988 resultados para Health Sciences, Pharmacology|Chemistry, Biochemistry|Biophysics, General
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Approximately 33% of clinical breast carcinomas require estrogens to proliferate. Epidemiological data show that insulin resistance and diabetes mellitus is 2–3 times more prevalent in women with breast cancer than those with benign breast lesions, suggesting a clinical link between insulin and estradiol. Insulin and estradiol have a synergistic effect on the growth of MCF7 breast cancer cells, and long-term estradiol treatment upregulates the expression of the key insulin signaling protein IRS-1. The goal of this study was to further define the mechanism(s) of cross-talk between insulin and estradiol in regulating the growth of breast cancer. Using MCF7 cells, acute treatment with insulin or estradiol alone was found to stimulate two activities associated with growth: Erk MAP kinase and PI 3-kinase. However, combined acute treatment had an antagonistic effect on both activities. Acute estradiol treatment inhibited the insulin-stimulated tyrosine phosphorylation of IRS-1 while increasing its serine phosphorylation; the serine phosphorylation was attenuated by the PI 3-kinase inhibitor wortmannin. The acute antagonism observed with combined estradiol and insulin are not consistent with the long-term synergistic effect on growth. In contrast, chronic estradiol treatment enhanced the insulin-sensitivity of breast cancer cells as measured by increases in total cellular insulin-stimulated tyrosine phosphorylation of IRS-1 and activation of PI 3-kinase. Estradiol stimulation of gene transcription was found to require PI 3-kinase activity but not MAP kinase activity. Insulin alone had no effect on ER transcriptional activity, but chronic treatment in combination with estradiol resulted in synergism of ER transcription. The synergistic effect of insulin and estradiol on MCF7 cell growth was also found to require PI 3-kinase but not MAP kinase activity. Therefore, chronic estradiol treatment increases insulin stimulation of PI 3-kinase, and PI 3-kinase is required for estradiol stimulation of gene transcription alone and in combined synergy with insulin. These data demonstrate that PI 3-kinase is the locus for the cross-talk between insulin and estradiol which results in enhanced breast cancer growth with long-term exposure to both hormones. This may have important clinical implications for women with high risk for breast cancer and/or diabetes mellitus. ^
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L’arthrose (OA) est une maladie dégénérative très répondue touchant les articulations. Elle est caractérisée par la destruction progressive du cartilage articulaire, l’inflammation de la membrane synoviale et le remodelage de l’os sous chondral. L’étiologie de cette maladie n’est pas encore bien définie. Plusieurs études ont été menées pour élucider les mécanismes moléculaires et cellulaires impliqués dans le développement de l’OA. Les effets protecteurs du récepteur activé par les proliférateurs de peroxysomes gamma (PPARγ) dans l'OA sont bien documentés. Il a été démontré que PPARγ possède des propriétés anti-inflammatoires et anti-cataboliques. Aussi, plusieurs stimuli ont été impliqués dans la régulation de l’expression de PPARγ dans différents types cellulaires. Cependant, les mécanismes exacts responsables de cette régulation ainsi que le profil de l’expression de ce récepteur au cours de la progression de l’OA ne sont pas bien connus. Dans la première partie de nos travaux, nous avons essayé d’élucider les mécanismes impliqués dans l’altération de l’expression de PPARγ dans cette maladie. Nos résultats ont confirmé l’implication de l’interleukine-1β (IL-1β), une cytokine pro-inflammatoire, dans la réduction de l’expression de PPARγ au niveau des chondrocytes du cartilage articulaire. Cet effet coïncide avec l'induction de l’expression du facteur de transcription à réponse précoce de type 1 (Egr-1). En plus, la diminution de l'expression de PPARγ a été associée au recrutement d'Egr-1 et la réduction concomitante de la liaison de Sp1 au niveau du promoteur de PPARγ. Dans la deuxième partie de nos travaux, nous avons évalué le profil d’expression de ce récepteur dans le cartilage au cours de la progression de cette maladie. Le cochon d’inde avec OA spontanée et le chien avec OA induite par rupture du ligament croisé antérieur (ACLT) deux modèles animaux d’OA ont été utilisés pour suivre l’expression des trois isoformes de PPARs : PPAR alpha (α), PPAR béta (β) et PPAR gamma (γ) ainsi que la prostaglandine D synthase hématopoïétique (H-PGDS) et la prostaglandine D synthase de type lipocaline (L-PGDS) deux enzymes impliquées dans la production de l’agoniste naturel de PPARγ, la 15-Deoxy-delta(12,14)-prostaglandine J(2) (15d-PGJ2). Nos résultats ont démontré des changements dans l’expression de PPARγ et la L-PGDS. En revanche, l’expression de PPARα, PPARβ et H-PGDS est restée stable au fil du temps. La diminution de l’expression de PPARγ dans le cartilage articulaire semble contribuer au développement de l’OA dans les deux modèles animaux. En effet, le traitement des chondrocytes par de siRNA dirigé contre PPARγ a favorisé la production des médiateurs arthrosiques tels que l'oxyde nitrique (NO) et la métalloprotéase matricielle de type 13 (MMP-13), confirmant ainsi le rôle anti-arthrosique de ce récepteur. Contrairement à ce dernier, le niveau d'expression de la L-PGDS a augmenté au cours de la progression de cette maladie. La surexpression de la L-PGDS au niveau des chondrocytes humains a été associée à la diminution de la production de ces médiateurs arthrosiques, suggérant son implication dans un processus de tentative de réparation. En conclusion, l’ensemble de nos résultats suggèrent que la modulation du niveau d’expression de PPARγ, de la L-PGDS et d’Egr-1 au niveau du cartilage articulaire pourrait constituer une voie thérapeutique potentielle dans le traitement de l’OA et probablement d’autres formes d'arthrite.
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Tout médicament administré par la voie orale doit être absorbé sans être métabolisé par l’intestin et le foie pour atteindre la circulation systémique. Malgré son impact majeur sur l’effet de premier passage de plusieurs médicaments, le métabolisme intestinal est souvent négligé comparativement au métabolisme hépatique. L’objectif de ces travaux de maîtrise est donc d’utiliser, caractériser et développer différents outils in vitro et in vivo pour mieux comprendre et prédire l’impact du métabolisme intestinal sur l’effet de premier passage des médicaments comparé au métabolisme hépatique. Pour se faire, différents substrats d’enzymes du métabolisme ont été incubés dans des microsomes intestinaux et hépatiques et des différences entre la vitesse de métabolisme et les métabolites produits ont été démontrés. Afin de mieux comprendre l’impact de ces différences in vivo, des études mécanistiques chez des animaux canulés et traités avec des inhibiteurs enzymatiques ont été conduites avec le substrat métoprolol. Ces études ont démontré l’impact du métabolisme intestinal sur le premier passage du métoprolol. De plus, elles ont révélé l’effet sur la vidange gastrique du 1-aminobenzotriazole, un inhibiteur des cytochromes p450, évitant ainsi une mauvaise utilisation de cet outil dans le futur. Ces travaux de maîtrise ont permis d’améliorer les connaissances des différents outils in vitro et in vivo pour étudier le métabolisme intestinal tout en permettant de mieux comprendre les différences entre le rôle de l’intestin et du foie sur l’effet de premier passage.
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Les dynorphines sont des neuropeptides importants avec un rôle central dans la nociception et l’atténuation de la douleur. De nombreux mécanismes régulent les concentrations de dynorphine endogènes, y compris la protéolyse. Les Proprotéines convertases (PC) sont largement exprimées dans le système nerveux central et clivent spécifiquement le C-terminale de couple acides aminés basiques, ou un résidu basique unique. Le contrôle protéolytique des concentrations endogènes de Big Dynorphine (BDyn) et dynorphine A (Dyn A) a un effet important sur la perception de la douleur et le rôle de PC reste à être déterminée. L'objectif de cette étude était de décrypter le rôle de PC1 et PC2 dans le contrôle protéolytique de BDyn et Dyn A avec l'aide de fractions cellulaires de la moelle épinière de type sauvage (WT), PC1 -/+ et PC2 -/+ de souris et par la spectrométrie de masse. Nos résultats démontrent clairement que PC1 et PC2 sont impliquées dans la protéolyse de BDyn et Dyn A avec un rôle plus significatif pour PC1. Le traitement en C-terminal de BDyn génère des fragments peptidiques spécifiques incluant dynorphine 1-19, dynorphine 1-13, dynorphine 1-11 et dynorphine 1-7 et Dyn A génère les fragments dynorphine 1-13, dynorphine 1-11 et dynorphine 1-7. Ils sont tous des fragments de peptides associés à PC1 ou PC2. En plus, la protéolyse de BDyn conduit à la formation de Dyn A et Leu-Enk, deux peptides opioïdes importants. La vitesse de formation des deux est réduite de manière significative dans les fractions cellulaires de la moelle épinière de souris mutantes. En conséquence, l'inhibition même partielle de PC1 ou PC2 peut altérer le système opioïde endogène.
