886 resultados para B-cell lymphoma


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L’implication des cellules B dans le développement de l’auto-immunité ne cesse d’être illustrée par de récentes publications. Les cellules présentent des peptides du soi aux cellules T auto-réactives ce qui mène à la production de cytokines pro-inflammatoires et d’anticorps auto-réactifs. Dans le présent document, nous explorons la présentation antigénique et la modification post-traductionnelle du complexe majeur d’histocompatibilité II (CMH-II). MARCH1 est une E3 ubiquitine ligase qui cible le CMH-II et le relocalise le complexe vers les endosomes de recyclage. Ainsi, MARCH1 est un inhibiteur de la présentation d’antigènes exogènes. Ici, nous démontrons que MARCH1 est exprimé seulement dans la sous-population des cellules B folliculaires et que cette expression est perdue lors de l’entrée dans les centres germinatifs. Nous proposons que MARCH1 établie une barrière de formation de centres germinatifs. Nous démontrons le lien entre MARCH1 et la hausse de CMH-II à la surface des cellules B à la suite d’un traitement à l’IL-10. De plus, nous avons testé plusieurs stimuli activateurs des cellules B et démontrons que MARCH1 est régulé à la baisse dans tous les cas. De plus, nous mettons en valeurs le rôle de la voie canonique d’activation de NF-κB dans cette régulation de MARCH1. Finalement, nous avons développé un système de lentivirus exprimant MARCH1 qui nous permet de forcer l’expression de MARCH1 dans des cellules réfractaires à la transfection. Nous discutons de l’implication de cette régulation du CMH-II par MARCH1 dans le développement de maladies auto-immunes.

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La protéine de fusion E2A-PBX1 induit une leucémie lymphoblastique aigüe des cellules B pédiatrique chez l’humain. E2A-PBX1 possède de puissantes propriétés de trans-activation et peut se lier à l’ADN ainsi qu’aux protéines homéotiques (HOX) via des domaines conservés dans sa portion PBX1, ce qui suggère qu’une dérégulation des gènes cibles de HOX/PBX1 contribue à la leucémogénèse. Précédemment, Bijl et al. (2008) ont démontré que certains gènes Hox collaborent de manière oncogénique avec E2A-PBX1, et que ces interactions sont cellules-spécifiques et varient en fonction du gène Hox impliqué. Une mutagénèse d’insertion provirale suggère et supporte la collaboration des gènes Hoxa et E2A-PBX1 lors de la leucémogénèse des cellules B. La présence de ces interactions dans les cellules B et leur implication dans l’induction des B-ALL est pertinente pour la compréhension de la maladie humaine, et reste encore mal comprise. Notre étude démontre qu’Hoxa9 confère un avantage prolifératif aux cellules B E2A-PBX1. Des expériences de transplantation à l’aide de cellules B E2A-PBX1/Hoxa9 positives isolées de chimères de moelle osseuse démontrent qu’Hoxa9 collabore avec E2A-PBX1 en contribuant à la transformation oncogénique des cellules, et qu’Hoxa9 seul n’induit aucune transformation. Une analyse par Q-RT-PCR nous a permis de démontrer une forte inhibition de gènes spécifiques aux cellules B dans les leucémies co-exprimant Hoxa9 et E2A-PBX1, en plus d’une activation de Flt3, suggérant une inhibition de la différenciation des cellules B accompagnée d’une augmentation de la prolifération. De plus, la surexpression de Hoxa9 dans des cellules leucémiques de souris transgéniques E2A-PBX1, confère aussi un avantage prolifératif aux cellules in vitro, qui semblent être influencé par une augmentation de l’expression de Flt3 et Pdgfδ. En conclusion, nous démontrons pour la première fois à l’aide d’un modèle murin qu’Hoxa9 collabore avec E2A-PBX1 lors de la transformation oncogénique des cellules B et que la signalisation via Flt3 est impliquée, ce qui est potentiellement pertinent pour la maladie humaine.

