977 resultados para Non-complete extended p-sums (NEPS)


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BACKGROUND: Abdominoperineal resection (APR) following radiotherapy is associated with a high rate of perineal wound complications. The anterolateral thigh (ALT) flap, combined with the vastus lateralis (VL) muscle, can cover complex perineal and pelvic anteroposterior defects. This is used for the first time transabdominally through the pelvis and the perineum (TAPP) in the infero-posterior directions; this technique has been described and illustrated in this study. METHODS: Among over 90 patients who underwent perineal reconstruction between May 2004 and June 2011, six patients presented high-grade tumours invading perineum, pelvis and sacrum, thereby resulting in a continuous anteroposterior defect. ALT + VL TAPP reconstructions were performed after extended APR and, subsequently, sacrectomy. Patients were examined retrospectively to determine demographics, operative time, complications (general and flap-related), time to complete healing and length of hospital stay. Long-term flap coverage, flap volume stability and functional and aesthetic outcomes were assessed. RESULTS: Mean operating time of the reconstruction was 290 min. No deaths occurred. One patient presented partial flap necrosis. Another patient presented a novel wound dehiscence after flap healing, due to secondary skin dissemination of the primary tumour. Following volumetric flap analysis on serial post-operative CT scans, no significant flap atrophy was observed. All flaps fully covered the defects. No late complications such as fistulas or perineal hernias occurred. Donor-site recovery was uneventful with no functional deficits. CONCLUSIONS: The use of the ALT + VL flap transabdominally is an innovative method to reconstruct exceptionally complex perineal and pelvic defects extending up to the lower back. This flap guarantees superior bulk, obliterating all pelvic dead space, with the fascia lata (FL) supporting the pelvic floor.

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The mutants of Saccharomyces cerevisiae assigned to complementation group G199 are deficient in mitochondrial respiration and lack a functional cytochrome oxidase complex. Recombinant plasmids capable of restoring respiration were cloned by transformation of mutants of this group with a yeast genomic library. Sequencing indicated that a 2.1-kb subclone encompasses the very end (last 11 amino acids) of the PET111 gene, the COX7 gene and a new gene (YMR255W) of unknown function that potentially codes for a polypeptide of 188 amino acids (about 21.5 kDa) without significant homology to any known protein. We have shown that the respiratory defect corresponding to group G199 is complemented by plasmids carrying only the COX7 gene. The gene YMR255W was inactivated by one-step gene replacement and the disrupted strain was viable and unaffected in its ability to grow in a variety of different test media such as minimal or complete media using eight distinct carbon sources at three pH values and temperatures. Inactivation of this gene also did not affect mating or sporulation

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We transplanted 47 patients with Fanconi anemia using an alternative source of hematopoietic cells. The patients were assigned to the following groups: group 1, unrelated bone marrow (N = 15); group 2, unrelated cord blood (N = 17), and group 3, related non-sibling bone marrow (N = 15). Twenty-four patients (51%) had complete engraftment, which was not influenced by gender (P = 0.87), age (P = 0.45), dose of cyclophosphamide (P = 0.80), nucleated cell dose infused (P = 0.60), or use of anti-T serotherapy (P = 0.20). Favorable factors for superior engraftment were full HLA compatibility (independent of the source of cells; P = 0.007) and use of a fludarabine-based conditioning regimen (P = 0.046). Unfavorable factors were > or = 25 transfusions pre-transplant (P = 0.011) and degree of HLA disparity (P = 0.007). Intensity of mucositis (P = 0.50) and use of androgen prior to transplant had no influence on survival (P = 0.80). Acute graft-versus-host disease (GVHD) grade II-IV and chronic GVHD were diagnosed in 47 and 23% of available patients, respectively, and infections prevailed as the main cause of death, associated or not with GVHD. Eighteen patients are alive, the Kaplan-Meyer overall survival is 38% at ~8 years, and the best results were obtained with related non-sibling bone marrow patients. Three recommendations emerged from the present study: fludarabine as part of conditioning, transplant in patients with <25 transfusions and avoidance of HLA disparity. In addition, an extended family search (even when consanguinity is not present) seeking for a related non-sibling donor is highly recommended.

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Titre uniforme : [La sonnambula]. Extrait

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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.

