 v°), — comté d'Alost (fol. 151 v°), — comté de Hollande (fol. 158), — les Namurois (fol. 160), — comté d'Artoys (fol. 165), — comté de Hainault (fol. 174 v°), — chevaliers bannerés (fol. 180 v°), — officiers de Hainault, etc. (fol. 183 v°), — ville et bourgeois de Valenciennes » (fol. 201). Ce traité de blason commence par une dédicace, datée de 1542, et se termine par la mention : « Faict et achevé, le XXIXe jour du mois de mars l'an mil cincq cens quarante trois. 1543. » — Nombreux blasons peints. L'auteur de ce traité et de ce recueil d'armoiries est peut-être Noel Le Boucq, de Valenciennes. Il a été, en tout cas, fait par ses soins et probablement pour son fils Jacques, car ses armes sont peintes dans la lettre initiale de la préface (fol. 3) ; et elles se retrouvent, avec celles de sa première femme, Anne Le Prince, au fol. 3 v°, et celles de sa seconde femme, Marguerite Vivien, au fol. 4. On lit, en outre, au fol. 1 : « Ce présent livre appertient à Jacques Le Boucq, fils de Noé, demorant en Valenciennes, sur la Croix, au Noef Boucq, à l'enseigne de la Petit Nostre Damme. 1543. »
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Contient : « Comment on doit faire l'Empereur,... roy,... duc, ... », etc ; « De gaige de bataille » ; « Des neuf Preux... — Les noms, armes et diz de neuf... Preuses » ; « Les armes du roy et doze pers de France » ; « Le vergier de France » ; « Les armes de pluseurs roys crestiens... » ; « Les armes du duc, des barons et autres grans seigneurs de Bretaigne » ; « La maniere coment on doit faire lettres et rescripcions » ; « Libelle de paix, » d'Alain Chartier ; incomplet des quatorze premiers vers ; « Louange de Paris, » par Alain Chartier (?). Début : « Paris sans per, receptable des Dieux... » ; « La geanologie des roys, ducs et princes de Bretaingne, » par « Pierre Le Baud, historien de la royne Anne, » d'après une note signée : « Pontglas ». — Incomplet de la fin
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Contient : « Comment on doit faire l'Empereur,... roy,... duc, ... », etc ; « De gaige de bataille » ; « Des neuf Preux... — Les noms, armes et diz de neuf... Preuses » ; « Les armes du roy et doze pers de France » ; « Le vergier de France » ; « Les armes de pluseurs roys crestiens... » ; « Les armes du duc, des barons et autres grans seigneurs de Bretaigne » ; « La maniere coment on doit faire lettres et rescripcions » ; « Libelle de paix, » d'Alain Chartier ; incomplet des quatorze premiers vers ; « Louange de Paris, » par Alain Chartier (?). Début : « Paris sans per, receptable des Dieux... » ; « La geanologie des roys, ducs et princes de Bretaingne, » par « Pierre Le Baud, historien de la royne Anne, » d'après une note signée : « Pontglas ». — Incomplet de la fin
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The olfactory system is an attractive model to study the genetic mechanisms underlying evolution of the nervous system. This sensory system mediates the detection and behavioural responses to an enormous diversity of volatile chemicals in the environment and displays rapid evolution, as species acquire, modify and discard olfactory receptors and circuits to adapt to new olfactory stimuli. Drosophilids provide an attractive model to study these processes. The availability of 12 sequenced genomes of Drosophila species occupying diverse ecological niches provides a rich resource for genomic analyses. Moreover, one of these species, Drosophila melanogaster, is amenable to a powerful combination of genetic and electrophysiological analyses. D. melanogaster has two distinct families of olfactory receptors to detect odours, the well-characterised Odorant Receptors (ORs) and the recently identified lonotropic Receptors (IRs). In my thesis, I have provided new insights into the genetic mechanisms underlying olfactory system evolution through three distinct, but interrelated projects. First, I performed a comparative genomic analysis of the IR repertoire in 12 sequenced Drosophila species, which has revealed that the olfactory IRs are highly conserved across species. By contrast, a large fraction of IRs that are not expressed in the olfactory system - and which may be gustatory receptors - are much more variable in sequence and gene copy number. Second, to identify ligands for IR expressing olfactory sensory neurons, I have performed an electrophysiological screen in D. melanogaster using a panel of over 160 odours. I found that the IRs respond to a number of amines, aldehydes and acids, contrasting with the chemical specificity of the OR repertoire, which is mainly tuned to esters, alcohols and ketones. Finally, the identification of ligands for IRs in this species allowed me to investigate in detail the molecular and functional evolution of a tandem array of IRs, IR75a/IR75b/IR75c, in D. sechellia. This species is endemic to the Seychelles archipelago and highly specialised to breed on the fruits of Morinda citrifolia, which is repulsive and toxic for other Drosophila species. These studies led me to discover that receptor loss, changes in receptor specificity