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Eph kinases are the largest family of cell surface receptor tyrosine kinases. The ligands of Ephs, ephrins (EFNs), are also cell surface molecules. Ephs interact with EFNs and the receptors and ligands transmit signals in both directions, i.e., from Ephs to EFNs and from EFNs to Ephs. Ephs and EFNs are widely involved in various developmental, physiological pathophysiological processes. Our group and others have reported the roles of Ephs/EFNs in the immune system. To further investigate the function of EphBs/EFNBs in T cell development and responses, we generated EFNB1, EFNB2, EphB4 conditional gene knockout (KO) mice and EFNB1/2 double KO mice. In the projects using EFNB1 and EFNB2 knockout mice, we specifically deleted EFNB1 or EFNB2 in T cells. The mice had normal size and cellularity of the thymus and spleen as well as normal T cell subpopulations in these organs. The bone marrow progenitors from KO mice and WT mice repopulated the host lymphoid organs to similar extents. The activation and proliferation of KO T cells was comparable to that of control mice. Naïve KO CD4 cells differentiated into Th1, Th2, Th17 and Treg cells similar to naïve control CD4 cells. In EFNB2 KO mice, we observed a significant relative increase of CD4CD8 double negative thymocytes in the thymus. Flowcytometry analysis revealed that there was a moderate increase in the DN3 subpopulation in the thymus. This suggests that EFNB2 is involved in thymocyte development. Our results indicate that the functions of EFNB1 and EFNB2 in the T cell compartment could be compensated by each other or by other members of the EFN family, and that such redundancy safeguards the pivotal roles of EFNB1 and EFNB2 in T cell development and function. In the project using EFNB1/B2 double knockout (dKO) model, we revealed a novel regulatory function of EFNb1 and EFNb2 in stabilizing IL-7Rα expression on the T cell surface. IL-7 plays important roles in thymocyte development, T cell homeostasis and survival. IL-7Rα undergoes internalization upon IL-7 binding. In the dKO mice, we observed reduced IL-7Rα expression in thymocytes and T cells. Moreover, the IL-7Rα internalization was accelerated in dKO CD4 cells upon IL-7 stimulation. In T cell lymphoma cell line, EL4, over-expression of either EFNB1 or EFNB2 retarded the internalization of IL-7Rα. We further demonstrated compromised IL-7 signaling and homeostatic proliferation of dKO T cells. Mechanism study using fluorescence resonance energy transfer and immunoprecipitation demonstrated that physical interaction of EFNB1 and EFNB2 with IL-7Rα was likely responsible for the retarded IL-7Rα internalization. In the last project, using medullary thymic epithelial cell (mTEC)-specific EphB4 knockout mice, we investigated T cell development and function after EphB4 deletion in mTEC. EphB4 KO mice demonstrated normal thymic weight and cellularity. T cell development and function were not influenced by the EphB4 deletion. Lastly, the KO mice developed normal delayed type hypersensitivity. Overall, our results suggest that comprehensive cross interaction between Eph and EFN family members could compensate function of a given deleted member in the T cell development, and only simultaneous deletion of multiple EFNBs will reveal their true function in the immune system. In fact, such redundancy signifies vital roles of Ephs and EFNs in the immune system.

