320 resultados para NARRATOR
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Luke Banas is a young video artist who lives illegally in the disused Domino sugar refinery in Williamsburg, Brooklyn. While his art is an attempt to fully record and share his own life story, developers want to tear down the building where he works; a building that’s a monument to his hip neighborhood’s industrial past. The novel’s narrator, Lila Fairfax, is a journalist writing her first feature article about Luke and the fate of the factory. Observant and astute, she soon realizes that, despite his obsessive self-revelation, Luke is hiding a secret. Lila’s rational, detached approach to life is disrupted as, in the course of her reporting, she falls in love with Luke and as a result, learns far more than she anticipated. Though primarily a love story, The Sugar Factory is also an investigation of art, and art’s interaction with commerce, history, and new technology.
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Dissertação (mestrado)—Universidade de Brasília, Instituto de Letras, Programa de Pós-Graduação em Literatura, 2016.
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Les recueils de poésie Autoportraits de Marie Uguay et Nombreux seront nos ennemis de Geneviève Desrosiers appartiennent tous deux au genre de l’intimisme. Celui-ci est principalement caractérisé par une observation rapprochée du quotidien. Mon projet est constitué de deux volets : une recherche sur l’intimisme chez Uguay et Desrosiers, ainsi qu’un projet de création inspiré de leur poésie. Dans le volet recherche de mon mémoire, je me penche sur la logique du seuil et les rapports problématiques à l’altérité dans ces deux recueils. Dans Autoportraits et Nombreux seront nos ennemis, la position en retrait ou sur le seuil du « Je » permet d’observer ce qui l’entoure en conservant une perspective intime confortable où il ne se retrouve pas confronté à l’altérité. Les poèmes de la partie création de mon mémoire témoignent de l’inventivité dont le « Je » fait preuve afin d’échapper à son quotidien et sont empreints d’une perméabilité entre rêve et réalité. Le quotidien statique se présente comme un piège, un enfermement. La tension entre l’ici et l’ailleurs est exprimée dans les textes par une logique de l’attente; celle d’un nouveau départ et de la réalisation du rêve. Par cette pratique, je souhaite jouer avec les dangers de l’intimisme : ceux d’un narcissisme ou d’un sentimentalisme exacerbés.
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This paper examined how Esther Summerson, Dickens’s ideal good mother, can be understood as a woman who has maternal agency and identity both as a character and as a narrator, and how she contrasts with other maternal characters in the novel, both major and minor. While more transgressive mothers, such as Lady Dedlock, Mrs. Jellyby and even Krook’s cat, are doomed to death, ineffectiveness and madness, Esther moves from a frozen, “unsexualized” state into a space of life and sexual possibility. In addition, Esther has agency and identity as a narrator since she shares the narration with a third-person male narrator. Esther becomes the one who speaks rather than the one who is spoken of, and her maternal, nurturing voice provides a balm for the often harsh, judgmental voice of the male narrator. As the narrator’s patriarchal voice dies away at the end, it is Esther’s maternal voice that survives.
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Les recueils de poésie Autoportraits de Marie Uguay et Nombreux seront nos ennemis de Geneviève Desrosiers appartiennent tous deux au genre de l’intimisme. Celui-ci est principalement caractérisé par une observation rapprochée du quotidien. Mon projet est constitué de deux volets : une recherche sur l’intimisme chez Uguay et Desrosiers, ainsi qu’un projet de création inspiré de leur poésie. Dans le volet recherche de mon mémoire, je me penche sur la logique du seuil et les rapports problématiques à l’altérité dans ces deux recueils. Dans Autoportraits et Nombreux seront nos ennemis, la position en retrait ou sur le seuil du « Je » permet d’observer ce qui l’entoure en conservant une perspective intime confortable où il ne se retrouve pas confronté à l’altérité. Les poèmes de la partie création de mon mémoire témoignent de l’inventivité dont le « Je » fait preuve afin d’échapper à son quotidien et sont empreints d’une perméabilité entre rêve et réalité. Le quotidien statique se présente comme un piège, un enfermement. La tension entre l’ici et l’ailleurs est exprimée dans les textes par une logique de l’attente; celle d’un nouveau départ et de la réalisation du rêve. Par cette pratique, je souhaite jouer avec les dangers de l’intimisme : ceux d’un narcissisme ou d’un sentimentalisme exacerbés.