993 resultados para perfusion cérébrale
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Plusieurs décennies de recherche ont permis de mieux comprendre les effets de l’athérosclérose sur le système cardiovasculaire, d’améliorer la prévention et de développer des traitements efficaces. Les effets de l’athéroslérose sur le cerveau demeurent toutefois mal compris même si le lien entre le fonctionnement cognitif et la santé du système vasculaire est maintenant bien établi. La venue de nouvelles méthodes d’imagerie telle la microscopie laser à 2-photons (TPLM) permet d’étudier l’impact de certaines maladies sur la microvasculature cérébrale en mesurant le flux sanguin dans des vaisseaux uniques situés dans des régions cérébrales millimétriques sous la surface. Les résultats des études in vitro peuvent dorénavant être corrélés à ceux obtenus in vivo. En premier lieu, ce mémoire revoit la théorie ayant permis le développement de la TPLM qui permet de prendre des mesures hémodynamiques in vivo dans des vaisseaux de très petits calibres tels des capillaires cérébraux de souris. Par la suite, son utilisation est décrite chez des souris anesthésiées afin de comparer les mesures d’hémodynamie cérébrale tels la vitesse des globules rouges, le flux de globules rouges, le flux sanguin cérébral, l’hématocrite sanguin et le diamètre des vaisseaux. Finalement, nous avons comparé les données hémodynamiques entre des souris de 3 mois normales (WT ; n=6) et des souris atteintes d’athérosclérose précoce (ATX ; n=6). Les résultats obtenus sur un nombre total de 209 capillaires (103 pour les souris WT et 106 pour les souris ATX) démontrent que les souris ATX possèdent une vitesse des globules rouges (+40%) plus grande, un flux de globule rouge plus grand (+12%) et un flux capillaire plus élevé (+14%) sans démontrer pour aucun de ces paramètres, une différence statistiquement significative. L’hématocrite moyen (35±4% vs 33±2% ; p=0.71) et le diamètre moyen des vaisseaux (4.88±0.22μm vs 4.86±0.20μm ; p=0.23) étaient également comparables. La vitesse des globules rouges a démontré une faible corrélation avec le diamètre des vaisseaux (r=0.39) et avec le flux de globules rouges/seconde (r=0.59). En conclusion, les travaux menés dans le cadre de ce mémoire de maîtrise permettent d'envisager, grâce aux nouvelles méthodes d’imagerie cérébrale telle la TPLM, une meilleure compréhension des mécanismes hémodynamiques sous-jacents à la microcirculation cérébrale. L’effet d’une pression pulsée augmentée, tel que proposée dans l’athérosclérose reste cependant à démontrer avec cette méthode d’imagerie.
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L'oxygénothérapie hyperbare (OTH) consiste à soumettre un patient à des taux de pression plus élevés que la pression atmosphérique normale et de lui faire respirer 100 % d'oxygène. Cette approche a été mise à l'essai pour le traitement de nombreuses conditions médicales avec succès dans certains cas alors pour d'autres sa validité reste encore à démontrer. Dans le cas de la paralysie cérébrale son utilisation a soulevé de nombreuses controverses et les études conduites jusqu'alors n'ont pas encore convaincu tous les membres de la communauté scientifique et ce, malgré certains effets positifs mis en évidence. Une récente étude qui a montré des améliorations notables chez des enfants atteints de paralysie cérébrale (PC) traités avec de l'air légèrement pressurisé, de même que chez ceux traités avec un protocole standard pour l'oxygénothérapie hyperbare (l'OTH), est invoquée pour nier l'efficacité de l'OTH. Des considérations politiques et économiques, plutôt que purement scientifiques, jouent un rôle important dans cette controverse. Des recherches systématiques supplémentaires sont requises, mais entre-temps, comme les effets thérapeutiques de cette approche semblent plus importants que ceux des thérapies actuellement acceptées dans le traitement de la paralysie cérébrale, les enfants atteints de cette condition ne devraient pas se faire refuser l'accès à l'OTH.