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Introduction: Notre laboratoire a précédemment établi que Hoxa9 accélérait l’apparition de leucémie de type B induite par E2A-PBX1. Une analyse par qRT-PCR a montré que les niveaux d’ARN de Flt3, une cible de Hoxa9, étaient 32 fois plus élevés dans les leucémies Hoxa9/E2A-PBX1 par rapport que dans les leucémies E2A-PBX1. Il est important de noter que l’expression aberrante de Flt3 est retrouvée dans les leucémies ALL de type B et les AML. De plus, l’activation constitutive de Flt3 est associée à un faible pronostic. Nous avons posé l’hypothèse que la maintenance/ré-initiation des leucémies de type pré-B induites par E2A-Pbx1 est associée à la présence du récepteur Flt3. Méthodes et Résultats: Premièrement, nous avons analysé par FACS la présence de Flt3 et mesuré l’expression de Flt3 par qRT-PCR des cellules E2A-PBX1 leucémiques pré-B. Nous avons montré que les cellules leucémiques E2A-PBX1 expriment l’ARNm du gène Flt3. Cependant, le récepteur n’était détectable à la surface cellulaire que dans des proportions variant de 0.3 à 28%. Deuxièmement, nous avons évalué le potentiel leucémique des fractions positive et négative pour Flt3. Toutes deux ont été capables de ré-initier la leucémie environ 20 jours après transplantation. Des analyses par FACS ont montré qu’une proportion de cellules leucémiques exprimaient Flt3, incluant même celles provenant de la fraction Flt3-. Troisièmement, une stratégie de perte de fonction de Flt3 par shARN a été mise en œuvre afin d’examiner le rôle de la voie de signalisation de Flt3 dans les cellules leucémiques E2A-PBX1. Pour ce faire, des cellules primaires leucémiques ont été infectées, soit par le shARN anti-Flt3 soit shARN contrôle, et transplantées dans des souris receveuses. Les cellules leucémiques contenant le shARN ont été capables de régénérer la leucémie. Cependant, une proportion des cellules exprimaient toujours Flt3, ce qui indique que l’efficacité des shARn n’était pas suffisante. Conclusion et Perspectives: Nos shARN ne sont pas suffisamment efficaces sur les cellules leucémiques choisies. De ce fait, nous proposons d’utiliser des cellules leucémiques moins agressives tout en réalisant le même set-up expérimental. Des transplantations dans des receveurs KO Flt3-/- seraient également requises afin de réellement étudier l’impact de la voie de signalisation Flt3 dans la ré-initiation leucémique.

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Les cellules dendritiques (DC) sont parmi les premières cellules à rencontrer le virus d’immunodéficience humaine (VIH) au niveau des muqueuses. De plus, le fait que les DC sont, de manière directe ou indirecte par le virus et ses composantes, altérées tant par leur nombre, leur phénotype et leur fonction suggère leur implication dans les dérégulations des cellules B. Selon cette hypothèse, des études longitudinales impliquant des individus infectés au VIH-1 présentant différents profils de progression clinique menées dans notre laboratoire ont démontré que les altérations des cellules B sont concomitantes à une augmentation de l’expression de BLyS/BAFF dans le sang ainsi que par les DC myéloïdes (mDC) sanguines. De plus, lors de travaux antérieurs utilisant le modèle murin VIH-transgénique, les altérations des cellules B ont démontré une implication des DC et d’un excès de BLyS/BAFF, et ce, dépendamment du facteur négatif du VIH (Nef). Dans cette optique, nous investiguons dans cette présente étude l’implication de Nef dans la modulation du phénotype des DC ainsi que dans les dérégulations des cellules B. Chez tous les patients virémiques infectés au VIH-1, nous avons détecté la présence de Nef dans le plasma ainsi qu’au niveau des mDC et de leurs précurseurs d’origine monocytaire, tout au long du suivi de la progression clinique et au-delà de la thérapie antirétrovirale (ART). La surexpression de BLyS/BAFF est associée à la présence de Nef au niveau des mDC et de leur précurseur.. Des essais in vitro ont permis de démontrer l’induction d’un phénotype proinflammatoire par des mDC dérivés de monocytes lorsqu’en présence de Nef soluble, via l’augmentation de l’expression de BLyS/BAFF et de TNF-α, et où cet effet est bloqué par l’ajout de l’acide rétinoïque. Nos résultats suggèrent donc que Nef est impliquée dans le déclenchement et la persistance des dérégulations des cellules B retrouvées chez les individus infectés au VIH-1. Basé sur nos observations, une thérapie adjointe impliquant le blocage de BLyS/BAFF et/ou Nef pourrait contribuer au contrôle de l’inflammation et des altérations des cellules B. De plus, la quantification de Nef post-ART pourrait s’avérer utile dans l’évaluation du statut des réservoirs. Précédemment, nous avons démontré que les dérégulations des cellules B sanguines de ces mêmes individus présentant un profil de progression rapide et classique sont accompagnées par l’augmentation de la fréquence d’une population partageant des caractéristiques des cellules B transitionnelles immatures (TI) et des cellules B de la zone marginale (ZM), que nous avons nommé les cellules B précurseur de la ZM. Toutefois, cette population est préservée chez les contrôleurs élites, chez qui nous avons trouvé une diminution significative de la fréquence des cellules B de la ZM présentant des marqueurs phénotypiques plus matures. Récemment, ces cellules ont été associées à un potentiel de fonction régulatrice (Breg), motivant ainsi notre poursuite, dans cette étude, de la caractérisation de ces cellules B. Comme pour les individus non infectés au VIH-1, nous avons démontré que les cellules B matures de la ZM contrôlent leur capacité de production d’IL-10 chez les contrôleurs élites, contrairement à une augmentation chez les progresseurs rapides et classiques. Aussi, les cellules B précurseur de la ZM des contrôleurs élites fournissent une expression importante de LT-α lorsque comparés aux individus non infectés au VIH-1, alors que cet apport de LT-α est attribué aux cellules B TI chez les progresseurs. Le contrôle de la progression clinique semble associé à un ratio en faveur de LT-α vs IL-10 au niveau des cellules B précurseur de la ZM. Nos résultats suggèrent qu’un maintien de l’intégrité du potentiel régulateur ainsi qu’une expression augmentée de LT-α par les cellules B de première ligne, telles les populations de la ZM, sont impliqués dans le contrôle de la progression clinique du VIH-1, possiblement par leur contribution à la modulation et l’homéostasie immunitaire. De telles populations doivent être considérées lors de l’élaboration de vaccins, ces derniers cherchant à générer une réponse protectrice de première ligne et adaptative.

