737 resultados para Zoologie -- Périodiques
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R23, Zoologie, Nemertinen
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R8, Zoologie, Collemboles
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R20, Zoologie, Seesterne
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R29, Zoologie, Holothuries
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R54, Zoologie, Pennatuliden
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v.35 (1810:Jan.-June)
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v.37(1955)
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Le 19 juillet 1928 l'auteur trouva près de Natal, capitale de l'État de Rio Grande do Norte, a 5º 47' au sud de l'équateur, un nouveau Dendrocephalus qui portera le nom ornatus, dû a ses appendices caudales teints d'écarlate brillant. La femelle (Pl.1) atteint 12 mm. de longueur e contient des oeufs noirs dans sa cavité d'incubation. Le mâle, beaucoup plus robuste, atteint 16 mm. et montre, outre les caracteres sexuels, une modification extrémement compliquée des deuxièmes antennes (qui dans la planche II sont vues devant les premières). L'espèce est plus petite que les deux autres décrites de l'Amérique du Sud et se distingue facilement par les antennes du mâle. Elle fut trouvée au bord de la route dans une flaque large et profonde d'eau de pluie argileuse. Les exemplares rapportés moururent en quelques jours et la mare, lors d'une seconde visite, fut trouvé sèche. L'autre espèce, observée en 9. 7. 28 dans un étang naturel tout-près de la capitale, avait déjà été observée á Matto Grosso et en Paraguay et déterminée comme Cyclestheria hislopi BAIRD. THIELE pense que les individus de l'Amérique du Sud, pour cause de quelques petites différences, pour-raient nien former une autre espèce qu'il propose d'appeler sarsiana, mais la comparaison des desseins et descriptions avec mes exemplaires ne parait pas soutenir cette idée. Tout-de-mème la répartition connue de cette espèce est extrêmement curieuse et peut-être unique en zoologie. Elle a été signalée à Nagpur (Hindoustan), Ceylon, Queensland (Australie), Célèbes, Afrique orientale et Sansibar; seulement le premier lieu se trouve bien au nord de l'équateur, mais encore dans la zone tropicale, comme toutes les autres localités. L'explication de cette extension sur les deux mondes est tout ce qu'il a de plus difficile, puisque entre les localisations il n'y a pas seulement d'énormes distances sur terre (que l'on pourrait expliquer par un défaut d'observations), mais des espaces tres étendus, occupés par la mer. L'intervention de l'homme ne saurait expliquer ces faits et le transport par les oiseaux aquatiques ne pourrait être qu'un fait tout-a-fait excepcionnel pour les grands trajets océaniques. Le recours aux terres hypothétiques, qui formaient des ponts intercontinentaux dans des périodes géologiques extrêmement reculées, recontre des objections évidentes. En tous les cas on ne peut qu'admirer la constance avec laquelle le type de l'espèce s'est maintenu durant d'innombrales générations et a travers de telles distances quand les autres phyllopodes ont formé non seulement des variétés, mais même un grand nombre de genre et de familles.
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Sur 410 B. glabrata infestées par 1 miracidium de S. mansoni, 300 ont été placées dans des boîtes aérées, sur de la terre humide, et soumises à 6 semaines de dessiccation progressive. Au terme de l'expérience, il y avait 71 survivantes (23.66%), dont 9 positives. Les 110 autres planorbes ont cosntitué le lot témein, avec 106 survivantes (96.36%) à la première semaine d'apparition des cercaires. L'étude hebdomadaire des émissions cercariennes a montré des variations périodiques pour les deux sexes, une plus grande production de certaines femelles chez les témoins, mais une production de cercaires mâles ou femelles semblable chez les mollusques ayant subi l'anhydrobiose. Le faible nombre de ces dernies n'a pas permis une étude comparée significative de la survie des porteurs de formes larvaires mâles et femelles. La durée du développement du parasite chez son hôte ne semble pas modifiée si l'on tient compte de la phase d'estivation.
