879 resultados para Heifer pregnancy


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L’objectif de la présente étude était d’évaluer un test d’estérase leucocytaire (LE) pour le diagnostic de l’endométrite subclinique chez les vaches Holstein en période postpartum. Les tests effectués à partir d’échantillons provenant soit de l’endomètre (UtLE) ou du col utérin (CxLE) ont été comparés à la cytologie endométriale (CE). Par ailleurs, deux méthodes d’évaluation des lames ont été comparées. Deux cent quatre vingt-cinq vaches Holstein de 5 troupeaux laitiers commerciaux ont été évaluées entre 21 et 47 jours en lait (JEL). Soixante sept vaches ont été diagnostiquées avec une endométrite clinique suite à un examen transrectal et vaginoscopique et ont été exclues de l’étude. Deux cent dix-huit vaches ont eu des prélèvements pour la CE et le test LE. La fonction ovarienne a été déterminée à la palpation transrectale. La banque de données utilisée pour chacune des vaches a été effectuée à partir du logiciel DSA (Dossier de Santé Animale) laitier. Le pourcentage de neutrophiles était significativement corrélé avec les scores de LE utérin et cervical. L’activité de CxLE et UtLE diminuait significativement avec les JEL, mais n’était pas associée au risque de gestation à 90 JEL (n= 186). Le pourcentage de neutrophiles mesuré à la CE entre 32 et 47 JEL était associé significativement au risque de gestation à 90 JEL (n=94, P=0.04). Pour la même période, selon une analyse de survie, les vaches avec >2,6% de neutrophiles à la CE étaient définies comme étant atteintes d’une endométrite subclinique avec une prévalence de 56%. Les résultats indiquent que le test d’estérase utérin ou cervical a une bonne concordance avec le pourcentage de neutrophiles à la CE. Une endométrite subclinique diagnostiquée par cytologie endometriale entre 32 et 47 JEL est associée à une réduction du risque de gestation au premier service.

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Selon les lignes directrices de traitement de l'asthme pendant la grossesse, les beta2-agonistes inhalés à courte durée d’action (SABA) sont les médicaments de choix pour tous les types d’asthme [intermittent, persistant, léger, modéré et sévère] comme médicaments de secours rapide et dans la gestion des exacerbations aiguës. D’autre part, les beta2-agonistes inhalés à longue durée d’action (LABA) sont utilisés pour les patients atteints d'asthme persistant, modéré à sévère, qui ne sont pas entièrement contrôlés par des corticostéroïdes inhalés seuls. Malgré que plusieurs études aient examinées l’association entre les LABA, les SABA et les malformations congénitales chez les nouveau-nés, les risques réels restent controversés en raison de résultats contradictoires et des difficultés inhérentes à la réalisation d'études épidémiologiques chez les femmes enceintes. L'objectif de cette étude était d'évaluer l'association entre l'exposition maternelle aux SABA et LABA pendant le premier trimestre de grossesse et le risque de malformations congénitales chez les nouveau-nés de femmes asthmatiques. Une cohorte de grossesses de femmes asthmatiques ayant accouchées entre le 1er janvier 1990 et le 31 décembre 2002 a été formée en croisant trois banques de données administratives de la province de Québec (Canada). Les issues principales de cette étude étaient les malformations congénitales majeures de touts types. Comme issues secondaires, nous avons considéré des malformations congénitales spécifiques. L'exposition principale était la prise de SABA et/ou de LABA au cours du premier trimestre de grossesse. L'exposition secondaire étudiée était le nombre moyen de doses de SABA par semaine au cours du premier trimestre. L'association entre les malformations congénitales et la prise de SABA et de LABA a été évaluée en utilisant des modèles d’équations généralisées (GEE) en ajustant pour plusieurs variables confondantes reliées à la grossesse, l’asthme de la mère et la santé de la mère et du foetus. Dans la cohorte formée de 13 117 grossesses de femmes asthmatiques, nous avons identifié 1 242 enfants avec une malformation congénitale (9,5%), dont 762 avaient une malformation majeure (5,8%). Cinquante-cinq pour cent des femmes ont utilisé des SABA et 1,3% ont utilisé des LABA pendant le premier trimestre. Les rapports de cotes ajustées (IC à 95%) pour une malformation congénitale associée à l'utilisation des SABA et des LABA étaient de 1,0 (0,9-1,2) et 1,3 (0,9-2,1), respectivement. Les résultats correspondants étaient de 0,9 (0,8-1,1) et 1,3 (0,8-2,4) pour les malformations majeures. Concernant le nombre moyen de doses de SABA par semaine, les rapports de cotes ajustées (IC à 95%) pour une malformation congénitale était de 1.1 (1.0-1.3), 1.1 (0.9-1.3), et 0.9 (0.7-1.1) pour les doses >0-3, >3-10, and >10 respectivement. Les résultats correspondants étaient de 1.0 (0.8-1.2), 0.8 (0.7-1.1), et 0.7 (0.5-1.0) pour les malformations majeures. D'autre part, des rapports de cotes (IC à 95%) statistiquement significatifs ont été observés pour les malformations cardiaques (2.4 (1.1-5.1)), les malformations d'organes génitaux (6.8 (2.6-18.1)), et d'autres malformations congénitales (3.4 (1.4 à 8.5)), en association avec les LABA pris pendant le premier trimestre. Notre étude procure des données rassurantes pour l’utilisation des SABA pendant la grossesse, ce qui est en accord avec les lignes directrices de traitement de l’asthme. Toutefois, d'autres études sont nécessaires avant de pouvoir se prononcer sur l’innocuité des LABA pendant la grossesse.