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La dérégulation du compartiment de cellules B est une conséquence importante de l’infection par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH-1). On observe notamment une diminution des nombres de lymphocytes B sanguins ainsi qu’une variation des fréquences relatives des différentes populations de lymphocytes B chez les individus infectés par rapport aux contrôles sains. Notre laboratoire a précédemment démontré l’implication des cellules dendritiques dans la dérégulation des lymphocytes B via la roduction excessive de BLyS/BAFF, un stimulateur des cellules B. De plus, lors l’études menées chez la souris transgénique présentant une maladie semblable au SIDA, et chez la souris BLyS/BAFF transgénique, l’infection au VIH-1 fut associée à une expansion de la zone marginale (MZ) de la rate. De façon intéressante, nous observons chez les contrôleurs élites une diminution de la population B ‘mature’ de la MZ. Il s’agit du seul changement important chez les contrôleurs élites et reflète possiblement un recrutement de ces cellules vers la périphérie ainsi qu’une implication dans des mécanismes de contrôle de l’infection. Pour tenter d’expliquer et de mieux comprendre ces variations dans les fréquences des populations B, nous avons analysé les axes chimiotactiques CXCL13-CXCR5, CXCL12-CXCR4/CXCR7, CCL20-CCR6 et CCL25-CCR9. L’étude longitudinale de cohortes de patients avec différents types de progression clinique ou de contrôle de l’infection démontre une modulation des niveaux plasmatiques de la majorité des chimiokines analysées chez les progresseurs rapides et classiques. Au contraire, les contrôleurs élites conservent des niveaux normaux de chimiokines, démontrant leur capacité à maintenir l’homéostasie. La migration des populations de cellules B semble être modulée selon la progression ou le contrôle de l’infection. Les contrôleurs élites présentent une diminution de la population B ‘mature’ de la MZ et une augmentation de la fréquence d’expression du récepteur CXCR7 associé à la MZ chez la souris, suggérant un rôle important des cellules de la MZ dans le contrôle de l’infection au VIH-1. De façon générale, les résultats dans cette étude viennent enrichir nos connaissances du compartiment de cellules B dans le contexte de l’infection au VIH-1 et pourront contribuer à élaborer des stratégies préventives et thérapeutiques contre ce virus.

