858 resultados para Anxiety disorders -- Treatment


Relevância:

80.00% 80.00%

Publicador:

Resumo:

Serotonin has been implicated in the neurobiology of depressive and anxiety disorders, but little is known about its role in the modulation of basic emotional processing. The aim of this study was to determine the effect of the selective serotonin reuptake inhibitor, escitalopram, on the perception of facial emotional expressions. Twelve healthy male volunteers completed two experimental sessions each, in a randomized, balanced order, double-blind design. A single oral dose of escitalopram (10 mg) or placebo was administered 3 h before the task. Participants were presented to a task composed of six basic emotions (anger, disgust, fear, happiness, sadness, and surprise) that were morphed between neutral and each standard emotion in 10% steps. Escitalopram facilitated the recognition of sadness and inhibited the recognition of happiness in male, but not female faces. No drug effect on subjective measures was detected. These results confirm that serotonin modulates the recognition of emotional faces, and suggest that the gender of the face can have a role in this modulation. Further studies including female volunteers are needed.

Relevância:

80.00% 80.00%

Publicador:

Resumo:

Les troubles anxieux sont parmi les troubles psychiatriques les plus souvent diagnostiqués chez les adolescents. Ces troubles sont souvent accompagnés de nombreuses comorbidités, dont des difficultés de sommeil. L’objectif principal de cette thèse est de caractériser l’activité corticale à l’éveil et pendant le sommeil à l’aide de l’EEG quantifié chez une population d’adolescents présentant un trouble anxieux, et de la comparer à un groupe témoin d’adolescents. Dans un second temps, on cherche à savoir si l’activité EEG des patients anxieux corrèle avec différentes mesures cliniques. Deux études permettent de répondre à ces objectifs, une première portant sur l’activité EEG au cours de l’éveil, et une seconde portant sur l’activité EEG au cours du sommeil (SL et SP). La première étude démontre que l’activité EEG des deux groupes ne présente pas de différence à l’EEG le soir. Par contre, le matin, les patients anxieux présentent une activité significativement supérieure à celle des contrôles aux électrodes centrales (0,75-10 Hz et 13-20 Hz) ainsi qu’aux électrodes occipitales (2,5-7,75 Hz). Dans la seconde étude, nous avons analysé l’activité EEG absolue et relative en SL et en SP. Nous avons trouvé une activité absolue significativement supérieure à l’EEG de la région centrale chez les participants du groupe anxieux : en SLP (stades 3 et 4) sur l’ensemble des bandes de fréquence, en stade 2 sur les bandes de fréquence thêta, alpha et beta seulement. Finalement, en SP, les différences sont trouvées en alpha et beta, et non en thêta et delta. Les résultats obtenus à ces deux études suggèrent la présence de mécanismes de synchronisation et de filtrage inadéquats au niveau de la boucle thalamo-corticale, entraînant une hypervigilance du SNC. Quant aux corrélations entre l’activité EEG et les mesures cliniques, les résultats obtenus dans les deux études révèlent que les fréquences lentes (thêta et delta) de l’activité d’éveil le matin corrèlent à la fois avec l’anxiété de trait et d’état et les fréquences rapides (Alpha et Beta) de l’EEG du sommeil corrèlent sélectivement avec l’anxiété d’état. Il semble donc exister un lien entre les mesures cliniques et l’activité EEG. Une hausse d’activité EEG pourrait être un indicateur de la sévérité accrue des symptômes anxieux.

Relevância:

80.00% 80.00%

Publicador:

Resumo:

Les troubles anxieux figurent parmi les psychopathologies les plus fréquentes chez les enfants. Ils peuvent avoir de graves répercussions sur leur développement et, à long terme, ils tendent à persister ainsi qu’à s’aggraver. L’évitement est un moyen souvent utilisé par les personnes anxieuses, adultes ou enfants, afin de tenter d’échapper à l'objet de leur peur et ainsi faire diminuer leur niveau d’anxiété. Les schémas cognitifs dysfonctionnels reliés à l’anxiété, et à l’origine de l’évitement, se développent tôt chez l’enfant et sont en partie reliés aux interactions parent-enfant. La présente recherche vise à examiner, à l’aide d’une analyse séquentielle des interactions, la dépendance entre les comportements d’anxiété et d’évitement chez les membres de 20 dyades parent-enfant, dont les enfants sont âgés entre 4 et 7 ans. La tâche d’interaction, une histoire à compléter par les membres de la dyade, a la capacité de susciter des émotions anxieuses chez les participants. Les résultats de cette étude ne permettent pas de démontrer une dépendance entre les comportements d’anxiété et d’évitement des parents et ceux des enfants. La discussion présente des éléments de réflexion sur des pistes de recherche à explorer.