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Plusieurs études montrent que les acides gras (AG) oméga-3 sont bénéfiques pour la santé cardiovasculaire. Une étude antérieure dans notre laboratoire a montré que l’administration des acides gras oméga-3 réduit la taille de l'infarctus du myocarde (IM). Cependant, la question demeure de savoir si les deux principaux acides gras oméga-3 à longue chaîne, l'acide eicosapentaénoïque (EPA) et l'acide docosahexaénoïque (DHA) possèdent la même efficacité à réduire la taille de l'infarctus. Le but de ce projet sera de déterminer l’efficacité relative de chacun de ces acides gras oméga-3 à protéger le cœur dans un modèle d’ischémie/reperfusion et d’étudier certaines voies de cardioprotection. Des rats mâles adultes Sprague-Dawley ont été nourris pendant 14 jours avec une diète comprenant l'un: 1- aucun AG oméga-3; 2- 5 g d'EPA / kg de nourriture; 3- 5 g de DHA / kg de nourriture; 4- 2,5 g de chaque oméga-3 AG / kg de nourriture; 5- 5 g chaque AG oméga-3 / kg de nourriture. Par la suite, les animaux ont été soumis à une ischémie pendant 40 minutes, causée par l'occlusion de l'artère coronaire gauche descendante. Au bout de 24 heures de reperfusion, la taille de l'infarctus est déterminée. Dans un sous-groupe d'animaux, l'activité d’Akt et des caspase-3 sont mesurées dans la région ischémique après 30 minutes de reperfusion. Finalement, à 15 minutes de reperfusion, l'ouverture du pore de transition de perméabilité mitochondriale mPTP est déterminée dans un autre sous-groupe. Les résultats indiquent que les diètes EPA ou DHA réduisent de manière significative la taille de l'infarctus par rapport à la diète sans AG oméga-3, tandis que la combinaison de deux acides gras oméga-3 n'a pas montré de diminution de la taille de l'infarctus. L'activité de la caspase-3 est réduite pour le groupe DHA puis, l'activité d'Akt est augmentée avec les diètes EPA et DHA seules. Finalement, en présence d’une diète enrichie uniquement de DHA, l'ouverture des mPTP est retardée comparativement aux autres diètes.
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ADP-ribosylation factor-1 (ARF1) est une petite GTPase principalement connue pour son rôle dans la formation de vésicules au niveau de l’appareil de Golgi. Récemment, dans des cellules de cancer du sein, nous avons démontré qu’ARF1 est aussi un médiateur important de la signalisation du récepteur du facteur de croissance épidermique (EGFR) contrôlant la prolifération, la migration et l'invasion cellulaire. Cependant, le mécanisme par lequel l’EGFR active la GTPase ainsi que le rôle de cette dernière dans la régulation de la fonction du récepteur demeure inconnue. Dans cette thèse, nous avions comme objectifs de définir le mécanisme d'activation de ARF1 dans les cellules de cancer du sein hautement invasif et démontrer que l’activation de cette isoforme de ARF joue un rôle essentiel dans la résistance de ces cellules aux inhibiteurs de l'EGFR. Nos études démontrent que les protéines d’adaptatrices Grb2 et p66Shc jouent un rôle important dans l'activation de ARF1. Alors que Grb2 favorise le recrutement d’ARF1 à l'EGFR ainsi que l'activation de cette petite GTPase, p66Shc inhibe le recrutement du complexe Grb2-ARF1 au récepteur et donc contribue à limiter l’activation d’ARF1. De plus, nous démontrons que ARF1 favorise la résistance aux inhibiteurs des tyrosines kinases dans les cellules de cancer du sein hautement invasif. En effet, une diminution de l’expression de ARF1 a augmenté la sensibilité descellules aux inhibiteurs de l'EGFR. Nous montrons également que de hauts niveaux de ARF1 contribuent à la résistance des cellules à ces médicaments en améliorant la survie et les signaux prolifératifs à travers ERK1/2, Src et AKT, tout en bloquant les voies apoptotiques (p38MAPK et JNK). Enfin, nous mettons en évidence le rôle de la protéine ARF1 dans l’apoptose en réponse aux traitements des inhibiteurs de l’EGFR. Nos résultats indiquent que la dépletion d’ARF1 promeut la mort cellulaire induite par gefitinib, en augmentant l'expression de facteurs pro-apoptotiques (p66shc, Bax), en altérant le potentiel de la membrane mitochondriale et la libération du cytochrome C. Ensemble, nos résultats délimitent un nouveau mécanisme d'activation de ARF1 dans les cellules du cancer du sein hautement invasif et impliquent l’activité d’ARF1 comme un médiateur important de la résistance aux inhibiteurs EGFR.