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Résumé: Les anti-infectieux sont parmi les médicaments les plus utilisés pendant la grossesse. Les indications pour l’utilisation de ces médicaments, telles que les infections bactériennes, figurent parmi les facteurs de risque les plus importants pour la prématurité et les enfants nés petits pour l'âge gestationnel («Small-for-gestational-age », SGA). Ces complications de la grossesse peuvent avoir des incidences sur la santé du nouveau né et sur son développement futur. Compte tenu des impacts sur la santé de la mère et de l’enfant, la prise en charge et le traitement efficace de ces infections sont impératifs. Cependant, l'utilisation des anti-infectieux, pour éviter des issues de grossesse défavorables, fait l’objet d’une controverse dans la littérature. Cette controverse est en partie liée à la qualité méthodologique discutable des études disponibles sur le sujet. Les quatre études présentées dans cette thèse ont donc pour objectif d’investiguer l’utilisation des anti-infectieux durant la grossesse ainsi que d’évaluer le risque de prématurité et de SGA après utilisation de ces médicaments en période gestationnelle. Une révision systématique de la littérature sur l’utilisation du métronidazole durant la grossesse est également présentée. Nous avons utilisé, comme source de données le Registre des Grossesses du Québec, une cohorte longitudinale conçue à partir du jumelage de trois bases de données administratives de la province du Québec (RAMQ, Med-Echo et ISQ). Le registre fournit des informations sur les prescriptions, les services pharmaceutiques et médicaux, ainsi que des donnés sur les soins d’hospitalisation de courte durée et démographiques. Les deux premières études présentées dans cette thèse ont eu pour objectif d’évaluer la prévalence, les tendances, les indications et les prédicteurs de l’utilisation des anti-infectieux dans une cohorte, extraite du registre, de 97 680 femmes enceintes. A l’aide d’un devis cas-témoins, les 2 dernières études ont mesuré l’association entre l’utilisation d’anti-infectieux durant les 2 derniers trimestres de grossesse et le risque de prématurité et de SGA, respectivement. Un cas de prématurité a été défini comme un accouchement survenu avant 37 semaines de gestation. Un cas de SGA a été défini comme l’accouchement d’un enfant dont le poids à la naissance se situe sous le 10ème percentile du poids normalisé à la naissance (compte tenu de l’âge gestationnel et du sexe du bébé). Les données ont été recueillies pour les agents systémiques oraux, ainsi que pour les classes et les agents individuels. Nos résultats ont montré que la prévalence de l’utilisation des anti-infectieux durant la grossesse était comparable à celle d’autres études déjà publiées (25%). Nous avons observé une augmentation de l’utilisation des agents plus anciens et ayant des profils d’innocuité connus. Les prédicteurs de l’usage en début de grossesse identifiés sont : avoir eu plus de deux différentes prescriptions (OR ajusté = 3,83, IC 95% : 3,3-4,3), avoir eu un diagnostic d’infection urinaire (OR= 1,50, IC 95% : 1,3-1,8) et un diagnostic d’infection respiratoire (OR= 1,40, IC 95% : 1,2-1,6). L’utilisation des macrolides a été associée à une diminution du risque de prématurité (OR =0,65, IC 95% : 0,50-0,85). En revanche, les femmes ayant été exposées au métronidazole ont vu leur risque augmenté de 80% (OR=1,81, IC 95% : 1,30-2,54). L’utilisation d’azithromycine a été associée à une diminution importante du risque chez les femmes ayant un diagnostic de rupture prématurée des membranes (OR=0,31, IC 95% : 0,10-0,93). Cependant, l'utilisation de sulfaméthoxazole-triméthoprime (SXT) a été significativement associée à une augmentation du risque de SGA (OR= 1,61, IC 95% : 1,16-2,23), tandis que celle des anti-infectieux urinaires a été associée à une diminution du risque (OR= 0,80, 95%CI : 0.65-0.97). Les conclusions de nos travaux suggèrent que l’utilisation des macrolides et des pénicillines diminuent le risque de prématurité et de SGA. Nous devons considérer l'utilisation de différents choix thérapeutiques tels que l’azithromycine, lors de la prise en charge des infections pouvant induire la prématurité et le SGA.

