994 resultados para New Testament


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Dr. Vernon Stauffer [left], Dean and Professor of New Testament and Church History and unidentified on the California Christian College campus [later Chapman College], Los Angeles, California, 1921.

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Cette présente recherche vise à défendre le point de vue selon lequel le don de l’Esprit dans le récit de la Pentecôte (Ac 2, 1-13) s’interprète principalement comme l’investissement d’une puissance habilitant au témoignage. À cette fin, nous posons l’hypothèse que le contenu d’Ac 2, 17-21 est un axe fondamental de la théologie pneumatique de l’œuvre lucanienne, lequel interprète la manifestation pentecostale dans une perspective prophétique. La démonstration se fait par le biais d’une analyse rédactionnelle d’Ac 2, 17-21, une citation de Jl 3,1-5 insérée dans un discours explicatif de Pierre du phénomène pentecostal. Nous examinons d’abord le lieu d’inscription de ce passage dans l’œuvre lucanienne afin d’évaluer la valeur stratégique de son emplacement (chapitre 1). Nous étudions ensuite l’interprétation que fait Luc de cette prophétie pour en venir à la conclusion qu’il envisage l’intervention de l’Esprit essentiellement dans une perspective d’habilitation à la prophétie (chapitre 2). Nous vérifions cette première conclusion dans l’Évangile de Luc (chapitre 3); puis ensuite dans les Actes des Apôtres (chapitre 4). Nous en arrivons ainsi à établir un parallélisme entre les étapes initiatiques du ministère de Jésus dans le troisième évangile et celui des disciples dans les Actes, pour y découvrir que, dans les deux cas, l’effusion de l’Esprit habilite à l’activité prophétique. Le ministère des disciples s’inscrit de la sorte dans le prolongement de celui du Maître. Nous soutenons, en fait, que tout le discours pneumatique de l’Évangile de Luc converge vers l’effusion initiale de l’Esprit sur les disciples dans le récit pentecostal, d’une part, et que cette effusion jette un éclairage sur l’ensemble de l’œuvre missionnaire des Actes, d’autre part. Bref, le passage explicatif du phénomène pentecostal, en l’occurrence Ac 2, 17-21, met en lumière un axe central des perspectives de Luc sur l’Esprit : Il s’agit de l’Esprit de prophétie. Dans cette optique, l’effusion de l’Esprit à la Pentecôte s’interpréterait essentiellement comme l’investissement du croyant d’une puissance en vue du témoignage.

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La théologie catholique affirme que Jésus, médiateur par excellence, est la Révélation plénière de Dieu à son peuple. Cependant, il y a eu au fil des siècles des révélations dites «privées», dont certaines ont été reconnues par l’autorité de l’Église. Le cas des révélations privées non reconnues a toujours été générateur de malentendus et de conflits froids et parfois ouverts entre l’autorité de l’Église et certains fidèles. En contexte africain, où le christianisme se greffe sur la culture traditionnelle, cette question de révélations privées est importante car elle imprègne la religion ancestrale. Dans notre contexte où le Christianisme semble avoir le vent en poupe, on se demande quelque rapport y a-t-il entre foi et expérience individuelle de révélation privée; la révélation privée est-elle un couronnement d’une vie de foi bien menée sous le regard du Seigneur et des hommes? Comment Dieu se manifeste-t-il aux hommes et comment en rendre compte sans faire face à l’adversité? Avec l’étude de l’expérience de Paul en 2Co 12, 1-10, il y a lieu de revenir sur la théologie catholique au sujet de la Révélation en rapport avec les révélations pour voir comment elle s’est articulée, à partir de la Bible, au fil des temps, en fonction des cultures et des réalités sans cesse nouvelles. À la base de cette théologie, on peut trouver en bonne position l’influence herméneutique de l’expérience mystique de Paul. Une révélation privée comme celle qu’il vit, fait toujours face à des doutes ou des attitudes sceptiques parfois tenaces pour se préciser après coup et fonder en raison son apport par rapport au Christ et à la vie ecclésiale. Si le jugement de l’Église est important pour son insertion dans la vie des communautés, toutefois, il faut dire qu’il n’est pas déterminant. Tout se joue entre Dieu et la personne certes, mais la qualité des fruits de ce jeu spirituel étant garante de la crédibilité de la révélation. Dieu, qui sait toujours communiquer avec son peuple sous des formes variées, en est capable en tout temps et selon le mode qu’il se donne. Pour mieux parler de l’expérience de Paul en 2Co 12,1-10, les démarches historico-critique et narrative ont été d’une utilité complémentaire en vue d’authentifier dans la péricope ce qu’il convient d’appeler : la mystique de Paul. Le témoignage spirituel de Paul peut servir de paradigme pour les personnes et d’éclairage pour l’Église dans le discernement des phénomènes de révélation privée aujourd’hui. Paul vit une relation forte avec le Dieu de Jésus Christ, il la fait vivre à ses communautés; quoiqu’il advienne, il n’hésite pas à en rendre compte et à la communauté, et à Pierre et aux autres. Sa vie intensément mystique, ne le soustrait pas de la démarche ecclésiale pour défendre ses révélations.

