997 resultados para Medical Consultations
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Medical Card for Over 70s: Fees payable to General Practitioners (Sullivan Report) In the context of the Government decision to end the arrangements whereby medical cards are issued automatically, without a means test, to all those aged 70 and over, a new income threshold was set and the Government decided to introduce a new single capitation rate payable in respect of patients aged 70 and over. I was asked to recommend a new rate for consideration by the Minister for Health & Children and the Government. Click here to download PDF 58kb
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This review aims to provide good quality, up-to-date biomedical evidence of the therapies available to women in Ireland to treat breast, cervical and ovarian cancer. This review summarises evidence from guidelines and high quality studies. It should be noted however that scientific evidence is not infallible, and knowledge in this field is constantly evolving. The evidence summarised in this review presents the current consensus. Download document here  Download summary of report
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Teenage Mental Health: What helps and what hurts? Report On The Outcome Of Consultations With Teenagers On Mental Health Click here to download PDF 1.3mb
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Revised Salary Scales for Medical Consultants with effect from 1 January 2009 Click here to download PDF 56kb
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Infertility Treatments for Women: A Review of the Bio-medical Evidence Click here to download PDF 1.5mb Summary of Report PDF 971kb
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Aim. The study aimed at describing the evolution over a 6-year period of patients leaving the emergency department (ED) before being seen ("left without being seen" or LWBS) or against medical advice ("left against medical advice" or LAMA) and at describing their characteristics. Methods. A retrospective database analysis of all adult patients who are admitted to the ED, between 2005 and 2010, and who left before being evaluated or against medical advice, in a tertiary university hospital. Results. During the study period, among the 307,716 patients who were registered in the ED, 1,157 LWBS (0.4%) and 1,853 LAMA (0.9%) patients were identified. These proportions remained stable over the period. The patients had an average age of 38.5 ± 15.9 years for LWBS and 41.9 ± 17.4 years for LAMA. The median time spent in the ED before leaving was 102.4 minutes for the LWBS patients and 226 minutes for LAMA patients. The most frequent reason for LAMA was related to the excessive length of stay. Conclusion. The rates of LWBS and LAMA patients were low and remained stable. The patients shared similar characteristics and reasons for leaving were largely related to the length of stay or waiting time.
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Rapport de synthèse: Les rendez-vous manqués représentent un problème important, tant du point de vue de la santé des patients que du point de vue économique. Pourtant peu d'études se sont penchées sur le sujet, particulièrement dans une population d'adolescents. Les buts de cette étude étaient de caractériser les adolescents qui sont à risque de manquer ou d'annuler leurs rendez-vous dans une clinique ambulatoire de santé pour adolescents, de comparer les taux des rendez-vous manqués et annulés entre les différents intervenants et d'estimer l'efficacité d'une politique de taxation des rendez-vous manqués non excusés. Finalement, un modèle multi-niveau markovien a été utilisé afin de prédire le risque de manquer un rendez-vous. Ce modèle tient compte du passé de l'adolescent en matière de rendez-vous manqués et d'autres covariables et permet de grouper les individus ayant un comportement semblable. On peut ensuite prédire pour chaque groupe le risque de manquer ou annuler et les covariables influençant significativement ce risque. Entre 1999 et 2006, 32816 rendez-vous fixés pour 3577 patients âgés de 12 à 20 ans ont été analysés. Le taux de rendez-vous manqués était de 11.8%, alors que 10.9% avaient été annulés. Soixante pour cent des patients n'ont pas manqué un seul de leur rendezvous et 14% en ont manqué plus de 25%. Nous avons pu mettre en évidence plusieurs variables associées de manière statistiquement significative avec les taux de rendez-vous manqués et d'annulations (genre, âge, heure, jour de la semaine, intervenant thérapeutique). Le comportement des filles peut être catégorisé en 2 groupes. Le premier groupe inclut les diagnostiques psychiatriques et de trouble du comportement alimentaire, le risque de manquer dans ce groupe étant faible et associé au fait d'avoir précédemment manqué un rendez-vous et au délai du rendez-vous. Les autres diagnostiques chez les filles sont associés à un second groupe qui montre un risque plus élevé de manquer un rendez-vous et qui est associé à l'intervenant, au fait d'avoir précédemment manqué ou annulé le dernier rendez-vous et au délai du rendez-vous. Les garçons ont tous globalement un comportement similaire concernant les rendez-vous manqués. Le diagnostic au sein de ce groupe influence le risque de manquer, tout comme le fait d'avoir précédemment manqué ou annulé un rendez-vous, le délai du rendez-vous et l'âge du patient. L'introduction de la politique de taxation des rendez-vous non excusés n'a pas montré de différence significative des tàux de rendez-vous manqués, cependant cette mesure a permis une augmentation du taux d'annulations. En conclusion, les taux de présence des adolescents à leurs rendez-vous sont dépendants de facteurs divers. Et, même si les adolescents sont une population à risque concernant les rendez-vous manqués, la majorité d'entre eux ne manquent aucun de leurs rendez-vous, ceci étant vrai pour les deux sexes. Etudier les rendez-vous manqués et les adolescents qui sont à risque de rater leur rendez-vous est un pas nécessaire vers le contrôle de ce phénomène. Par ailleurs, les moyens de contrôle concernant les rendez-vous manqués devraient cibler les patients ayant déjà manqué un rendez-vous. La taxation des rendez-vous manqués permet d'augmenter les rendez-vous annulés, ce qui a l'avantage de permettre de fixer un nouveau rendez-vous et, de ce fait, d'améliorer la continuité des soins.
