985 resultados para Tartessos (Loc. ant.) - Civilização - Fontes
Resumo:
Summary Among ants, wood ants are probably the most fascinating and studied species in temperate European forests. Unfortunately, due to several threats they are nowadays registered in red lists. Recent studies made in the Swiss Jura Mountains ended up in the description of a new sympatric sibling species of Formica lugubris (i.e. Formica paralugubris Seifert 1996). Because of this confusion the biology of F. lugubris is incomplete. Due to the extreme difficulties to distinguish morphologically F. lugubris from F. paralugubris we studied their cuticular hydrocarbons profiles. Irrespective of their geographic origin, we observed quantitative discrimination between species within each caste (workers, males and gynes =young alate female). Moreover, using a behavioural taxonomic approach (i.e. the pupa-carrying test) we showed that ants preferred conspecific worker pupae to those of the sibling species. These first results allowed us to consider the two species as two separate taxonomic units. To understand their coexistence, habitat distribution models were fitted with GIS predictors and factors known to influence wood ant distribution. In the Jura Mountains, although the two species share very similar habitats, they are spatially segregated. F. lugubris occurs more frequently at woodland borders than in forest interiors. We demonstrated with genetic and field data that Formica lugubris displays two different social forms in close proximity in alpine zone (e.g. unmanaged forests of the Swiss National Park). We discovered populations mostly monogynous to weakly polygynous (i.e. one to a few egg laying queens per colony) and monodomous (i.e. one nest per colony), and polygynous/polydomous populations (new nests being founded by colony budding). It is generally admitted that monogyne species disperse well in order to find suitable habitat to found new colonies whereas polygyne species have restricted dispersal and local mating within the nest. In order to compare reproductive strategies of F. lugubris and F. paralugubris (i.e. matings and dealation process) we conducted experiments with sexuals. F, lugubris gynes from monogynous/monodomous populations do not show a local strategy like the obligately polygynous F. paralugubris (i.e. early dealation even without mating, insemination without flight activity and low fat reserve). They always keep their wings, do not mate when not able to fly and have high amount of fat content revealing high survival capacities. On the other side, F, lugubris gynes from polygynous/polydomous populations have lower lipid reserves and displayed a reproductive behaviour close to the F. para lugubris one. After dispersal, wood ant gynes can either start new societies by temporary social parasitism of another species (i.e. subgenus Serviformica) or be adopted intraspecifically in an existing nest. In F. lugubris, we demonstrated that gynes from monogynous/monodomous colonies showed a high success for temporary social parasitism compare to the lower success of gynes from polygynous/polydomous colonies. However, physiological analyses suggested that only gynes from monogynous/ monodomous populations can efficiently disperse and found new nest by temporary social parasitism. Intraspecifically, gynes were accepted to a high degree in polygynous nest and in monogynous nests as long as these nests contained sexuals. In conclusion, Formica lugubris displays a social and dispersal polymorphism (mixed mating and founding system) representing a behavioural plasticity in relation to environmental and ecological conditions. Therefore, conservation measures directed toward this species should try to maintain a maximum of diversity at the habitat level. Résumé Les fourmis des bois sont probablement parmi les espèces de fourmis les plus fascinantes et les plus étudiées des forêts tempérées Européennes. Actuellement, du fait de différentes menaces, elles figurent malheureusement sur listes rouges. Plusieurs études menées au sein du Jura Suisse ont abouti à la description d'une nouvelle espèce jumelle et sympatrique de Formica lugubris (F. para- lugubris Seifert 1996). A cause de cette confusion la biologie de F lugubris est lacunaire. La distinction morphologique de F. lugubris et de F. para lugubris est si difficile que nous avons étudié leurs hydrocarbures cuticulaires. Indépendamment de l'origine géographique, nous avons observé une discrimination quantitative entre les espèces au sein de chaque caste (ouvrières, mâles et jeunes femelles ailées). De plus, à l'aide d'une approche taxonomique comportementale (le test de transport de cocons) nous