641 resultados para Pinot Noir


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Cf. notice du ms. par Leroquais, Bréviaires, III, 182-185 n° 591 et pl. XCIX; P. Radó, Libri liturgici manuscripti bibliothecarum Hungariae et limitropharum regionum, Budapest, 1973. Un bréviaire d'Esztergom a été imprimé en 1524 à Venise. F. 2-8v Calendrier à l'usage d'Esztergom, avec un grand nombre de saints d'origines diverses (2-7v); cf. Leroquais, op. cit., 182. À noter les saints non mentionnés dans les Acta sanctorum, ou du moins pas pour la date correspondante; ne sont pas relevés les saints hongrois considérés comme classiques par Radó, op. cit., passim : 4 févr., «Victoris m.»; 8 févr., «Juliani m.»; 13 févr., «Adalberti m.», signalé une fois dans Radó, op. cit., 96 d'après ms. Budapest, B. N. Hung., c. l. m. ae. 395; 15févr., «Faustiani m.»; 21 févr., «Septuaginta mm.», non signalé sous cette forme pour cette date dans Radó, op. cit.; 15 mars, «Hilarii conf. et pont.», non signalé sous cette forme pour cette date dans Radó, op. cit.; 17 mars, «Bernardi conf.»; 26mars, «Eustachii abb.», signalé une fois dans Radó, op. cit., 96 d'après ms. Budapest, B.N. Hung., c. l. m. ae. 395; 28 mars, «Gastuli m.», non signalé dans Radó, op. cit.; 3 juill., «Bonifacii ep.», non signalé dans Radó, op. cit.; 5 juill., «Dominici m.»; 4 août, «Gaudentii ep. et conf.», signalé une fois dans Radó, op. cit., 329 d'après ms. Budapest, B. N. Hung., c. l. m. ae. 408; 8 août, «Adventus sanguinis D. N. J. C.»; 31 août, «Pauli ep. et m.», non signalé dans Radó, op. cit.; 12 oct., «Quatuor milium mm.», non signalé dans Radó, op. cit., à rapprocher de quatuor mille octingenti septuaginta mm., cf. Radó, op. cit., 167 d'après ms. Esztergom, B. metropolitana Strigoniensis I. 20; 14 oct., «Cerbonii conf.»; 27 oct., «Vedasti m.»; 15 nov., «Martini conf.», non signalé pour cette date dans Radó, op. cit; 20 nov., «Aniani ep. [Aurelianensis] et conf.». Pour plusieurs saints du calendrier on ne trouve pas d'office dans le sanctoral, et vice versa. — «Sequitur tabula impositionis historiarum...» (8-8v). F. 11-76 Psautier férial (11-72). — Office des défunts à l'usage d'Esztergom (72v-76); cf. K. Ottosen, The responsories and versicles of the latin office of the dead, Aarhus 1993, 127 (description des ff.74v-75v = «BN8879B») et 180 (description des ff.72v-74v = «BN8879A»). F. 77-528v Temporal : «Incipit breviarium secundum chorum alme ecclesie Strigoniensis. Dominica prima in adventu Domini...» (77-282v). Sanctoral : «Incipit secunda pars breviarii scilicet de festivitatibus. De s. Silvestro...» (286-486). À noter : office de l'Immaculée Conception composé par Léonard Nogarolo (480v). Commun des saints : «Incipit commune de sanctis et primo in vigilia unius apostoli...» (486v-513v). — «Sequitur de b. Virgine sabbatis diebus per estatem. Ad vesperas...» (513v-516v). «In quotidianis horis b. Virginis...» (516v-525). — «Sequuntur preces in quadragesima...» (525-526v). — «Sequuntur suffragia sabbatis diebus per estatem...» (526v-528), dont suffrages des ss. [Stephani regis Hungariae; Emerici ducis] (527), [Ladislai regis Hungariae; Adalberti ep. Pragensis et m.] (527v). — «Absolutio excommunicati...» (528-528v). 106 hymnes mentionnées dans la table des incipit, dont une non répertoriée dans Chevalier, Repert. hymn. ni dans les A. H., pour les confesseurs : «Christe lucis splendor vere fabrice mundi semper nobis parcens miserere confessorum precibus//...» (506v); cf. P. Radó, Répertoire hymnologique des mss. liturgiques dans les bibliothèques publiques de Hongrie, Budapest 1945, n° 111, relevée une fois dans le ms. Budapest, Bibl. nat. Hung. c. l. m. ae. 132, ms. décrit par Radó, Libri liturgici..., op. cit., 395-400.