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Click here to download Strategic Review of Medical Training and Career Structure Interim Report PDF 44kb Click here to download Strategic Review of Medical Training and Career Structure Terms of Reference PDF 59KB
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Minister of State with responsibility for Primary Care, Alex White TD, today (4 June 2014) concluded a series of meetings with the Irish Medical Organisation (IMO) with the signing of the Framework Agreement between the Minister of Health, the HSE and the Irish Medical Organisation (IMO) setting out a process for engagement concerning the GMS/GP contract and other publicly funded contracts involving General Practitioners (GPs). Download document here
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The Minister for Health decided, in July 2013, to establish a Working Group, chaired by Professor Brian MacCraith, President of DCU, to carry out a strategic review of medical training and career structure. The Working Group will examine and make high-level recommendations relating to training and career pathways for doctors with a view to: From January-April 2014, the Working Group prioritised work on career structures and pathways following completion of specialist training in order to report to the Minister for Health on these issues in this report. Download the Report (PDF, 800 kb) Â
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 Final report of the Strategic Review Working Group chaired by Professor Brian MacCraith (President, DCU) This final report focuses on issues relating to strategic medical workforce planning and career planning and mentoring supports for trainee doctors and makes recommendations. It also addresses specific issues in relation to the specialties of public health medicine, general practice and the community-based aspects of psychiatry.  Download the report here. Â
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Les coûts de traitement de certains patients s'avèrent extrêmement élevés, et peuvent faire soupçonner une prise en charge médicale inadéquate. Comme I'évolution du remboursement des prestations hospitalières passe à des forfaits par pathologie, il est essentiel de vérifier ce point, d'essayer de déterminer si ce type de patients peut être identifié à leur admission, et de s'assurer que leur devenir soit acceptable. Pour les années 1995 et 1997. les coûts de traitement dépassant de 6 déviations standard le coût moyen de la catégorie diagnostique APDRG ont été identifiés, et les dossiers des 50 patients dont les coûts variables étaient les plus élevés ont été analysés. Le nombre total de patients dont I'hospitalisation a entraîné des coûts extrêmes a passé de 391 en 1995 à 328 patients en 1997 (-16%). En ce qui concerne les 50 patients ayant entraîné les prises en charge les plus chères de manière absolue, les longs séjours dans de multiples services sont fréquents, mais 90% des patients sont sortis de l'hôpital en vie, et près de la moitié directement à domicile. Ils présentaient une variabilité importante de diagnostics et d'interventions, mais pas d'évidence de prise en charge inadéquate. En conclusion, les patients qualifiés de cas extrêmes sur un plan économique, ne le sont pas sur un plan strictement médical, et leur devenir est bon. Face à la pression qu'exercera le passage à un mode de financement par pathologie, les hôpitaux doivent mettre au point un système de revue interne de I'adéquation des prestations fournies basées sur des caractéristiques cliniques, s'ils veulent garantir des soins de qualité. et identifier les éventuelles prestations sous-optimales qu'ils pourraient être amenés à délivrer. [Auteurs] Treatment costs for some patients are extremely high and might let think that medical care could have been inadequate. As hospital financing systems move towards reimbursement by diagnostic groups, it is essential to assess whether inadequate care is provided, to try to identify these patients upon admission, and make sure that their outcome is good. For the years 1995 and 1997, treatment costs exceeding by 6 standard deviations the average cost of their APDRG category were identified, and the charts of the 50 patients with the highest variable costs were analyzed. The total number of patients with such extreme costs diminished from 391 in 1995 to 328 in 1997 (-16%). For the 50 most expensive patients, long stays in several services were frequent, but 90% of these patients left the hospital alive, and about half directly to their home. They presented an important variation in diagnoses and operations, but no evidence for inadequate care. Thus, patients qualified as extreme from an economic perspective cannot be qualified as such from a medical perspective, and their outcome is good. To face the pressure linked with the change in financing system, hospitals must develop an internal review system for assessing the adequacy of care, based on clinical characteristics, if they want to guarantee good quality of care and identify potentially inadequate practice.