991 resultados para Destruction des lymphocytes T CD4


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We have investigated the ability of human immunodeficiency virus (HIV)-infected cells to kill uninfected CD4+ lymphocytes. Infected peripheral blood mononuclear cells were cocultured with autologous 51Cr-labeled uninfected cells. Rapid death of the normal CD4-expressing target population was observed following a brief incubation. Death of blood CD4+ lymphocytes occurred before syncytium formation could be detected or productive viral infection established in the normal target cells. Cytolysis could not be induced by free virus, was dependent on gp120-CD4 binding, and occurred in resting, as well as activated, lymphocytes. CD8+ cells were not involved in this phenomenon, since HIV-infected CEMT4 cells (CD4+, CD8- cells) mediated the cytolysis of uninfected targets. Reciprocal isotope-labeling experiments demonstrated that infected CEMT4 cells did not die in parallel with their targets. The uninfected target cells manifested DNA fragmentation, followed by the release of the 51Cr label. Thus, in HIV patients, infected lymphocytes may cause the depletion of the much larger population of uninfected CD4+ cells without actually infecting them, by triggering an apoptotic death.

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La maladie du greffon contre lâhôte (GvHD) est un effet secondaire sérieux de la transplantation de cellules souches hématopoïétiques (HSCT). Cette maladie entraine une haute mortalité et ses symptômes sont dévastateurs. Les traitements actuels de la GvHD comportent plusieurs produits, tels les corticostéroïdes, mais ces derniers sont immunosuppresseurs et leurs effets secondaires sont aussi très dommageables pour les patients et leur guérison. Les cellules stromales mésenchymateuses (MSC) représentent une alternative ou une addition potentielle de traitement pour la GvHD et ces cellules ne semblent pas posséder les effets secondaires des traitements classiques. Un nombre important dâétudes cliniques faisant lâobjet des MSC ont été enregistrées. Malgré cet engouement, le mécanisme de leur immunomodulation reste encore à élucider. Notre objectif est donc de mieux définir ce mécanisme. Nous avons utilisé un modèle simplifié pour simuler la GvHD in vitro. Ce modèle se base sur la stimulation de lymphocytes CD4+ par des cellules dendritiques allogéniques. La mesure de la prolifération de ces cellules stimulées sert dâindicateur de leur réactivité. Selon les résultats obtenus par la technologie CRISPR de génie génétique, les MSC exerceraient leur immunosuppression sur les cellules T CD4+ principalement par la sécrétion de lâenzyme IDO1. Les MSC seraient également capables dâinduire certaines cellules CD4+ en cellules régulatrices, un processus indépendant de la sécrétion dâIDO1. Toutefois, ces cellules ne semblent pas correspondre aux cellules Treg conventionnelles.