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Le contrôle des mouvements du bras fait intervenir plusieurs voies provenant du cerveau. Cette thèse, composée principalement de deux études, tente d’éclaircir les contributions des voies tirant leur origine du système vestibulaire et du cortex moteur. Dans la première étude (Raptis et al 2007), impliquant des mouvements d’atteinte, nous avons cerné l’importance des voies descendantes partant du système vestibulaire pour l’équivalence motrice, i.e. la capacité du système moteur à atteindre un but moteur donné lorsque le nombre de degrés de liberté articulaires varie. L’hypothèse émise était que le système vestibulaire joue un rôle essentiel dans l’équivalence motrice. Nous avons comparé la capacité d’équivalence motrice de sujets sains et de patients vestibulodéficients chroniques lors de mouvements nécessitant un contrôle des positions du bras et du tronc. Pendant que leur vision était temporairement bloquée, les sujets devaient soit maintenir une position de l’index pendant une flexion du tronc, soit atteindre une cible dans l’espace péri-personnel en combinant le mouvement du bras avec une flexion du tronc. Lors d’essais déterminés aléatoirement et imprévus par les participants, leur tronc était retenu par un mécanisme électromagnétique s’activant en même temps que le signal de départ. Les sujets sains ont pu préserver la position ou la trajectoire de l’index dans les deux conditions du tronc (libre, bloqué) en adaptant avec une courte latence (60-180 ms) les mouvements articulaires au niveau du coude et de l’épaule. En comparaison, six des sept patients vestibulodéficients chroniques ont présenté des déficits au plan des adaptations angulaires compensatoires. Pour ces patients, entre 30 % et 100 % du mouvement du tronc n’a pas été compensé et a été transmis à la position ou trajectoire de l’index. Ces résultats indiqueraient que les influences vestibulaires évoquées par le mouvement de la tête pendant la flexion du tronc jouent un rôle majeur pour garantir l’équivalence motrice dans ces tâches d’atteinte lorsque le nombre de degrés de liberté articulaires varie. Également, ils démontrent que la plasticité de long terme survenant spontanément après une lésion vestibulaire unilatérale complète ne serait pas suffisante pour permettre au SNC de retrouver un niveau d’équivalence motrice normal dans les actions combinant un déplacement du bras et du tronc. Ces tâches de coordination bras-tronc constituent ainsi une approche inédite et sensible pour l’évaluation clinique des déficits vestibulaires. Elles permettent de sonder une dimension fonctionnelle des influences vestibulaires qui n’était pas prise en compte dans les tests cliniques usuels, dont la sensibilité relativement limitée empêche souvent la détection d’insuffisances vestibulaires six mois après une lésion de ces voies. Avec cette première étude, nous avons donc exploré comment le cerveau et les voies descendantes intègrent des degrés de liberté articulaires supplémentaires dans le contrôle du bras. Dans la seconde étude (Raptis et al 2010), notre but était de clarifier la nature des variables spécifiées par les voies descendantes pour le contrôle d’actions motrices réalisées avec ce membre. Nous avons testé l’hypothèse selon laquelle les voies corticospinales contrôlent la position et les mouvements des bras en modulant la position-seuil (position de référence à partir de laquelle les muscles commencent à être activés en réponse à une déviation de cette référence). Selon ce principe, les voies corticospinales ne spécifieraient pas directement les patrons d’activité EMG, ce qui se refléterait par une dissociation entre l’EMG et l’excitabilité corticospinale pour des positions-seuils différentes. Dans un manipulandum, des participants (n=16) ont modifié leur angle du poignet, d’une position de flexion (45°) à une position d’extension (-25°), et vice-versa. Les forces élastiques passives des muscles ont été compensées avec un moteur couple afin que les sujets puissent égaliser leur activité EMG de base dans les deux positions. L’excitabilité motoneuronale dans ces positions a été comparée à travers l’analyse des réponses EMG évoquées à la suite d’étirements brefs. Dans les deux positions, le niveau d’EMG et l’excitabilité motoneuronale étaient semblables. De plus, ces tests ont permis de montrer que le repositionnement du poignet était associé à une translation de la position-seuil. Par contre, malgré la similitude de l’excitabilité motoneuronale dans ces positions, l’excitabilité corticospinale des muscles du poignet était significativement différente : les impulsions de stimulation magnétique transcrânienne (TMS; à 1.2 MT, sur l’aire du poignet de M1) ont provoqué des potentiels moteurs évoqués (MEP) de plus grande amplitude en flexion pour les fléchisseurs comparativement à la position d’extension et vice-versa pour les extenseurs (p<0.005 pour le groupe). Lorsque les mêmes positions étaient établies après une relaxation profonde, les réponses réflexes et les amplitudes des MEPs ont drastiquement diminué. La relation caractéristique observée entre position physique et amplitude des MEPs dans le positionnement actif s’est aussi estompée lorsque les muscles étaient relâchés. Cette étude suggère que la voie corticospinale, en association avec les autres voies descendantes, participerait au contrôle de la position-seuil, un processus qui prédéterminerait le référentiel spatial dans lequel l’activité EMG émerge. Ce contrôle de la « référence » constituerait un principe commun s’appliquant à la fois au contrôle de la force musculaire, de la position, du mouvement et de la relaxation. Nous avons aussi mis en évidence qu’il est nécessaire, dans les prochaines recherches ou applications utilisant la TMS, de prendre en compte la configuration-seuil des articulations, afin de bien interpréter les réponses musculaires (ou leurs changements) évoquées par cette technique; en effet, la configuration-seuil influencerait de manière notable l’excitabilité corticomotrice, qui peut être considérée comme un indicateur non seulement lors d’activités musculaires, mais aussi cognitives, après apprentissages moteurs ou lésions neurologiques causant des déficits moteurs (ex. spasticité, faiblesse). Considérées dans leur ensemble, ces deux études apportent un éclairage inédit sur des principes fondamentaux du contrôle moteur : nous y illustrons de manière plus large le rôle du système vestibulaire dans les tâches d’atteinte exigeant une coordination entre le bras et son « support » (le tronc) et clarifions l’implication des voies corticomotrices dans la spécification de paramètres élémentaires du contrôle moteur du bras. De plus amples recherches sont cependant nécessaires afin de mieux comprendre comment les systèmes sensoriels et descendants (e.g. vestibulo-, réticulo-, rubro-, propriospinal) participent et interagissent avec les signaux corticofugaux afin de spécifier les seuils neuromusculaires dans le contrôle de la posture et du mouvement.