Relevância:

80.00% 80.00%

Publicador:

Resumo:

L’objectif de la présente thèse était de caractériser le sommeil d’un groupe clinique d’enfants et d’adolescents ayant un trouble d’anxiété comme diagnostic primaire et le comparer à un groupe témoin. Dans un premier temps, nous avons vérifié si le profil de la fréquence cardiaque nocturne des enfants et des adolescents pouvait être regroupé selon le diagnostic. Pour ce faire, la fréquence cardiaque nocturne de 67 adolescents anxieux et 19 sujets non anxieux a été enregistrée à l’aide d’un équipement ambulatoire. Les résultats de cette étude montrent que le profil de la fréquence cardiaque nocturne chez les enfants anxieux varie selon le diagnostic. Alors que les adolescents non anxieux montrent un profil de la fréquence cardiaque nocturne plat, on retrouve les associations suivantes chez les adolescents ayant un trouble anxieux : a) un profil croissant de la fréquence cardiaque chez les adolescents ayant un trouble d’anxiété de séparation; b) un profil décroissant de la fréquence cardiaque chez les adolescents ayant un trouble d’anxiété généralisé; c) un profil en forme de U chez les adolescents ayant un trouble d’anxiété sociale. De plus, une association significative a été observée entre le diagnostic et la présence de fatigue matinale. L’association d’un profil de la fréquence cardiaque nocturne avec un diagnostic d’anxiété suggère la présence d’une dysrégulation de la modulation chronobiologique du système nerveux autonome. Étant donné que le profil de la fréquence cardiaque nocturne s’exprime différemment selon le diagnostic, qu’en est-il de l’architecture du sommeil? Dans un deuxième temps, nous avons enregistré le sommeil en laboratoire d’un groupe clinique de 19 jeunes ayant un trouble d’anxiété comme diagnostic primaire, avec comorbidités et médication et comparé à 19 jeunes non anxieux. Les résultats de cette étude ont montré que les participants du groupe anxieux ont une latence au sommeil plus longue, une latence au sommeil paradoxal plus longue et une durée d’éveil plus longue lorsque comparé au groupe témoin. L’évaluation subjective de la qualité du sommeil chez le groupe d’adolescents anxieux montre que leur auto-évaluation reflète les valeurs enregistrées en laboratoire. Nous avons également observé chez le groupe anxieux une fréquence cardiaque moyenne plus élevée et un index plus élevé d’apnée-hypopnée, bien que non pathologique. Nous avons également observé une association positive entre l’anxiété de trait et l’indice d’apnée-hypopnée et la latence au sommeil, ainsi qu’une association positive entre l’anxiété manifeste et la latence au sommeil paradoxal. Ces résultats suggèrent que le sommeil chez cette population est altéré, que des signes d’hypervigilance physiologique sont présents et qu'une association existe entre ces deux paramètres. Finalement, dans la troisième étude de cette thèse, nous avons analysé l’activité cardiaque pendant le sommeil en utilisant les paramètres temporels et fréquentiels de la variabilité cardiaque chez un groupe clinique de dix-sept enfants et adolescents ayant un trouble d’anxiété comme diagnostic primaire avec comorbidité et médication, et comparé à un groupe non anxieux. Les résultats ont montré que les participants du groupe anxieux, lorsque comparés au groupe non anxieux, présentent des intervalles interbattements plus courts, un indice temporel de la variabilité cardiaque représentant la branche parasympathique moindre, une activité des hautes fréquences normalisées moindre et un ratio basse fréquence sur haute fréquence augmenté. Plusieurs corrélations ont été observées entre les mesures cliniques de l’anxiété et les mesures de la variabilité cardiaque. Ces résultats viennent ajouter à la littérature actuelle un volet descriptif clinique à ce jour non documenté, soit l’impact de l’anxiété pathologique chez un groupe clinique d’enfants et d’adolescents sur le processus normal du sommeil et sur la régulation de la fréquence cardiaque. En résumé, les résultats de ces trois études ont permis de documenter chez un groupe clinique d’enfants et d’adolescents ayant de l’anxiété pathologique, la présence d’une altération circadienne du profil de la fréquence cardiaque, d’une architecture altérée du sommeil ainsi qu’une dysrégulation du système nerveux contrôlant l’activité cardiaque.

