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Shipping form for 2 bundles placed aboard the schooner the Britannia to be delivered to Henry Nelles
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Shipping form for 2 bundles placed aboard the schooner the Britannia to be delivered to Henry Nelles. This form has a note written on the second page to Mr. Henry Nelles from Mr. Henderson. This item is badly stained and torn but most of the text is legible, June 6, 1828.
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Appointment of Phyn Ellices and Inglis to be the lawful attorneys of Henry W. Nelles, June 20, 1788.
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Questions put to, and answered by Henry Nelles (1 double-sided page, handwritten). The pages are stained and contain some holes. This affects the text slightly, 1830.
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Examination of Henry Nelles (2 double-sided pages, handwritten). The pages are stained and contain some holes. This affects some of the text. [These are copies of the answers from the previous document], 1830.
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Questions and answers of W. Henry Griffen (2 double-sided pages, handwritten). These pages are stained and slightly torn. This affects a small portion of the text, 1830.
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Examination of W. Henry Griffen of Grimsby (3 pages, handwritten). These pages are stained and slightly torn. This affects a small portion of the text, 1830.
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Insurance policy made to Henry Nelles of Grimsby covering a property in Grimsby, Upper Canada from the Phoenix Fire Office of Montreal, July 15, 1831.
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Warrant (1 page, handwritten copy) that a complaint was presented to Edmund Riselay, Justice of the Peace in Bertie by Henry Nelles, Justice of the Peace in Niagara against William Wintermute and Benjamin Wright of Bertie by Joseph Lindeberry of Clinton regarding the suspicion of Wintermute and Wright stealing wheat from the Lindeberry barn. Benjamin Wright seemed the guiltier of the two and therefore it is requested that he be brought before a Justice of the Peace to be examined. This document is stained, but this does not affect the text, April 4, 1837.
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Marriage Bond between Henry Chambers of Ancaster and Sarah Smith of Ancaster signed by Charles Anderson of Grimsby and Robert F. Nelles of Grimsby, Dec. 27, 1836.
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Marriage Bond between Henry Stratton of Grimsby and Elizabeth Muir of Grimsby signed by William Crooks of Grimsby and Robert F. Nelles of Grimsby, June 7, 1838.
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Envelope addressed to Mrs. Henry H. Nelles of St. Catharines. The envelope is postmarked U.S. and St. Catharines. There is no return address, April 1859.
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A certified copy of the Will of Henry Pellatt received by Joseph Tait, Registrar, 1905.
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UANL
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UANL
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Les débats économiques au 19e siècle, loin d’être l’apanage du monde universitaire, étaient aux États-Unis un des principaux objets de contentieux entre les partis politiques et ceux-ci trouvaient écho dans la sphère publique. Les journaux étaient alors le principal moyen de communiquer les opinions des différents partis. La présente étude vise à mettre en contexte et cerner la position des écrits du plus important économiste américain de son époque, Henry Charles Carey (1793-1879), reconnu comme tel par J.S. Mill et Karl Marx en leur temps, lors de la décennie de 1850 dans le journal le plus influent de cette période, le New York Tribune. Pour ce faire, il a fallu au préalable identifier les articles non signés de Carey dans le journal, ce qui n’avait auparavant jamais été fait. Au moment d’écrire dans le principal organe américain qui défendait la protection aux États-Unis afin d’industrialiser le pays, Carey était alors le représentant le plus prééminent du système américain d’économie. Ce dernier, fondé sur les écrits d’Alexander Hamilton, prônait l’industrialisation des États-Unis et l’intervention de l’État pour défendre le bien commun, s’opposant ainsi à l’école libérale anglaise basée sur les écrits d’Adam Smith. Conceptuellement, la pensée économique de Carey se situe dans la tradition des Autres Canon, basée sur la production et l’innovation. Ceci le mena à s’opposer avec vigueur tant au malthusianisme qu’à la division internationale du travail, justifiée théoriquement par la thèse de l’avantage comparatif de Ricardo. En effet, dans son analyse, la volonté exprimée au milieu du 19e siècle par l’Angleterre de devenir l’atelier du monde et de faire du reste des nations des producteurs de matières premières sous un régime de libre-échange n’était rien d’autre que la continuation de la politique coloniale par d’autres moyens. Pour Carey, la spécialisation dans l’exportation de matières premières, notamment défendue par les planteurs du Sud des États-Unis, loin d’être bénéfique au pays, était le sûr gage de la pauvreté comme les cas de l’Irlande et de l’Inde le démontraient.