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Pour Simone Weil, le malheur est « quelque chose de spécifique, irréductible à toute autre chose, comme les sons, dont rien ne peut donner aucune idée à un sourd-muet ». Il s’apparente à un sacrement, à un rite sacré susceptible de rapprocher l’homme du divin. Et si la pensée weilienne se révèle non-conformiste pour aborder la figure du malheur, c’est parce qu’elle ne se limite pas à une tradition unique, mais trouve écho tant dans la religion chrétienne et le Nouveau Testament que dans la philosophie grecque de l’antiquité – principalement le stoïcisme et le platonisme – et dans certains textes orientaux tels que la Bhagavad-Gîtâ et le Tao Te King. Par un singulier amalgame de ces influences, Weil donne naissance à une méthode spirituelle dont une des étapes fondamentales est le malheur, thème très fécond pour dénouer et affronter le dialogue entre spiritualité et contemporanéité. Parce que cette méthode ne peut pleinement être appréhendée que sur la frontière de l’athéisme et de la croyance religieuse, approfondir ses implications permet d’interroger les traces du sacré dans les civilisations occidentales. Retracer les étapes de son développement permet également de sonder le rapport qu’entretiennent les hommes avec le malheur, ainsi que de porter un regard sensible sur une époque où l’actualité fait souvent état des malheureux alors que le malheur d’autrui semble être une réalité à fuir.

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Le présent mémoire a comme sujet l'analyse et la caractérisation de la pensée de Paul sur la parousie (la deuxième venue du Seigneur) et l'étude de l'interprétation de cette pensée dans la théologie contemporaine,telle que représentée par Rudolf Bultmann, tenant de la démythologisation, et les théologiens de la libération Ignacio Ellacuria et Jon Sobrino. Les éléments clés de la parousie sont décrits principalement en Matthieu 25,31-46, 1 Cor 15,20-28, 1 Thess 4,13-18, 2 Thess 2,1-12. D'après Paul, « Le Seigneur, au signal donné, à la voix de l'archange et au son de la trompette de Dieu, descendra du ciel ». La principale question du mémoire porte sur cette vision paulinienne: Est-ce que la deuxième venue du Seigneur d'après la description paulinienne est encore crédible pour l'homme contemporain ou est-ce qu'il s'agit d'un élément mythologique non essentiel à la foi chrétienne? Bultmann considère que la parousie est un mythe : à ce jour, la parousie ne s'est pas produite, et elle ne se produira jamais. Le kérygme est le seul élément que Bultmann considère comme valide. « The kerygma is the proclamation of the decisive act of God in Christ ». Par contraste, Ellacuria est d'avis que l'élément eschatologique est essentiel pour comprendre l'histoire, car cette dernière est orientèe vers la fin. De manière analogue, Sobrino présente le Royaume de Dieu comme étant un élément clé de l'eschatologie. La théologie de la libération présente également la parousie comme un élément à venir qui représente l'implantation intégrale du Royaume de Dieu et qui devrait se comprendre comme une perspective eschatologique au-delà de l'imagerie de la parousie.

