993 resultados para Krug, Wilhelm Traugott, 1770-1842.
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Originally published in the Federal Republican of Baltimore. Printed by Benjamin Edes
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A 2 ½ page letter addressed to The Editor of the Presbyterian Magazine, care of [illegible], London, C.W. The writer describes the Village of Chippawa and its location in Ontario. He writes that there are many people there of Scotch [Scottish] descent. He says that a congregation was formed and 39 names were on the roll. The letter is from J.P. [John Porteous] with an added note from Wm. Porteous. The letter is from St. Catharines. There is one postmark – St. Catharines, April 6, 1823 A 1 ½ page letter addressed to Rev. W. Proudfoot, Ed. Of Presbyterian Mag., London, C.W. This letter is from Walter Mitchell in St. Catharines. He sends a list of peoples’ names and the amounts that they have paid toward the Presbyterian Magazine. Mr. Mitchell is acting as an agent for the magazine. This letter has 1 postmark – St. Catharines, Sept. 13, 1842 A 2 page letter addressed to Rev. W. Proudfoot, London, C.W. This letter is from John Jennings of St. Catharines. The writer claims that he is ill but he makes plans to meet Reverend Proudfoot in Toronto in order to go to a meeting in Rochester. The writer expects that Reverend Proudfoot will preach in Rochester. The letter has 1 postmark – St. Catharines, Aug. 14, 1843. A 2 page letter addressed to The Rev. Professor Proudfoot, London, C.W. from John Porteaus of St. Catharines. The writer says that he will not preach in Detroit. He says that the people of Detroit are expecting Mr. Dalrymple [who was sent as a missionary to Canada from Scotland in 1846] and also, he doesn’t want to leave his congregation for 2 Sabbaths. The letter has 2 postmarks – St. Catharines, August 1846 [this postmark is very faint] and Hamilton, August 2, 1846.
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Ce texte constitue la version élargie du document soumis à la revue Argus.
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Apéndice (p. [1]-24) consistente en documentos.
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Cette thèse documente, répertorie et analyse les relations entre les femmes auteures en France, en Italie, et entre Françaises et Italiennes, de 1770 à 1840, à partir de l’étude des correspondances et des ouvrages publiés de douze écrivaines (Anne-Marie de Beaufort d’Hautpoul, Sophie Gay, Félicité de Genlis, Marie-Émilie de Montanclos, Constance Pipelet Salm, Germaine de Staël, Teresa Bandettini, Elisabetta Caminer, Carolina Lattanzi, Diodata Saluzzo, Fortunata Sulgher Fantastici et Isabella Teotochi Albrizzi). Au cours d’une période caractérisée par le développement de l’imprimé, par l’importante participation féminine à la querelle des femmes, par le bouleversement politique international issu de la Révolution française et de l’époque napoléonienne, ainsi que par la présence affirmée des auteures, ces dernières font face à une réactivation des attaques contre l’autorat féminin. Dans ce contexte, les relations entre écrivaines illustrent le défi de « l’action commune » conçue dans une optique de défense d’une cause (celle des auteures) avant l’émergence du mouvement féministe. Les écrivaines étant souvent présentées soit comme « sœurs, » soit comme « rivales », notre étude démontre que la nature des relations féminines est infiniment plus complexe dans les faits. D’un côté, les relations entre femmes auteures témoignent d’une certaine cohésion au sein de la communauté : les contacts sont nombreux, celles-ci s’épaulent en temps de crise, construisent des généalogies littéraires féminines, et déconstruisent les discours portant sur la soi-disant « exceptionnalité » et la « rivalité » des femmes de lettres. De l’autre côté, d’importantes divisions traversent leurs réseaux, notamment liées à l’appartenance nationale, aux opinions politiques et au positionnement de chacune dans le milieu littéraire. Outre les divisions sociales et politiques, cette thèse illustre la difficulté éprouvée par les auteures à arrimer leurs intérêts individuels (promotion de leur propre carrière, identités multiples interférant avec l’appartenance de sexe/genre) aux intérêts collectifs (légitimer l’autorat féminin). Ainsi, les écrivaines reconnaissent l’importance de la communauté des femmes auteures, tout en étant confrontées au défi d’en maintenir la cohésion, à une époque où non seulement l’activité littéraire, mais également le contexte culturel et politique, sont en pleine transformation.
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Étude de maîtrise sponsorisée par le Fonds québécois de recherche Société et Culture (gouvernement du Québec), le programme Renforcement du secteur langagier au Canada (gouvernement du Canada), ainsi que par diverses bourses octroyées par l'Université de Montréal.