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Cette thèse porte sur l’évaluation de l’impact de certains composés environnementaux sur la fécondité féminine, tel que mesuré par le délai de conception (« time to pregnancy » en anglais, ou TTP). Cette recherche a été réalisée dans le cadre de l’Étude mère-enfant sur les composés chimiques de l’environnement (MIREC), une cohorte de grossesse de 2001 femmes recrutées durant le premier trimestre dans dix villes canadiennes de 2008 à 2011. Les données des questionnaires et les échantillons biologiques ont servi à évaluer l’effet de deux groupes de composés : les persistants [composés perfluorés – perfluorooctanesulfonate (PFOS), perfluorooctanoate (PFOA) et perfluorohexane sulfonate (PFHxS)] et les non persistants (bisphénol A, triclosan et phtalates). Cette thèse comprend également une analyse du potentiel du ratio index-annulaire (2D:4D) comme mesure de sensibilité endocrinienne. À ce jour, des mesures anthropométriques ont été collectées sur environ 800 mères-enfants dans le cadre de l’Étude mère-enfant sur les composés chimiques de l’environnement : biomonitoring et neurodéveloppement à la petite enfance (MIREC CD Plus), un suivi de la cohorte MIREC portant sur la croissance et le développement des enfants jusqu’à 5 ans. Sur l’ensemble, les résultats de cette thèse permettent d’étoffer les preuves concernant les effets adverses potentiels de plusieurs contaminants environnementaux sur la fécondité féminine, telle que mesurée par le TTP. Dans le premier article, nous avons montré une association entre les PFOA et les PFHxS et une baisse de fécondité, ce que d’autres recherches avaient déjà révélé. Dans le deuxième article, nous avons évalué l’effet du triclosan sur le TTP, ce qui n’avait jamais été examiné, pour montrer un délai plus élevé chez les femmes du quartile supérieur d’exposition. De plus, nos résultats sont en accord avec ceux de la seule étude ayant évalué l’effet du Bisphénol A sur la fécondité féminine, qui n’avait pas détecté d’effet. Finalement, nos données semblent indiquer une association entre l’exposition des femmes aux phtalates et un TTP plus court, mais ces résultats ne sont pas statistiquement significatifs. En ce qui a trait au potentiel du ratio index-annuaire (2D:4D) pour mesurer la sensibilité endocrinienne chez les femmes, nos données ne permettent pas d’établir une association entre ce ratio et le TTP. Pour ce qui est des enfants, nous n’avons pas trouvé d’effet adverse entre le tabagisme de la mère durant la grossesse et leur ratio 2D:4D. Par conséquent, nos données ne semblent pas justifier l’utilisation du ratio 2D:4D pour mesurer la sensibilité endocrinienne en lien avec le potentiel reproducteur (basé sur le TTP) ou l’exposition des enfants au tabac durant le premier trimestre de grossesse.

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The present paper aimed to investigate how adolescents with pregnancy experience evaluate received support from their families in comparison with an adolescent group without pregnancy experience. 452 low income adolescents, both sex, aged 14 to 19 years old answered to a questionnaire. The results revealed that more girls (64.2 %) than boys (35.8 %) declared pregnancy experience, ?2 (2, n = 2617) = 48.32, p < .001. Moreover, it was observed that the group with pregnancy experience, in comparison with other group, revealed more perception on the family relationships safety, t (408) = -3.0, p < .01; mutual respect among family members in their homes, t (392) = -2.3, p < .05; and received stronger general support from their family, t (397) = -1,3, p < .05. These results are discussed.