Relevância:

80.00% 80.00%

Publicador:

Resumo:

Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

Relevância:

80.00% 80.00%

Publicador:

Resumo:

L’Étude sur la santé des aînés au Québec montre que les femmes âgées de 65 ans et plus ont un risque deux fois plus élevé de dépression et de troubles anxieux que les hommes âgés. La littérature scientifique des 40 dernières années suggère que le stress quotidien et le soutien social sont associés à la présence de ces troubles mentaux dans la communauté. L’objectif de la présente étude est de vérifier l’effet médiateur du stress quotidien et du soutien social sur l’association entre le genre et la dépression et les troubles anxieux. L’échantillon était composé d’individus de 65 ans et plus vivant en résidence privée au Québec. Des analyses de régression logistiques ont été menées afin d’identifier l’effet médiateur du stress et du soutien social en contrôlant pour des variables démographiques, socioéconomiques et de santé potentiellement confondantes. Les résultats de ces analyses ne permettent pas de conclure que le stress quotidien et le soutien social sont des variables médiatrices dans la relation entre le genre et la dépression ou entre le genre et les troubles anxieux chez les aînés. Puisque ces variables n’expliquent pas les différences de genre observées dans les prévalences de ces troubles psychiatriques d’autres avenues devront être étudiées.

Relevância:

80.00% 80.00%

Publicador:

Resumo:

The aim of this study was to investigate service utilization by students and staff in the 18 months following the September 13, 2006, shooting at Dawson College, Montreal, as well as the determinants of this utilization within the context of Canada’s publicly managed healthcare system. Methods A sample of 948 from among the college’s 10,091 students and staff agreed to complete an adapted computer or web-based standardized questionnaire drawn from the Statistics Canada 2002 Canadian Community Health Survey cycle 1.2 on mental health and well-being. Results In the 18 months following the shooting, there was a greater incidence and prevalence not only of PTSD, but also of other anxiety disorders, depression, and substance abuse. Staff and students were as likely to consult a health professional when presenting a mental or substance use disorder, with females more likely to do so than males. Results also indicated that there was relatively high internet use for mental health reasons by students and staff (14% overall). Conclusions Following a major crisis event causing potential mass trauma, even in a society characterized by easy access to public, school and health services and when the population involved is generally well educated, the acceptability of consulting health professionals for mental health or substance use problems represents a barrier. However, safe internet access is one way male and female students and staff can access information and support and it may be useful to further exploit the possibilities afforded by web-based interviews in anonymous environments.

Relevância:

80.00% 80.00%

Publicador:

Resumo:

La sérotonine (5-HT) joue un rôle crucial dans l'étiologie des troubles mentaux comme la dépression majeure, les troubles de comportement et les troubles anxieux. Des études ont montré que des altérations précoces du système 5-HT peuvent potentiellement influencer le développement du cerveau et le fonctionnement du système fronto-limbique, engendrant des conséquences pour la régulation émotionnelle. Il existe aussi des évidences que le stress précoce peut affecter la méthylation de l'ADN résultant d'une altération de l'expression génique. Toutefois, le lien entre la méthylation de l'ADN et la réactivité comportementale à des facteurs de stress de la vie quotidienne est inconnu. La méthylation du gène transporteur 5-HT (SLC6A4) est d'un intérêt particulier, étant donné le rôle de SLC6A4 dans le développement du cerveau, les troubles mentaux et la régulation du stress. L'objectif de cette thèse est d'étudier l'association entre (1) les niveaux périphériques de méthylation de l'ADN dans le gène SLC6A4 et les réponses neurales aux stimuli émotionnels dans les circuits fronto-limbiques du cerveau, ainsi qu’entre (2) la méthylation périphérique de SLC6A4 et la réactivité comportementale au stress de la vie quotidienne. Nous explorons également l'association entre les réponses neuronales fronto-limbique à des stimuli émotionnels et la réactivité comportementale au stress de la vie quotidienne (3). À cette fin, vingt-deux personnes (11 femmes) d’âge moyen de 34,0 ans (SD : 1,5) avec différents niveaux de méthylation au gène SLC6A4 ont été recrutés à partir de deux études longitudinales. Les participants ont subi une analyse IRMf qui comprenait une tâche de traitement émotionnel. Un questionnaire en ligne sur la réactivité au stress quotidien de la vie a été réalisé pendant 5 jours consécutifs. Des analyses corrélationnelles et de régression ont été effectuées pour examiner les associations entre les variables primaires. Les résultats préliminaires de cette étude ont montré que la méthylation de l'ADN est associée à la désactivation significative du gyrus précentral et gyrus fusiforme respectivement face à des stimuli de peur et de tristesse. Aucune association significative n'a été observée entre les niveaux de méthylation et l'activation de l'amygdale. En outre, les scores obtenus aux variables de stress de la vie quotidienne tels que la détresse chronique ont été associées à la désactivation du précuneus et du cortex cingulaire postérieur face à la tristesse. Ces résultats suggèrent l'implication potentielle des processus épigénétiques dans l'activation cérébrale spécifique et la sensibilité au stress de la vie courante.

Relevância:

80.00% 80.00%

Publicador:

Resumo:

Introducción: El Síndrome de intestino irritable (SII) es de las patologías gastrointestinales más frecuentes a nivel mundial y de difícil manejo y control, con una prevalencia actual del 14% de acuerdo con los criterios ROMA II en Colombia, con tendencia al aumento. Su origen es multifactorial y no se ha logrado establecer un origen común, se ha encontrado asociación entre el SII y la presencia de ansiedad y depresión. Metodología: Estudio de corte transversal con componente exploratorio de la asociación de ansiedad y depresión con SII; muestra consecutiva de 315 pacientes que se calculó mediante stat calc epi info tomando una prevalencia del 14%, con un número de pacientes esperados de 1200 al mes. Se seleccionaron los pacientes que asisten a consulta de gastroenterología de la IPS CAFAM entre el 8 y el 29 de noviembre de 2010, se les aplicó la encuesta para medir factores sociodemográficos, establecer diagnóstico de SII mediante criterios Roma III y escala ZUNG para depresión y ansiedad. El análisis estadístico se realizó utilizando los programas SPSS versión 18.0 y EPI INFO versión 3.5.1 Resultados: La prevalencia del SII en los pacientes de la consulta de gastroenterología fue del 23% (n 63), con IC 95% (18%-28%). Se hallo una asociación significativa entre el género femenino (p:0.035),el grupo de edad de 31 a 55 (p: 0.043), y una fuerte asociación entre depresión severa y el síndrome de intestino irritable (p: 0.08). No se encontró asociación entre el SII y la ansiedad. Discusión: Existen factores de riesgo asociados a la presencia SII, como el género, la edad y la depresión severa documentados en la literatura (22). Se observó que la depresión severa está asociada significativamente con el SII, no así la ansiedad en ninguna de sus presentaciones; es necesario realizar estudios posteriores, que contribuyan a verificar la existencia y fuerza de dicha asociación y así aportar mayor evidencia que permita incentivar y fomentar el manejo multidisciplinario de la depresión en los pacientes con SII. Palabras clave: Síndrome de Intestino Irritable, Ansiedad, Desordenes de ansiedad, Depresión.