avons montré que les fourmis préfèrent des cocons d'ouvrières conspécifiques à ceux de l'espèce jumelle. Ces premiers résultats nous permettent de considérer ces deux espèces comme deux unités taxonomiques distinctes et valables. Afin de comprendre leur coexistence, des modèles mathématiques ont été développés avec des données SIG et des facteurs écologiques influençant la répartition des fournis des bois. Dans le Jura, même si elles partagent des habitats fortement similaires, les deux espèces n'occupent pas les mêmes secteurs. F. lugubris est plus fréquente en lisière forestière plutôt qu'en pleine forêt. Nous avons démontré grâce à des données génétiques et de terrain que F. lugubris présente deux formes sociales au sein de la zone alpine (forêts protégées du Parc National Suisse). D'autre part, nous avons découvert des populations monogynes à faiblement polygynes (une à quelques reines pondeuses par colonie) et monodomes (colonies composées d'une seule fourmilière), et des populations polygynes/polydomes (les nouveaux nids étant produit par bourgeonnement). Généralement, les espèces monogynes dispersent sur de grandes distances et peuvent coloniser des habitats favorables à la fondation de nouvelles colonies alors que les espèces polygynes possèdent une dispersion limitée avec des accouplements à l'intérieur des nids. Afin de comparer les stratégies de reproduction de F. lugubris et de F. paralugubris (accouplements et perte des ailes) nous avons mené des expériences avec les sexués. Les jeunes femelles ailées de F. lugubris issues de populations monogynes/monodomes ne présentent pas de stratégie locale comparée à l'espèce obligatoirement polygyne F paralugubris (perte des ailes précoce même si il n'y a pas eu accouplement, insémination possible sans avoir volé activement et faibles réserves de graisse). Elles conservent toujours leurs ailes, ne s'accouplent pas lorsqu'elles sont empêchées de voler et possèdent de grandes quantités de graisse révélant de fortes capacités de survie. D'autre part, les jeunes femelles ailées de F. lugubris provenant de populations polygynes/polydomes ont peu de réserves lipidiques et ont un comportement de reproduction proche de celles de F. paralugubris. Après leur dispersion, les jeunes sexués femelles de fourmis des bois peuvent soit fonder une nouvelle société par parasitisme social temporaire d'un nid d'une autre espèce (sous-genre Serviformica) soit être adoptées dans un nid déjà existant de leur propre espèce. Chez F. lugubris, nous avons pu démontrer que les jeunes sexués femelles de colonies monogynes/monodomes présentent un succès élevé au parasitisme sociale temporaire en comparaison au plus faible succès obtenu avec des sexués provenant de colonies polygynes/polydomes. Cependant, les données physiologiques suggèrent que seules les jeunes sexués femelles de populations mono-gynes/monodomes peuvent disperser efficacement et fonder un nouveau nid par parasitisme social temporaire. Au niveau intraspécifique, les jeunes femelles sont acceptées à un taux élevé dans les nids polygynes mais aussi dans les nids monogynes tant que ces nids possèdent encore de jeunes sexués. En conclusion, F. lugubris est caractérisée par un polymorphisme dans ses structures sociales et ses stratégies de dispersion (système mixte d'accouplement et de fondation) ce qui représente une forte plasticité comportementale en relation avec les conditions environnementales et écologiques. Par conséquent, les mesures de conservation de cette espèce devraient s'attacher à maintenir un maximum de diversité au niveau des habitats.
Resumo:
Apresenta os resultados de uma pesquisa exploratória realizada no primeiro semestre de 2008 com micro e pequenos empresários instalados nas imediações do Shopping Popular Oiapoque, em Belo Horizonte. Para a consecução do objetivo central, que partiu da necessidade de descrever o comportamento informacional de tais empresários na tomada de decisão estratégica, optou-se pela aplicação de um questionário estruturado, com perguntas fechadas, a oito empresários da região, os quais foram escolhidos intencionalmente. Os resultados revelaram que os decisores estratégicos têm alta dependência com relação às fontes de informação "consumidores que compram no Oiapoque, fornecedores e funcionários da própria empresa e os concorrentes que atuam dentro do Shopping Popular" na tomada de decisão. Por outro lado, as fontes escritas como o jornal do bairro, relatórios setoriais publicados por entidades do comércio e os comércios não-concorrentes e seus respectivos funcionários e fornecedores não apresentaram resultados significativos em termos de dependência para a tomada de decisão estratégica.