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Les auteurs ont soumis à 6 semaines d'anhydrobiose 1200 Biomphalaria adultes, saines, ou parasitées par 8 ± 2 miracidiums de Schistosoma mansoni depois 3 ou 12 jours, ou émettant des cercaires. Les planorbes étaient placées individuellement sur, ou dans de la terre humide, dans des boîtes closes ou aérées. La survie a été nulle chez les planorbes saines, infestées, ou déjà positives, placées dans les boîtes closes. Chez les mollusques placés dans les boîtes aérées, elle a été de 44% chez les témoins sains, et de 40,6% pour l'emsemble des infestées depuis 3 et 12 jours, avec chez ces derniers une meilleure survie lorsqu'ils étaient en surface. N n'est pas apparu de différence entre les infestations de 3 jours et de 12 jours. La mortalité et la production cercarienne sont infériéures à celles de planorbes infestées et gardées en eau. L'analyse des émissions montre une production des cercaires mâles siginificativement inférieure à celle des cercaires femelles ou mâles et femelles. Chez toutes les B. glabrata positives, les auteurs ont observé des variations périodiques dans la production des cercaires, quel que soit le sexe de celles-ci. De plus, chez les mollusques préalablement soumis à dessiccation, il existe de nombreus arrêts ou pauses dans l'émission des larves.
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DNA-based techniques are important tools for species assignment, in particular when identification with morphological criteria is difficult. The aim of this study was to genetically determine the species identity of tree frogs (Hyla spp.) populations from western and northern Switzerland (Swiss Plateau), this area being frequently subjected to introductions of species or sub-species from south of the Alps. We sequenced 261 base pairs of the mitochondrial DNA cytochrome b gene from 24 samples of tree frogs from the Swiss Plateau, Ticino (southern Switzerland) and the Dombes region (Ain, France), and compared them with homologous sequences retrieved from DNA databases. The phylogenetic analyses revealed two distinct clades. The first one is represented by samples of Green tree frog (Hyla arborea) from the Swiss Plateau, France, Germany and Greece, confirming the current knowledge about the species' distribution. The second clade includes samples belonging to the Italian tree frog (Hyla intermedia) from south of the Alps (Ticino and Italy), and unexpectedly from the Grangettes site in western Switzerland. These results suggest the introduction of the Italian tree frog H. intermedia north of the Alps, and raise questions about the management of the Grangettes protected area.
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Objectif : Les variations de l'amplitude de l'onde de pouls (AOP) dérivées du signal de l'oxymètre de pouls digital reflètent les variations du tonus sympathique durant le sommeil. Le but de cette étude était de démontrer la relation entre les chutes de l'AOP nocturnes et l'hypertension artérielle (HTA) ainsi que le diabète de type 2. Méthode: 1740 sujets (50.5 % de femmes, de 56.2 ± 10.5 ans, BMI 25.4 ± 4.4 kg/m2) participant à une étude de cohorte sur le sommeil (HypnoLaus) ont bénéficié d'un enregistrement polysomnographique complet (PSG) à domicile. L'index de chutes de l'AOP (AOPi) et la durée des chutes de l'AOP (AOPd) ont été mesurés pour chaque patient. Le diabète de type 2 a été défini par une glycémie à jeun de ≥ 7 mmol/L ou la prise d'un traitement antidiabétique. Une HTA a été définie par une TA systolique ≥ 130 mmHg, ou une TA diastolique ≥ 90 mmHg, ou la prise d'un traitement antihypertenseur. Les sujets ont été considérés comme n'ayant pas de troubles du sommeil s'ils avaient < 5 apnéeshypopnées/ heure (IAH), <15 mouvements périodiques des jambes/heure (IMPJ) et un score de somnolence d'Epworth <11/24. Résultats : L'AOPi moyen dans la population sans trouble du sommeil était