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Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

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La contribution intellectuelle d’Érasme de Rotterdam (ca 1466-1536), en particulier dans les domaines exégétique, philologique et littéraire, a été décisive pour l’histoire des idées et l’évangélisme humaniste. Ses "Paraphrases sur le Nouveau Testament", visant principalement à clarifier le propos des saintes Écritures, représentent l’aboutissement de tout son travail exégétique. Davantage qu’un commentaire savant, elles ont contribué à diffuser la piété et le savoir biblique chez les laïcs, ce qui explique le franc succès qu’elles ont remporté au XVIe siècle. Toutefois, la question de leur réception et de leur diffusion en langue française reste encore peu explorée. La "Paraphrase sur l’épître de Paul aux Romains" a eu une importance toute particulière dans le contexte de la Réforme religieuse. Elle a été traduite du latin au français dans un manuscrit rédigé en 1526 par Hubert Kerssan, chanoine de Nivelles, dans le Brabant wallon. Destinée sans doute à un usage privé ou, du moins, à une diffusion plus restreinte, cette traduction est restée dans l’ombre jusqu’à aujourd’hui et son existence même est encore inconnue de la critique, d’où notre projet de la rendre accessible grâce à l’établissement d’une édition critique. Ce travail éditorial a été l’occasion d’étudier la traduction de Kerssan en regard du texte original, ce qui nous a permis de déterminer comment elle s’en distingue, de même que de réfléchir au choix du mode de diffusion manuscrit dans le contexte humaniste du XVIe siècle. Après près de cinq siècles, le manuscrit de Nivelles peut enfin acquérir une certaine visibilité. Il saura contribuer à l’étude de la réception et de la diffusion de la pensée érasmienne dans les milieux francophones en Europe ainsi qu’aux problèmes théologiques et culturels posés par l’œuvre d’Érasme.

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La création cinématographique de l’étudiant qui accompagne ce mémoire sous la forme d’un DVD est disponible à la Médiathèque de la Bibliothèque des lettres et sciences humaines sous le titre : She is Lars.(http://atrium.umontreal.ca/notice/UM-ALEPH002343877)

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Réalisé en cotutelle avec L'Université Bordeaux-Montaigne

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Why did the Greeks of the Roman period make such extensive use of the vocative κύριε, when Greeks of earlier periods had been content with only one vocative meaning ‘master’, δέσποτα? This study, based primarily on a comprehensive search of documentary papyri but also making extensive use of literary evidence (particularly that of the Septuagint and New Testament), traces the development of both terms from the classical period to the seventh century AD. It concludes that κύριε was created to provide a translation for Latin domine, and that domine, which has often been considered a translation of κύριε, had a Roman origin. In addition, both κύριε and domine were from their beginnings much less deferential than is traditionally supposed, so that neither term underwent the process of ‘weakening’ which converted English ‘master’ into ‘Mr’. δέσποτα, which was originally far more deferential than the other two terms, did undergo some weakening, but not (until a very late period) as much as is usually supposed. These findings in turn imply that Imperial politeness has been somewhat misunderstood and suggest that the Greeks of the first few centuries AD were much less servile in their language than is traditionally assumed.