Relevância:

80.00% 80.00%

Publicador:

Resumo:

La úlcera venosa es una revelación clínica severa de la insuficiencia venosa crónica. Es la causa del 54-76% de las úlceras venosas de miembros inferiores. La ciencia médica ha generado diversos procedimientos en el manejo de esta patología, es así como a partir de conocimientos en fisiopatología de la ulceración venosa, se han aplicado procedimientos como opción de tratamiento. Objetivos: Valorar si el uso de rutina de la oclusión endoluminal con espuma guiada por ecografía del sistema venoso superficial insuficiente, en adicción al manejo convencional de la ulcera venosa (vendaje no compresivo, gasa vaselinada y curaciones) podría mejorar la tasa de curación a las 24 semanas de tratamiento. Diseño: Estudio clínico aleatorizado prospectivo de pacientes de la consulta externa de cirugía vascular del Hospital Occidente de Kennedy-Bogotá, durante el 01 de junio del 2011 hasta el 30 junio del 2012. Métodos: Un total de 44 pacientes con ulcera activa que cumplieron criterios de selección ingresaron al estudio, correspondientes a 48 extremidades con clasificación CEAP (C6), los pacientes fueron a aleatorizados a manejo convencional (control) o con manejo adicional de oclusión endoluminal con espuma eco-guiada. El objetivo principal fue el cierre de la ulcera a las 24 semanas. Resultados: La Curación de la ulcera a las 24 semanas de la aleatorización fue de 20 (83.3%) extremidades del grupo de oclusión endoluminal con espuma eco-guiada Vs 3(12.5%) para el grupo de control P: 0.0005 Discusión: Las tasas de curación de la ulcera luego de la oclusión endoluminal con espuma eco-guiada es muy superior al manejo convencional con curaciones y vendaje no compresivo, las tasa de curación son tan altas como las reportadas con sistemas de alta compresión y cirugía a las 24 semanas. La oclusión endoluminal eco-guiada es segura, mínimamente invasiva y clínicamente efectiva.

Relevância:

80.00% 80.00%

Publicador:

Resumo:

El Virus de la Inmunodeficiencia Humana (VIH) y el Síndrome de Inmunodeficiencia Adquirida (SIDA) han tenido a lo largo de los años un comportamiento epidemiológico que muestra la tendencia al aumento, de tal forma que ha llegado a considerarse como un problema de salud pública a nivel mundial. Sin embargo los tratamientos antiretrovirales han permitido que las personas con esta infección tengan una tasa de supervivencia mayor; pero ligado a esto, se han presentado efectos secundarios tales como problemas con la memoria y el funcionamiento cognitivo de estas personas. Además se ha encontrado que las personas con VIH/SIDA tienen algunas alteraciones en su área afectiva y generalmente ven afectada su calidad de vida. Este es un estudio exploratorio descriptivo que tuvo por objeto describir la ansiedad, depresión y percepción de calidad de vida en 35 pacientes con VIH/SIDA con deterioro cognitivo leve, seleccionados por conveniencia. Se aplicaron tres cuestionarios, el BDI-II para evaluar la sintomatología depresiva; el BAI para evaluar la sintomatología ansiosa y el MOS-SF30 para evaluar la calidad de vida. Además, se realizó una entrevista semiestructurada para profundizar en la evaluación de estas tres variables. Dentro de los resultados se evidenció que todos los paciente presentan algún nivel de ansiedad y de depresión, evalúan su calidad de vida en un punto medio; ni óptima ni baja. Se discuten estos y otros resultados.

Relevância:

80.00% 80.00%

Publicador:

Resumo:

Background: Maternal postnatal depression (PND) has been associated with adverse outcomes in young children, but an association with longer-term psychiatric disorder has not been demonstrated. We present the preliminary findings of a 13-year longitudinal study. Methods: In the course of a prospective longitudinal study, we examined DSM-IV Axis I disorders in 13-year-old adolescents who had (n=53) or had not (n=41) been exposed to maternal PND. We also detailed the occurrence of depression in mothers throughout the 13-year follow-up period. Results: Maternal PND was associated with higher rates of affective disorders in adolescent offspring. However, mothers who developed PND were also substantially more likely than those who did not to experience depression subsequently, a fact that contributed to the development of depressive disorder in offspring. Maternal PND was associated with increased risk for depression in adolescent offspring only if there had also been later episodes of maternal depression. In contrast, anxiety disorders in offspring were elevated in the maternal PND group regardless of the occurrence of subsequent maternal depression. Limitations: Due to the modest sample size and consequently limited power, findings must be regarded as preliminary. Conclusions: The particular association between early maternal depression and anxiety disorders in offspring was consistent with theories that emphasise the primacy of early environmental exposures. This position was not supported with respect to offspring depressive disorder, where overall duration of maternal depression was a significant factor. PND was associated with recurrent episodes of depression in the majority of cases, underlining the need for monitoring of this population beyond the postnatal period. (c) 2006 Elsevier B.V. All rights reserved.