de 40.2 ± 15.8 chutes/h. L'AOPd moyenne était de 13.7 ± 2.6 s. L'AOPd était significativement corrélée à la TA systolique (P=0.0038) et à la TA diastolique (P<0.0001). La prévalence d'HTA augmentait significativement avec l'AOPd (OR 1.66 (1.15 - 2.4) ; P <0.01). La prévalence de diabète de type 2 augmentait également significativement avec l'AOPd (OR 2.27 (1.46 - 5.75) ; P<0.01). Ces résultats restent significatifs indépendamment du sexe, de l'âge, du tour de cou ou de la taille, de la consommation d'alcool ou de tabac. Comparé avec d'autres marqueurs de fractionnement du sommeil, l'AOPd était le marqueur le plus significativement associé à l'HTA et au diabète de type 2. L'AOPi n'était pas associé à une augmentation du diabète ou de l'HTA. Il était par contre corrélé avec l'index apnées hypopnées (p < 0.0001) et de microréveils (p<0.0001). Conclusion : La durée des variations de l'amplitude de l'onde pouls pendant le sommeil (AOPd), et non sa fréquence (AOPi), est associée avec une augmentation de prévalence de diabète de type 2 et d'hypertension.
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A bien des égards, comme le philosophe Emmanuel Kant l'avait déjà signalé, la manière dont nous traitons les animaux nous renvoie en miroir notre propre attitude envers nos compagnons humains. La maladie de la vache folle n'est-elle pas le résultat d'une rationalité industrielle déraisonnable et, par là même, le révélateur des dérives de la rationalité instrumentale et des menaces qui pèsent sur l'éthique ? Les perspectives ouvertes par le génie génétique et par les xénotransplantations n'annoncent-elles pas une fuite en avant dans les illusions d'une technoscience sans conscience et sans précaution ? Comment trouver un équilibre entre les intérêts des patients, les finalités de la médecine, le respect de l'animal et les réalités de l'économie ou de la politique ? Pour promouvoir une éthique à la hauteur de ces questions, faut-il abandonner tout anthropocentrisme, adopter une philosophie centrée sur la vie et le vivant (biocentrisme) prenant uniquement en compte le critère de la souffrance humaine et animale (pathocentrisme) ?Fruit d'un colloque interdisciplinaire tenu à Lausanne en mai 1999, cet ouvrage donne la parole à des chercheurs d'horizon très variés : des spécialistes de la zoologie, de l'étude du comportement animal, de la douleur animale et humaine et de l'anthropologie culturelle, des juristes, des médecins, des philosophes et des théologiens.
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(Résumé de l'ouvrage) A bien des égards, comme le philosophe Emmanuel Kant l'avait déjà signalé, la manière dont nous traitons les animaux nous renvoie en miroir notre propre attitude envers nos compagnons humains. La maladie de la vache folle n'est-elle pas le résultat d'une rationalité industrielle déraisonnable et, par là même, le révélateur des dérives de la rationalité instrumentale et des menaces qui pèsent sur l'éthique ? Les perspectives ouvertes par le génie génétique et par les xénotransplantations n'annoncent-elles pas une fuite en avant dans les illusions d'une technoscience sans conscience et sans précaution ? Comment trouver un équilibre entre les intérêts des patients, les finalités de la médecine, le respect de l'animal et les réalités de l'économie ou de la politique ? Pour promouvoir une éthique à la hauteur de ces questions, faut-il abandonner tout anthropocentrisme, adopter une philosophie centrée sur la vie et le vivant (biocentrisme) prenant uniquement en compte le critère de la souffrance humaine et animale (pathocentrisme) ?Fruit d'un colloque interdisciplinaire tenu à Lausanne en mai 1999, cet ouvrage donne la parole à des chercheurs d'horizon très variés : des spécialistes de la zoologie, de l'étude du comportement animal, de la douleur animale et humaine et de l'anthropologie culturelle, des juristes, des médecins, des philosophes et des théologiens.