909 resultados para Balance du pouvoir


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Nuestro objetivo es reexaminar la pregunta que hace una década formulara M. Abensour en su artículo "¿Hannah Arendt: crítica del totalitarismo y servidumbre voluntaria?" y proponer una respuesta diferente a la que dio por entonces el filósofo francés. En este sentido, planteamos que hay una mayor cercanía entre La Boétie y Arendt que la que supone Abensour. La hipótesis que nos guía es que habría en Arendt una reflexión sobre la preeminencia del poder sobre la violencia y la dominación, que va más allá de la oposición tajante entre poder y dominación que podría suponerse en un inicio

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Nuestro objetivo es reexaminar la pregunta que hace una década formulara M. Abensour en su artículo "¿Hannah Arendt: crítica del totalitarismo y servidumbre voluntaria?" y proponer una respuesta diferente a la que dio por entonces el filósofo francés. En este sentido, planteamos que hay una mayor cercanía entre La Boétie y Arendt que la que supone Abensour. La hipótesis que nos guía es que habría en Arendt una reflexión sobre la preeminencia del poder sobre la violencia y la dominación, que va más allá de la oposición tajante entre poder y dominación que podría suponerse en un inicio

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Ce texte a pour objectif d’attirer l’attention sur un fait numismatique qui ne nous semble pas avoir été très souvent traité, celui des monnaies émises par des chefs politiques « rebelles » à une autorité normalement reconnue, dans un cas les Aghlabides de Kairouan, et dans l’autre les émirs omeyyades de Cordoue. L’étude de ce genre de monnaies devrait pouvoir aider à étudier, à partir des frappes réalisées en temps de crise politique, la question très importante de la légitimité du pouvoir dans l’Islam, et peut-être aussi celle des rapports de la frappe de monnaie avec les activités économiques. On n’attendra cependant pas de révélations des données très partielles et limitées qui vont suivre. Elles ne concernent en effet que deux frappes de dirhams correspondant chronologiquement au troisième siècle de l’Hégire qui, de 815 à 912, couvre pour l’essentiel le IXème siècle de l’ère chrétienne. L’une des monnaies date de son début (209 H/824-825), l’autre de sa fin (293 H/905-906). La première est Ifriqiyenne, la seconde andalouse; les deux, on l’a dit, sont frappées durant une époque de crise, et il peut être intéressant de les mettre en parallèle, sans prétendre en tirer de conclusions très nouvelles et de très grande portée, car il ne s’agit que de deux cas particuliers, auxquels la relative rareté de telles émissions, le fait qu’elles ont été peu étudiées et que les circonstances de la frappe des deux exemplaires présentés sont assez bien connues, incite tout de même à prêter quelque intérêt. La frappe andalouse pose par ailleurs un problème particulier, dans la mesure où elle correspond à un moment (entre les années 290/900 et 316/929) où le pouvoir omeyyade semble ne plus frapper de monnaies, ou pratiquement pas.

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Osʿulamā’ exercem uma infuência sobre a comunidade, através do controlo do espaço religioso, a fim de dar a conhecer as normas do islão e garantir a sua boa aplicação. Do quadro social e cultural, onde se inserem estes sabios religiosos, abordamos o seu papel jurídico e religioso, mediante un aviso jurídico, « fatwā», na legitimação do poder. Num contexto marcado pela crise política e pela ameaça ibérica e otomana, osʿulamā’ unificam as linhas em torno do poder para melhor combater o perigo português.