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Cf. notice du ms. par Leroquais, Bréviaires, III, 182-185 n° 591 et pl. XCIX; P. Radó, Libri liturgici manuscripti bibliothecarum Hungariae et limitropharum regionum, Budapest, 1973. Un bréviaire d'Esztergom a été imprimé en 1524 à Venise. F. 2-8v Calendrier à l'usage d'Esztergom, avec un grand nombre de saints d'origines diverses (2-7v); cf. Leroquais, op. cit., 182. À noter les saints non mentionnés dans les Acta sanctorum, ou du moins pas pour la date correspondante; ne sont pas relevés les saints hongrois considérés comme classiques par Radó, op. cit., passim : 4 févr., «Victoris m.»; 8 févr., «Juliani m.»; 13 févr., «Adalberti m.», signalé une fois dans Radó, op. cit., 96 d'après ms. Budapest, B. N. Hung., c. l. m. ae. 395; 15févr., «Faustiani m.»; 21 févr., «Septuaginta mm.», non signalé sous cette forme pour cette date dans Radó, op. cit.; 15 mars, «Hilarii conf. et pont.», non signalé sous cette forme pour cette date dans Radó, op. cit.; 17 mars, «Bernardi conf.»; 26mars, «Eustachii abb.», signalé une fois dans Radó, op. cit., 96 d'après ms. Budapest, B.N. Hung., c. l. m. ae. 395; 28 mars, «Gastuli m.», non signalé dans Radó, op. cit.; 3 juill., «Bonifacii ep.», non signalé dans Radó, op. cit.; 5 juill., «Dominici m.»; 4 août, «Gaudentii ep. et conf.», signalé une fois dans Radó, op. cit., 329 d'après ms. Budapest, B. N. Hung., c. l. m. ae. 408; 8 août, «Adventus sanguinis D. N. J. C.»; 31 août, «Pauli ep. et m.», non signalé dans Radó, op. cit.; 12 oct., «Quatuor milium mm.», non signalé dans Radó, op. cit., à rapprocher de quatuor mille octingenti septuaginta mm., cf. Radó, op. cit., 167 d'après ms. Esztergom, B. metropolitana Strigoniensis I. 20; 14 oct., «Cerbonii conf.»; 27 oct., «Vedasti m.»; 15 nov., «Martini conf.», non signalé pour cette date dans Radó, op. cit; 20 nov., «Aniani ep. [Aurelianensis] et conf.». Pour plusieurs saints du calendrier on ne trouve pas d'office dans le sanctoral, et vice versa. — «Sequitur tabula impositionis historiarum...» (8-8v). F. 11-76 Psautier férial (11-72). — Office des défunts à l'usage d'Esztergom (72v-76); cf. K. Ottosen, The responsories and versicles of the latin office of the dead, Aarhus 1993, 127 (description des ff.74v-75v = «BN8879B») et 180 (description des ff.72v-74v = «BN8879A»). F. 77-528v Temporal : «Incipit breviarium secundum chorum alme ecclesie Strigoniensis. Dominica prima in adventu Domini...» (77-282v). Sanctoral : «Incipit secunda pars breviarii scilicet de festivitatibus. De s. Silvestro...» (286-486). À noter : office de l'Immaculée Conception composé par Léonard Nogarolo (480v). Commun des saints : «Incipit commune de sanctis et primo in vigilia unius apostoli...» (486v-513v). — «Sequitur de b. Virgine sabbatis diebus per estatem. Ad vesperas...» (513v-516v). «In quotidianis horis b. Virginis...» (516v-525). — «Sequuntur preces in quadragesima...» (525-526v). — «Sequuntur suffragia sabbatis diebus per estatem...» (526v-528), dont suffrages des ss. [Stephani regis Hungariae; Emerici ducis] (527), [Ladislai regis Hungariae; Adalberti ep. Pragensis et m.] (527v). — «Absolutio excommunicati...» (528-528v). 106 hymnes mentionnées dans la table des incipit, dont une non répertoriée dans Chevalier, Repert. hymn. ni dans les A. H., pour les confesseurs : «Christe lucis splendor vere fabrice mundi semper nobis parcens miserere confessorum precibus//...» (506v); cf. P. Radó, Répertoire hymnologique des mss. liturgiques dans les bibliothèques publiques de Hongrie, Budapest 1945, n° 111, relevée une fois dans le ms. Budapest, Bibl. nat. Hung. c. l. m. ae. 132, ms. décrit par Radó, Libri liturgici..., op. cit., 395-400.

