1000 resultados para Christianisme -- Égypte -- 7e siècle
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[Vente. Estampes. 1909-05-05 - 1909-05-08. Paris]
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Le manuscrit de Paris, BNF, fr. 818 renferme dans sa première partie (fol. 1-154) l'une des plus amples collections de miracles de Notre-Dame en langue vulgaire du xiiie siècle. Composée vers 1220 dans la région de Lyon, cette compilation anonyme compte parmi les rares textes littéraires produits au Moyen Âge dans l'espace francoprovençal, domaine géographiquement intermédiaire entre le domaine d'oïl et le domaine d'oc (et englobant notam- ment la plus grande partie de la Suisse romande), mais présentant des caracté- ristiques linguistiques qui lui sont propres. Malgré son grand intérêt linguistique et thématique, la collection de miracles du ms. fr. 818 demeure à ce jour partiellement inédite et n'a fait l'objet que d'études fragmentaires. Nous nous proposons donc d'apporter une contribution aux études francoprovençales en complétant l'édition de ce « Mariale en langue vulgaire » (selon l'expression de P. Meyer) et en ana- lysant la scripta très hétérogène de ce recueil, qui se présente comme un savant mélange de formes françaises et de formes lyonnaises. Grâce à l'exa- men systématique de tous les aspects remarquables de la langue du Mariale (phonétique, morphologie, lexique), nous souhaitons porter à la connais- sance des romanistes les riches matériaux francoprovençaux offerts par ce recueil, matériaux qui demeurent en partie méconnus et se trouvent parfois répertoriés dans les dictionnaires sous la fausse étiquette « française ».
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Phénomène reconnu de longue date, dont les rhéteurs et les écrivains ont même souvent vanté l'efficacité pour réaliser un portrait moral convaincant, la caractérisation langagière des personnages n'a été que peu observée selon une perspective générale, comme si son étude ne pouvait s'envisager en dehors du projet esthétique d'un auteur particulier. Cependant, on peut envisager la caractérisation langagière comme procédant d'une poétique du récit, c'est-à-dire comme un mécanisme du texte narratif, dont certaines constantes peuvent être décrites. L'objectif du présent travail est ainsi de mettre au jour les conditions, tant textuelles que contextuelles, devant être réunies pour que certains aspects des discours rapportés fassent sens en tant qu'éléments de caractérisation. La nature indirecte de ce phénomène demande en effet de porter une attention particulière à ce qui relève des conditions de production et d'interprétation du texte, autrement dit des éléments contextuels que le texte convoque (liés à la langue, aux genres, au « texte » de la culture, etc.) afin de (re)construire par inférence ce qui est dit « sans être dit ». Ainsi la caractérisation langagière reposet- elle sur la reconnaissance d'un rôle thématique endossé par le personnage, rôle défini en partie par certains « habitus » discursifs. Mais il importe également de considérer la caractérisation langagière comme un effet de la textualité. Cela concerne d'abord des unités manipulées par les auteurs (mots, structures syntaxiques, phonologie...). Néanmoins, rien ne se joue sur un unique élément ; au contraire, d'une part, il faut qu'une série de traits s'organisent en un réseau isotope, et cela de la réplique isolée au texte entier ; d'autre part, la caractérisation dérive encore des relations que le discours d'un personnage entretient avec des discours avoisinants, en premier lieu celui du narrateur. Se concentrant sur des oeuvres comiques ou satiriques des XVIIe et XVIIIe siècles, l'approche proposée ici veut également tenir compte d'une tradition rhétorique et poétique qui associe portrait moral et parole représentée, tradition encore très présente dans un tel corpus, qui a par ailleurs l'avantage de laisser entrer dans le monde de la fiction des personnages de toutes conditions, dotés de leurs langages spécifiques.
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Comprend : [Tome I. Frontispice : la Foi chrétienne commandant aux Arts et aux travaux des hommes.] [Cote : Res D 5716/Microfilm R 122368 à 122370 et R 132635] ; [Tome I. Pl. en reg. p.110 : Chapitre XI. L'extrême-onction.] [Cote : Res D 5716/Microfilm R 122368 à 122370 et R 132635] ; [Tome I. Pl. en reg. p.319 : Livre V. Partie I. On se console par la douleur.] L'une apportoit son enfant mort, l'autre son enfant vivant (...) Elle mettoient ensuite leurs enfants sur une branche de catalpa, et les balançoient ensemble, en chantant des airs de leurs pays. Hélas! ces jeux maternels, qui souvent endormoient l'innocence, ne pouvoient réveiller la mort! [Cote : Res D 5716/Microfilm R 122368 à 122370 et R 132635] ; [Tome II. Pl. en reg. p.239 : Partie II. Livre IV. Les passions. Amélie décidée à rentrer au couvent.] [Cote : Res D 5716/Microfilm R 122368 à 122370 et R 132635] ; [Tome II. Pl. en reg. p.250 : Partie II. Livre IV. Les passions. Chateaubriand guettant la fenêtre d'Amélie au couvent.] [Cote : Res D 5716/Microfilm R 122368 à 122370 et R 132635] ; [Tome III. Pl. en reg. p.368 : Partie III. Livre VI. La mort d'Atala. Le Père Aubry et Chactas enterrent Atala.] [Cote : Res D 5716/Microfilm R 122368 à 122370 et R 132635] ; [Tome III. Pl. en reg. p.372 : Partie III. Livre VI. Chactas pleure sur la tombe d'Atala.] [Cote : Res D 5716/Microfilm R 122368 à 122370 et R 132635] ; [Tome IV. Pl. en reg. p.167 : Partie IV. Livre III. Chapitre VI. Vue générale du Clergé. Un moine Trappiste.] [Cote : Res D 5716/Microfilm R 122368 à 122370 et R 132635] ; [Tome IV. Pl. en reg. p.217 : Partie IV. Livre III. Chapitre VI. Vue générale du Clergé. Un missionnaire remonte le Rio de la Plata pour évangéliser les Indiens.] [Cote : Res D 5716/Microfilm R 122368 à 122370 et R 132635]
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RÉSUMÉ : L'article a pour but d'expliquer la théorie linguistique de D. N. Ovsjaniko Kulikovskij (Russie, 1853-1920) et de proposer une nouvelle vision de la conception de ce linguiste souvent présenté comme un simple élève de A. A. Potebnja (1835-1891). L'article veut montrer comment Ovsjaniko Kulikovskij réalise son projet de créer une « linguistique scientifique » par opposition à la « philologie ». Il permet de suivre la manière dont s'est développé l'emprunt à la physique des notions d'« économie d'énergie » et de celle du « moindre effort » pour la psychologie et ensuite, la linguistique, notions qui étaient promises à un grand avenir dans la linguistique du XXe siècle.