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La vaccination est largement utilisée pour la génération de lymphocytes T spécifiques contre les tumeurs. Malheureusement, cette stratégie n'est pas adaptée aux personnes âgées car leur thymus régresse avec l'âge conduisant ainsi à une baisse dans la production de cellules T et à l'accumulation de cellules immunitaires âgées ayant des défauts liés à leurs stimulations. Comme il a été démontré auparavant que L’IL-21 est capable d’induire des fonctions thymiques, nous avons émis l’hypothèse que l’injection d’IL-21 à des souris âgées stimulera la thymopoïèse. Nos résultats montrent que l’administration de l’IL-21 augmente le nombre absolu de thymocytes chez les souris âgées et augmente la migration de ces cellules vers la périphérie ou ils contribuent à la diversité du TCR. De plus les cellules T en périphérie expriment un niveau plus élevé de miR181-a, et par conséquent moins de phosphatase comme SHP2, DUSP5/6 qui inhibent le TCR. En vaccinant des souris âgées avec le peptide Trp2, les souris traitées avec l’IL-21 montrent un retard dans la croissance des cellules B16 tumorales. Cette étude montre que l’IL-21 pourrait être utilisé comme stratégie pour le rétablissement du systeme immunitaire chez les personnes âgées.
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Le récepteur éboueur CD36 facilite l’internalisation des acides gras libres non estérifiés (AGNE) au niveau des tissus cardiaque et périphériques. Lors d’une ischémie-reperfusion du myocarde (MI/R), les dommages produits sont en partie liés à l’internalisation des AGNE et à la production d’espèces réactives de l’oxygène, contrairement à ce qui est observé chez des souris déficientes en CD36 (CD36-/-). Nous avons émis l’hypothèse selon laquelle le CP-3(iv), un ligand synthétique du récepteur CD36, exercerait un effet cardioprotecteur en réduisant la taille de la zone myocardique infarcie lors d’une ischémie transitoire du myocarde. Nos objectifs étaient 1) de déterminer l’effet cardioprotecteur du CP-3(iv) et 2) de définir son mécanisme. Pour cela, des études in vivo et ex vivo ont été faites. Des souris de type sauvage ont été traitées avec le CP-3(iv) (289 nmol/kg) par voie sous-cutanée pendant 14 jours avant d’être soumises à 30 minutes d’ischémie suivant la ligature de l’artère coronaire gauche descendante et de sa reperfusion pendant une période de 6 ou 48 heures. De plus, des coeurs isolés de souris ont été perfusés 30 minutes, suivi de 40 minutes à faible débit (10%) et de 30 minutes de reperfusion pendant laquelle le coeur est perfusé avec le CP-3(iv) à une concentration de 10-6 M. Nos travaux ont montré que l’effet cardioprotecteur d’un traitement préventif par le CP-3(iv) permet de diminuer la taille de l’infarctus et préserve l’hémodynamie cardiaque de façon dépendante du CD36 puisque cet effet est non visible chez les souris CD36-/-. De plus, le CP-3(iv) exerce non seulement un effet systémique, mais aussi un effet cardioprotecteur direct sur le coeur isolé.