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Texte composite, pour lequel on a surtout fait usage de la Passion de Greban, révisée et amplifiée par Jean Michel. — A la suite du texte sont des notes sur l'organisation de la représentation, les acteurs et la recette. Nombreuses figures peintes. A la fin (fol. 297), la mention : « Hubert Cailleau, painctre, a painct les histoires sur checume journée de ce libvre, comme aussy il fut joueur audiet mistere... Il donna aussy le portraict du hourdement du teatre avec Jacques des Moelles, comme il se veid en ce present livre. — Point ne mord Mort. Cailleau. »

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Figures et blasons dessinés et peints.

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Contient : Traités de blason ; le second est du XVe siècle ; Description des armes portées par divers seigneurs français (XVIe siècle)

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Bible avec massore originaire de Castille (Soria?). F. 2r-4v : calendriers liturgiques pour les années 1295 à 1390, 1541 à 1560. F. 5v-98v : Pentateuque, F. 99v-Josué, F. 111v : Juges, F. 122r : Samuel, F. 149v : Rois, F.179v : Isaïe, F. 199 Jérémie, F. 224v : Ezéchiel, F. 246v : Douze petits prophètes, F. 266v : Chroniques, 296v : Psaumes, F. 320v : Job, F. 330 : Proverbes, F. 337v : Ruth, F. 339 : Cantique des cantiques, F. 340 : Eclésiastes, F. 345v : Esther, F. 349r : Daniel, F. 356v : Esdras-Néhémie. Au f. 370v : cosmologie midrashique.

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Cet ouvrage est dédié à Louise de Savoie, régente de 1524 à 1526, pendant l'absence de François Ier, prisonnier en Espagne, à la suite de la bataille de Pavie. Premiers mots de la dédicace : « Madame, considerant que sçavoir est le plus grant tresor que l'homme puisse en ce monde acquerir, j'ay consummé mes biens et ma jeunesse en son service, cuydant par son moyen trouver vostre grace et faire tourner voz yeulx de pitié et de clemence vers moy, ce que toutes fois ne m'est encores advenu, dont je puis bien dire ce qui est escript en Hieremie... ». (Fol. 1-2). Le récit des gestes de la reine Blanche, mère de saint Louis, laquelle fut régente pendant la minorité de son fils et pendant sa première croisade, commence (fol. 2), après la dédicace, par : « Madame. Le roy Loys, septiesme de ce nom, dit Léon,... » et finit (fol. 21 v°) par : «... et en l'autre, victoire et triumphe de leurs ennemys ». Le verso du feuillet A préliminaire est occupé par une miniature à pleine page qui représente Louise de Savoie tenant à deux mains un gouvernail dans un bassin de marbre rempli d'eau. Etienne Leblanc est étendu tout babillé de velours noir, la tête enveloppée, sur un matelas, comme un malade, aux pieds de la régente. La régente en habits de veuve, deux ailes d'anges sortant des épaules, est assise sous un dais d'étoffe verte au fronton duquel on lit en lettres d'or : « Insignis pietate ». Cette scène se passe dans une sorte de loggia d'un palais de la Renaissance. Entre les colonnes de marbre rouge de cette loggia on aperçoit une campagne verdoyante que parcourt une rivière aux contours sinueux, coulant au pied de rochers surmontés d'un château fort dont les abords escarpés sont défendus par des tours, le tout encadré dans un portique d'or, au-dessus duquel on lit sur deux cartouches de marbre noir, aux bords de cuivre doré, les mots gravés en lettres d'or : « Dic tamen verbo » (premier cartouche) « et sanabitur » (second cartouche). Le feuillet 1 r°, qui forme la première page de la dédicace, porte en haut, sur un cartouche de même facture : « Ipsa dixit et facta sunt », et aubas, sur une banderole : « Si qua fata sinant » en lettres d'or. Ledit feuillet verso porte inscrit sur un semblable cartouche la devise '@@ et au bas une banderole où est écrit en caractères bleus : « Si qua fata sinant ». Le feuillet 2 r° porte dans la marge supérieure, sur un cartouche de même facture, la traduction en latin de la devise grecque ci-dessus décrite : « Saturnus veritatis parens », et au bas en caractères d'or : « Si qua fata sinant ». Les mêmes cartouches et banderoles se retrouvent de verso en verso et de recto en recto sur les feuillets qui suivent. Le verso du dernier feuillet porte au bas, au lieu d'une banderole, un car touche avec la devise : « Fata viam inveniant ». Miniature. Lettres ornées. Encadrement. Reliure : couverture en soie noire avec broderie représentant sur le plat supérieur un cerf aux abois abordant à un bassin rempli d'eau, ce qui rappelle le verset : « Sicut cervus ad fontes aquarum », et de l'autre côté du bassin un chevalier, un genou en terre devant Louise de Savoie, qui semble. lui accorder la grâce qu'il demande. L'autre plat représente un oiseau (un rossignol ?) sur une branche de laurier.

