998 resultados para soins intensifs pédiatriques (SIP)


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This article presents the results of a study involving 2445 recently retired persons from the Canton of Vaud in Switzerland who choose to forego health care. These persons of modest means barely qualify for government assistance programs and do not benefit from the social safety net that is provided to the truly destitute. 17.9% of the respondents to the questionnaire said that they forego health care for financial reasons. Interviews reveal the complex reasons that lie behind such a choice, as well as the compensation strategies that are sometimes used to get medical treatment. These strategies show that the people are able to act when the circumstances require them to do so. Despite that, their situation remains insecure. Cet article analyse les résultats d'une étude sur le renoncement aux soins menée auprès de 2445 Vaudois∙e∙s récemment retraité∙e∙s. Ces personnes de situation modeste sont proches des limites d'accès aux aides étatiques et ne bénéficient pas du même filet de protection sociale que d'autres plus démunies. 17.9% des répondant∙e∙s au questionnaire déclarent renoncer à des soins pour raisons financières. Des entretiens mettent en évidence la complexité du renoncement, ainsi que les stratégies compensatoires que les personnes adoptent pour accéder à certains soins. Ces dernières démontrent une capacité d'agir en situation qui reste toutefois précaire.

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Le rationnement a mauvaise presse, en partie parce qu'il véhicule une image misérable de guerre et de famine. C'est ainsi que pour éviter la brutalité du mot rationnement, on cherche des mots plus fréquentables, tels que «rationalisation» ou «meilleure gestion», comme si la notion même de limitation était insupportable. Cette difficulté est peut-être propre à la démocratie, comme cela avait été remarqué à propos des Etats-Unis : «Ces mots abstraits qui remplissent les langues démocratiques (...) rendent l'expression plus rapide et l'idée moins nette. (...) Les hommes des pays démocratiques ont souvent des pensées vacillantes ; il leur faut donc des expressions très larges pour les renfermer. (...) Un mot abstrait est comme une boîte à double fond : on y met les idées que l'on désire, et on les en retire sans que personne ne le voie.»1Intuitivement, le rationnement peut être évoqué avec une liste d'exemples telle que celle-ci : ablation de tatouage, traitement de l'infertilité, physiothérapie pour les blessures de sport, changement de sexe, prise en charge de la contraception. Cette liste comporte des procédures dont la nécessité (ou, au moins, la prise en charge par le système public) peut être con-testée, d'autant plus si la demande de soins réputés nécessaires va croissante dans un contexte de restrictions budgétaires. Dans son sens le plus simple, le rationnement désigne les procédures améliorant l'allocation des services de santé dans une communauté, étant donné que les ressources disponibles sont limitées. Aussi, tout rationnement est-il lié à un système de priorités, produisant une liste d'individus éligibles ou de services admissibles.Il existe déjà une grande expérience de rationalisation des soins de santé dans les pays développés, à commencer par celle des pays scandinaves (qui ont entrepris des démarches explicites de rationnement depuis plus de dix ans). L'analyse des stratégies de rationnement aujourd'hui utilisées montre qu'ellestournent autour de trois grandes approches :I la limitation des bénéficiaires, qui utilise une ou plusieurs caractéristiques des individus pour rendre inéligibles certains d'entre eux pour un service particulier : l'âge, la nationalité, l'état de santé général, le revenu sont autant d'exemples. L'utilisation de l'âge en particulier suscite beaucoup de débats, en partie émotionnels, bien qu'il y ait un fondement éthique raisonnable à cette utilisation...

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[Table des matières] Introduction - Méthode - Résultats : 1. Caractéristiques générales des demandes adressées aux EMSP, 2. Profil des patients concernés par les demandes, 3. Origine de la demande, 4. Nature des demandes adressées aux EMSP, 5. Activités des EMSP en lien avec les demandes - Discussion - Conclusion - Annexes