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Microcosm studies were performed to evaluate the survival of Escherichia coli, Salmonella paratyphi and Vibrio parahaemolyticus in water and sediment collected from the freshwater region of Vembanad Lake (9 35◦N 76 25◦E) along the south west coast of India. All three test microorganisms showed significantly (p < 0.01) higher survival in sediment compared to overlying water. The survival in different sediment types with different particle size and organic carbon content revealed that sediment with small particle size and high organic carbon content could enhance their extended survival (p < 0.05). The results indicate that sediments of the Lake could act as a reservoir of pathogenic bacteria and exhibit a potential health hazard from possible resuspension and subsequent ingestion during recreational activities. Therefore, the assessment of bacterial concentration in freshwater Lake sediments used for contact and non contact recreation has of considerable significance for the proper assessment of microbial pollution of the overlying water, and for the management and protection of related health risk at specific recreational sites. Besides, assessment of the bacterial concentration in sediments can be used as a relatively stable indicator of long term mean bacterial concentration in the water column above

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Introducción: La enfermedad celiaca (EC) es una enfermedad autoinmune (EA) intestinal desencadenada por la ingesta de gluten. Por la falta de información de la presencia de EC en Latinoamérica (LA), nosotros investigamos la prevalencia de la enfermedad en esta región utilizando una revisión sistemática de la literatura y un meta-análisis. Métodos y resultados: Este trabajo fue realizado en dos fases: La primera, fue un estudio de corte transversal de 300 individuos Colombianos. La segunda, fue una revisión sistemática y una meta-regresión siguiendo las guías PRSIMA. Nuestros resultados ponen de manifiesto una falta de anti-transglutaminasa tisular (tTG) e IgA anti-endomisio (EMA) en la población Colombiana. En la revisión sistemática, 72 artículos cumplían con los criterios de selección, la prevalencia estimada de EC en LA fue de 0,46% a 0,64%, mientras que la prevalencia en familiares de primer grado fue de 5,5 a 5,6%, y en los pacientes con diabetes mellitus tipo 1 fue de 4,6% a 8,7% Conclusión: Nuestro estudio muestra que la prevalencia de EC en pacientes sanos de LA es similar a la notificada en la población europea.