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This thesis Entitled Neuronal degeneration in streptozotocin induced diabetic rats: effect of aegle marmelose and pyridoxine in pancreatic B cell proliferation and neuronal survival. Diabetes mellitus, a chronic metabolic disorder results in neurological dysfunctions and structural changes in the CNS. Antioxidant therapy is a challenging but necessary dimension in the management of diabetes and neurodegenerative changes associated with it. Our results showed regional variation and imbalance in the expression pattern of dopaminergic receptor subtypes in diabetes and its role in imbalanced insulin signaling and glucose regulation. Disrupted dopaminergic signaling and increased hyperglycemic stress in diabetes contributed to the neuronal loss. Neuronal loss in diabetic rats mediated through the expression of pattern of GLUT-3, CREB, IGF-1, Akt-1, NF,B, second messengers- cAMP, cGMP, IP3 and activation of apoptotic factors factors- TNF-a,caspase-8. Disrupted dopaminergic receptor expressions and its signaling in pancreas contributed defective insulin secretion in diabetes. Activation of apoptotic factors- TNF- a,caspase-8 and defective functioning of neuronal survival factors, disrupted second messenger signaling modulated neuronal viability in diabetes. Hyperglycemic stress activated the expression of TNF-a,caspase-8, BAX and differential expression of anti oxidant enzymes- SOD and GPx in liver lead to apoptosis. Treatment of diabetic rats with insulin, Aegle marmelose and pyridoxine significantly reversed the altered dopaminergic neurotransmission, GLUT3, GLUT2, IGF-1 and second messenger signaling. Antihyperglycemic and antioxidant activity of Aegle marmelose and pyridoxine enhanced pancreatic B cell proliferation, increased insulin synthesis and secretion in diabetic rats. Thus our results conclude the neuroprotective and regenerating ability of Aegle marmelose and pyridoxine which in turn has a novel therapeutic role in the management of diabetes.

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MicroRNAs (miRNAs), an abundant class of ~22 nucleotide non-coding RNAs, are thought to play an important regulatory role in animal and plant development at the posttranscriptional level. Many miRNAs cloned from mouse bone marrow cells are differentially regulated in various hematopoietic lineages, suggesting that they might influence hematopoietic lineage differentiation. Some human miRNAs are linked to leukemias: the miR-15a/miR-16 locus is frequently deleted or down-regulated in patients with B-cell chronic lymphocytic leukemia and miR-142 is at a translocation site found in a case of aggressive B-cell leukemia. miR-181, a miRNA upregulated only in the B cell lineage of mouse bone marrow cells, promotes B cell differentiation and inhibits production of CD8⁺ T cells when expressed in hematopoietic stem/progenitor cells. In contrast miR-142s inhibits production of both CD4⁺ and CD8⁺ T cells and does not affect B cells. Collectively, these results indicate that microRNAs are components of the molecular circuitry controlling mouse hematopoiesis and suggest that other microRNAs have similar regulatory roles during other facets of vertebrate development.

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Rhotekin belongs to the group of proteins containing a Rho-binding domain that are target peptides (effectors) for the Rho-GTPases. We previously identified a novel cDNA with homology to human rhotekin and in this study we cloned and characterized the coding region of this novel 12-exon gene. The ORF encodes a 609 amino-acid protein comprising a Class I Rho-binding domain and pleckstrin homology (PH) domain. Cellular cDNA expression of this new protein, designated Rhotekin-2 (RTKN2), was shown in the cytosol and nucleus of CHO cells. Using bioinformatics and RTPCR we identified three major splice variants, which vary in both the Rho-binding and PH domains. Real-time PCR studies showed exclusive RTKN2 expression in pooled lymphocytes and further purification indicated sole expression in CD4pos T-cells and bone marrow-derived B-cells. Gene expression was increased in quiescent T-cells but negligible in activated proliferating cells. In malignant samples expression was absent in myeloid leukaemias, low in most B-cell malignancies and CD8pos T-cell malignancies, but very high in CD4pos/CD8pos T-lymphoblastic lymphoma. As the Rho family is critical in lymphocyte development and function, RTKN2 may play an important role in lymphopoiesis.