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Cette thèse traite de quelques moments clés dans l’histoire urbaine et architecturale moderne de la ville de Tunis. Elle les aborde conjointement à la problématique du percement de son noyau historique : la médina, née d’un projet de modernisation urbaine lancé par les beys de Tunis à la fin du XIXe siècle, poursuivi par le protectorat français de 1881 à 1956, puis par le gouvernement indépendant de 1956 à 1987. Partant, la recherche est répartie sur trois temps avec, au centre, le projet de la percée dite de la Casbah adopté par le Président Bourguiba à la fin de 1959. Pour plusieurs raisons, ce moment est cité rapidement dans la littérature malgré son importance dans la compréhension du visage actuel de la capitale tunisienne. Pour le saisir, on a dû retourner aux premières tentatives de percement de la médina de Tunis par le colonisateur français en 1887. Puis, on s’est progressivement approché de l’ancêtre direct de la percée bourguibienne paru sur le Plan directeur de Tunis en 1948. De ce premier temps, on a mis en valeur les stratégies coloniales dans leur gestion du territoire et leur rapport au processus de valorisation/dévalorisation du patrimoine issu de la civilisation arabo-islamique. Le second temps, qui correspond au plan de décolonisation mené par l’État indépendant dès 1955, est marqué par le lancement d’un « concours international ouvert pour une étude d’aménagement de la ville de Tunis » organisé par le Secrétariat d’État aux travaux publics en collaboration avec l’Union internationale des architectes. L’étude de cet événement et du colloque qui l’a suivi a ôté le voile sur ses raisons d’être politico-économiques que dissimulaient les usuels soucis de l’hygiène, de la circulation et de l’embellissement du Grand Tunis. Pour appuyer davantage ces constats, un troisième et dernier temps a été dédié au chantier de Tunis au lendemain du concours. L’accent mis sur les lieux symboliques du pouvoir et le désir obsessif des autorités à se les approprier ont réduit ce chantier à une redistribution concertée des symboles de la souveraineté nationale dans le but de centraliser et de personnifier le pouvoir en place. Le présent travail se situe dans le cadre des études postcoloniales et projette un regard critique sur la décolonisation en rapport avec ce qu’on a taxé d’urbanisme d’État. Propulsé par une certaine perception de la modernité, cet urbanisme est indissociable d’une instrumentalisation politique qui met l’accent sur les questions identitaires et patrimoniales, insiste sur la rupture avec le passé et tend à écarter l’opinion publique des questions inhérentes à l’aménagement du territoire et à la sauvegarde de la mémoire collective. En procédant par une analyse contextuelle de faits historiques et une lecture typomorphologique de la percée de la Casbah, cette recherche attire l’attention sur l’ampleur de certaines décisions gouvernementales concernant l’aménagement de l’espace urbain et la conservation de l’héritage architectural à court, moyen et long termes. Elle renseigne aussi sur le rôle des collectivités, de l’élite et des professionnels dans la canalisation de ces décisions pour ou contre leur droit à la ville.

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Diese Studie analysiert die Entscheidungsstrukturen in der Schweizer Politik zu Beginn des 21. Jahrhunderts. Entscheidungsstrukturen repräsentieren die Machtverteilung und die Beziehungen zwischen Koalitionen von Akteuren im Rahmen politischer Entscheidungsprozesse. Die vorgenommene Analyse erlaubt es daher, Schlüsse über den Zustand und das Funktionieren des politischen Systems zu ziehen. Die Basis der Untersuchung sind die elf wichtigsten Entscheidungsprozesse zwischen 2001 und 2006. Die verwendete Typologie setzt sich aus den Dimensionen «Machtverteilung» und «Koalitionsbeziehungen» zusammen und beschreibt vier Idealtypen von Entscheidungsstrukturen, nämlich jene der «Dominanz», der «Konkurrenz», des «Kompromisses» und des «Konsenses». Durch den Rückgriff auf die theoretischen Bedingungen des Grades an Föderalismus, des Grades an Europäisierung, des Politiktyps und der Offenheit der vorparlamentarischen Phase kann gezeigt werden, wie verschiedene Kombinationen dieser Bedingungen verschiedene Entscheidungsstrukturen erklären. Die Schweiz stellt nicht mehr den paradigmatischen Fall einer Konsensdemokratie dar. Das politische System verfügt weiterhin über eine grosse Integrationskapazität, ist aber in den letzten Jahrzehnten klar konfliktueller geworden. Das Verständnis der Entscheidungsprozesse und -strukturen ist daher von grosser Bedeutung.

