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Échelle(s) : 1:4 000, échelle d'un quart de millimètre par mètre
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Échelle(s) : [1:1 220 000 environ]
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Collection : Société de l'histoire des colonies françaises ; 3
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La présente thèse se propose d'étudier les fortifications connues dans le territoire d'Erétrie (île d'Eubée, Grèce), essentiellement aux époques classique et hellénistique (Ve-IIe siècles av. J.-C.). La plupart de ces constructions (forteresses de grand appareil, habitats fortifiés, enceintes de pierres sèches et tours) sont connues depuis le 19e siècle, mais ce travail constitue la première étude archéologique et historique d'ensemble qui leur est consacrée exclusivement. Bien que décrites depuis longtemps, les fortifications des campagnes grecques ont surtout été étudiées d'un point de vue architectural et historique. Cette approche a privilégié une interprétation militaire et stratégique, reliant les fortifications au sein de réseaux défensifs conçus à grande échelle et destinés à bloquer les accès et les frontières du territoire. Notre perspective est différente, puisqu'elle s'efforce de replacer chaque fortification dans la géographie antique en étudiant son interaction avec les plaines et les reliefs, les frontières, l'habitat, les voies de communication, les terres cultivables et la répartition de la population. Pour ce faire, nous avons établi une carte archéologique de l'Erétriade, conduit des prospections extensives autour des fortifications, ainsi que dans de nombreuses régions du territoire. Cette méthode permet d'aborder l'étude des fortifications rurales en adoptant des angles d'analyse différents : le premier, macro-géographique, met ainsi en valeur des caractéristiques générales, telles que la relation entre les fortifications et la capitale d'une part, les fortifications et les terres cultivables de l'autre ; au plan régional, ou micro-géographique, elle analyse la répartition des fortifications au sein de chaque district de l'Erétriade, voire des vallées ou des cantons, mettant en évidence le rôle local des ouvrages fortifiés. Au terme de cette recherche, il est apparu qu'une approche purement stratégique ou militaire ne permettait pas d'expliquer la répartition géographique des fortifications, puisque ces dernières se trouvent pour la plupart à l'intérieur du territoire et non à ses frontières. Elles ne sont pas non plus disposées de manière à pouvoir exercer une surveillance étroite sur les routes pénétrant dans la chôra ; aussi leur fonctionnement au sein d'un «réseau défensif frontalier ne peut pas être démontré. Dans l'Erétriade, la colonne vertébrale de la sécurité publique est formée par les habitats fortifiés, dèmes et kômai, complétée par l'existence de deux forteresses militaires ayant accueilli des garnisons. Placés toujours à bonne distance de la ville, puis à intervalles plus ou moins réguliers au sein du territoire, les habitats fortifiés jouent sur le plan régional le rôle de la ville : en cas d'invasion ou de danger, la population du dème ou des dèmes environnants pouvait y trouver refuge, mettant ainsi à l'abri récoltes, biens et animaux. L'apparition des fortifications territoriales correspond à l'extension maximale de l'occupation humaine, agricole et économique du territoire. Les communautés rurales qui en avaient la possibilité se dotèrent alors de fortifications, souvent sommaires, pour faire face à des menaces variées, mais surtout pour assurer leur propre sécurité et protéger un équilibre autarcique fragile. Il ne faut donc pas nécessairement attribuer la construction de fortifications à un événement historique précis, interprétation abusive courante dans l'étude des fortifications, en Grèce comme ailleurs. La fortification des habitats ruraux s'est réalisée de manière progressive, en réponse aux sentiments d'insécurité d'une population rurale toujours plus nombreuse. Faute de références littéraires et d'inscriptions, en particulier de décrets honorifiques, les forteresses et les habitats fortifiés de l'Erétriade constituent les derniers témoins de l'insécurité publique et des violences auxquelles fut confronté le territoire d'Erétrie aux époques classique et hellénistique.
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Donateur : Vassal, Gabrielle Maud (1880-1959)
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Comprend : [Carte en regard de la p.3. Carte de la Terre Sainte] [Cote : BNF C121998] ; [Carte en regard du folio E5v °. Carte de l'Arabie] [Cote : BNF C121999] ; [Carte en regard du folio F5r °. Carte des côtes de la Méditéranée] [Cote : BNF C122000] ; [Carte en regard du folio G5v °. Carte de la Terre Sainte] [Cote : BNF C122001] ; [Dernière carte du volume p.108. Carte de la Terre Sainte] [Cote : BNF C122002]
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Comprend : [pl. dépl. en reg. p.CX :] Profil de la cordilière du Pérou, coupée par un plan vertical perpendiculaire à sa longueur. Vue de la cordilière du Pérou aux environs de Quito. [cote : microfilm m 5842/R88883] ; [pl. en reg. p.182 : secteur, instument de mesure astronomique. XVIIIè siècle.] Figure de la terre. [cote : microfilm m 5842/R88883] ; [pl.1 à la fin du volume : plan d'un instrument astronomique. Figures géométriques. XVIIIè siècle.] Figure de la terre. [cote : microfilm m 5842/R88883] ; [pl.2 à la fin du volume : plan. Figures géométriques. Cadran de mesures astronomiques. XVIIIè siècle.] Figure de la terre. [cote : microfilm m 5842/R88883] ; [pl.3 à la fin du volume : instruments de mesures astronomiques. Calculs et figures géométriques. XVIIIè siècle.] Figure de la terre. [cote : microfilm m 5842/R88883] ; [pl.4 à la fin du volume : schéma du système de vision. Instruments de mesures astronomioques. XVIIIè siècle.] Figure de la terre. [cote : microfilm m 5842/R88883] ; [pl.5 à la fin du volume : figures géométriques. Schéma de cadrans astronomiques. XVIIIè siècle.] Figure de la terre. [cote : microfilm m 5842/R88883] ; [pl.6 à la fin du volume : mode de mesure. Instruments de mesures astronomiques. XVIIIè siècle.] Figure de la terre. [cote : microfilm m 5842/R88883] ; [Carte à la fin du volume : Pérou.] Carte des triangles de la méridienne de Quito. [cote : microfilm m 5842/R88883]
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Comprend : [Volume I. Frontispice : les richesses provenant du commerce et des échanges entre les Pays-Bas et l'Orient.] [Cote : M10326/Microfilm R 122143] ; [Volume I. Carte en reg. p.1 : carte de la baie de Loms. Norvège, Moscovie et Tartarie.]