Resumo:
Bibliografia internacional anotada sobre as principais fontes de informação lançadas a partir de 2000, relacionadas à biblioteca digital. Os tópicos cobertos são as bibliografias mais recentes, os livros e manuais, os periódicos especializados, os eventos específicos, as listas de discussão, os grupos e centros de pesquisa, os cursos e treinamentos e as principais organizações.
Resumo:
Um experimento de campo foi instalado num Latossolo Roxo distrófico, localizado na Fazenda Experimental da EPAMIG, São Sebastião do Paraíso, MG, em fevereiro de 1993, utilizando-se a espécie Coffea arabica L., cultivar Catuaí Vermelho, linhagem LCH 2077-2-5-44, para estudar o efeito de fontes e doses de K na produção e qualidade do grão de café beneficiado. Foi utilizado delineamento experimental em blocos casualizados, com quatro repetições, em esquema de parcelas subdivididas, utilizando-se três fontes de K nas parcelas (KCl, K2SO4 e K2SO4.2MgSO4) e quatro doses nas subparcelas (0, 100, 200 e 400 g cova-1 de K). Foi conduzido até outubro de 1994, tendo sido avaliados em 1993 e 1994, a produção, as variáveis qualitativas dos grãos beneficiados e os teores de K, Mg, S e Cl nas folhas e grãos. Não existe resposta de produção, em dois anos, às fontes e doses de K. Nas variáveis qualitativas dos grãos verificou-se maior atividade da polifenoloxidase e menor acidez titulável total, em 1993, com o K2SO4. Em 1994, houve a mesma tendência quanto à atividade da polifenoloxidase e acidez titulável total, apresentando maior índice de coloração e resposta favorável ao incremento dos teores de açúcar total. O K2SO4 promove melhor qualidade do grão de café beneficiado.
Resumo:
In social animals, body size can be shaped by multiple factors, such as direct genetic effects, maternal effects, or the social environment. In ants, the body size of queens correlates with the social structure of the colony: colonies headed by a single queen (monogyne) generally produce larger queens that are able to found colonies independently, whereas colonies headed by multiple queens (polygyne) tend to produce smaller queens that stay in their natal colony or disperse with workers. We performed a cross-fostering experiment to investigate the proximate causes of queen size variation in the socially polymorphic ant Formica selysi. As expected if genetic or maternal effects influence queen size, eggs originating from monogyne colonies developed into larger queens than eggs collected from polygyne colonies, be they raised by monogyne or polygyne workers. In contrast, eggs sampled in monogyne colonies were smaller than eggs sampled in polygyne colonies. Hence, eggs from monogyne colonies are smaller but develop into larger queens than eggs from polygyne colonies, independently of the social structure of the workers caring for the brood. These results demonstrate that a genetic polymorphism or maternal effect transmitted to the eggs influences queen size, which probably affects the social structure of new colonies.
Resumo:
Em Petrolina, PE, foi realizado um estudo com a cultura do melão (Cucumis melo L.), cultivar Valenciano Amarelo, num Latossolo Vermelho-Amarelo, com o objetivo de avaliar o efeito de fontes de fósforo aplicadas convencionalmente (em fundação) e via água de irrigação. O experimento consistiu de cinco tratamentos: 1. superfosfato simples; 2. MAP (fosfato monoamônico), aplicados pelo método convencional (em fundação); 3. MAP aplicado até 15 dias após a germinação; 4. MAP aplicado até 30 dias após a germinação e 5. MAP aplicado até 42 dias após a germinação. Nos tratamentos 3, 4 e 5 o MAP foi aplicado via água de irrigação. Os tratamentos receberam a mesma dosagem de fósforo (120 kg/ha de P2O5), conforme recomendado pela análise do solo. O delineamento experimental foi o de blocos casualizados, com quatro repetições. Constatou-se que as maiores produtividades de frutos comerciais foram obtidas com MAP (27,42 t/ha) e com superfosfato simples (25,96 t/ha) aplicados pelo método convencional, não diferindo do MAP aplicado via água de irrigação até 30 e 42 dias após a germinação, mas superando a produtividade de 19,47 t/ha obtida com o MAP aplicado via água de irrigação até 15 dias após a germinação. Verificou-se que as fontes de fósforo e os modos de aplicação não influenciaram no peso médio dos frutos (1,86 kg/fruto) -- 89,40% dos frutos obtidos enquadraram-se nos tipos 6 e 8 -- e no teor de sólidos solúveis nos frutos por ocasião da colheita, cujos valores oscilaram entre 12,75 e 13,17º Brix.