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Adolescent pregnancy is a current problem which raises concern due to its individual, familiar and collective consequences. Fifteen million adolescents give birth each year in the world. Abortion is the preferred option used in unwanted pregnancies. Adolescent pregnancy is frequent in Nocaima, Cundinamarca and is a community concern in this small town initiating its process of becoming a healthy municipality. As such, the community has highlighted this problem to be studied and submitted to intervention to promote a free and responsible sexuality decreasing unwanted adolescent pregnancies. Objective: To find data on contraception, pregnancy and related factors in selected adolescents therefore, improving current incomplete information. Methods: Descriptive observational study with survey application on 226 female 14 to 19 year old students from three high school facilities in Nocaima including 8th to 11th graders. Results: 88.9% of the participants were between 14 and 17 years of age. 66.8% of the adolescents claim to use correctly contraceptive methods and 28.8% have had sexual intercourse with an average initiation at age 15. 11.1% have been pregnant once in their lives and of these 57.1 % ended in induced abortion and 66.8% were school dropouts. Conclusions: After having implemented an educational campaign on healthy sex and reproductive behaviors we view adolescent pregnancy as a public health problem which is preventable and related to the deficit of social and family support as well as weakness in individual decision making.

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We investigate the effect of education Conditional Cash Transfer programs (CCTs) on teenage pregnancy. Our main concern is with how the size and sign of the effect may depend on the design of the program. Using a simple model we show that an education CCT that conditions renewal on school performance reduces teenage pregnancy; the program can increase teenage pregnancy if it does not condition on school performance. Then, using an original data base, we estimate the causal impact on teenage pregnancy of two education CCTs implemented in Bogot´a (Subsidio Educativo, SE, and Familias en Acci´on, FA); both programs differ particularly on whether school success is a condition for renewal or not. We show that SE has negative average effect on teenage pregnancy while FA has a null average effect. We also find that SE has either null or no effect for adolescents in all age and grade groups while FA has positive, null or negative effects for adolescents in different age and grade groups. Since SE conditions renewal on school success and FA does not, we can argue that the empirical results are consistent with the predictions of our model and that conditioning renewal of the subsidy on school success crucially determines the effect of the subsidy on teenage pregnancy

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Ovarian follicle development continues in a wave-like manner during the bovine oestrous cycle giving rise to variation in the duration of ovulatory follicle development. The objectives of the present study were to determine whether a relationship exists between the duration of ovulatory follicle development and pregnancy rates following artificial insemination (AI) in dairy cows undergoing spontaneous oestrous cycles, and to identify factors influencing follicle turnover and pregnancy rate and the relationship between these two variables. Follicle development was monitored by daily transrectal ultrasonography from 10 days after oestrus until the subsequent oestrus in 158 lactating dairy cows. The cows were artificially inseminated following the second observed oestrus and pregnancy was diagnosed 35 days later. The predominant pattern of follicle development was two follicle waves (74.7%) with three follicle waves in 22.1% of oestrous cycles and four or more follicle waves in 3.2% of oestrous cycles. The interval from ovulatory follicle emergence to oestrus (EOI) was 3 days longer (P < 0.0001) in cows with two follicle waves than in those with three waves. Ovulatory follicles from two-wave oestrous cycles grew more slowly but were approximately 2 mm larger (P < 0.0001) on the day of oestrus. Twin ovulations were observed in 14.2% of oestrous cycles and occurred more frequently (P < 0.001) in three-wave oestrous cycles; consequently EOI was shorter in cows with twin ovulations. Overall, 57.0% of the cows were diagnosed pregnant 35 days after AI. Linear logistic regression analysis revealed an inverse relationship between EOI and the proportion of cows diagnosed pregnant, among all cows (n = 158; P < 0.01) and amongst those with single ovulations (n = 145; P < 0.05). Mean EOI was approximately I day shorter (P < 0.01) in cows that became pregnant than in non-pregnant cows; however, pregnancy rates did not differ significantly among cows with different patterns of follicle development. These findings confirm and extend previous observations in pharmacologically manipulated cattle and show, for the first time, that in dairy cows undergoing spontaneous oestrous cycles, natural variation in the duration of post-emergence ovulatory follicle development has a significant effect on pregnancy rate, presumably reflecting variation in oocyte developmental competence.