Relevância:

80.00% 80.00%

Publicador:

Resumo:

Over-involved parenting is commonly hypothesized to be it risk factor for the development of anxiety disorders in childhood. This parenting style may result from parental attempts to prevent child distress based on expectations that the child will be unable to cope in a challenging situation. Naturalistic studies are limited in their ability to disentangle the overlapping contribution of child and parent factors in driving parental behaviours. To overcome this difficulty, an experimental study was conducted in which parental expectations of child distress were manipulated and the effects on parent behaviour and child mood were assessed. Fifty-two children (aged 7 - 11 years) and their primary caregiver participated. Parents were allocated to either a "positive" or a "negative" expectation group. Observations were made of the children and their parents interacting whilst completing a difficult anagram task. Parents given negative expectations of their child's response displayed higher levels of involvement. No differences were found on indices of child mood and behaviour and possible explanations for this are considered. The findings are consistent with suggestions that increased parental involvement may be a "natural" reaction to enhanced perceptions of child vulnerability and an attempt to avoid child distress.

Relevância:

80.00% 80.00%

Publicador:

Resumo:

Background: A number of cognitive appraisals have been identified as important in the manifestation of obsessive-compulsive disorder (OCD) in adults. There have, however, been few attempts to explore these cognitive appraisals in clinical groups of young people. Method: This study compared young people aged between 11 and 18 years with OCD (N ¼ 28), young people with other types of anxiety disorders (N ¼ 28) and a non-clinical group (N ¼ 62) on three questionnaire measures of cognitive appraisals. These were inflated responsibility (Responsibility Attitude Scale; Salkovskis et al., 2000), thought–action fusion – likelihood other (Thought–Action Fusion Scale; Shafran, Thordarson & Rachman, 1996) and perfectionism (Multidimensional Perfectionism Scale; Frost, Marten, Luhart & Rosenblate, 1990). Results: The young people with OCD had significantly higher scores on inflated responsibility, thought–action fusion – (likelihood other), and one aspect of perfectionism, concern over mistakes, than the other groups. In addition, inflated responsibility independently predicted OCD symptom severity. Conclusions: The results generally support a downward extension of the cognitive appraisals held by adults with OCD to young people with the disorder. Some of the results, however, raise issues about potential developmental shifts in cognitive appraisals. The findings are discussed in relation to implications for the cognitive model of OCD and cognitive behavioural therapy for young people with OCD. Keywords: Cognitive models, inflated responsibility, obsessive-compulsive disorder, perfectionism, thought–action fusion. Abbreviations: ADIS-C: Anxiety Disorders Interview Schedule for Children; ADIS-P: Anxiety Disorders Interview Schedule for Parents; E/RP: Exposure/Response Prevention; LOI-CV: Leyton Obsessional Inventory – Child Version; MPS: Multidimensional Perfectionism Scale; OCD: Obsessive-Compulsive Disorder; RAS: Responsibility Attitude Scale; TAF-LO: Thought–Action Fusion – (Likelihood Other).

Relevância:

80.00% 80.00%

Publicador:

Resumo:

Extinction-resistant fear is considered to be a central feature of pathological anxiety. Here we sought to determine if individual differences in Intolerance of Uncertainty (IU), a potential risk factor for anxiety disorders, underlies compromised fear extinction. We tested this hypothesis by recording electrodermal activity in 38 healthy participants during fear acquisition and extinction. We assessed the temporality of fear extinction, by examining early and late extinction learning. During early extinction, low IU was associated with larger skin conductance responses to learned threat vs. safety cues, whereas high IU was associated with skin conductance responding to both threat and safety cues, but no cue discrimination. During late extinction, low IU showed no difference in skin conductance between learned threat and safety cues, whilst high IU predicted continued fear expression to learned threat, indexed by larger skin conductance to threat vs. safety cues. These findings suggest a critical role of uncertainty-based mechanisms in the maintenance of learned fear.