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In this study, we compared contrast-enhanced ultrasound perfusion imaging with magnetic resonance perfusion-weighted imaging or perfusion computed tomography for detecting normo-, hypo-, and nonperfused brain areas in acute middle cerebral artery stroke. We performed high mechanical index contrast-enhanced ultrasound perfusion imaging in 30 patients. Time-to-peak intensity of 10 ischemic regions of interests was compared to four standardized nonischemic regions of interests of the same patient. A time-to-peak >3 s (ultrasound perfusion imaging) or >4 s (perfusion computed tomography and magnetic resonance perfusion) defined hypoperfusion. In 16 patients, 98 of 160 ultrasound perfusion imaging regions of interests of the ischemic hemisphere were classified as normal, and 52 as hypoperfused or nonperfused. Ten regions of interests were excluded due to artifacts. There was a significant correlation of the ultrasound perfusion imaging and magnetic resonance perfusion or perfusion computed tomography (Pearson`s chi-squared test 79.119, p < 0.001) (OR 0.1065, 95% CI 0.06-0.18). No perfusion in ultrasound perfusion imaging (18 regions of interests) correlated highly with diffusion restriction on magnetic resonance imaging (Pearson's chi-squared test 42.307, p < 0.001). Analysis of receiver operating characteristics proved a high sensitivity of ultrasound perfusion imaging in the diagnosis of hypoperfused area under the curve, (AUC = 0.917; p < 0.001) and nonperfused (AUC = 0.830; p < 0.001) tissue in comparison with perfusion computed tomography and magnetic resonance perfusion. We present a proof of concept in determining normo-, hypo-, and nonperfused tissue in acute stroke by advanced contrast-enhanced ultrasound perfusion imaging.
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Reproduced by Armed Services Technical Information Agency, Arlington, Va.
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Mode of access: Internet.
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Plates 1-2 are accompanied by leaf with descriptive letter-press.
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Includes indexes.
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Background: Qualitative interpretation of myocardial contrast echocardiography (MCE) improves the accuracy of wall-motion analysis for assessment of coronary artery disease (CAD). We examined the feasibility and accuracy of quantitative MCE for diagnosis of CAD. Methods: Dipyridamole/exercise stress MCE (destruction-replenishment protocol with real-time imaging) was performed in 90 patients undergoing quantitative coronary angiography, 48 of whom had significant (> 50%) stenoses. MCE was repeated with exercise alone in 18 patients. Myocardial blood flow (A*beta) was obtained from blood volume (A) and time to refill (beta). Results: Quantification of flow reserve was feasible in 88%. The mean A*beta reserve in the anterior wall was significantly impaired for patients with left anterior descending coronary artery disease (n = 28) compared with those with no disease (1.6 +/- 1.2 vs; 4.0 +/- 2.5, P <=.001). This reflected impaired beta reserve, with no difference in the A reserve. Applying a receiver operating characteristic curve derived cutoff of 2.0 for A*beta reserve, quantitative MCE was 76% sensitive and 71% specific for the diagnosis of significant left anterior descending coronary artery stenosis. Posterior circulation results were similar, with 78% sensitivity and 59% specificity for detection of posterior CAD. Overall, quantitative MCE was similarly sensitive to qualitative approach for diagnosis of CAD (88% vs 93%), but with lower specificity (52% vs 65%, P =.07). In 18 patients restudied with pure exercise stress, the mean myocardial blood flow reserve was less than after combined stress (2.1 +/- 1.6 vs 3.7 +/- 1.9, P =.01). Conclusion: Quantitative MCE is feasible for the diagnosis of CAD with dipyridamole/exercise stress. Dipyridamole prolongs postexercise hyperemia, augmenting the degree of hyperemia at the time of imaging.
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Objective: To use quantitative myocardial contrast echocardiography (MCE) and strain rate imaging (SRI) to assess the role of microvascular disease in subclinical diabetic cardiomyopathy. Methods: Stress MCE and SRI were performed in 48 patients (22 with type II diabetes mellitus (DM) and 26 controls), all with normal left ventricular systolic function and no obstructive coronary disease by quantitative coronary angiography. Real-time MCE was acquired in three apical views at rest and after combined dipyridamole-exercise stress. Myocardial blood flow (MBF) was quantified in the 10 mid- and apical cardiac segments at rest and after stress. Resting peak systolic strain rate (SR) and peak systolic strain (epsilon) were calculated in the same 10 myocardial segments. Results: The DM and control groups were matched for age, sex and other risk factors, including hypertension. The DM group had higher body mass index and left ventricular mass index. Quantitative SRI analysis was possible in all patients and quantitative MCE in 46 (96%). The mean e, SR and MBF reserve were all significantly lower in the DM group than in controls, with diabetes the only independent predictor of each parameter. No correlation was seen between MBF and SR (r = -0.01, p = 0.54) or between MBF and epsilon ( r = -0.20, p = 0.20). Conclusions: Quantitative MCE shows that patients with diabetes but no evidence of obstructive coronary artery disease have impaired MBF reserve, but abnormal transmural flow and subclinical longitudinal myocardial dysfunction are not related.