Changes in the storage and sink of carbon dioxide in subsurface atmospheres controlled by climate-driven processes: the case of the Ojo Guareña karst system

A comprehensive environmental monitoring program was conducted in the Ojo Guareña cave system (Spain), one of the longest cave systems in Europe, to assess the magnitude of the spatiotemporal changes in carbon dioxide gas (CO2) in the cave–soil–atmosphere profile. The key climate-driven processes involved in gas exchange, primarily gas diffusion and cave ventilation due to advective forces, were characterized. The spatial distributions of both processes were described through measurements of CO2 and its carbon isotopic signal (δ13C[CO2]) from exterior, soil and cave air samples analyzed by cavity ring-down spectroscopy (CRDS). The trigger mechanisms of air advection (temperature or air density differences or barometric imbalances) were controlled by continuous logging systems. Radon monitoring was also used to characterize the changing airflow that results in a predictable seasonal or daily pattern of CO2 concentrations and its carbon isotopic signal. Large daily oscillations of CO2 levels, ranging from 680 to 1900 ppm day−1 on average, were registered during the daily oscillations of the exterior air temperature around the cave air temperature. These daily variations in CO2 concentration were unobservable once the outside air temperature was continuously below the cave temperature and a prevailing advective-renewal of cave air was established, such that the daily-averaged concentrations of CO2 reached minimum values close to atmospheric background. The daily pulses of CO2 and other tracer gases such as radon (222Rn) were smoothed in the inner cave locations, where fluctuation of both gases was primarily correlated with medium-term changes in air pressure. A pooled analysis of these data provided evidence that atmospheric air that is inhaled into dynamically ventilated caves can then return to the lower troposphere as CO2-rich cave air.

Caractérisation du syndrome de chevauchement de l’asthme et de la maladie pulmonaire obstructive chronique

Maladies fréquentes, l’asthme touche 8,4% de la population canadienne âgée de 12 ans et plus et la maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC) touche de 5 à 15% de la population âgée entre 35 et 79 ans. L’asthme et la MPOC peuvent coexister chez un patient. Ce phénomène appelé syndrome de chevauchement de l’asthme et de la MPOC (ACOS) toucherait environ 10% à 55% des patients MPOC. Afin de mieux caractériser l’ACOS et les effets indésirables des médicaments utilisés pour traiter la MPOC, deux études ont été mises en place. Une première étude réalisée auprès de pneumologues a permis de décrire les méthodes de diagnostic, de traitement et d’évaluation de la maitrise de l’ACOS dans la pratique clinique. Les pneumologues rapportent que le diagnostic devrait être basé sur les caractéristiques cliniques, les tests de fonction pulmonaire et l'intuition clinique du médecin. De plus, un corticostéroïde inhalé en combinaison et un bronchodilatateur inhalé à longue durée d’action devraient être introduits rapidement dans le plan de traitement. La deuxième étude a permis d’évaluer la fréquence des effets indésirables chez les patients MPOC/ACOS traités avec un bronchodilatateur inhalé à longue durée d’action. Cette étude démontre que les effets indésirables sont fréquents chez les patients MPOC/ACOS et que la sécheresse buccale et la gorge sèche sont les plus rapportés. Ces résultats démontrent que la mise en place de lignes directrices pour l’ACOS ainsi qu’une meilleure connaissance du profil de tolérance des bronchodilatateurs inhalés à longue durée d’action seraient bénéfiques pour les patients

Emergence and fate of siloxanes in waste streams: Release mechanisms, partitioning and persistence in three environmental compartments

Siloxanes are widely used in personal care and industrial products due to their low surface tension, thermal stability, antimicrobial and hydrophobic properties, among other characteristics. Volatile methyl siloxanes (VMS) have been detected both in landfill gas and biogas from anaerobic digesters at wastewater treatment plants. As a result, they are released to gas phase during waste decomposition and wastewater treatment. During transformation processes of digester or landfill gas to energy, siloxanes are converted to silicon oxides, leaving abrasive deposits on engine components. These deposits cause increased maintenance costs and in some cases complete engine overhauls become necessary. ^ The objectives of this study were to compare the VMS types and levels present in biogas generated in the anaerobic digesters and landfills and evaluate the energetics of siloxane transformations under anaerobic conditions. Siloxane emissions, resulting from disposal of silicone-based materials, are expected to increase by 29% within the next 10 years. Estimated concentrations and the risk factors of exposure to siloxanes were evaluated based on the initial concentrations, partitioning characteristics and persistence. It was determined that D4 has the highest risk factor associated to bioaccumulation in liquid and solid phase, whereas D5 was highest in gas phase. Additionally, as siloxanes are combusted, the particle size range causes them to be potentially hazardous to human health. When inhaled, they may affix onto the alveoli of the lungs and may lead to development of silicosis. Siloxane-based COD-loading was evaluated and determined to be an insignificant factor concerning COD limits in wastewater. ^ Removal of siloxane compounds is recommended prior to land application of biosolids or combustion of biogas. A comparison of estimated costs was made between maintenance practices for removal of siloxane deposits and installation/operation of fixed-bed carbon absorption systems. In the majority of cases, the installation of fixed-bed adsorption systems would not be a feasible option for the sole purpose of siloxane removal. However they may be utilized to remove additional compounds simultaneously.^

Caractérisation du syndrome de chevauchement de l’asthme et de la maladie pulmonaire obstructive chronique

Maladies fréquentes, l’asthme touche 8,4% de la population canadienne âgée de 12 ans et plus et la maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC) touche de 5 à 15% de la population âgée entre 35 et 79 ans. L’asthme et la MPOC peuvent coexister chez un patient. Ce phénomène appelé syndrome de chevauchement de l’asthme et de la MPOC (ACOS) toucherait environ 10% à 55% des patients MPOC. Afin de mieux caractériser l’ACOS et les effets indésirables des médicaments utilisés pour traiter la MPOC, deux études ont été mises en place. Une première étude réalisée auprès de pneumologues a permis de décrire les méthodes de diagnostic, de traitement et d’évaluation de la maitrise de l’ACOS dans la pratique clinique. Les pneumologues rapportent que le diagnostic devrait être basé sur les caractéristiques cliniques, les tests de fonction pulmonaire et l'intuition clinique du médecin. De plus, un corticostéroïde inhalé en combinaison et un bronchodilatateur inhalé à longue durée d’action devraient être introduits rapidement dans le plan de traitement. La deuxième étude a permis d’évaluer la fréquence des effets indésirables chez les patients MPOC/ACOS traités avec un bronchodilatateur inhalé à longue durée d’action. Cette étude démontre que les effets indésirables sont fréquents chez les patients MPOC/ACOS et que la sécheresse buccale et la gorge sèche sont les plus rapportés. Ces résultats démontrent que la mise en place de lignes directrices pour l’ACOS ainsi qu’une meilleure connaissance du profil de tolérance des bronchodilatateurs inhalés à longue durée d’action seraient bénéfiques pour les patients