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De part le vieillissement démographique, la proportion de personnes âgées augmente et, certaines d'entre-elles nécessiteront des soins en milieu hospitalier. Chez l'aîné, l'expérience d'une maladie et d'une hospitalisation augmente le risque de perte d'autonomie dans les activités de la vie quotidienne (AVQ) et peut compromettre le retour à domicile, diminuer la qualité de vie et mobiliser des ressources du système socio-sanitaire. En Suisse, une étude a établi l'ampleur du problème de la dépendance dans les AVQ à domicile. Cependant, peu de connaissances récentes sont disponibles sur la perte d'autonomie à l'hôpital et aucune sur les trajectoires dans les AVQ. But : Le but de cette étude est d'actualiser et compléter les savoirs sur la perte d'autonomie et les trajectoires dans les AVQ des personnes âgées hospitalisées dans un hôpital tertiaire de Suisse romande. Cadre théorique : La présente étude se base sur la théorie du déficit en auto-soin de Dorothea Orem. Méthode : Cette étude descriptive corrélationnelle est une analyse secondaire des données recueillies dans l'unité pilote du projet Soins Aigus aux Séniors entre août 2011 et janvier 2012. Le déficit en auto-soin dans les AVQ a été mesuré avec l'Index de Katz, les habiletés de base avec le MiniCog, le MiniGDS et le CAM et, les facteurs prédisposant étaient l'âge, le genre, l'entourage et l'aide à domicile ainsi que l'état de santé. L'échantillon de 209 patients présentait un âge moyen de 85.4 ans (SD 7.2) et une proportion de 72.7% de femmes. Résultats : Les principaux résultats montrent que la majorité des patients ont une perte d'autonomie dans les AVQ avant l'admission à l'hôpital (56.2%) et que près d'un patient sur six (14.5%) continue d'expérimenter un déficit en auto-soin durant l'hospitalisation. Les facteurs prédisposant à une trajectoire de déficit en auto-soin entre le domicile et la sortie de l'hôpital identifiés ont été : l'état confusionnel aigu (OR=6.00, IC 95% 1.83 - 19.63), la dépendance en auto-soin à domicile (OR=1.44, IC 95% 1.02 - 2.02) et, une trajectoire de déficit en auto-soin entre le domicile et l'entrée à l'hôpital (OR=14.82, IC 95% 4.83 - 45.46). Conclusion : Cette étude met en évidence que les personnes âgées hospitalisées expérimentent des déficits dans les AVQ et qu'un des facteurs favorisants est la présence d'un état confusionnel aigu. D'autres recherches sont nécessaires pour renforcer et compléter ces résultats.

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Problématique. Le vieillissement de la population continuera à transformer la démographie. Sa conséquence est une augmentation des besoins de santé chez les personnes âgées que le système sanitaire ne peut couvrir à lui seul. La contribution conséquente des aidants familiaux constitue un pilier nécessaire et essentiel du maintien à domicile. Or, les exigences du rôle d'aidant peuvent dépasser ses capacités et conduire à une hospitalisation. Ces sources de stress, auxquelles s'ajoutent les manifestations de la maladie du proche et des difficultés de collaboration avec les professionnels de santé, peuvent générer un sentiment d'impuissance chez l'aidant. Ce dernier s'ajuste à ce stress par des stratégies de coping, influencées par le degré de contrôle perçu, dont le niveau le plus bas est l'impuissance. But. Explorer la relation entre le sentiment d'impuissance et le coping chez l'aidant à l'occasion de l'hospitalisation du proche. Méthode. Cette étude corrélationnelle descriptive a été conduite auprès de 33 aidants familiaux dont le proche est hospitalisé, recrutés selon un échantillonnage de convenance. Le questionnaire auto-administré comportait trois1 instruments : (a) questionnaire sociodémographique, (b) Ways of Coping Checklist-R, (c) sous-échelle d'impuissance de l'Empowerment Scale (allant de 1 à 4, quatre correspondant à un faible degré d'impuissance). Des comparaisons de moyennes et des corrélations de Pearson ont été effectués. Résultats. L'échantillon est constitué de 45,45 % d'hommes aidants, âgés en moyenne de 61 ans. Les participants viennent en aide à des proches âgés en moyenne de 79 ans. Pour la plus grande part, les aidants assistent leurs proches pour les activités instrumentales de la vie quotidienne. La moitié de l'échantillon fournit de 1 à 5 heures d'aide par semaine. Les participants se sentent relativement peu impuissants (M = 2,55). Cependant, plus l'âge des aidants augmente, plus l'impuissance augmente (r = -0,45 ; p < 0,0106). L'impuissance est plus élevée chez les hommes que chez les femmes (M = 2,40 vs M = 2,67 ; p = 0,0270). Dans cet échantillon, il n'y a pas de différence de sentiment d'impuissance selon que les aidants fournissent ou non une aide pour les activités de la vie quotidienne (AVQ), ni selon le nombre d'heures d'aide fournies par semaine. Le style de coping privilégié par les aidants est le coping centré sur le problème, puis sur la recherche de soutien social et finalement sur l'émotion. Les aidants fournissant de l'aide dans les AVQ privilégient le coping centré sur l'émotion alors qu'il n'existe pas de différence pour les deux autres styles de coping. Aucune relation entre l'impuissance et le coping n'apparaît. Conclusions. Malgré les limites de l'étude, notamment liées à la mesure de l'impuissance, les présents résultats sont compatibles avec les études antérieures. Il est néanmoins préconisé d'approfondir les connaissances utiles au renforcement du rôle infirmier auprès des aidants familiaux. Cela doit contribuer à préserver la santé de l'aidant, son rôle auprès du proche et le maintien à domicile de ce dernier.