Resumo:
Objetivou-se neste estudo, determinar a disponibilidade biológica do P de diferentes fontes, para eqüinos em fase de crescimento. Utilizaram-se dezesseis eqüinos machos em fase de crescimento, submetidos à aplicação de quatro fontes fosfatadas -- fosfato de rocha de Tapira (TAP), fosfato de rocha de Patos de Minas (PAT), fosfato bicálcico (BIC) e farinha de osso (FOS) --, adicionadas à dieta basal em quantidades suficientes para fornecer 22 g de P/animal/dia. No 16º dia, foram-lhes injetados 30 MBq de 32P/animal, e coletaram-se amostras de sangue, fezes e urina, durante sete dias. Foram determinadas as atividades específicas no plasma, fezes e urina e calculou-se a perda endógena fecal e a absorção real de P. Os valores obtidos quanto ao P consumido, P excretado, P no plasma e P retido não apresentaram diferenças estatísticas (P>0,05). Os valores de absorção real do P do TAP, PAT, BIC e da FOS foram, respectivamente, 25,23%, 33,97%, 31,71% e 29,36%. Não houve diferenças estatísticas (P>0,05) entre as fontes estudadas. Em relação ao BIC, as rochas fosfáticas apresentaram altos valores de disponibilidade biológica.
Resumo:
Este trabalho objetivou avaliar os efeitos da calagem e de fontes e doses de N sobre a disponibilidade de nitrato, em amostras (020 cm) de solos brasileiros. Foram conduzidos dois experimentos: um com cinco solos da Bahia e o outro com cinco solos de Minas Gerais. Os materiais de solo foram previamente umedecidos e incubados por sete dias, a 26°C, visando ativar a flora microbiana. Nas amostras de solo da Bahia, aplicou-se a uréia ou o sulfato de amônio nas concentrações de 50, 100, 150 e 200 mg de N por kg de solo e nas de Minas Gerais, foi avaliado o efeito da calagem sobre a nitrificação. Os materiais de solo foram incubados a 26°C por 15 dias. Independentemente da dose de N aplicada, auréia nitrificou mais rapidamente do que o sulfato de amônio. Na Areia Quartzosa não foi observada nitrificação líquida do Nsulfato de amônio, sendo constatada, porém, a oxidação do Nuréia. A calagem afetou a nitrificação, notando-se nos solos que receberam calcário maior disponibilidade de nitrato. A saturação por bases e o teor de matéria orgânica apresentaram, respectivamente, a melhor correlação com o nitrato formado e os teores de uréia presentes no solo ao término da incubação.
Resumo:
PCR methods are reliable and suitable to in situ identify dermatophytes, yeasts and non dermatophyte moulds (NDM) in onychomycosis. Onychomycosis insensitive to standard treatment with topical agents as well as with oral terbinafine or itraconazole revealed Fusarium spp., Acremonium spp. and Aspergillus spp. as infectious agents. However, NDM onychomycosis could be efficiently cured using topical amphotericin B. In conclusion, correct fungal species identification is important in onychomycoses in order to prescribe adequate treatments since dermatophytes and moulds have different sensitivities to antifungal drugs.
Resumo:
O molibdênio (Mo) é essencial para a soja, por participar da enzima nitrogenase, sintetizada pelas bactérias durante o processo de fixação biológica do nitrogênio (FBN) por simbiose. A aplicação do Mo nas sementes no momento da semeadura antecede a aplicação do inoculante. O contato do Mo com o inoculante prejudica o Bradyrhizobium e, conseqüentemente, a FBN. O presente trabalho teve como objetivo estudar alternativas de fornecer Mo para a soja e a FBN sem afetar a sobrevivência da bactéria, a nodulação e a eficiência do processo de FBN. Avaliou-se, in vitro, a capacidade das estirpes de Bradyrhizobium de crescerem em meio líquido contendo concentrações crescentes de diversas fontes de Mo, e, em casa de vegetação, os efeitos de doses crescentes de molibdato de sódio e de outras fontes de Mo na sobrevivência do Bradyrhizobium, na nodulação e na eficiência da FBN. As estirpes apresentaram tolerância distinta com relação a fontes e doses de Mo; a estirpe SEMIA 5080 apresentou o melhor crescimento entre elas. A aplicação de Mo nas sementes com o inoculante deve ser evitada, porque ele reduz o número de células de Bradyrhizobium, a nodulação e a FBN. As fontes de Mo mais eficientes para a FBN são molibdato de amônio, trióxido de Mo e as fontes comerciais Grap e Comol.