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Cet ouvrage est dédié à Louise de Savoie, régente de 1524 à 1526, pendant l'absence de François Ier, prisonnier en Espagne, à la suite de la bataille de Pavie. Premiers mots de la dédicace : « Madame, considerant que sçavoir est le plus grant tresor que l'homme puisse en ce monde acquerir, j'ay consummé mes biens et ma jeunesse en son service, cuydant par son moyen trouver vostre grace et faire tourner voz yeulx de pitié et de clemence vers moy, ce que toutes fois ne m'est encores advenu, dont je puis bien dire ce qui est escript en Hieremie... ». (Fol. 1-2). Le récit des gestes de la reine Blanche, mère de saint Louis, laquelle fut régente pendant la minorité de son fils et pendant sa première croisade, commence (fol. 2), après la dédicace, par : « Madame. Le roy Loys, septiesme de ce nom, dit Léon,... » et finit (fol. 21 v°) par : «... et en l'autre, victoire et triumphe de leurs ennemys ». Le verso du feuillet A préliminaire est occupé par une miniature à pleine page qui représente Louise de Savoie tenant à deux mains un gouvernail dans un bassin de marbre rempli d'eau. Etienne Leblanc est étendu tout babillé de velours noir, la tête enveloppée, sur un matelas, comme un malade, aux pieds de la régente. La régente en habits de veuve, deux ailes d'anges sortant des épaules, est assise sous un dais d'étoffe verte au fronton duquel on lit en lettres d'or : « Insignis pietate ». Cette scène se passe dans une sorte de loggia d'un palais de la Renaissance. Entre les colonnes de marbre rouge de cette loggia on aperçoit une campagne verdoyante que parcourt une rivière aux contours sinueux, coulant au pied de rochers surmontés d'un château fort dont les abords escarpés sont défendus par des tours, le tout encadré dans un portique d'or, au-dessus duquel on lit sur deux cartouches de marbre noir, aux bords de cuivre doré, les mots gravés en lettres d'or : « Dic tamen verbo » (premier cartouche) « et sanabitur » (second cartouche). Le feuillet 1 r°, qui forme la première page de la dédicace, porte en haut, sur un cartouche de même facture : « Ipsa dixit et facta sunt », et aubas, sur une banderole : « Si qua fata sinant » en lettres d'or. Ledit feuillet verso porte inscrit sur un semblable cartouche la devise '@@ et au bas une banderole où est écrit en caractères bleus : « Si qua fata sinant ». Le feuillet 2 r° porte dans la marge supérieure, sur un cartouche de même facture, la traduction en latin de la devise grecque ci-dessus décrite : « Saturnus veritatis parens », et au bas en caractères d'or : « Si qua fata sinant ». Les mêmes cartouches et banderoles se retrouvent de verso en verso et de recto en recto sur les feuillets qui suivent. Le verso du dernier feuillet porte au bas, au lieu d'une banderole, un car touche avec la devise : « Fata viam inveniant ». Miniature. Lettres ornées. Encadrement. Reliure : couverture en soie noire avec broderie représentant sur le plat supérieur un cerf aux abois abordant à un bassin rempli d'eau, ce qui rappelle le verset : « Sicut cervus ad fontes aquarum », et de l'autre côté du bassin un chevalier, un genou en terre devant Louise de Savoie, qui semble. lui accorder la grâce qu'il demande. L'autre plat représente un oiseau (un rossignol ?) sur une branche de laurier.

