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Basal body temperature (BBT) and thermoeffector thresholds increase following ovulation in many women. This study investigated if solely central thermoregulatory alterations are responsible. Seven females in a non-contraceptive group (NCG) were compared with 5 monophasic contraceptive users (HCG) on separate accounts: pre-ovulation (Trial I; d 2-5) and post-ovulation (Trial 2; 4-8 d post-positive ovulation) for NCG, and active phase for HCG (d 2-5, d 18-21). During immersion in 28°C water to the axilla, participants exercised for 20-30 min on an underwater ergometer. After steadily sweating, immersion continued until metabolism increased two-fold due to shivering. Rectal (Tre) BBT was not different between trials for neither NCG (1: 37.34±0.16°C; 2: 37.35±0.27°C) nor HCG. At exercise termination, Tre forehead sweating cessation increased (P<0.05) in trial 2 irrespective of group (1: 37.55±0.39°C; 2: 37.90±0,46°C). Tre shivering onset did not increase (P>0.05) in trial 2 (1: 36.91±0.50°C; 2: 37.07±0,45°C). The widths of the interthreshold zone increased (P<0.05) in trial 2 (1: 0.64±0.22°C; 2: 0.82±0.37°C) due to the increased sweating threshold only. HCG cooled quicker (1: -l.15±0,43°C; 2: -1.00±0.50°C) than NCG participants (1: - 0.58±0.22°C; 2: -0.52±O.29°C), and tympanic (Tty) sweat thresholds were significantly (P<0.05) decreased (1: 34.76±0.54°C; 2: 35.39±0.61°C) versus NCG (l: 35.57±0.77°C; 2: 35.89±1.04°C). Lastly, Tre and Tty thresholds were significantly different (P

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Le premier objectif de cette étude était d’évaluer la relation entre l’alexithymie et différents troubles du sommeil chez des patients diagnostiqués (N= 580) selon la polysomnographie et la classification de l’American Academy of Sleep Medicine (AASM) et chez des sujets contrôle (N= 145) en utilisant l’Échelle d’Alexithymie de Toronto à 20 items (TAS-20). Le deuxième objectif était d’estimer le lien entre l’alexithymie et des caractéristiques de rêves suivant un Questionnaire sur les Rêves de 14 items. Les résultats confirment un lien entre l’alexithymie et les troubles du sommeil. Sa prévalence était supérieure dans le groupe clinique comparativement au groupe contrôle, et était différente selon les troubles. Les hommes cotaient plus haut que les femmes à l’Échelle d’Alexithymie de Toronto à 20 items (TAS-20) et sur ses sous-échelles DDF (difficulty describing feeling) et EOT (externally oriented thinking). L’EOT pourrait être impliquée dans les troubles de sommeil en étant l’unique sous-échelle, où un effet principal des diagnostics était significatif dans le groupe clinique. Pour les rêves, le score du TAS-20 corrélait positivement avec le facteur « détresse des cauchemars »; et négativement avec « rappel de rêves » et « signification des rêves ». Les sous-échelles du TAS-20 avaient des corrélations différentes: positive entre DIF et « détresse des cauchemars », négative entre DDF et « rappel de rêves » et EOT avec « signification des rêves ». À part quelques exceptions, ces modèles sont obtenus pour les groupes cliniques et non-cliniques, et pour les hommes et les femmes dans ces deux groupes. Ces résultats suggèrent un modèle consistant, et reproductible, de relations entre l’alexithymie et les composantes des rêves.

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Huit instruments d’évaluation du risque ont été appliqués sur 580 délinquants sexuels. Il s’agit du VRAG, du SORAG, du RRASOR, de la Statique-99, de la Statique-2002, du RM-2000, du MnSORT-R et du SVR-20. De plus, les sujets ont été cotés sur la PCL-R, qui vise la mesure de la psychopathie, mais qui a fait ses preuves en matière de prédiction de la récidive (Gendreau, Little, et Goggin, 1996). En vue de mesurer l’efficacité de ces instruments et de la PCL-R, une période de suivi de 25 ans a été observée. Aussi, une division de l’échantillon a été faite par rapport à l’âge au moment de la libération, afin de mesurer les différences entre les délinquants âgés de 34 ans et moins et ceux de 35 ans et plus. Le présent travail vise à répondre à trois objectifs de recherche, soit 1) Décrire l’évolution du risque en fonction de l’âge, 2) Étudier le lien entre l’âge, le type de délinquant et la récidive et 3) Comparer l’efficacité de neuf instruments structurés à prédire quatre types de récidive en fonction de l’âge. Les résultats de l’étude suggèrent que l’âge influence le niveau de risque représenté par les délinquants. Par ailleurs, les analyses des différents types de récidive indiquent que le type de victime privilégié par les délinquants influence également ce niveau de risque. Les implications théoriques et pratiques seront discutées.