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Ιn the eighteenth century the printing of Greek texts continued to be central to scholarship and discourse. The typography of Greek texts could be characterised as a continuation of French models from the sixteenth century, with a gradual dilution of the complexity of ligatures and abbreviations, mostly through printers in the Low Countries. In Britain, Greek printing was dominated by the university presses, which reproduced conservatively the continental models – exemplified by Oxford's Fell types, which were Dutch adaptations of earlier French models. Hindsight allows us to identify a meaningful development in the Greek types cut by Alexander Wilson for the Foulis Press in Glasgow, but we can argue that in the middle of the eighteenth century Baskerville was considering Greek printing the typographic environment was ripe for a new style of Greek types. The opportunity to cut the types for a New Testament (in an twin edition that included a generous octavo and a large quarto version) would seem perfect for showcasing Baskerville's capacity for innovation. His Greek type maintained the cursive ductus of earlier models, but abandoned complex ligatures and any hint of scribal flourish. He homogenised the modulation of the letter strokes and the treatment of terminals, and normalised the horizontal alignments of all letters. Although the strokes are in some letters too delicate, the narrow set of the style composes a consistent, uniform texture that is a clean break from contemporaneous models. The argument is made that this is the first Greek typeface that can be described as fully typographic in the context of the technology of the time. It sets a pattern that was to be followed, without acknowledgement, by Richard Porson nearly a century and a half later. The typeface received little praise by typographic historians, and was condemned by Victor Scholderer in his retrospective of Greek typography. A survey of typeface reviews in the surrounding decades establishes that the commentators were mostly reproducing the views of an arbitrary typographic orthodoxy, for which only types with direct references to Renaissance models were acceptable. In these comments we detect a bias against someone considered an arriviste in the scholarly printing establishment, as well as a conservative attitude to typographic innovation.

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In this paper I have attempted to explore "covenant" in faith and history, as it extends throughout the entire framework of the Bible and the entire history of the people who produced it. With such a monstrous topic, a comprehensive analysis of the material could take a lifetime to do it justice. Therefore, I have taken a very specific approach to the material in order to investigate the evolution of covenant from the Hebrew Bible (Old Testament) to the Christian Scriptures (New Testament). I have made every effort to approach this thesis as a text-based, non-doctrinal discussion. However, having my own religious convictions, it has, at times, been difficult to recognize and escape my biases. Nevertheless, I am confident that this final product is, for the most part, objective and free from dogmatism. Of course, I have brought my own perspective and understanding to the material, which may be different from the reader's, so there may be matters of interpretation on which we differ, but c 'est fa vie in the world of religious dialogue. The structure of this paper is symmetrical: Part I examines the traditions of the Torah and the Prophets; Part II, the Gospels and Paul's letters. I have balanced the Old Testament against the New Testament (the Torah against the Gospels; the Prophets against Paul) in order to give approximately equal weight to the two traditions, and establish a sense of parallelism in the structure of my overall work. A word should also be said about three matters of style. First, instead of the customary Christian designation of time as B.C. or A.D., I have opted to use the more modem B.C.E. (Before the Common Era) and C.E. (Common Era) notations. This more recent system is less traditional; however, more acceptable in academic and, certainly, more appropriate for a non-doctrinal discussion. Second, in the body of this paper I have chosen to highlight several texts using a variety of colors. This highlighting serves (1) to call the reader's attention to specific passages, and (2) to compare the language and imagery of similar texts. All highlighting has been added to the texts at my own discretion. Finally, the divine name, traditionally vocalized as "Yahweh," is a verbal form of the Hebrew "to be," and means, approximately, "I am who I am." This name was considered too holy to pronounce by the ancient Israelites, and, the word adonai ("My LORD") was used in its stead. In respect of this tradition, I have left the divine name in its original Hebrew form. Accordingly, should be read as "the LORD" throughout this paper. All Hebrew and Greek translations, where they occur, are my own. The Greek translations are based on the New Revised Standard Version (NRSV) of the Bible.

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In recent years, the Synoptic Problem has become an important focus of New Testament scholarship. The Two-Document Hypothesis, although still widely accepted as the solution, has recently been challenged by a variety of source hypotheses, most notably the Griesbach hypothesis. In effect, the Synoptic Problem has become an open question for an increasing number of scholars. This project analyzes four significant pericopae, the Empty Tomb Tradition, the Kingdom Parables Discourse, the Synoptic Apocalypse, and the Transfiguration Narrative, in an attempt to determine priority and dependence among the synoptic Gospels. The study does not presuppose a particular source theory, although it does evaluate specific ones when applicable. The aim of the study is to conduct an analysis of a limited but representative amount of synoptic material in order to develop a working hypothesis concerning synoptic relationships.

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Conselho Nacional de Desenvolvimento Científico e Tecnológico (CNPq)