and changes in receptor expression have likely played an important role during the evolution of these IRs in D. sechellia. These changes may explain, in part, the unique chemical ecology of this species. - Le système olfactif est un excellent modèle pour étudier les mécanismes génétiques impliqués dans l'étude de l'évolution du système nerveux. Ce système sensoriel permet la détection de nombreux composés volatils présents dans l'environnement et est à la base des réponses comportementales. Il est propre à chaque espèce et évolue rapidement en modifiant ou en éliminant des récepteurs et leurs circuits olfactifs correspondants pour s'adapter à de nouvelles odeurs. Pour étudier le système olfactif et son évolution, nous avons décidé d'utiliser la drosophile comme modèle. Le séquençage complet de 12 souches de drosophiles habitant différentes niches écologiques permet une analyse génomique conséquente. De plus, l'une de ces espèces Drosophila melanogaster permet la combinaison d'analyses génétiques et électrophysiologiques. En effet, D. melanogaster possède 2 familles distinctes de récepteurs olfactifs qui permettent la détection d'odeurs: les récepteurs olfactifs (ORs) étant les mieux caractérisés et les récepteurs ionotropiques (IRs), plus récemment identifiés. Au cours de ma thèse, j'ai apporté des nouvelles connaissances qui m'ont permis de mieux comprendre les mécanismes génétiques à la base de l'évolution du système olfactif au travers de trois projets différents, mais interdépendants. Premièrement, j'ai réalisé une analyse génomique comparative de l'ensemble des IRs dans les 12 souches de drosophiles séquencées jusqu'à présent. Ceci a montré que les récepteurs olfactifs IRs sont hautement conservés parmi l'ensemble de ces espèces. Au contraire, une grande partie des IRs qui ne sont pas exprimés dans le système olfactif, et qui semblent être des récepteurs gustatifs, sont beaucoup plus variables dans leur séquence et dans le nombre de copie de gènes. Deuxièmement, pour identifier les ligands des récepteurs IRs exprimés par les neurones sensoriels olfactifs, j'ai réalisé une étude électrophysiologique chez D. melanogaster e η testant l'effet de plus de 160 composés chimiques sur les IRs. J'ai trouvé que les IRs répondent à un nombre d'amines, d'aldéhydes et d'acides, contrairement aux récepteurs olfactifs ORs qui eux répondent principalement aux esthers, alcools et cétones. Finalement, l'identification de ligands pour les IRs dans ces espèces m'a permis d'étudier en détail l'évolution fonctionnelle et moléculaire des IR75a/IR75b/IR75c dans D. sechellia. Cette espèce est endémique de l'archipel des Seychelles et se nourrit spécifiquement du fruit Morinda citrifolia qui est répulsif et toxique pour d'autres souches de drosophiles. Ces études m'ont poussé à découvrir que, la perte de IR75a, le changement dans la spécificité de IR75b ainsi que le changement dans l'expression de IR75c ont probablement joué un rôle important dans l'évolution des IRs chez D. sechellia. Ces changements peuvent expliquer, en partie, l'écologie chimique propre à cette espèce. Résumé français large public Le système olfactif permet aux animaux de détecter des milliers de molécules odorantes, les aidant ainsi à trouver de la nourriture, à distinguer si elle est fraîche ou avariée, à trouver des partenaires sexuels, ainsi qu'à éviter les prédateurs. Selon l'environnement et le mode de vie des espèces, le système olfactif doit détecter des odeurs très diverses ; en effet, un moustique qui recherche du sang humain pour se nourrir doit détecter des odeurs bien différentes d'une abeille qui recherche des fleurs. Dans ma thèse, j'ai essayé de comprendre comment les systèmes olfactifs d'une espèce évoluent pour s'adapter aux exigences induites par son environnement. Un très bon modèle pour étudier cela est la drosophile dont les différentes espèces se nichent dans des habitats très divers. Pour ce faire, j'ai étudié les récepteurs olfactifs de différentes espèces de la drosophile. Ces récepteurs sont des protéines qui se lient à des odeurs spécifiques. Lorsqu'ils se lient, ils activent un neurone qui envoie un signal électrique au cerveau. Ce signal est ensuite traité par ce dernier qui indique à la mouche si l'odeur est attractive ou répulsive. J'ai identifié les récepteurs olfactifs de plusieurs espèces de drosophile et étudié s'il y avait des différences entre elles. La plupart des récepteurs sont similaires entre les espèces, cependant dans l'une d'entre elles, certains récepteurs sont différents. Ce fait est particulièrement intéressant car cette espèce de drosophile se nourrit de fruits que les autres espèces n'apprécient pas. Comme nous ne savons pas quels récepteurs se lient à quelles odeurs, j'ai testé un grand nombre de composants odorants. Ceci m'a permis de constater que, effectivement, certains changements produits dans ces récepteurs expliquent pourquoi cette espèce aime particulièrement ces fruits. En outre, mes résultats contribuent à mieux comprendre les changements génétiques qui sont impliqués dans l'évolution du système olfactif.