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Thesis (Ph.D.)--University of Washington, 2016-05
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Thesis (Ph.D.)--University of Washington, 2016-06
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Most ethnopharmacological studies overlook food plants, yet many edible plants, also have medicinal value. I documented plants that are used as both food and medicine by the Totonac of Zapotitlan de Mendez, Mexico and recorded the presence of selected secondary compounds, and physical characteristics in these plants. Photoactivity, antimicrobial, and antifungal assays also were performed. The presence of these properties were compared among food/medicine plants, food, medicinal, and randomly selected plants. I predicted that a higher percentage of medicinal plants would contain the secondary compounds, physical characteristics, and bioactivity compared to the other groups. Phenolics and cyanogenic glycosides in the medicinal group were significantly greater than in the food/medicine group. The food plants did not differ greatly from the medicinal plants. This research indicates that including food plants in ethnomedical studies could provide a more complete knowledge of peoples therapeutic resources and practices. ^
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One-third of botanical remedies from southern Italy are used to treat skin and soft tissue infections (SST's). Methicillin-resistant Staphylococcus aureus (MRSA), a common cause of SSTIs, is responsible for increased morbidity and mortality from infections. Therapeutic options are limited by antibiotic resistance. Many plants possess potent antimicrobial compounds for these disorders. Validation of traditional medical practices is important for the people who rely on medicinal plants. Moreover, identification of novel antibiotics and anti-pathogenic agents for MRSA is important to global healthcare.^ I took an ethnopharmacological approach to understand how Italian medicinal plants used for the treatment of SSTIs affect MRSA growth and virulence. My hypothesis was that plants used in folk remedies for SSTI would exhibit lower cytotoxicity and greater inhibition of bacterial growth, biofilm formation and toxin production in MRSA than plants used for remedies unrelated to the skin or for plants with no ethnomedical application. The field portion of my research was conducted in the Vulture-Alto Bradano area of southern Italy. I collected 104 plant species and created 168 crude extracts. In the lab, I screened samples for activity against MRSA in a battery of bioassays. Growth inhibition was analyzed using broth microtiter assays for determination of the minimum inhibitory concentration. Interference with quorum-sensing (QS) processes, which mediate pathogenicity, was quantified through RP-HPLC of δ-toxin production. Interference with biofilm formation and adherence was assessed using staining methods. The mammalian cytotoxicity of natural products was analyzed using MTT cell proliferation assay techniques.^ Although bacteriostatic activity was limited, extracts from six plants used in Italian folk medicine (Arundo donax, Ballota nigra, Juglans regia, Leopoldia comosa, Marrubium vulgare, and Rubus ulmifolius ) significantly inhibited biofilm formation and adherence. Moreover, plants used to treat SSTI demonstrated significantly greater anti-biofilm activity when compared to plants with no ethnomedical application. QSI activity was evident in 90% of the extracts tested and extracts from four plants ( Ballota nigra, Castanea saliva, Rosmarinus officinalis, and Sambucus ebulus) exhibited a significant dose-dependent response. Some of the plant remedies for SSTI identified in this study can be validated due to anti-MRSA activity.^
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New designer drugs are constantly emerging onto the illicit drug market and it is often difficult to validate and maintaincomprehensive analytical methods for accurate detection of these compounds. Generally, toxicology laboratories utilize a screening method, such as immunoassay, for the presumptive identification of drugs of abuse. When a positive result occurs, confirmatory methods, such as gas chromatography (GC) or liquid chromatography (LC) coupled with mass spectrometry (MS), are required for more sensitive and specific analyses. In recent years, the need to study the activities of these compounds in screening assays as well as to develop confirmatory techniques to detect them in biological specimens has been recognized. Severe intoxications and fatalities have been encountered with emerging designer drugs, presenting analytical challenges for detection and identification of such novel compounds. The first major task of this research was to evaluate the performance of commercially available immunoassays to determine if designer drugs were cross-reactive. The second major task was to develop and validate a confirmatory method, using LC-MS, to identify and quantify these designer drugs in biological specimens.