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Cette thèse traite de quelques moments clés dans l’histoire urbaine et architecturale moderne de la ville de Tunis. Elle les aborde conjointement à la problématique du percement de son noyau historique : la médina, née d’un projet de modernisation urbaine lancé par les beys de Tunis à la fin du XIXe siècle, poursuivi par le protectorat français de 1881 à 1956, puis par le gouvernement indépendant de 1956 à 1987. Partant, la recherche est répartie sur trois temps avec, au centre, le projet de la percée dite de la Casbah adopté par le Président Bourguiba à la fin de 1959. Pour plusieurs raisons, ce moment est cité rapidement dans la littérature malgré son importance dans la compréhension du visage actuel de la capitale tunisienne. Pour le saisir, on a dû retourner aux premières tentatives de percement de la médina de Tunis par le colonisateur français en 1887. Puis, on s’est progressivement approché de l’ancêtre direct de la percée bourguibienne paru sur le Plan directeur de Tunis en 1948. De ce premier temps, on a mis en valeur les stratégies coloniales dans leur gestion du territoire et leur rapport au processus de valorisation/dévalorisation du patrimoine issu de la civilisation arabo-islamique. Le second temps, qui correspond au plan de décolonisation mené par l’État indépendant dès 1955, est marqué par le lancement d’un « concours international ouvert pour une étude d’aménagement de la ville de Tunis » organisé par le Secrétariat d’État aux travaux publics en collaboration avec l’Union internationale des architectes. L’étude de cet événement et du colloque qui l’a suivi a ôté le voile sur ses raisons d’être politico-économiques que dissimulaient les usuels soucis de l’hygiène, de la circulation et de l’embellissement du Grand Tunis. Pour appuyer davantage ces constats, un troisième et dernier temps a été dédié au chantier de Tunis au lendemain du concours. L’accent mis sur les lieux symboliques du pouvoir et le désir obsessif des autorités à se les approprier ont réduit ce chantier à une redistribution concertée des symboles de la souveraineté nationale dans le but de centraliser et de personnifier le pouvoir en place. Le présent travail se situe dans le cadre des études postcoloniales et projette un regard critique sur la décolonisation en rapport avec ce qu’on a taxé d’urbanisme d’État. Propulsé par une certaine perception de la modernité, cet urbanisme est indissociable d’une instrumentalisation politique qui met l’accent sur les questions identitaires et patrimoniales, insiste sur la rupture avec le passé et tend à écarter l’opinion publique des questions inhérentes à l’aménagement du territoire et à la sauvegarde de la mémoire collective. En procédant par une analyse contextuelle de faits historiques et une lecture typomorphologique de la percée de la Casbah, cette recherche attire l’attention sur l’ampleur de certaines décisions gouvernementales concernant l’aménagement de l’espace urbain et la conservation de l’héritage architectural à court, moyen et long termes. Elle renseigne aussi sur le rôle des collectivités, de l’élite et des professionnels dans la canalisation de ces décisions pour ou contre leur droit à la ville.

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Half title; each vol. has special t.p.

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Vol. 2, Table des matières, has imprint: Toulouse, Impr. A. Chauvin; v. 5: Toulouse Archives de la Haute-Garonne.

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Cette note de lecture se donne pour objectif d’établir un précis des thèses centrales de Critique de la raison nègre d’Achille Mbembe. L’héritage de Michel Foucault sur la pensée de Mbembe sera d’abord mis en lumière. Une critique générale de l’utilisation, chez Mbembe, de la notion de « race » sera aussi rapidement formulée. Après un survol historique de la fixation du principe de race, les deux versants du concept de « raison nègre » seront exposés dans le détail. Mbembe montre ensuite que les penseurs de l’identité noire se montrent le plus souvent engoncés dans la hantise d’habiter le double (l’un des profils de la raison nègre) hérité du travail du pouvoir raciste. Celui-ci s’appuie sur un complexe de domination psychique qui sera aussi explicité. Une proposition normative, complémentaire, viendra enfin s’arrimer à ces interprétations avant de conclure sur la dimension prescriptive de l’analyse critique mené dans cet essai.

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Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

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Cette note de lecture se donne pour objectif d’établir un précis des thèses centrales de Critique de la raison nègre d’Achille Mbembe. L’héritage de Michel Foucault sur la pensée de Mbembe sera d’abord mis en lumière. Une critique générale de l’utilisation, chez Mbembe, de la notion de « race » sera aussi rapidement formulée. Après un survol historique de la fixation du principe de race, les deux versants du concept de « raison nègre » seront exposés dans le détail. Mbembe montre ensuite que les penseurs de l’identité noire se montrent le plus souvent engoncés dans la hantise d’habiter le double (l’un des profils de la raison nègre) hérité du travail du pouvoir raciste. Celui-ci s’appuie sur un complexe de domination psychique qui sera aussi explicité. Une proposition normative, complémentaire, viendra enfin s’arrimer à ces interprétations avant de conclure sur la dimension prescriptive de l’analyse critique mené dans cet essai.