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Casitas b-lineage lymphoma (c-Cbl) is an E3 ubiquitin ligase that has an important role in regulating the degradation of cell surface receptors. In the present study we have examined the role of c-Cbl in whole-body energy homeostasis. c-Cb-/- mice exhibited a profound increase in whole-body energy expenditure as determined by increased core temperature and whole-body oxygen consumption. As a consequence, these mice displayed a decrease in adiposity, primarily due to a reduction in cell size despite an increase in food intake. These changes were accompanied by a significant
increase in activity (2- to 3-fold). In addition, cc-Cb-/- mice displayed a marked improvement in whole-body insulin action, primarily due to changes in muscle metabolism. We observed increased protein levels of the insulin receptor (4-fold) and uncoupling protein-3 (2-fold) in skeletal muscle and a significant increase in the phosphorylation of AMP-activated protein kinase and acetyl-CoA carboxylase. These fmdings suggest that c-Cbl plays an integral role in whole-body fuel homeostasis by regulating whole-body energy expenditure and insulin action.

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A long-standing question in the field of immunology concerns the factors that contribute to Th cell epitope immunodominance. For a number of viral membrane proteins, Th cell epitopes are localized to exposed protein surfaces, often overlapping with Ab binding sites. It has therefore been proposed that Abs on B cell surfaces selectively bind and protect exposed protein fragments during Ag processing, and that this interaction helps to shape the Th cell repertoire. While attractive in concept, this hypothesis has not been thoroughly tested. To test this hypothesis, we have compared Th cell peptide immunodominance in normal C57BL/6 mice with that in C57BL/6MT/MT mice (lacking normal B cell activity). Animals were first vaccinated with DNA constructs expressing one of three different HIV envelope proteins, after which the CD4 T cell response profiles were characterized toward overlapping peptides using an IFN- ELISPOT assay. We found a striking similarity between the peptide response profiles in the two mouse strains. Profiles also matched those of previous experiments in which different envelope vaccination regimens were used. Our results clearly demonstrate that normal Ab activity is not required for the establishment or maintenance of Th peptide immunodominance in the HIV envelope response. To explain the clustering of Th cell epitopes, we propose that localization of peptide on exposed envelope surfaces facilitates proteolytic activity and preferential peptide shuttling through the Ag processing pathway.

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The function of the stress-responsive N-myc downstream-regulated gene 2 (NDRG2) in the control of myoblast growth, and the amino acids contributing to its function, are not well characterized. Here, we investigated the effect of increased NDRG2 levels on the proliferation, differentiation and apoptosis in skeletal muscle cells under basal and stress conditions. NDRG2 overexpression increased C2C12 myoblast proliferation and the expression of positive cell cycle regulators, cdk2, cyclin B and cyclin D, and phosphorylation of Rb, while the serine/threonine-deficient NDRG2, 3A-NDRG2, had less effect. The onset of differentiation was enhanced by NDRG2 as determined through the myogenic regulatory factor expression profiles and myocyte fusion index. However, the overall level of differentiation in myotubes was not different. While NDRG2 up-regulated caspase 3/7 activities during differentiation, no increase in apoptosis was measured by TUNEL assay or through cleavage of caspase 3 and PARP proteins. During H2O2 treatment to induce oxidative stress, NDRG2 helped protect against the loss of proliferation and ER stress as measured by GRP78 expression with 3A-NDRG2 displaying less protection. NDRG2 also attenuated apoptosis by reducing cleavage of PARP and caspase 3 and expression of pro-apoptotic Bax while enhancing the pro-survival Bcl-2 and Bcl-xL levels. In contrast, Mcl-1 was not altered, and NDRG2 did not protect against palmitate-induced lipotoxicity. Our findings show that NDRG2 overexpression increases myoblast proliferation and caspase 3/7 activities without increasing overall differentiation. Furthermore, NDRG2 attenuates H2O2-induced oxidative stress and specific serine and threonine amino acid residues appear to contribute to its function in muscle cells.