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Poor glucose tolerance may be an under-researched contributory factor in the high (10% to 20%) pre-weaning mortality rate observed in pigs. Insulin resistance commences at around week 12 of gestation in the sow, although there are conflicting reports in the literature about the extent to which insulin resistance is modulated by maternal diet. The aim of the study was to determine the effects of supplementing the maternal diet with different dietary oils during either the first half or the second half of gestation on the glucose tolerance of the sow. Sows were offered the control (C: n = 5) diet as pellets or the C diet plus 10% extra energy (h = 16 per group) derived from either. (i) extra pellets; (ii) palm oil; (iii) olive oil; (iv) sunflower oil; or (v) fish oil. Experimental diets were fed during either the first (G1) or second (G2) half of gestation. A glucose tolerance test (GTT) was conducted on day 108 of gestation by administering 0.5g/kg glucose i.v. Blood samples were taken every 5 to 10 min for 90 min post administration. The change in body weight and backfat thickness during gestation was similar but both type and timing of dietary supplementation influenced litter size and weight. With the exception of the sunflower oil group, supplementing the maternal diet in G1 resulted in larger and heavier litters, particularly in mothers offered palm oil. Basal blood glucose concentrations tended to be more elevated in G1 than G2 groups, whilst plasma insulin concentrations were similar Following a GTT, the adjusted area under the curve was greater in G1 compared to G2 sows, despite no differences in glucose clearance. Maternal diet appeared to influence the relationship between glucose curve characteristics following a GTT and litter outcome. In conclusion, the degree of insulin sensitivity can be altered by both the period during which maternal nutritional supplementation is offered and the fatty acid profile of the diet.

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Eighty-eight multiparous sows were used to evaluate whether type and timing of oil supplementation during gestation influences the incidence of low birth weight (LBW). Sows were allocated (eight per treatment) commercial sow pellets (3 kg/d; control diet) or an experimental diet consisting of control diet plus 10 % extra energy in the form of excess pellets, palm oil, olive oil (OO), sunflower oil (SO) or fish oil; experimental diets were fed during either the first half (G1) or second half (G2) of gestation. Growth performance and endocrine profile of LBW ( < 1·09 kg) and normal birth weight (NBW; 1·46–1·64 kg) offspring were compared. Maternal dietary supplementation altered the distribution curve for piglet birth weight. SOG1 sows had a greater proportion of LBW piglets (P < 0·05), whilst it was reduced in the OOG1 group (P < 0·05). Growth rate of LBW piglets was lower compared with their NBW siblings (P < 0·05) when dietary supplementation was offered in G2 but were similar for G1. At birth, LBW offspring of supplemented animals possessed more fat compared with the control group (P < 0·05); LBW offspring of control animals exhibited a more rapid decline in fat free mass/kg prior to weaning. Plasma metabolites and insulin concentrations were influenced by maternal diet and birth weight. In conclusion, maternal dietary supplementation altered the distribution of piglet birth weights and improved the energy status of LBW piglets. Supplementation with MUFA during G1 reduced the incidence of LBW, whereas PUFA had the reverse effect.

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Ovarian follicle development continues in a wave-like manner during the bovine oestrous cycle giving rise to variation in the duration of ovulatory follicle development. The objectives of the present study were to determine whether a relationship exists between the duration of ovulatory follicle development and pregnancy rates following artificial insemination (AI) in dairy cows undergoing spontaneous oestrous cycles, and to identify factors influencing follicle turnover and pregnancy rate and the relationship between these two variables. Follicle development was monitored by daily transrectal ultrasonography from 10 days after oestrus until the subsequent oestrus in 158 lactating dairy cows. The cows were artificially inseminated following the second observed oestrus and pregnancy was diagnosed 35 days later. The predominant pattern of follicle development was two follicle waves (74.7%) with three follicle waves in 22.1% of oestrous cycles and four or more follicle waves in 3.2% of oestrous cycles. The interval from ovulatory follicle emergence to oestrus (EOI) was 3 days longer (P < 0.0001) in cows with two follicle waves than in those with three waves. Ovulatory follicles from two-wave oestrous cycles grew more slowly but were approximately 2 mm larger (P < 0.0001) on the day of oestrus. Twin ovulations were observed in 14.2% of oestrous cycles and occurred more frequently (P < 0.001) in three-wave oestrous cycles; consequently EOI was shorter in cows with twin ovulations. Overall, 57.0% of the cows were diagnosed pregnant 35 days after AI. Linear logistic regression analysis revealed an inverse relationship between EOI and the proportion of cows diagnosed pregnant, among all cows (n = 158; P < 0.01) and amongst those with single ovulations (n = 145; P < 0.05). Mean EOI was approximately I day shorter (P < 0.01) in cows that became pregnant than in non-pregnant cows; however, pregnancy rates did not differ significantly among cows with different patterns of follicle development. These findings confirm and extend previous observations in pharmacologically manipulated cattle and show, for the first time, that in dairy cows undergoing spontaneous oestrous cycles, natural variation in the duration of post-emergence ovulatory follicle development has a significant effect on pregnancy rate, presumably reflecting variation in oocyte developmental competence.