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Le but de cette étude est de mesurer ainsi que de qualifier l'impact de l'implication des proches aidants de patients hospitalisés dans des unités de soins psychiatriques aigus sur eux-mêmes. Le cadre conceptuel utilisé est celui du fardeau des familles de Schene (1990). Il différencie les parties objectives et subjectives du fardeau familial. La récolte de données a été réalisée à l'aide de l'Involvement Evaluation Questionnaire (IEQ). Les résultats de cette étude montrent que les proches aidants souffrent d'un niveau d'inquiétude élevé, 3.8 sur une échelle de Likert à 5 questions, ainsi que d'un niveau de tension à 2.44 sur une échelle de Likert à 5 questions. Des associations ont été trouvées. L'augmentation de la durée du trouble diminue l'inquiétude, avec une valeur ρ de 0.048. Le fait d'être habitué à la situation a également un impact en diminuant la tension, avec une valeur ρ de 0.002. Plus on est « habitué à la situation », avec une valeur ρ de -0.021, moins le proche est inquiet par rapport à la situation du patient. Ainsi que, plus le patient est jeune, plus le proche aidant ressent de tension, avec une valeur ρ de 0.008. Ces résultats, peu généralisables au vu du petit échantillon (n=24), pourraient toutefois impliquer une réflexion approfondie sur l'accueil, la place et le soutien des proches aidants de patients souffrants de troubles psychiatriques hospitalisés dans une unité de soins aigus de la part des infirmières.

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Les patients atteints d'un cancer du poumon souffrent de différents troubles physiques et psychosociaux sévères causés par la maladie et son traitement. Ces troubles engendrent plusieurs besoins en soins de support chez les patients. Afin de satisfaire leurs besoins et de leur offrir la meilleure qualité de soins possible, l'identification des besoins en soins de support des patients devient primordiale. But : Le but de l'étude est, dans un premier temps, d'identifier et de décrire les besoins insatisfaits en soins de support pour les patients souffrant d'un cancer du poumon pendant la phase de chimiothérapie dans un Centre Hospitalier Universitaire en Suisse (CHU). Dans un second temps, le but de l'étude est également d'explorer l'éventuelle existence de différences quant au degré d'insatisfaction, tel qu'exprimé par les patients, notamment en fonction de l'âge, du genre et du tabagisme des patients. Cadre théorique : La présente étude se base sur la théorie du déficit d'auto-soin de Dorothea Orem. Méthode : Le travail de recherche s'est basé sur un devis descriptif corrélationnel transversal. L'échantillon, composé de 26 patients atteints d'un cancer du poumon, a été recruté selon la méthode non probabiliste accidentelle dans le service d'oncologie ambulatoire du CHU. Le recueil des données a été effectué à travers deux questionnaires auto-administrés aux patients (Supportive Care Needs Survey Short Form 34 et un questionnaire socio-démographique). Les données médicales ont été recueillies par l'étudiant chercheur à travers la consultation des dossiers médicaux. Résultats : Les résultats montrent que les besoins les plus insatisfaits chez les patients se regroupent surtout autour des besoins liés aux aspects psychologiques et physiques/vie quotidienne. Les patients expriment aussi un degré d'insatisfaction par rapport aux besoins en information ainsi qu'aux soins et au soutien prodigués par les soignants. Les deux besoins le plus fréquemment (65,38 %) exprimés comme insatisfaits par les patients ont été : « être informé de ce que vous pouvez faire vous-même pour aller mieux » et « l'incertitude face à l'avenir ». Les différences des degrés d'insatisfaction, tel qu'exprimés par les patients, en fonction de l'âge, du genre du tabagisme ont permis de poser des hypothèses quant aux relations entre ces variables et le degré d'insatisfaction : les femmes seraient plus insatisfaites de toutes les dimensions liées aux besoins en soins de support ; les patients d'âge égal ou supérieur à 65 ans seraient plus insatisfaits quant aux besoins physiques/vie quotidienne, psychologiques et de soutien; les patients d'âge inférieur à 65 ans seraient plus insatisfaits quant aux besoins liés à la sexualité; les non-fumeurs avant le diagnostic seraient plus insatisfaits quant aux besoins physiques/vie quotidienne, d'information et sexuels ; les patients qui arrêtent de fumer après le diagnostic seraient plus insatisfaits quant aux besoins physique/vie quotidienne, psychologique et de soutien. Conclusion : Cette étude met en évidence le fait que, pendant la phase de chimiothérapie, les patients atteints d'un cancer du poumon expriment de l'insatisfaction par rapport à plusieurs besoins en soins de support. Afin d'améliorer la qualité des soins et de mieux répondre aux besoins des patients, les infirmières et les équipes interdisciplinaires présentes au sein des services d'oncologie du CHU sont appelés à prendre en considération l'insatisfaction exprimée par les patients.