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Chronic lymphoproliferative disorders (DLPC) are lymphoid system diseases characterized by the abnormal proliferation of mature lymphocytes that affect B cells, T lymphocytes and NK cells. The aim of the study was to demonstrate the relevance of immunophenotyping by flow cytometry in patients with prolonged lymphocytosis and / or cytomorphological changes compatible with lymphoproliferative diseases. In this study 460 patients (244 men and 216 women) with DLPC were evaluated. Were analyzed by flow cytometry with a panel of monoclonal antibodies consisting of CD3, CD4, CD5, CD8, CD10, CD19, CD22, CD23, CD25, CD38, CD45, CD16/CD56, and HLADR heavy and light chains of immunoglobulins. It also examines information regarding age, gender of patients and laboratory data as leucocytes, cytomorphological analysis, platelet count and hemoglobin determination. The results showed 398 cases of chronic lymphoproliferative disorders and 62 of DLPC B cell lymphoproliferative diseases T. B showed the following distribution : 253 cases of chronic lymphocytic leukemia (CLL), 42 cases of multiple myeloma ( MM ), 37 cases of lymphoma non - Hodgkin lymphoma in leukemic phase (NHL) , 17 cases of pro- B lymphocytic leukemia ( B -PLL), 15 cases of mantle cell lymphoma (MCL ), 12 cases of plasma cell leukemia ( PCL), 9 cases of lymphoma Burkitt (Linf B), 8 cases of leukemia villous cells ( LCV), 3 cases of splenic lymphoma with villous cells (LECV), a case of follicular lymphoma (LF) and a Waldenströn macroglobulinemia ( MW). The diseases source NK / T were 23 cases of peripheral T cell lymphoma (LCTP), 14 cases of T prolymphocytic leukemia (T -PLL), 10 cases of leukemia T of large granular lymphocytes (LGL -T) 9 cases of leukemia cells of adult T (LCTA), 5 cases of Sezary syndrome (SS) and a case of large granular NK leukemia (LGL -NK) lymphocytes. In conclusion, the combined use of the monoclonal antibody panel careful cytomorphological analysis was shown to be essential in immune diagnosis and classification of chronic lymphoproliferative disorders. This study was approved by the IRB - HUOL under number 356 / 09

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Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)

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The mechanisms by which arthritis-provoking pathogens such as Yersinia enterocolitica interact with the human immune system to produce inflammatory synovitis are not well known. One of the immunomodulating mechanisms used against these pathogens is the polyclonal activation of lymphocytes. In this study, we investigated the extent of the B-lymphocyte activation induced in mice by a strain of Y. enterocolitica O:3 (FCF 526) isolated from a patient with arthritis, and compared it with two other strains, a virulent one (FCF 397[+]) isolated from a patient without arthritis and its plasmidless isogenic pair (FCF397[-]). Also we investigated the production of autoantibodies in mice infected with these different strains. SPF Swiss mice were infected intravenously with a suspension of Y. enterocolitica . Spleen cells were taken on days 7, 14, 21 and 28 after infection and the number of cells secreting nonspecific and specific antibodies of IgG 1 , IgG 2a , IgG 2b , IgG 3 , IgM and IgA isotypes were determined by the ELISPOT technique. The presence of autoantibodies in mouse serum was investigated by the dot-blot assay. The pattern of infection of the three bacterial strains were almost the same. We observed a general increase in the number of nonspecific Ig-secreting cells with all three strains, and the greatest increases observed were in the IgG 2a and IgG 3 isotypes. Only a small fraction of the immunoglobulins detected were antibacterial, suggesting that the rest resulted from polyclonal B cell activation. The strain isolated from the patient with arthritis (FCF526) induced the greatest production of autoantibodies, coinciding with the period in which the greatest activation of nonspecific B lymphocytes was seen. There were no signs of arthritis or inflammation in the joints of the infected animals. Based on our results, we were unable to determine whether there is an association between the arthritogenic capability of Y. enterocolitica and polyclonal activation of B cells.