991 resultados para Demont-Breton, Virginie (1859-1935) -- Correspondance


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Au sujet du "Roi Candaule" : craint de ne pouvoir achever l'instrumentation dans les délai fixé s'il lui faut reconstruire un acte entier : "N'y aurait-il pas un moyen d'ajouter au quatre, après le grand ensemble et sans rien y changer ce que vous voulez faire dire au Roi - ce serait en ce cas assez bref - et amener là les danses et les chants de la Résurrection d'Atys pour lesquels la nuit n'est point indispensable." (30 juin 1914) L'informe également que la lettre de Carré est une "excellente amorce pour Candaule" et qu'il faudrait agir dès le retour de Donnay : "les réceptions vont être innombrables à l'Opéra Comique et il ne faudrait pas que février nous devançât" (25 octobre 1918). Lui fixe un rendez-vous pour la lecture du livret au vendredi 20 juin 1919. (16 juin 1919) Évoque un autre projet avec son librettiste : "Avec quelle joie je commencerai la partition de ce "Jean-Jacques" auquel je ne cesse de penser et qui me passionne de plus en plus. Je vous devrai encore de belles heures." (27 juillet 1921)

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9 mai 1891. Le prie d'envoyer 300 francs à son fils Pierre. - 30 juin 1891. Le prie de donner 200 francs à sa fille. - 29 juillet 1891. Lui demande 300 francs d'avance. - 16 août 1891. Au sujet de "Néron" qui pourrait être repris sur la scène du théâtre de Nice. Evoque la distribution qui paraît la plus adéquate et ses relations avec le compositeur Antoine Rubinstein. Barbier voit dans cette reprise un avantage, celui de "mettre enfin la pièce au point, ce qu'[il n'a] pu encore faire, avec la diable de collaboration fantaisiste et vagabonde de Rubinstein.". - 20 août 1891. Au sujet de "Néron" et de la distribution la plus convenable : "Ce qui me séduit le plus, c'est la possibilité de parfaire l'ouvrage et d'en donner enfin une version définitive et dont je sois content". - 23 août 1891. Au sujet de "Néron". S'incline devant les choix de son éditeur et le met en garde sur le compositeur : "Avec son génie (car il en a), c'est un homme à rater tous les succès du monde! Son art l'aveugle et lui masque les nécessités du théâtre". - 12 septembre 1891. Au sujet de "Néron" et des hésitations d'Eugène Bertrand à monter la pièce. Le directeur de théâtre préfèrerait monter "Paul et Virginie". - 15 septembre 1891. Lui renvoie son "traité" signé de "Paul et Virginie" et lui demande une avance

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