^ Cross-reactivity towards the cathinone derivatives was found to be minimal. Several other phenethylamines demonstrated cross-reactivity at low concentrations, but results were consistent with those published by the assay manufacturer or as reported in the literature. Current immunoassay-based screening methods may not be ideal for presumptively identifying most designer drugs, including the "bath salts." For this reason, an LC-MS based confirmatory method was developed for 32 compounds, including eight cathinone derivatives, with limits of quantification in the range of 1-10 ng/mL. The method was fully validated for selectivity, matrix effects, stability, recovery, precision, and accuracy. In order to compare the screening and confirmatory techniques, several human specimens were analyzed to demonstrate the importance of using a specific analytical method, such as LC-MS, to detect designer drugs in serum as immunoassays lack cross-reactivity with the novel compounds. Overall, minimal cross-reactivity was observed, highlighting the conclusion that these presumptive screens cannot detect many of the designer drugs and that a confirmatory technique, such as the LC-MS, is required for the comprehensive forensic toxicological analysis of designer drugs.^
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Fluorescent proteins are valuable tools as biochemical markers for studying cellular processes. Red fluorescent proteins (RFPs) are highly desirable for in vivo applications because they absorb and emit light in the red region of the spectrum where cellular autofluorescence is low. The naturally occurring fluorescent proteins with emission peaks in this region of the spectrum occur in dimeric or tetrameric forms. The development of mutant monomeric variants of RFPs has resulted in several novel FPs known as mFruits. Though oxygen is required for maturation of the chromophore, it is known that photobleaching of FPs is oxygen sensitive, and oxygen-free conditions result in improved photostabilities. Therefore, understanding oxygen diffusion pathways in FPs is important for both photostabilites and maturation of the chromophores. We used molecular dynamics calculations to investigate the protein barrel fluctuations in mCherry, which is one of the most useful monomeric mFruit variants, and its GFP homolog citrine. We employed implicit ligand sampling and locally enhanced sampling to determine oxygen pathways from the bulk solvent into the mCherry chromophore in the interior of the protein. The pathway contains several oxygen hosting pockets, which were identified by the amino acid residues that form the pocket. We calculated the free-energy of an oxygen molecule at points along the path. We also investigated an RFP variant known to be significantly less photostable than mCherry and find much easier oxygen access in this variant. We showed that oxygen pathways can be blocked or altered, and barrel fluctuations can be reduced by strategic amino acid substitutions. The results provide a better understanding of the mechanism of molecular oxygen access into the fully folded mCherry protein barrel and provide insight into the photobleaching process in these proteins.
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Le récepteur éboueur CD36 facilite l’internalisation des acides gras libres non estérifiés (AGNE) au niveau des tissus cardiaque et périphériques. Lors d’une ischémie-reperfusion du myocarde (MI/R), les dommages produits sont en partie liés à l’internalisation des AGNE et à la production d’espèces réactives de l’oxygène, contrairement à ce qui est observé chez des souris déficientes en CD36 (CD36-/-). Nous avons émis l’hypothèse selon laquelle le CP-3(iv), un ligand synthétique du récepteur CD36, exercerait un effet cardioprotecteur en réduisant la taille de la zone myocardique infarcie lors d’une ischémie transitoire du myocarde. Nos objectifs étaient 1) de déterminer l’effet cardioprotecteur du CP-3(iv) et 2) de définir son mécanisme. Pour cela, des études in vivo et ex vivo ont été faites. Des souris de type sauvage ont été traitées avec le CP-3(iv) (289 nmol/kg) par voie sous-cutanée pendant 14 jours avant d’être soumises à 30 minutes d’ischémie suivant la ligature de l’artère coronaire gauche descendante et de sa reperfusion pendant une période de 6 ou 48 heures. De plus, des coeurs isolés de souris ont été perfusés 30 minutes, suivi de 40 minutes à faible débit (10%) et de 30 minutes de reperfusion pendant laquelle le coeur est perfusé avec le CP-3(iv) à une concentration de 10-6 M. Nos travaux ont montré que l’effet cardioprotecteur d’un traitement préventif par le CP-3(iv) permet de diminuer la taille de l’infarctus et préserve l’hémodynamie cardiaque de façon dépendante du CD36 puisque cet effet est non visible chez les souris CD36-/-. De plus, le CP-3(iv) exerce non seulement un effet systémique, mais aussi un effet cardioprotecteur direct sur le coeur isolé.