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Tel est le titre qu'on lit au r° du feuillet 1 de ce volume. Au bas de ce feuillet on a ajouté, faisant allusion aux membres de cette ambassade : « Arrivez à Paris le 8 juin 1572 ». Les feuillets 2-4 sont occupés par un prologue adressé « au roy » Charles IX, par l'auteur de cette liste, lequel se dit « son très humble serviteur, secretaire et historiographe ès langues angloise, galoise, irlandoise et escossoise », et signe : « JEHAN BENARD ». Les feuillets 5 à 25 donnent des noms des principaux personnages de cette ambassade, à commencer par l'ambassadeur, « le comte de Lyncolne,... Edouard Fines,... admiral d'Angleterre », de courtes notices, précédées pour la plupart de leurs noms et de leurs armoiries peintes. « Les gentilz hommes de moindre degré et condition que les susnommez », sont simplement énumérés ; après quoi l'auteur termine ainsi : «... Oultre les susnommez seigneurs, barons, chevaliers et gentilz-hommes, monsieur l'admiral a à sa suite XXXV gentilzhommes de sa maison » et « ses autres serviteurs, appellez Yemen, par terme du païs, reduitz au nombre de XXXVI », lesquels « ont pareilz manteaux de livrée » que les gentilshommes de sa maison, « mais au lieu de veloux, ilz ont une bande de drap noir sur chasque manteau avec passement rouge ». Lettres ornées, armoiries peintes.

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Collection : Les Publications de l'Académie d'Orléans, agriculture, sciences, belles-lettres et arts ; 1632-4307, 1

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Contient : Comptes faits pour le paiement des gages ; Renseignements sur le calendrier et spécialement la date de Pâques ; Évaluation du marc d'argent, et renseignements sur la fabrication et les essais des gros testons et autres pièces ; « Ensuyvent les noms des monnoyes [ateliers monétaires] de ce royaulme, pays et seigneuries du roy de France » ; Renseignements sur l'organisation et le personnel des monnaies ; « Lettres de maistre de monnoye », acte de François premier, concernant la monnaie de La Rochelle, 1528 ; « Serment des maistres des monnoyes » ; Déclaration des généraux maîtres des monnaies sur le fait et gouvernement des monnaies, maîtres particuliers, gardes, essayeurs et autres officiers des monnaies, sur les changeurs, affineurs et orfèvres du royaume, vers 1423 [cf. ms. franç. 18500, f. 18] ; « Gros testons. Ce qui a esté de nouvel advisé en la Chambre des Monnoyes pour le bien et (de) la continuation de l'ouvraige de gros testons », décembre 1521 (f. 57) ; « C'est le pris que l'en a donné en or et en argent au marc et à la value des monnoyes du royaume de France, depuis l'an M IIIe et VI » jusqu'au 21 juillet 1519 [cf. ms. français 18500, f. 4] ; « Cy s'ensuivent les pris que l'on a donné au marc d'argent de Paris et les monnoyes blanches et noires faictes au royaulme de France, depuis... mil IIe IIIIxx XIII » jusqu'en 1418/9 ; « S'ensuit le pris que a valu le marc d'argent, selon la Chambre des Monnoyes estant à Bourges, depuis le vingt-septiesme jour d'avril, l'an mil quatre cens et dix-huit » jusqu'en 1436 ; Valeur de la « forte monnoye », et analyse de pièces concernant le cours et la fabrication des monnaies, 1422-1521 ; « Lettres d'atache des généraulx des monnoyes pour ung office de changeur donné par le Roy », 21 mai 1529 ; Tableaux des valeurs des divisions du marc d'or fin, règles pour savoir le poids et le titre du marc d'or, etc ; Addition de la même main que ce qui précède : « Lettres d'office d'essayeur », acte de François premier, 25 septembre 1529 ; Addition d'une autre main : Lettre de Charles VI, sur les ouvrages des orfèvres de Paris, et règlement sur le métier d'orfèvrerie, 11 juillet 1379 ; Additions d'une autre main : Recueil d'actes royaux, baux, ordonnances, etc., concernant les finances. Actes de Charles VII dauphin, 1419 (f. 138 v), — et de Charles VI, 1420-1421 (f. 145 et suiv.), — et analyses d'actes de Louis XII, 1513 (f. 176), — François premier, 1532-1540 (f. 168), et 1519-1543 (f. 176), — Henri II, 1549/1550 (f. 169 v et 178 v), — Charles IX, 1561-1573 (f. 170 et 179 v), — et Henri III, 1574-1577 (f. 174 et 182)