Resumo:
1. The gene Pgm-3 (or a closely linked gene) influences the phenotype and reproductive success of queens in multiple-queen (polygynous) colonies but not single-queen (monogynous) colonies of the Fire Ant Solenopsis invicta. 2. We investigated the mechanisms of differential phenotypic expression of Pgm-3 in these alternate social forms. Mature winged queens with the homozygous genotype Pgm-3(a/a) averaged 26% heavier than queens with the genotypes Pgm-3(a/b) and Pgm 3(b/b) in the polygynous form. Heterozygotes were slightly heavier (2%) than Pgm-3(b/b) queens in this form, demonstrating that the allele Pgm-3(a) is not completely recessive in its effects on weight. 3. There was no significant difference in weight among queens of the three Pgm-3 genotypes in the monogynous form, with the mean weight of monogynous queens slightly greater than that of polygynous Pgm-3(a/a) queens. Differences in weight between queens of the two social forms and among queens of the three genotypes in the polygynous form are not evident at the pupal stage and thus appear to develop during sexual maturation of the adults. This suggests that some component of the social environment of polygynous colonies inhibits weight gains during queen maturation and that Pgm-(3a/a) queens are relatively less sensitive to this factor. 4. To test whether the high cumulative queen pheromone level characteristic of polygynous colonies is the factor responsible for the differential queen maturation, we compared phenotypes of winged queens reared in split colonies in which pheromone levels were manipulated by adjusting queen number. Queens produced in colony fragments made monogynous were heavier than those produced in polygynous fragments, a finding consistent with the hypothesis that pheromone level affects the reproductive development of queens. However, genotype-specific differences in weights of queens were similar between the two treatments, suggesting that pheromone level was not the key factor of the social environment responsible for the gene-environment interaction. 5. To test whether limited food availability to winged queens associated with the high brood/worker ratios in polygynous colonies is the factor responsible for this interaction, similar split-colony experiments were performed. Elevated brood/worker ratios decreased the weight of winged queens but there was no evidence that this treatment intensified differential weight gains among queens with different Pgm-3 genotypes. Manipulation of the amount of food provided to colonies had no effect on queen weight. 6. The combined data indicate that cumulative pheromone level and brood/worker ratio are two of the factors responsible for the differences in reproductive phenotypes between monogynous and polygynous winged queens but that these factors are not directly responsible for inducing the phenotypic effects of Pgm-3 in polygynous colonies.
Resumo:
O objetivo deste trabalho foi avaliar o efeito de carboidratos e do ácido acetilsalicílico (AAS) na preservação in vitro da batata (Solanum tuberosum L.), cultivar Macaca. Brotações de 1,5 a 2,0 cm de comprimento foram transferidas para meio de MS, acrescido de mio-inositol (100 mg L-1) e ágar (6 g L-1). Testaram-se duas fontes de carboidrato, sacarose e manitol (87,6 mM), e cinco concentrações de AAS (0, 30, 60, 90 e 120 mg L-1). O delineamento foi em blocos casualizados com quatro repetições por tratamento e cada repetição formada por oito tubos de ensaio com uma brotação. O material foi mantido à temperatura de 25±2ºC, fotoperíodo de 16 horas e radiação de 19 miE m-2 s-1. O crescimento e o número de gemas nas hastes foram avaliados por três meses. Passados nove meses, a sobrevivência e o número de microtubérculos também foram avaliados. O uso de manitol, associado às concentrações a partir de 30 mg L-1 de AAS, proporcionou menor crescimento e formação de gemas nas hastes. No meio suplementado com sacarose, a sobrevivência e o número de microtubérculos foram maiores, independentemente das concentrações de AAS utilizadas, após nove meses de cultivo.